Wednesday before Hosanna
(According with the Syrian Malankara Orthodox Church liturgical calandar)
Mercredi, 5 avr. 2017
Evening: St. Matthew 8: 23-9: 1
Morning:
Genesis 46 : 1-7
Isaiah 63: 7-19
Daniel 7:9-18
Acts 14:8 -19
Galatians 5: 13-26
St. Mark 4:35-41
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Mercredi avant Hosanna
(Selon le calendrier liturgique de l'Eglise Orthodoxe syrienne de Malankara)
Mercredi, 5 avr. 2017
Soirée: Saint Matthieu 8: 23-9: 1
Matin:
Genèse 46: 1-7
Ésaïe 63: 7-19
Daniel 7: 9-18
Actes 14: 8 -19
Galatians 5: 13-26
St. Mark 4: 35-41
1ère méditation proposée ce jour:
Livre du Lévitique 19,1-2.11-19.25.
En ces jours-là, le Seigneur parla à Moïse en ces termes :
" Parle à toute l'assemblée d'Israël, et dis-leur : Soyez saints, car je suis saint, moi Yahweh, votre Dieu.
Vous ne déroberez point, et vous n'userez ni de tromperie ni de mensonge les uns envers les autres.
Vous ne jurerez point par mon nom, en mentant, car tu profanerais le nom de ton Dieu. Je suis Yahweh.
Tu n'opprimeras point ton prochain, et tu ne le dépouilleras pas. Le salaire du mercenaire ne restera pas chez toi jusqu'au lendemain.
Tu ne proféreras point de malédiction contre un sourd, et tu ne mettras pas devant un aveugle quelque chose qui puisse le faire tomber ; car tu auras la crainte de ton Dieu. Je suis Yahweh.
Vous ne commettrez pas d'injustice dans le jugement : tu n'auras pas de faveur pour le pauvre, et tu n'auras pas de complaisance pour le puissant ; mais tu jugeras ton prochain selon la justice.
Tu n'iras pas semant la diffamation parmi ton peuple. Tu ne te tiendras pas comme témoin contre le sang de ton prochain. Je suis Yahweh.
Tu ne haïras point ton frère dans ton cœur, mais tu reprendras ton prochain, afin de ne pas te charger d'un péché à cause de lui.
Tu ne te vengeras point, et tu ne garderas point de rancune contre les enfants de ton peuple. Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Je suis Yahweh. i Vous observerez mes lois.
Tu n'accoupleras point des bestiaux de deux espèces différentes ; tu n'ensemenceras pas ton champ de deux espèces de semences ; et tu ne porteras point un vêtement tissu de deux espèces de fils.
La cinquième année, vous en mangerez les fruits, et ainsi l'arbre vous continuera son rapport. Je suis Yahweh, votre Dieu.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 10,22-38.
En ce temps-là, c'était l'hiver ; on célébrait à Jérusalem la fête de la Dédicace.
Et Jésus se promenait dans le temple, sous le portique de Salomon.
Les Juifs l'entourèrent donc et lui dirent : "Jusques à quand tiendrez-vous notre esprit en suspens ? Si vous êtes le Christ dites-le nous franchement."
Jésus leur répondit : "Je vous l'ai dit, et vous ne me croyez pas : les œuvres que je fais au nom de mon Père rendent témoignage de moi ;
Mais vous ne me croyez point, parce que vous n'êtes pas de mes brebis.
Mes brebis entendent ma voix. Je les connais et elles me suivent.
Et je leur donne une vie éternelle, et elles ne périront jamais, et nul ne les ravira de ma main.
Mon Père qui me les a données, est plus grand que tous, et nul ne peut les ravir de la main de mon Père.
Mon père et moi nous sommes un."
Les Juifs ramassèrent de nouveau des pierres pour le lapider.
Jésus leur dit : "J'ai fait devant vous beaucoup d'œuvres bonnes qui venaient de mon Père : pour laquelle de ces œuvres me lapidez-vous ?"
Les Juifs lui répondirent : "Ce n'est pas pour une bonne œuvre que nous vous lapidons, mais pour un blasphème, et parce que, étant homme, vous vous faites Dieu."
Jésus leur répondit : "N'est-il pas écrit dans votre Loi : J'ai dit : vous êtes des dieux ?
Si la Loi appelle dieux ceux à qui la parole de Dieu a été adressée, et si l'Écriture ne peut être anéantie,
comment dites-vous à celui que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde : Vous blasphémez, parce que j'ai dit : Je suis le Fils de Dieu ?
Si je ne fais pas les œuvres de mon Père, ne me croyez pas.
Mais si je les fais, lors même que vous ne voudriez pas me croire, croyez à mes œuvres : afin que vous sachiez et reconnaissiez que le Père est en moi, et que je suis dans le Père."
Par Sainte Thérèse d'Avila
(1515-1582), Moniale Catholique-romaine, carmélite,
Les Relations, 47 (trad. OC, Cerf 1995, t. 1, p.418 rev.)
Le jour de la fête de Saint Augustin, au moment où je venais de communier, j'ai compris, je pourrais presque dire « j'ai vu »
— je ne pourrais pas expliquer de quelle manière, je sais seulement que cela se passait dans mon intellect et était très rapide —
comment les trois Personnes de la sainte Trinité, que je porte gravées dans mon âme, sont une même chose.
Cela m'a été montré par une représentation tout à fait extraordinaire et dans une lumière extrêmement vive.
L'effet qu'en a éprouvé mon âme a été bien différent de celui que produit en nous la vue de la foi.
Depuis ce moment, je ne peux pas penser à l'une des trois divines Personnes sans voir aussitôt qu'il y en a trois.
Je me demandais comment, la Trinité formant une unité si parfaite, le Fils seul s'est fait homme.
Le Seigneur m'a fait comprendre comment les trois Personnes n'étant qu'une même chose, elles sont cependant distinctes.
En présence de telles merveilles, l'âme éprouve un nouveau désir d'échapper à l'obstacle du corps, qui l'empêche d'en jouir.
Quoiqu'elles semblent inaccessibles à notre bassesse et que la vue en passe en un moment, l'âme en retire beaucoup plus de profit, sans comparaison, que de longues années de méditation, et sans savoir comment.
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Le 5 avril 1242, jour de la victoire du lac Peïpous était le samedi de l'Acathiste à la Mère de Dieu (15 jours avant Pâques), chanté providentiellement dans toutes les églises et monastères de Russie ce jour là.
Paroles du Kondakion :
« Que retentissent nos accents de victoire en ton honneur Invincible Reine, toi qui nous sauves des périls du combat, Mère de Dieu, Vierge souveraine! Vers toi montent nos louanges, nos chants d'action de grâce. De ton bras puissant dresse autour de nous le plus solide des remparts, sauve-nous de tout danger, hâte-toi de secourir les fidèles qui te chantent : Réjouis-toi, Epouse et Vierge. »
Il fut chanté la première fois pour célébrer la protection que la Mère de Dieu offrit à la ville de Constantinople, lors de son siège en 626.
La ville était assiégé par les armées arabes et musulmanes alors que l'empereur Heracius était parti en guerre contre les Perses.
