The mystery of the incarnation of the Logos is the key to all the arcane symbolism and typology in the Scriptures, and in addition gives us knowledge of created things, both visible and intelligible. (St Maximus the Confessor, 200 Chapters on the Knowledge of God)
Deuxième livre des Rois 5,1-15.
En ces jours-là, Naaman, chef de l'armée du roi de Syrie, était en grande faveur auprès de son maître, et très considéré ; c'était par lui que le Seigneur avait délivré les Syriens. Mais cet homme fort et vaillant était lépreux.
Or les Syriens, étant sortis par bandes, avaient emmené captive une petite fille du pays d'Israël, qui était au service de la femme de Naaman.
Elle dit à sa maîtresse : « Oh ! Si mon seigneur était auprès du prophète qui est à Samarie, le prophète le délivrerait de sa lèpre. »
Naaman vint rapporter ce propos à son maître, en disant : « La jeune fille du pays d'Israël a parlé de telle et telle manière. »
Et le roi de Syrie dit : « Va, et j'enverrai une lettre au roi d'Israël. » Il partit, prenant avec lui dix talents d'argent, six mille sicles d'or et dix vêtements de rechange.
Il porta au roi d'Israël la lettre où il était dit : « Or donc, quand cette lettre te sera parvenue, voici que tu sauras que je t'envoie Naaman, mon serviteur, pour que tu le délivres de sa lèpre. »
Après avoir lu la lettre, le roi d'Israël déchira ses vêtements et dit : « Suis-je un dieu, capable de faire mourir et de faire vivre, qu'il envoie vers moi pour que je délivre un homme de sa lèpre ? Sachez donc et voyez qu'il me cherche querelle. »
Lorsqu'Elisée, homme de Dieu, apprit que le roi d'Israël avait déchiré ses vêtements, il envoya dire au roi : « Pourquoi as-tu déchiré tes vêtements ? Qu'il vienne donc à moi, et il saura qu'il y a un prophète en Israël. »
Naaman vint avec ses chevaux et son char, et il s'arrêta à la porte de la maison d'Elisée.
Elisée lui envoya un messager pour lui dire : « Va, et lave-toi sept fois dans le Jourdain ; ta chair te reviendra, et tu seras pur. »
Naaman fut irrité, et il s'en alla, en disant : « Voici que je me disais : Il sortira vers moi, il se présentera lui-même, il invoquera le nom de Yahweh, son Dieu, il agitera sa main sur la plaie et délivrera le lépreux.
Les fleuves de Damas, l'Abana et le Pharphar, ne valent-ils pas mieux que toutes les eaux d'Israël ? Ne pourrais-je pas m'y laver et devenir pur ? » Et se tournant, il s'en allait en colère.
Ses serviteurs s'approchèrent pour lui parler, et ils dirent : « Mon père, si le prophète t'avait demandé quelque chose de difficile, ne l'aurais-tu pas fait ? Combien plus dois-tu lui obéir, quand il t'a dit : Lave-toi, et tu seras pur ? »
Il descendit et se plongea sept fois dans le Jourdain, selon la parole de l'homme de Dieu ; et sa chair redevint comme la chair d'un petit enfant, et il fut purifié.
Naaman retourna vers l'homme de Dieu, avec toute sa suite. Quand il fut arrivé, il se présenta devant lui et dit : « Voici donc que je sais qu'il n'y a point de Dieu sur toute la terre, si ce n'est en Israël. Et maintenant, accepte donc un présent de la part de ton serviteur. »
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 4,23-30.
En ce temps-là, Jésus dit aux pharisiens : "Sans doute, vous m'appliquerez ce proverbe : Médecin, guéris-toi toi-même ; et vous me direz : Toutes les grandes choses que nous avons appris que vous avez faites à Capharnaüm, faites-les ici dans votre patrie."
Et il dit : " En vérité, je vous le dis, aucun prophète n'est en faveur dans sa patrie.
Je vous le dis, en vérité, il y avait beaucoup de veuves en Israël aux jours d'Elie, lorsque le ciel fut fermé pendant trois ans et six mois, quand il y eut une grande famine sur toute la terre ;
et Elie ne fut envoyé vers aucune d'elles, mais à Sarepta de Sidon, vers une femme veuve.