Tandis que les quelques forces présentes organisaient la défense de la Ville, le patriarche Serge implora la protection de la Mère de Dieu (dont l'attribut est Οδηγήτρια, Hodighitria c'est-à-dire « celle qui guide ») et le peuple de Constantinople fit une procession avec son icône.
La bataille fut gagnée.
« Et le peuple reconnaissant de Constantinople, rendant grâces à la Mère de Dieu, lui chanta une hymne toute la nuit, sans s’asseoir (acathiste), puisqu’elle n’avait pas cessé elle-même de veiller sur eux et qu’avec une surnaturelle puissance, elle avait remporté la victoire sur les ennemis. »
Depuis lors, en souvenir de ce prodige si grand et surnaturel, l’Église a pris l’habitude de consacrer cette fête à la Mère de Dieu, en ce temps de l’année où elle donna la victoire.
Et on l’appelle acathiste, puisque c’est debout qu’elle fut alors célébrée par le clergé de la ville et par tout le peuple.
En ce lendemain des attentats en Russie, nous recommandons à l'intercession Marie l'âme des victimes et le peuple Russe.
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JE CHERCHE LE VISAGE, LE VISAGE DU SEIGNEUR.
JE CHERCHE SON IMAGE TOUT AU FOND DE NOS CŒURS.
1) Vous êtes le corps du Christ
vous êtes le sang du Christ
vous êtes l'amour du christ
alors qu'avez vous fait de lui ?
2) Vous êtes le corps, du Christ;
Vous Etes le sang du Christ
Vous Etes la paix du Christ
alors qu'avez vous fait de lui ?
3) Vous Etes le corps du Christ
vous êtes le sang du Christ
vous Etes la joie du Christ
alors qu'avez vous fait de lui
« Celui qui n'embrasse pas les sacrifices
que je lui demande et qui ne m'imite pas,
n'est pas digne de moi.
Notre- Seigneur ne dit pas « la croix », mais « sa croix ». Il n'ordonne pas de prendre une croix quelconque, mais il veut que chacun prenne sa croix personnelle, la croix que Dieu lui a préparée. Il ne veut pas que chacun fasse tels sacrifices qu'il jugera bons, mais ceux-là que Dieu lui demande, ceux qu'il lui impose par les événements, par ses supérieurs légitimes, ceux qu'il lui inspire et que ses représentants dont Il a dit : « Qui vous écoute, m'écoute », approuvent, ceux enfin au sujet desquels Lui-même manifeste par quelque manière, par quelque moyen que ce soit, sa divine volonté... Quiconque ne fait pas tous les sacrifices que Dieu lui demande et n'imite pas de son mieux et à tout instant Jésus, n'est pas digne de Lui. Interrogeons notre conscience. Demandons pardon. Prenons des résolutions pour l'avenir. »
Bx Charles de Foucauld, Commentaire de Saint Matthieu (C. 10), in "Œuvres spirituelles" V. Lecture du S. Évangile Saint Matthieu, nouvelle cité, Paris, 1989.
Luis de Morales (1509-1586), Le Christ porte sa Croix
Musée National des Beaux-Arts, La Havane
RETRAITE DE SEMAINE SAINTE :
du 9 au 16 AVRIL.
INSCRIVEZ-VOUS !
Retraite d'enseignement, de délivrance et de guérison intérieure à l'école du Christ Bon Pasteur, Divin Médecin.
(En communion avec toutes les Chrétientés Martyres, en Orient et partout où les Chrétiens sont persécutés)
Cliquez ici: RETRAITE DE SEMAINE SAINTE 2017
Je vous propose la prière suivante pour notre Pays:
Seigneur Jésus, Ô Christ notre Dieu, Vous qui êtes venu, non pour juger le monde, mais pour le sauver; Vous qui êtes monté librement sur la Croix pour tous les humains;
Vous qui, dans Votre amour ineffable et Vôtre indicible compassion, veillez au bien et au libre salut de chacun;
Vous qui êtes invisiblement présent dans ce monde qui Vous appartient et dans notre pays par le Corps de Votre sainte Eglise, acceptez les prières de supplication et de louange que nous Vous adressons pour notre patrie la France, justement mais cruellement éprouvée.
Seigneur Jésus Christ notre Dieu, par les prières et la protection de Votre Mère toute pure et immaculée, du saint archange Michel, Protecteur de la France, des saints de notre pays, en particulier de notre mère parmi les saints Marie Madeleine "Egale-aux-apôtres" dont les reliques sanctifient notre sol, de son disciple saint Maximin, de saint Lazare Votre ami, des saints Jean Cassien et Victor de Marseille, Martin de Tours, Irénée de Lyon, Hilaire de Poitiers, Germain d’Auxerre, Germain de Paris; de saint Cloud, sainte Geneviève et sainte Radegonde et de tous les saints moines et moniales de notre pays; des saints et victorieux martyrs Pothin et Blandine de Lyon et de tous les saints martyrs de France :
Eclairez, inspirez, convertissez et sauvez notre patrie la France, ceux qui la gouvernent ainsi que chacun des membres de son peuple.
A nous qui Vous supplions dans la vraie Foi, accordez la grâce du non-jugement, la conscience libre, la force du saint Esprit pour témoigner de Votre vérité dans la paix qui vient de Vous.
Accordez-nous la grâce de voir nos propres fautes et d’accueillir Votre pardon.
Donnez-nous de Vous glorifier et de Vous célébrer pour la bienveillance que Vous manifestez à notre pays, à ceux qui le gouvernent et à tout son peuple.
Inspirez-nous de Vous célébrer en premier lieu pour la révélation que Vous avez donnée de Vous-même à nos Pères par la prédications de ces aînés dans la Foi qui sont venu d'Orient pour ensemencer notre terre de l'Evangile de vérité, d'amour et de paix et à ceux qui, en conséquence peuvent en ces jours, sur cette même terre bénie de France, vous confesser avec Votre Père coéternel et Votre très saint, bon et vivifiant Esprit, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles : Amîn!
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Mor Philipose-Mariam,
Aujourd'hui, Mercredi 5 Avril, nous prions pour les lois concernant la famille.
Pour introduire cette prière, je rappellerai deux passages bibliques, l'un concerne le lien conjugal, l'autre la place de la famille dans la création.
"Femmes, soyez soumises à vos maris comme au Seigneur ; parce que le mari est le chef de la femme, comme aussi le Christ est le chef de l’assemblée, lui le sauveur du corps. Maris, aimez vos propres femmes, comme aussi le Christ a aimé l’assemblée et s’est livré lui-même pour elle. De même aussi, les maris doivent aimer leurs propres femmes comme leurs propres corps ; celui qui aime sa propre femme s’aime lui-même". (Éphésiens 5:23-28)
"Dieu créa l'homme à son image : Il le créa à l'image de Dieu. Homme et femme il les créa. Dieu les bénit et Dieu leur dit : Soyez féconds, multipliez-vous, Remplissez la terre et soumettez-la." (Genèse 1:27-28)
Dans le monde d'aujourd'hui, marqué par le féminisme et par la critique de la domination patriarcale, la Parole que saint Paul nous donne à entendre peut paraître à beaucoup comme une véritable « provocation » puisqu'en instituant le mari comme « chef » de la femme, Paul semble attribuer à la femme un rôle second et subalterne qui justifie la domination patriarcale tant décriée.