Et il y avait beaucoup de lépreux en Israël au temps du prophète Elisée ; et aucun d'eux ne fut guéri, mais Naaman le Syrien. "
En entendant cela, ils furent tous remplis de colère dans la synagogue,
et s'étant levés, ils le poussèrent hors de la ville, et le menèrent jusqu'au sommet de la montagne, sur laquelle leur ville était bâtie, pour le précipiter.
Mais lui, passant au milieu d'eux, s'en alla.
Par Saint Ambroise (v. 340-397), évêque de Milan et docteur de l'Église
Des Sacrements, 1 (trad. Brésard 2000 ans C, p. 244 rev.)
Tu t'es approché, tu as vu la fontaine baptismale, tu as vu aussi l'évêque près de la fontaine.
Et sans doute est-il tombé dans ton âme la même pensée qui s'est insinuée en celle de Naaman, le Syrien. Car, bien qu'il ait été purifié, il avait cependant douté d'abord...
Je crains que quelqu'un ait dit :
« C'est tout ? »
Oui, c'est vraiment tout : là est toute innocence, toute piété, toute grâce, toute sainteté.
Tu as vu ce que tu as pu voir des yeux de ton corps...; ce qu'on ne voit pas est bien plus grand..., car ce qu'on ne voit pas est éternel...
Quoi de plus étonnant que la traversée de la Mer Rouge par les Israélites, pour ne parler à présent que du baptême ?
Et pourtant ceux qui l'ont traversé sont tous morts dans le désert.
Au contraire, celui qui traverse la fontaine baptismale, c'est-à-dire celui qui passe des biens terrestres à ceux du ciel..., ne meurt pas mais ressuscite.
Naaman était lépreux...
À son arrivée, le prophète lui a dit :
« Va, descends dans le Jourdain, baigne-toi et tu seras guéri. » Il s'est mis à réfléchir en lui-même et s'est dit :
« C'est tout ?
Je suis venu de Syrie jusqu'en Judée et on me dit : Va au Jourdain, baigne-toi et tu seras guéri.
Comme s'il n'y avait pas des fleuves meilleurs dans mon pays ! »
Ses serviteurs lui disent :
« Maître, pourquoi ne fais-tu pas ce que dit le prophète ? Fais-le plutôt et essaie. »
Alors il s'est rendu au Jourdain, s'est baigné et en est sorti guéri.
Qu'est-ce que cela signifie ?
Tu as vu de l'eau, mais toute eau ne guérit pas ; par contre, l'eau qui a la grâce du Christ guérit.
Il y a une différence entre l'élément et la sanctification, entre l'acte et l'efficacité.
L'acte s'accomplit avec de l'eau, mais l'efficacité vient de l'Esprit Saint.
L'eau ne guérit pas si l'Esprit Saint n'est descendu et n'a consacré cette eau.
Tu as lu que lorsque notre Seigneur Jésus Christ a institué le rite du baptême, il est venu à Jean et celui-ci lui a dit :
« C'est moi qui dois être baptisé par toi, et c'est toi qui viens à moi ? » (Mt 3,14)...
Le Christ est descendu ; Jean qui baptisait était à ses côtés ; et voici que, telle une colombe, descendit l'Esprit Saint...
Pourquoi le Christ est-il descendu le premier et ensuite l'Esprit Saint ? Pour quelle raison ?
Pour que le Seigneur ne paraisse pas avoir besoin du sacrement de la sanctification : c'est lui qui sanctifie, et c'est aussi l'Esprit qui sanctifie.
Maintenant, ô homme, vous n'avez plus sujet de vous effrayer de vous-même. Une main divine a saisi vos iniquités et les a jetées plus loin de vous qu'il n'y a de l'Orient à l'Occident. Non, ne cherchez plus en vous-même le péché ancien et ses vestiges ; car c'est moi qui l'ai détruit, dit le Seigneur. Il n'y en a pas plus de traces en vous qu'il n'y a de trace au firmament ou du nuage que les vents emportent ou de la vapeur qui s'évanouit au soleil. Mais qu'est devenue cette corruption qui défigurait l'âme et la rendait si difforme aux yeux de Dieu et à ses propres yeux ? Ah ! l'Esprit de J.-C., l'Esprit Créateur a saisi toutes les puissances de l'âme, il les a fondues dans ses propres feux comme l'or dans la fournaise. Il en a rejeté l'alliage impur qui la déshonorait. Il s'est comme mêlé lui-même avec son être. Il l'a pénétré en tous sens de sa vie et, par cette communication ineffable de soi-même, il en a fait cette créature nouvelle dont parle l'apôtre, in Christo nova creatura, pure de sa pureté, sainte de sa sainteté, méconnaissable à ses propres regards, tant elle a cessé d'être ce qu'elle était, et digne de servir de spectacle et aux hommes et aux anges et à Dieu même. O puissance de J.-C., que vous êtes admirable ! O création des cœurs, que vous êtes divine ! »
M. l'Abbé Charles de Place (1804-1871), Chanoine Archiprêtre de N.-D. de Paris, Jésus-Christ, sa divinité, son caractère, son œuvre et son Cœur, Conférences (Ch. X, IIe P.), Paris, A. Durand et Pedone Lauriel, 1875.
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“No matter what provokes it, anger blinds the soul’s eyes, preventing it from seeing the Sun of Righteousness.” ( St. John Cassian)
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En fait, j’avais une clé, sans le savoir. Je l’ai dit mille fois aux hospitaliers de Lourdes : « L’hospitalier ne puise pas dans ses réserves quand il est au service, quand il délivre un sourire, quand il échange un regard, quand il a une parole de consolation. Tout au contraire, il refait ses forces et sa santé. »
Le service et le don de soi ne sont pas les derniers actes qu’on pose quand on a déjà fait tout le reste — la prière, le travail, que sais-je encore —, quand on est établi dans la vie chrétienne, débordant de ressources. C’est tout le contraire. D’abord, sortir de soi, dans le service, dans le geste du soin, dans la relation d’amitié. Être avec les autres et pour les autres. « L’amour pour les gens est une force spirituelle qui permet la rencontre totale avec Dieu *», écrit le pape François dans son exhortation La joie de l’Évangile. L’amour rend force. L’amour rend foi.
Le chrétien n’est pas missionnaire parce que croyant ; il est plus souvent croyant parce que missionnaire. Ou serviteur. La mission est chemin par excellence de la rencontre de Dieu. Le missionnaire se nourrit de se donner. Il se reçoit quand il s’abandonne. « Car celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie à cause de moi la sauvera. »**
** Évangile selon saint Luc, chapitre 9, verset 24.(Source!:Carême dans la Ville)
29 février :
Saint JEAN CASSIEN,
choisi par Dieu pour apporter l'éclairage du monachisme oriental à l'Occident
En toi, vénérable Père, la divine Image se reflète exactement: * afin de lui ressembler, tu as pris ta croix et tu as suivi le Christ; * et par ta vie tu nous apprends à mépriser la chair, qui passe et disparaît, * pour s'occuper plutôt de l'âme qui vit jusqu'en la mort et par-delà; * c'est ainsi que ton esprit se réjouit, * bienheureux Cassien, avec les Anges dans le ciel.
Désireux des biens suprêmes, Père saint, * tu t'es uni aux êtres d'en-haut; * par la divine élévation de tes vertus, * tu as fait de ton âme un char de feu; * Cassien, toi qui sur terre as vécu comme un Ange, * tu fus agréable au Créateur de l'univers.
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St. Onesimus
On this day also St. Onesimus, the disciple of St. Paul, was martyred. This saint was a slave for a man from Rome called Philemon who believed at the hands of St. Paul, when he heard his preaching in Rome.
Philemon departed from Rome on a business trip and took with him Onesimus among others of his servants. There the devil enticed Onesimus, so he stole money from his master and fled to Rome. According to the Divine Will, Onesimus attended the preaching of St. Paul, which he kept in his heart. He believed at the hand of St. Paul and his heart was filled with the grace and the fear of God. He remembered what he stole from his master and from others and since he did not have anything left from the stolen money to return to its rightful owners, he was sorrowful and told St. Paul about that.