Pourtant, cette lecture serait assurément trop simpliste.
D'une part, parce qu'elle confond « autorité » et « pouvoir » : l'autorité bien comprise, en effet, n'est nullement un « pouvoir » (et par conséquent une domination exercée par l'homme sur la femme), mais un « service » : l'homme n'a d'autorité sur la femme que pour autant qu'il sert le bien commun de la cellule familiale, et par conséquent qu'il se met au service du bien de son épouse.
La domination de l'homme sur la femme peut éventuellement se justifier par la condamnation prononcée par Dieu suite au péché originel (Genèse 3:16), mais à ce stade de la révélation, nous ne sommes pas encore sous le régime de la nouvelle alliance, où l'autorité bien comprise (dont le Christ donne l'exemple lors du lavement de pied de ses disciples) doit désormais être exercée uniquement comme un service (au même titre que les gouvernants élus devraient être théoriquement au service du bien commun de ceux qu'ils gouvernent).
On comprend dès lors pourquoi la femme peut accepter de se soumettre à l'autorité de son mari : quelle femme n'a jamais rêvé d'un « chevalier servant » ? Et la suite du texte en donne la confirmation : ce n'est que pour autant qu'il aime sa femme jusqu'à donner sa vie pour elle que le mari peut avoir autorité sur son épouse.
Nous ne sommes donc nullement dans un rapport de domination machiste, mais le lien conjugal repose au contraire, si l'on veut lui donner un fondement solide, sur la reconnaissance de cette complémentarité dans la vocation spécifique de chacun. S'éloignant profondément de la révélation biblique, notre modèle de société actuel tend de plus en plus à la confusion des rôles, et à l'indifférenciation des tâches, ce qui précarise toujours plus la famille.
Sous l'impulsion du féminisme, qui lutte légitimement contre une domination patriarcale où la femme est la servante de l'homme, plus que son complément assorti (on voit là les conséquences du péché, qui altèrent la relation initialement harmonieuse de l'homme et de la femme), on ne parvient à penser l'émancipation de la femme à l'égard de ce népotisme masculin que par imitation d'un modèle purement masculin (comme si la femme devait se masculiniser pour devenir l'égal de l'homme !), ce qui ne fait paradoxalement que renforcer la domination masculine au nom d'une confusion dramatique entre égalité et identité, la complémentarité laissant alors la place à l'indifférenciation des rôles et à la confusion des genres !
On voit les dégâts causés aujourd'hui par la disparition du modèle biblique : le père, dont l'autorité est contestée (son rôle est théoriquement d'incarner la Loi) déserte parfois sa famille pour se réfugier dans son travail, la femme se retrouve souvent seule pour élever ses enfants, la maternité est perçue, de plus en plus, comme ce qui asservit la femme à des tâches purement domestiques en la maintenant sous la tutelle de l'homme - d'où le recours à la contraception et à l'avortement pour permettre aux femmes de mener leur vie comme elles l'entendent, etc.
Le mariage n'est plus vu comme une institution naturelle garantissant la protection des enfants, mais comme un simple « contrat » dont on peut se libérer par simple demande, etc, etc. Or la famille est pourtant la cellule de base de la société : une société n'est pas composée d'individus, comme on voudrait nous le faire croire aujourd'hui, mais elle est composée de familles, familles dont la solidité garantit à son tour la solidité et la stabilité du lien social, en préparant les individus à s'engager pleinement en elle et à y assumer des responsabilités.
Ce n'est pas un hasard si les Etats totalitaires ont souvent cherché à arracher les enfants à leur famille pour prendre en charge leur éducation à la place des familles, car la famille, première instance de socialisation, a toujours été, de par les valeurs qu'elle transmet, le plus puissant garde-fou contre toutes les idéologies que l'on voudrait inculquer aux enfants.
Face à la multiplication des divorces, qui fragilisent toujours plus les individus en les laissant désemparés, il devient donc urgent de prier pour que nos gouvernants comprennent que toutes les lois qui fragilisent la famille ne peuvent que fragiliser considérablement la société elle-même. Les nouveaux modèles familiaux, souvent encouragés par l'Etat (familles recomposées, monoparentales, et bientôt homoparentales) peuvent certes bénéficier d'une attention particulière de la part de l'Etat, à condition de ne pas les considérer comme des alternatives viables qui pourraient prendre la place du modèle biblique : elles ne sauraient, en aucun cas, devenir normatives pour la société dans son ensemble sans menacer gravement l'avenir de la société.
On peut s'inspirer librement de cette prière pour aujourd'hui :
"Seigneur, dans ton plan d'amour pour l'humanité, tu as voulu que l'homme et la femme ne fassent plus qu'un pour témoigner de l'unité qui règne entre les personnes divines. Ne permet pas que le lien qui unit l'homme et la femme puisse être si aisément dissous aujourd'hui par des lois facilitant toujours plus le divorce, au nom d'une conception appauvrie de la liberté.
Vient redonner aux hommes et aux femmes de notre monde, souvent blessés par des expériences douloureuses, le sens des responsabilités familiales et du don de soi, l'esprit de service également, sans lesquels aucune famille ne peut tenir durablement. Viens fortifier par ton Esprit l'amour des conjoints qui se confient en toi et croient en toi.
Redonne aux jeunes qui se marient le sens de la fidélité à leurs engagements, et ne permet pas que des unions contraires à ta volonté puissent venir ternir le caractère sacré du mariage humain. Que les familles et les jeunes filles restent ouvertes à l'accueil de la vie, y compris lorsque cette vie n'est pas désirée ou qu'elle n'est pas totalement conforme à leur attente. Vient inspirer enfin nos gouvernants, par ton esprit de sagesse et de discernement, afin que les lois qu'ils promulguent puissent toujours plus servir la famille, au lieu de la fragiliser.
En Jésus, qui intercède pour nous.
Amen."
En union de prière pour la France,
Charles-Eric de St-Germain
Philosophe et auteur
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Saints du jour:
Mercredi 5 avril. 2017:
Sainte Irène
(martyre en 304)
Elles étaient trois sœurs, Irène, Agapè et Chiona,
elles vivaient à Salonique lorsque éclata la persécution de Dioclétien.
Elles s’enfuirent avec d’autres personnes dans la montagne,
mais ensuite prises de remords elle redescendirent en ville où le
gouverneur les mis en demeure d’abjurer sous peine de mort.
Elle refusèrent et furent brûlées vives.
(Le bas relief ci-dessus montre un sacrifice,
il provient de l’arc de l’empereur Galère à Salonique)
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Saints martyrs Victorin, Victor, Nicéphore, Claude, Diodore, Sérapion, et Papias de Corinthe
Claude ne cloche pas des deux pieds, lui qui court
à tête décollée jusqu'aux pieds de son Maître.
Une main scélérate ce crime perpètre,
le cinq, en le rendant d'une tête plus court.
Par les prières de tes Saints, Christ notre Dieu, aie pitié de nous et sauve-nous. Amen.
Lucernaire; t. 4
Les yeux crevés et arrachés, * les phalanges coupées, * les flancs lacérés tandis que vous étiez suspendus, * les os broyés, les membres par le glaive tranchés, * vous qui avez brisé la tête du séducteur, * vous n'avez point renié le Sauveur de l'univers * ni n'avez de façon irraisonnable, * illustres et grands Martyrs, aux images taillées.
Avec Claude vénérons * Nicéphore, l'illustre martyr, * Diodore, Victor et Victorin, * ainsi que Pappias et Sérapion, * l'assemblée sainte, le septuor, * la troupe, le corps au grand complet * qui sous le glaive du courage a frappé * les myriades entières des démons.
Magnifions les martyrs * qui, pour avoir imité * la sainte Passion du Christ, désormais * par divine grâce peuvent chasser * les passions dont souffrent l'âme et le corps, * colonnes inébranlables pièges des démons, * et phares des croyants, * calmes havres dans la tempête et pourfendeurs du Malin: * ils ont mérité les demeures d'en-haut.
Cathisme, t.4
Supportant d'intrépide façon * les multiformes tourments, * saints Martyrs, vous avez surpassé * le brillant éclat du soleil; * c'est pourquoi nous célébrons * votre lumineuse mémoire en demandant avec foi * d'obtenir par votre intercession * la rémission de nos péchés * et la jouissance des biens éternels.
HISTOIRE DE CES MARTYRS:
Ces sept glorieux martyrs furent arrêtés comme chrétiens à Corinthe, pendant la persécution de Dèce (249-251), et furent traduits devant le proconsul du Péloponnèse, Tertius.
Après avoir subi la flagellation et d’autres tourments avec ses compagnons, Victorin eut l’œil droit arraché, les extrémités des mains et des pieds coupées, puis il fut jeté dans un grand mortier où il eut les membres broyés et remit ainsi son âme à Dieu.
Nicéphore, couvert de sang après les coups, fut pendu par les cheveux, se vit rompre les doigts un à un, et, comme les païens voulaient le forcer à boire du vin offert en libation aux idoles, il se jeta de lui-même dans le mortier, où il trouva la mort peu après Victorin.
Claude fut suspendu à une potence, eut les joues arrachées et rendit l’âme quand on lui amputa les mains et les pieds.
Diodore gagna la palme du martyre en mourant par le feu, après avoir eut le corps lacéré à coups de lancettes.
Sérapion fut, quant à lui, pendu la tête en bas, eut les membres rompus à coups de massues et mourut décapité.
Papias, enfin, eut les mains tranchées, se vit percer le corps avec des pointes aiguisées et fut précipité dans la mer avec une lourde pierre attachée au cou.
C’est ainsi qu’ils reçurent tous les sept les couronnes de la victoire.
(Le Synaxaire, vie des Saints de l'Eglise Orthodoxe par le hiéromoine Macaire de Simonos Pétra)
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Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/
maliath taibootho/ full of grace/
moran a'amekh - the Lord is with thee/
mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/
wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/
O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/
yoldath aloho/ Mother of God/
saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/
nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./
Amîn
Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.
PRIERE POUR LES VOCATIONS:
Père, faites se lever parmi les chrétiens
de nombreuses et saintes vocations au sacerdoce,
qui maintiennent la foi vivante
et gardent une mémoire pleine de gratitude de Votre Fils Jésus,
par la prédication de sa parole
et l'administration des sacrements,
par lesquels Vous renouvelez continuellement vos fidèles dans la Grâce du Saint Esprit.
Donnez-nous de saints ministres de Votre autel,
qui soient des célébrants attentifs et fervents de l'eucharistie,
sacrement du don suprême du Christ pour la rédemption du monde, sacrement de la pérennité de Sa présence comme "l'Emmanuel", Dieu présent au milieu et pour le salut de Son Peuple.
Appelez des ministres de Votre miséricorde,
qui dispensent la joie de Votre pardon
par le sacrement de la réconciliation.
Père, puisse notre Église Syro-Orthodoxe francophone accueillir avec joie
les nombreuses inspirations de l'Esprit de Votre Fils
et, qu'en étant docile à ses enseignements,
elle prenne soin des vocations au ministère sacerdotal
et à la vie consacrée.
Soutenez les évêques, les prêtres, les diacres,
les personnes consacrées et tous les baptisés dans le Christ,à l'intérieur et à l'exterieur de notre Tradition Syro- Orthodoxe
afin qu'ils accomplissent fidèlement leur mission
au service de l'Évangile.
Nous Vous le demandons par le Christ notre Seigneur, Votre Fils bien-aimé qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles sans fin.
Amîn.
Ô Marie, Mère de Miséricorde et Reine des apôtres, priez pour nous !
Et c'est exact: quand notre vieil Ennemi tient une vie prisonnière du péché, il a soif de se désaltérer de la mort du pécheur. Pourtant, ce verset peut s'accommoder d'une autre interprétation : l'âme pécheresse, voyant qu'elle en est venue au péché, cherche à s'extraire de ses mailles, mais au niveau de la pure intention et sans profondeur. Sous l'emprise du respect humain ou sous le coup de remontrances venues des hommes, elle préfère une mort éternelle que d'avoir à supporter momentanément un peu de contrariété. Dès lors, cet homme s'abandonne entièrement à ses vices, conscient malgré tout de n'y avoir cédé volontairement qu'une seule fois.
C'est ainsi que le filet l'enserre jusqu'à la plante des pieds, celui dont la vie est jusqu'à son terme prisonnière de sa faute. Car dans la mesure où le pécheur a conscience d'être rivé à son mal, il désespère d'en sortir un jour; cette désespérance l'entraîne à s'adonner plus résolument encore aux attraits pernicieux de ce monde ; et finalement l'ardeur de ses convoitises gagne toute son âme ; enlacé par ses péchés antérieurs il cède progressivement à des fautes toujours
plus graves. Voilà le sens du verset : La soif le brûle de son feu: elle l'attaque dans son esprit, car du fait qu'il a pris l'habitude de pratiquer le mal, elle le pousse à en gober goulûment toutes les perversités. Pour le grand pécheur, avoir soif c'est désirer tous les biens de ce monde ...
Traduction de René Wasselynck (Ed. du Soleil Levant)
CHAPITRE PREMIER (Livre premier)
L'apôtre saint Paul écrivant aux Corinthiens (î, I, 63) leur dit : « Nous prêchons le Christ crucifié, scandale pour les Juifs, folie pour les Gentils. » Voilà une affirmation bien étrange, que la Rédemption, la croix, chef-d'œuvre de la bonté et de la sagesse de Dieu, produise une telle impression sur des intelligences raisonnables. C'est pourtant un fait indéniable; le monde rit et se moque des principes austères de la morale chrétienne, des hommes de génie même se sont heurtés contre eux et ont travaillé à 'les combattre. Il n'y a en cela qu'une preuve de la faiblesse de l'esprit humain laissé à lui-même; il est incapable de s'adapter aux pensées divines, soit parce que l'orgueil l'aveugle, soit parce que la sensualité le déprime. Motif de nous humilier et d'avoir conscience de notre petitesse, petitesse trop visible en l'attitude des apôtres. A l'école du divin Maître lui-même, au moment où ils reçoivent de lui l'enseignement du grand secret de ses souffrances, l'Évangile nous apprend qu'ils étaient préoccupés de savoir qui serait le plus grand parmi eux. Ils étaient hantés par une pensée de sot orgueil.