St. Paul comforted him and wrote an epistle to Onesimus' master, Philemon, informing him in it, that Onesimus became a follower of Christ saying, "I appeal to you for my son Onesimus, whom I have begotten while in my chains." St. Paul asked him to treat him gently and not to mind what he did but to consider what he lost as owed by the apostle.
When Onesimus took the epistle to his master Philemon, he was pleased by his faith and repentance and treated him as the apostle commanded. Furthermore, he offered him more money but St. Onesimus refused saying, "I am rich with Christ." Then he bid Philemon farewell and returned to Rome.
St. Onesimus continued to serve St. Paul until his martyrdom and deserved to be ordained a priest. After the martyrdom of St. Paul, the governor of Rome seized him and exiled him to one of the islands. He remained there preaching and baptizing the people of the island. When the governor came to the island, he found him guiding the people to the belief in the Lord Christ. He was beaten severely and his legs were broken. He departed in peace.
His prayers be with us. Amen.
EN VRAC...ELEMENTS POUR VOTRE
REFLEXION PERSONNELLE...
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“They have been sentenced for contempt of Islam and inciting sectarian strife,” explained defense lawyer Maher Naguib. “The judge didn’t show any mercy. He handed down the maximum punishment.”
Blasphemy laws still exist in Egypt. Article 98 describes the punishment:
Confinement for a period of not less than six months and not exceeding five years, or a fine of not less than five hundred pounds and not exceeding one thousands pounds shall be the penalty inflicted on whoever make use of religion in propagating, either by words, in writing, or in any other means, extreme ideas for the purpose of inciting strife, ridiculing or insulting a heavenly religion or a sect following it, or damaging national unity.
Naguib said the teens meant to “mock the beheadings carried out by ISIS (Islamic State) militants.”
The three boys sentenced to jail were between 15 and 17 years old when they shot the video. The judge sentenced a fourth boy, 15, to serve time in a juvenile detention center.
Their neighbors discovered the footage and handed it over to the police. Coptic Christians condemned the arrests.
“They are some kids who decided to have fun in a private place,” stated Mina Thabet, a Coptic activist and researcher at the Egyptian Commission for Rights and Freedoms. “They were on a trip with their teacher, but somehow rumor got out that they’d thrown down the Koran, and had insulted Islam, so that led to their arrests.”
The police had arrested the Coptic teacher and held him for four days, but the mob nonetheless demanded more punishment, descending upon the children’s homes and “[throwing] rocks at the homes of the youth in a bid to force their parents” to surrender the kids.
“The case of the five arrested in Minya and charged with blasphemy represents yet another case of how Egypt continues to bend to the weight of extremist ideology,” said Todd Daniels, the Middle East regional manager for International Christian Concern:
A video – not even shared publicly – that mocked ISIS, a group that openly beheaded twenty Egyptian citizens, has already put these five in prison and may lead to lengthy prison sentences. Despite progress in terms of rhetoric from [Egyptian] President [Abdel Fattah el-Sisi], Egypt has pervasive persecution that continues to occur not only on the societal level but also in the judiciary.
In 2014, Egyptian President Abdel Fattah al-Sisi became the first leader to attend Christmas Eve Mass. He attended the service at St. Mark’s Cathedral in Cairo.
“It’s important for the world to see this scene, which reflects true Egyptian unity, and to confirm that we’re all Egyptians, first and foremost,” he claimed at the time. “We truly love each other without discrimination, because this is the Egyptian truth.”
He also attended Mass last month, where he pledged to rebuild churches destroyed by the Muslim Brotherhood in 2013 after the military ousted President Mohamed Morsi.
In December, leaders of Egypt’s Coptic community attended a UN minority rights forum in Geneva, where they condemned the country’s blasphemy law. Medhat Kelada, head of the European Coptic Organizations Union, insists the law “badly exploited against the Copts.”
Leaders, nonetheless, praised Sisi for protecting them from the Muslim Brotherhood. Coptic Orthodox Pope Tawadros considers the president a “hero.” Some insist, however, that the government will not completely change. “Sisi is conservative. He doesn’t care about religious freedom,” said Thabet.
28 / 02 / 2016
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METTRE UN TERME AU GENOCIDE DES CHRETIENS D'ORIENT
Voici l’appel que la philosophe Sophia Kuby a lancé dans les colonnes du journal de l’Église catholique allemande katholisch.de :
« Le prétendu État Islamique tue, viole, torture, et réduit en esclavage toujours plus de monde en Syrie et en Irak et la communauté internationale voit cela et continue à rester passive. Nous vivons aujourd’hui un exode historique de toutes les minorités du Proche Orient et pourtant l’action tarde à prendre corps : « Réveillez vous ! », s’est exclamé le père Bazi d’Erbil, en Irak, la semaine dernière quand il était devant le parlement européen.
Il faut reconnaitre que là-bas et ailleurs des actes commencent à émerger : le 27 janvier les 47 Etats membres du Conseil de l’Europe ont reconnu que les monstruosités commises par ISIS constituaient un génocide. Peu de temps après, une résolution a été prise au parlement européen et qui dit les choses de manière suffisamment claire : Les chrétiens, les yézidis et les autres minorités ethniques et religieuses sont persécutés de manière systématique. Ce qui se traduit par un nom que l’immense majorité des parlementaires a reconnu : c’est un génocide, c’est-à-dire l’extermination d’un peuple, qui a lieu en Orient.
« Génocide » : il s’agit du concept le plus puissant qu’offre le droit international pour évoquer ce genre de meurtres de masses systématisés. On ne parlait jusqu’alors que de crimes contre l’humanité et d’épuration ethnique : des concepts proches mais pas aussi vastes et englobants que le terme génocide, qui inclut toutes ces dimensions dans l’horreur. Que ce soit au Rwanda ou au Kosovo, c’est le fait de nommer le génocide en tant que tel qui avait permis à la communauté internationale de s’entendre pour agir : « les mots comptes ! », s’est exclamé le député suédois à l’origine de la résolution, Lars Adaktusson, devant l’assemblée plénière.
Ce sujet est maintenant abordé de manière brûlante dans la chambre des Lords en Grande Bretagne. De nombreux Lords ont écrit la semaine dernière un appel enflammé à leur premier ministre, pour faire en sorte qu’il agisse au niveau de l’ONU pour mettre un terme à ce massacre abominable. Le congrès américain a lui aussi adopté une résolution de la sorte et fin décembre Hilary Clinton évoquait le génocide chrétien qui a lieu en Syrie et en Irak.
Un consensus international semble enfin intervenir, lentement et bien tard, mais absolument nécessaire. Le patriarche catholique chaldéen de Babylone, Louis Sako, appelait début février le président du parlement européen Martin Schulz dans une lettre ouverte à faire « tout ce qu’[il peut] pour arrêter ce génocide avant qu’il soit achevé ». Prions pour que la communauté internationale et tout particulièrement s’engagent enfin véritablement dans cette direction pour que puisse perdurer l’une des plus anciennes civilisations du monde et que nos frères et sœurs chrétiens ne soient plus massacrés et persécutés de manières abominables. »
(Source Aleteia/Traduit de l’allemand par Jules Germain .)
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- Icon was discovered two months ago in Bethlehem's Church of the Nativity
- It is said to be centuries-old and of 'great religious and historical value'
- Images have not yet been released and it's not known what icon shows
- Find coincides with the church's renovation, which has restored mosaics
Renovations at Bethlehem's Church of the Nativity, said to be built on the site where Jesus was born, have uncovered a mysterious icon of 'great religious and historical value'.
The work began after water started pouring into the church two years ago and the religious painting was unearthed during the first phase of its restoration.
So far, no images of the holy artefact have been released as experts analyse just how important it is, but they said the icon includes brass, silver, shells and stones.