Hélas! On peut être si près de la lumière et rester dans les ténèbres!
Il en est ainsi lorsqu'on se laisse conduire par ce que l'apôtre appelle, « la prudence de la chair ». C'est l'humaine sagesse, qu'il déclare : ennemie de Dieu, et de laquelle il faut se défier, voire même qu'il faut mépriser. Aussi bien, donne-t-il ce conseil étrange : « Que personne ne se trompe; si quelqu'un d'entre vous paraît sage, qu'il devienne fou. » Pour être sage aux yeux de Dieu, il faut consentir à être tenu pour insensé par les gens du monde dont les pensées ne sont que vanité, dont les sentiments ne sont qu'illusion, dont l'estime n'est que mensonge, dont le jugement n'est qu'erreur.
A ceux-ci est impossible l'intelligence du mystère de la croix.
On ne peut, en effet, comprendre le prix de l'humiliation lorsqu'on ne songe qu'à se faire valoir, à passer pour ce que l'on n'est pas, à briguer tous les honneurs. On ne peut apprécier la douceur de souffrir au milieu du luxe de la table et des vêtements, dans la recherche de tout ce qui flatte la sensualité.
Le Bréviaire romain, en la leçon du 14 septembre, rapporte que l'empereur Héraclius ayant repris aux Perses la vraie Croix du Sauveur tombée entre leurs mains lors du siège de Jérusalem par Chosroès, il en fit un transfert solennel en la ville sainte. Il marchait, portant lui-même la divine relique, ayant à ses côtés Zacharie le patriarche. Arrivé aux portes de la cité, il se sent paralysé par une force mystérieuse, ses pieds sont comme cloués à la terre.
« Pourquoi cela? » demande-t-il, effrayé, à Zacharie.
« Parce que, répondit celui-ci, vous êtes recouvert d'un royal vêtement là où Jésus était vêtu misérablement; parce que vous portez une couronne d'or et de pierreries étincelantes, là où il était couronné d'épines; parce que vous avez de riches chaussures, là où il allait pieds nus. »
Héraclius aussitôt se dépouille de son manteau écarlate et emprunte le surtout d'un pauvre; il ôte ses chaussures rouges brodées d'aigles d'or, il rejette sa couronne sertie de pierres précieuses, et plus rien ne l'arrête, il marche librement jusqu'à la Basilique, au milieu des acclamations du peuple.
Il y a, en ce trait, un symbole touchant des dispositions nécessaires pour comprendre l'ineffable mystère de la croix. Nous avons saisi qu'il demeure caché aux âmes orgueilleuses et sensuelles dont le monde est rempli, mais il n'est pas moins inaccessible aux personnes pieuses qui n'inclinent pas nettement leurs volontés vers les austères vertus qui en nous humiliant nous élèvent, qui en nous détachant nous affranchissent.
Le bon Maître, en voyant, un jour, les effets de ses prédications sur ceux qui l'entendaient, effets désastreux sur les pharisiens orgueilleux et hypocrites, effets pénétrants sur les apôtres et les disciples, s'écria en levant les yeux au ciel, comme en extase : « Je vous rends grâces, ô mon Père, de ce que vous avez caché ces choses aux superbes, et que vous les avez révélées aux simples! »
Détachons-nous des créatures et de nous-mêmes, et nous pourrons un peu comprendre la science des sciences, celle de la croix.
Extrait de : Les Saintes Voies de la Croix (1915) Mgr A. Gonon
SIGNEZ LA PETITION POUR LA LIBERATION DES DEUX EVÊQUES QUIDNAPES EN SYRIE /PETITION ON THE ABDUCTION OF THE TWO HIERARCHS OF ALEPPO SYRIAToujours aucune nouvelle d'eux....Nous espérons...
Le 22 avril 2013, Mgr Yohanna (Jean) Ibrahim, archevêque syriaque orthodoxe d’Alep, et Mgr Boulos (Paul) Yazigi, archevêque grec orthodoxe de la même ville, étaient enlevés à l’ouest d’Alep en Syrie. Les deux évêques s’étaient rendus en voiture,fraternellement, avec un chauffeur, dans cette région pour tenter de négocier la libération de deux prêtres enlevés en février précédent : le Père Michel Kayyal (catholique arménien) le le Père Maher Mahfouz (grec-orthodoxe). C’est l’un des enlèvements les plus étranges en période de guerre puisqu’il n’y a eu aucune revendication. Même les médias ne s’intéressent pas beaucoup à cette affaire, jugée peu sulfureuse et surtout incompréhensible. Pour cette raison, le site Internet grec Pemptousia met en ligne une pétition (en anglais) pour la libération de deux hiérarques. Pour la signer,pétition relayée en France par Orthodoxie.com et nous-même cliquez ICI !
Merci.
N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et
fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"
ou terroristesen tous genres !
Prions sans relâche pour que le
Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...
Let us not forget the bishops, priests and faithful
Christians held by "Islamists" or terrorists of all
kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.
Pray for their release ...
Moscou a pointé du doigt les récentes accusations de l’agence Reuters sur l’attaque chimique perpétrée dans la province syrienne d'Idlib. Selon le ministère russe de la Défense, le média britannique «déforme les premières informations propagées par la source».
Le ministère russe de la Défense a annoncé mardi n'avoir porté aucune frappe aérienne dans la zone du village de Khan Cheikhoun, dans la province d'Idlib, où une attaque « chimique » aurait été perpétrée selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
« Les avions russes n'ont mené aucune frappe dans la zone de Khan Cheikhoun, dans la province d'Idlib.
En annonçant l'implication des avions russes dans le bombardement de Khan Cheikhoun avec des armes chimiques, l'agence britannique Reuters a réussi à déformer les premières informations propagées par la source — l'Observatoire syrien des droits de l'homme, qui n'avait rien dit à ce sujet », a déclaré le ministère russe de la Défense.
Auparavant, l'agence Reuters, citant l'Observatoire syrien des droits de l'homme, a rapporté que « des avions appartenant au gouvernement russe ou syrien » ont attaqué avec des armes chimiques la ville de Khan Cheikhoun, dans la province d'Idlib. Pourtant, dans son message d'origine, l'OSDH a seulement supposé l'existence des frappes aériennes sans indiquer leur appartenance.
Rappelons que l'un des premiers cas d'utilisation des armes chimiques par Daech en Syrie remonte au printemps 2013. Une attaque terroriste au sarin a fait de nombreux morts en été 2013 dans la Ghouta orientale.
Plusieurs pays ont alors essayé de rejeter la responsabilité sur le président syrien Bachar el-Assad. Les terroristes de Daech ont notamment utilisé des obus chargés de gaz toxique au cours d'une attaque contre une base aérienne de la province syrienne de Deir ez-Zor, en avril 2016, ce qui a provoqué de graves problèmes respiratoires chez les militaires touchés.
La Russie a plusieurs fois appelé la communauté internationale à coordonner ses efforts en vue de mettre fin au terrorisme chimique. Moscou a proposé d'adopter une résolution spéciale du Conseil de sécurité de l'Onu. Malheureusement, les partis pris politiques et la position anti-Assad ont empêché d'adopter cette résolution et d'écarter cette menace.
Cliquez sur ce lien:
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LE COIN DU CATECHISME ET...DE LA TRANSMISSION FAMILIALE:
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Chers amis,
Même si nous ne le voyons pas, Dieu est toujours présent à nos côtés.
Cette semaine nous écoutons un psaume, une prière chantée du peuple hébreux.
Ici, le psalmiste, l'auteur du psaume, témoigne : de nuit comme de jour, Dieu veille sur nous comme sur ses enfants. Il reste à l'écoute de nos appels.
Jésus lui même a prié les psaumes. Petits et grands, imitons-le.
Dimanche prochain, nous célébrons les Rameaux, l'entrée triomphale de Jésus dans Jérusalem.
Retrouvez sur Théobule les vidéos de cet évangile : l'Évangile des Rameaux
Frère Benoît , de la communauté des Pères dominicains
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"Je lève les yeux vers les montagnes :
d'où le secours me viendra-t-il ?
Le secours me viendra du Seigneur qui a fait le ciel et la terre.
Qu'il empêche ton pied de glisser, qu'il ne dorme pas, ton gardien, le Seigneur.
Non, il ne dort pas, ne sommeille pas.
Le Seigneur, ton gardien, se tient près de toi.
Le soleil, pendant le jour, ne pourra te brûler, ni la lune, durant la nuit.
Le Seigneur te gardera de tout mal, il gardera ta vie.
Le Seigneur te gardera au départ et au retour,
Maintenant et pour toujours."
Psaume 121
LES SOUTERRAINS
le monde moderne a un curieux amour des souterrains, il aime les caves sombres et profondes des existences humaines, il aime à plonger dans les zones subhumaines de nos vies et à les analyser. Cette attraction est, partiellement, une réaction contre un excès exactement contraire. Il y a un siècle, les hommes étaient persuadés qu'ils avaient atteint de nouveaux sommets d'existence. Ils parlaient du progrès inévitable, du triomphe sur la mort, de la transformation des hommes en dieux et de la terre en paradis.
Aujourd'hui, la présomption de nos grands-parents a cédé la place au désespoir de nos contemporains.Pris de vertige à des altitudes artificielles, l'homme a chu au fond des profondeurs, dans le plus terrible désespoir. Son enthousiasme délirant s'est transformé en dégoût, ses perspectives de plaisirs accrus ont abouti à la satiété, et ses espoirs extravagants de succès temporels ont tourné à la nausée.
Deux catégories de spécialistes des choses souterraines ont surgi dans les temps modernes : les unsanalysent les travailleurs considérés en tant que « masses » ; les autres étudient l'inconscient dans l'âme des individus. Les peuples sont devenus des « masses » qui ne peuvent être manipulées par un dictateur que lorsqu'elles ont perdu le sens de leurs responsabilités et de leur dignité. Lorsqu'elles sont réduites à cette condition, elles offrent une proie facile aux forces étrangères et extérieures ; telles sont les premières conditions de l'établissement de l'état totalitaire. Les communistes et les fascistes le savent bien.
Les spécialistes de la deuxième catégorie sont les gens qui prennent pour terrain de recherches la partie subrationnelle, involontaire, subhumaine de l'intelligence de l'homme : son inconscient dans lequel l'esprit refoule des fragments de pensée. Le subconscient a, en fait, une influence sur le comportement humain ; mais ce n'est pas là le seul facteur ni celui qui, en définitive, est déterminant. Une éraflure sur le gland dont il est issu peut expliquer, dans une certaine mesure, la forme du chêne arrivé à maturité ; mais la lumière, la chaleur et les forces invisibles de la viesont également responsables de son état présent.
Ces groupes jumeaux de chercheurs « souterrains » nous donnent la clef de notre époque. En effet, comme Virgile, les hommes ont toujours eu tendance à se représenter l'enfer au fond des abîmes, et bien que l'Eglise ne se soit jamais prononcée sur la géographie de l'enfer, l'imagination populaire le situe sous la terre. Il en résulte que lorsque l'intérêt public se concentre sur ce qui est « sous » quelque chose, il y a psychologiquement des chances pour que la question de l'enfer soit l'idée de derrière la tête de toute une génération de penseurs et de lecteurs.
Ceux qui braquent leur attention sur l'inconscient, ceux qui en étudiant la libido et les instincts sexuels espèrent résoudre les problèmes de l'existence, ces gens-làcherchent le bonheur dans les «sous-régions» où on ne le rencontre jamais. C'est seulement grâce à la raison et à la volonté (qui sont des phénomènes d'essence divine) que les êtres humains peuvent atteindre à la paix. La tragédie de notre temps, c'est le désespoir de ceux qui ont réussi : leur misère n'a point pour origine la faillite de leurs plans, mais le fait que, les ayant réalisés, ils ne trouvent pas le bonheur.
Ce Tout auquel ils aspirent (profits matériels et triomphes temporels) se métamorphose en Rien dès qu'on en a la possession. Et Rien, c'est le pôle opposé à celui de Dieu et de sa création. L'enfer, c'est le moi gorgé de ses concupiscences satisfaites, contraint de se consumer pour toujours sans espoir de délivrance.
Le monde d'aujourd'hui attend une résurrection. Les masses qui sont submergées par des pouvoirs dictatoriaux attendent qu'on casse les reins du serpent afin d'être libres d'agir de leur propre autorité, comme elles le firent lorsque notre constitution fut écrite. Car cette constitution précisait : « Nous, le peupleordonnons et établissons un gouvernement... »
De même les âmes qui sont individuellement cadenassées dans la misère de leur moi inconscient,qui opèrent au niveau subhumain du comportement animal et instinctif, ces âmes ont besoin d'une résurrection pour les arracher à la tombe où leur satiété les a placées. Elles aussi, elles aspirent à la lumière.
Il y a de la vie dans l'œuf, mais pour que cette vie en jaillisse, il faut briser la coquille. Il y a aussi de la vie dans les masses dépossédées et dans les âmes individuelles ensevelies et frustrées. Mais dans l'un et l'autre cas, la coquille doit être brisée, et brisée de l'extérieur. Il faut pour cela une Puissance qui ne soit pas humaine, qui soit divine.
Ce que chaque âme, doit se demander, est ceci : Est-ce que je veux continuer à vivre dans la coquille ou est-ce que je désire être portée à un point d'incubation spirituelle ? Ceux qui se trouvent à l'intérieur des coquilles peuvent en sortir s'ils permettent à Dieu de les libérer en écrasant la carapace d'égoïsme qui les prive de sa lumière.
C'est là une question grave. Et ceux qui refusent de prendre au sérieux les questions morales ou spirituelles finissent par prendre au sérieux ce néant qui est le domaine de l'éternel souterrain. Par contre, si nous prenons l'âme au sérieux, nous devenons capables de prendre toutes les autres choses plutôt à la légère. C'est là le commencement du bonheur, dans ce monde et dans le suivant.
Extrait de : LE CHEMIN DU BONHEUR (Mgr fultonJ. sheen)
2ème méditation proposée ce jour:
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 8,31-42.
En ce temps-là, Jésus disait à ceux des Juifs qui croyaient en lui : « Si vous demeurez fidèles à ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ;
alors vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. »
Ils lui répliquèrent : « Nous sommes la descendance d’Abraham, et nous n’avons jamais été les esclaves de personne. Comment peux-tu dire : “Vous deviendrez libres” ? »
Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : qui commet le péché est esclave du péché.
L’esclave ne demeure pas pour toujours dans la maison ; le fils, lui, y demeure pour toujours.
Si donc le Fils vous rend libres, réellement vous serez libres.
Je sais bien que vous êtes la descendance d’Abraham, et pourtant vous cherchez à me tuer, parce que ma parole ne trouve pas sa place en vous.
Je dis ce que moi, j’ai vu auprès de mon Père, et vous aussi, vous faites ce que vous avez entendu chez votre père. »
Ils lui répliquèrent : « Notre père, c’est Abraham. » Jésus leur dit : « Si vous étiez les enfants d’Abraham, vous feriez les œuvres d’Abraham.
Mais maintenant, vous cherchez à me tuer, moi, un homme qui vous ai dit la vérité que j’ai entendue de Dieu. Cela, Abraham ne l’a pas fait.
Vous, vous faites les œuvres de votre père. » Ils lui dirent : « Nous ne sommes pas nés de la prostitution ! Nous n’avons qu’un seul Père : c’est Dieu. »
Jésus leur dit : « Si Dieu était votre Père, vous m’aimeriez, car moi, c’est de Dieu que je suis sorti et que je viens. Je ne suis pas venu de moi-même ; c’est lui qui m’a envoyé. »
Par Philoxène de Mabboug
(?-v. 523), évêque en Syrie
Homélie n° 4, Sur la simplicité, 75-76 (trad. Sr Isabelle de la Source, Lire la Bible, t.1, Médiaspaul 1988, p. 48 ; cf SC 44)
Au premier appel, Abraham est sorti à la suite de Dieu.
Il ne s'est pas fait juge de la parole qui s'adressait à lui.
Son attachement pour sa famille et ses proches ne l'a pas retenu, ni l'amour de son pays et de ses amis, ni aucun autre lien humain.
Mais dès qu'il a entendu la parole et qu'il a su qu'elle était de Dieu, il l'a écoutée avec simplicité, sa foi l'a tenue pour vraie. Méprisant tout le reste, il s'est mis en route avec l'innocence de la nature qui ne cherche pas à ruser ni à faire le mal.
Il a couru vers la parole de Dieu comme un enfant court vers son père...
Dieu lui avait dit :
« Sors de ton pays et de ta famille, et viens dans le pays que je te montrerai » (Gn 12,1).
C'est pour faire triompher la foi d'Abraham et rendre éclatante sa simplicité que Dieu ne lui a pas révélé le pays où il l'appelait ; il semblait le conduire vers Canaan, et pourtant la promesse lui parlait d'un autre pays, celui de la vie qui est dans les cieux.
Saint Paul l'atteste :
-« Il attendait la ville aux fondements solides, celle dont Dieu lui-même est l'architecte et le bâtisseur » (He 11,10)...
Bien mieux, afin de nous montrer plus clairement que cette promesse ne concernait pas une patrie terrestre, Dieu, après avoir fait sortir Abraham de sa patrie, Ur des Chaldéens, ne l'a pas conduit aussitôt au pays de Canaan, il l'a fait demeurer d'abord à Harrane.
Il ne lui a pas révélé non plus tout de suite le nom du pays où il le conduisait ; Abraham ainsi ne sortirait pas de Chaldée sur le seul attrait d'une récompense.
Considère donc cette sortie d'Abraham, ô disciple, et que la tienne ressemble à la sienne !
Ne tarde pas à répondre à la voix vivante du Christ qui t'appelle.
Autrefois il ne s'adressait qu'à Abraham ; aujourd'hui, par son Évangile, il appelle tous ceux qui le veulent, il les invite à sortir à sa suite, car son appel concerne tous les hommes...
Autrefois il a choisi le seul Abraham ; aujourd'hui il demande à tous d'imiter Abraham.
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Enseignement du Seigneur aux nations par les douze Apôtres.
16. Veillez sur votre vie.
Ne laissez ni s’éteindre vos lampes ni se détendre la ceinture de vos reins, mais soyez prêts car vous ignorez l’heure où notre Seigneur viendra.
Assemblez-vous fréquemment pour rechercher ce qui intéresse vos âmes, car tout le temps de votre foi ne vous servira de rien, si au dernier moment vous n’êtes devenus parfaits.
Car aux derniers jours, on verra se multiplier les faux prophètes et les corrupteurs, les brebis se changer en loups et l’amour en haine.
Avec les progrès de l’iniquité, les hommes se haïront, se poursuivront, se trahiront les uns les autres ;
et alors paraîtra le Séducteur du monde, se donnant pour Fils de Dieu ;
il fera des signes et des prodiges, la terre sera livrée entre ses mains, et il commettra des iniquités telles qu’il n’en fut jamais commis depuis le commencement des siècles.
Alors la création des hommes entrera dans le feu de l’épreuve et beaucoup se scandaliseront et périront ;mais ceux qui auront persévéré dans leur foi seront sauvés par Celui-là même qui aura été un objet de malédiction.
Alors apparaîtront les signes de la vérité :
premier signe, les cieux ouverts ;
deuxième signe, le son de la trompette ;
le troisième signe, la résurrection des morts ;
non de tous, il est vrai, mais, selon qu’il a été dit :
Le Seigneur viendra et tous les saints avec lui.
Alors le monde verra le Seigneur venant sur les nuées du ciel.
Où nous trouver ?
Paroisse NORD-OUEST et Nord-Est
(N-D de Miséricorde):
NORMANDIE :
CHANDAI (61):
* Le Sanctuaire Marial de la
Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde
(Fresque de la Mère de Dieu entourée des Apôtres, mur Est du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
(Fresque des Sts Pères Interieur droit du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)
Messe journalières en semaine à 10h30
Tous les dimanches, Messe à 10h30 et permanence constante de prêtres pour CATÉCHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
(Liturgie de St Jacques dite "d'Antioche-Jérusalem")
Tel: 02.33.24.79.58 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
(Fresque des Sts Pères Interieur gauche du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)
* Relais Paroissial St Michel
S/ Mme H MARIE, 43 Rue de la Marne
14000 CAEN.Tel: 02.33.24.79.58
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
Le 30 de chaque mois, Permanence pastorale de 8h30 à 19h (Sur R.D.V) chez Mme Henriette Marie, 43, Rue de la Marne à CAEN. Tel 06.33.98.52.54 . (Possibilité de rencontrer un prêtre pour Catéchisme, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
NANTES:
*Groupe de prières et "relais paroissial" St Charbel
18h, Messe le 2ème jeudi de chaque mois et permanence régulière d'un prêtre Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) de 9h à 17h (06.48.84.94.89 ).
ANGOULÊME (Jauldes):
*Paroisse N-D de Toutes Grâces/St Ubald
MAISON NOTRE-DAME
LE BOURG
16560 JAULDES.
Tel:05.45.37.35.13
* Messe les 2èmes et 4èmes Dimanches de Chaque mois à 10h30 suivies d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.
* Possibilité de prendre Rendez-vous avec le prêtre la semaine suivant le 2éme dimanche du mois ainsi que pour les visites aux malades et à domicile.
Permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
PERIGUEUX (La Chapelle Faucher):
*Paroisse Notre-Dame de la Très Sainte Trinité
Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front
ERMITAGE ST COLOMBAN*
Puyroudier (Rte d'Agonac)
24530 LA CHAPELLE FAUCHER.
Tel:05.45.37.35.13
* Messe le 4ème samedi de Chaque mois à 10h30 et permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISMES, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
LOURDES:
*"Relais paroissial St Gregorios de Parumala"
* Messse le 5ème dimanche du mois ( en fonction des besoins des fidèles) à 10h30
20 Rte de Pau
CAMEROUN:
Pour obtenir les adresses du Monastère de YAOUNDE,
des paroisses et "relais paroissiaux de Doula, Yaoundé, Elig Nkouma, Mimboman, Bertoua, Monabo, veuillez les demander au Monastère Métropolitain:
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
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car le Royaume des Cieux est proche
PROGRAMME LITURGIQUE
(mis à jour ) pour Avril :
PIEUX CARÊME À VOUS !
HEUREUSE MONTÉE VERS PÂQUES !
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-PARIS: ATTENTION la "Permanence pastorale et réception des fidèles des Vendredis après-midi et Samedi matin précédent le 1er dimanche de chaque mois est en Avril 2017 reculée au Vendredi 7 et Samedi 8 Avril en raison du WE des RAMEAUX
Le Samedi 8 AVRIL
RAMASSAGE DES FIDÈLES de Paris et sa région pour le WE au Monastère à 15h au point de rendez-nous habituel .
(En mai, retour à la normale: Vendredi 5 et Samedi 6).
________________
NORMANDIE:
-CAEN: Une permanence pastorale sera assurée par le Père Isaac du 29 Avril au soir au 1 Mai au matin (prenez Rdv avec lui 07 87 11 06 03 par sms).
-LISIEUX (Coquainvillier) , le 22 Avril (En raison de la Semaine Sainte) *
-AU MONASTÈRE DE CHANDAI :
DIMANCHE 2 Avril et 7 Mai, PÈLERINAGE à N-D de MISÉRICORDE et aux Sts du Kérala.* .
DIMANCHE Des "Hosanna" (RAMEAUX)le 9Avril*
DIMANCHE de PÂQUES le 16 Avril*
Du 7 au 15 Mai, Pèlerinage Marial du "Mois de Marie".
Sanctuaires visités:
-N-D de Miséricorde,Notre-Dame de L'Epine , N-D de Houppach (Masevaux) et St Ubald (Thann/St Ubald est invoqué contre toutes influences malfaisantes), Mont St Odile, Notre-Dame de Neubois,
Notre-Dame de Thierenbach ("Route des vins"), Le 11, N-D d'Autun, - Le 12, N-D d'Espis, N-D de Toutes-Grâces et St Ubald (Vénération de la relique de St Ubald est invoqué contre toutes influences malfaisantes)
Clôture des inscriptions le 23 Avril/ Offrande estimée 300 euros.
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RETRAITE DE SEMAINE SAINTE :
du 9 au 16 AVRIL.
Retraite d'enseignement, de délivrance et de guérison intérieure à l'école du Christ Bon Pasteur, Divin Médecin.
"Confie-toi au médecin et il opérera les yeux de ton âme et de ton cœur.
Qui est ce médecin ?
C'est Dieu, qui guérit et vivifie par son Verbe et sa Sagesse."
(St Théophile D'Antioche)
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NANTES :Jeudi 6 Avril, Messe à 18h (Réception des fidèles de 9h à 17h )
ANGOULÊME (JAULDES ):
Dimanches 2 Avril * (En raison de la Retraite de SEMAINE SAINTE) et le 23 *
#PÉRIGUEUX (LA CHAPELLE FAUCHER ) :
Samedi 22 *. . .
ALSACE, SUISSE,LYONNAIS, SUD-EST :Visite pastorale (prenez Rdv ) entre le 24 (28 Messe à Belfort) et le 30, Messe dominicale à Lyon*.
#PARAY LE MONIAL - ALLIER/CHAROLAIS: Visite pastorale ( prenez Rdv ) entre le 1er Mai et le 3
*MESSES À 10H 30
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Nota bene :
Les "permanences pastorales" sont prévues pour vous assurer la proximité des sacrements
(Messes, Confessions, Onction des malades ), catéchisme, entretiens et accompagnements spirituels , prières de délivrance ( voir d'exorcismes ) ou de guérison intérieure .
(RÉCEPTION SUR RDV) en fonction de la région où vous vivez
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NOS PELERINAGES :
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Pèlerinage Marial du "Mois de Marie".
Du 7 au 15 Mai.
En chemin avec Notre-Dame et St Ubald, des
Sanctuaires d'Alsace au Sud-Ouest.
Programme et inscription, cliquez ci dessous:
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PELERINAGE DU CENTENAIRE A FATIMA
Du 7 au 16 Octobre 2017
Programme et inscription, cliquez ci dessous:
Pèlerinage Syriaque des "Chrétiens Francophones de St
Thomas" à FATIMA
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"L'avenir est dans la paix, il n'y a pas d'avenir sans paix"
(SS Ignatius Aprem II)
Note:
L'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise
Orthodoxe-Orientale.
Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité
des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien
et la paix du monde.
¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…
Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil
des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles ,
nous n'exigeons aucun fixe.
Les offrandes sont libres et non
obligatoires.
Toute offrande fait cependant l'objet d'une
déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre
revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F "
Pour l' Aumônerie Syro-Orthodoxe Francophone des Africains vivant en France, contacter les Responsables: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89 ), Métropolite et Soeur Marie-Andre M'Bezele, Moniale ( 06.17.51.25.73).
CONFIER DES INTENTIONS DE
PRIÈRE AU MONASTÈRE , C'EST
SIMPLE...
Le Moine ne rompe pas la solidarité profonde qui doit unir entre eux les frères
humains… Ils se conforment aux sentiments du Christ Tête de l'Eglise, le
"premier né d'une multitude de frères" et à Son amour pour tous les hommes…
A travers les prières monastiques, c’est toute l’Eglise qui prie et intercède pour
l’humanité.
Le savez-vous ? Chacun de vous, dans le secret de son existence, participe à cet
immense courant de prière souterraine qui irrigue le monde…
Si vous le souhaitez, vous pouvez nous confier une
intention de prière en l'envoyant à l'adresse
suivante:
Adresse du Monastère métropolitain ci-dessous :
Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.
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