Renovations at Bethlehem's Church of the Nativity (pictured), said to be built on the site where Jesus was born, have uncovered a mysterious icon of 'great religious and historical value'. The work began after water started pouring into the church and the painting was unearthed during the first phase of restoration
Religious icons are typically paintings that depict Christ, Mary, saints or angels, which are venerated by some Christians.
But it's not known whom the mysterious icon discovered depicts, how old it is, the scene it shows or if it contains a painting at all.
MailOnline has contacted the renovators and Unesco for more information.
Ziad al-Bandak, a Palestinian presidential adviser for Christian Affairs, told the Ma'an news agency that the icon was discovered near a window under plaster almost two months ago.
Religious icons (example shown) are typically paintings that depict Christ, Mary, saints or angels, which are venerated by some Christians
It has now been repaired, but is not yet ready for public viewing, the Times of Israel reported.
For two years, experts have laboured to restore the historic building in the West Bank and the priceless works of art inside, and now the initial phase of a delicate restoration project is complete.
The Church of the Nativity in Bethlehem, was built by Saint Helena in the 4th century over the grotto where the Virgin Mary is said to have given birth to Jesus.
The renovation project, partially funded by the Palestinian Authority and conducted by a team of Palestinian and international experts, is the biggest restoration at the iconic church in some 600 years.
Al-Bandak said nearly $8 million (£6 million) has already been spent on the ambitious project.
The removal of centuries of dust has left Crusader-era mosaics sparkling in sunlight filtering through brand new windows and led to new discoveries, such as the icon.
Structural repairs on the fragile rooftop and windows have been completed and art treasures have been put back in their places.
Although the Palestinians are overwhelmingly Muslim, they consider the church a national treasure and one of their most visited tourist sites, and President Mahmoud Abbas has been actively involved in the project.
Al-Bandak, who is leading the Palestinian committee in charge of the restoration, called what has been accomplished so far nothing short of 'revolutionary.'
For two years, experts have laboured to restore the historic building in the West Bank and the priceless works of art inside and now the initial phase of a delicate restoration project is complete. A restored mosaic is shown
The removal of centuries of dust has left Crusader-era mosaics sparkling in sunlight (pictured) filtering through brand new windows and led to new discoveries, such as the icon
'For the first time you can see, when you go up, mosaics really magnificent and beautiful and unique in the whole world,' he said.
Despite the Church of the Nativity's spiritual significance, it was neglected for centuries and is listed as endangered by Unesco, the United Nations cultural agency.
But over the past two years, specialists have replaced the most damaged of the ancient wood beams of the rooftop and put up a new cover.
They also installed new wooden framed windows that prevent water infiltration.
For the first time in almost 1,000 years the thousands of fine mosaics' tiles have been retouched.
The renovation project (pictured), partially funded by the Palestinian Authority and conducted by a team of Palestinian and international experts, is the biggest restoration at the iconic church in some 600 years
But over the past two years, specialists have replaced the most damaged of the ancient wood beams of the rooftop and put up a new cover. The roof of the old church is shown above
Mimmo Nucatolo, who heads the Italian team restoring the mosaics, called the gold, green and pastel artworks 'a unique example' made by skilled mosaicists at the end of the Crusader period.
The Crusades were a series of intermittent military campaigns in the years from 1096 to 1487, sanctioned by various Popes.
They were in such a bad way, they almost disappeared from sight, he said.
'From underneath you could no longer see the colours, so much so that some people were wondering "Do we really have mosaics in this church?"'
While experts are still carrying out work 32ft (10 metres) above ground, visitors and pilgrims will have to wait until the end of 2016 before being able to admire the winged creatures and brightly coloured mosaics that have been brought back to rare brilliance.
After completing the mosaics in the central nave, specialists are now renovating those in other areas of the church, working on wall plastering, restoring the external stone facade and repairing the wooden beams.
It is hoped scaffolding will come down by the end of the year and there are plans to install a microclimate system to control sunlight, temperature and humidity in the church, as well as new lights and a smoke detection system, according to project manager Afif Tweme.
Mimmo Nucatolo, who heads the Italian team restoring the mosaics, called the gold, green and pastel artworks 'a unique example' made by skilled mosaicists at the end of the Crusader period. One is shown above
The mosaics were in such a bad way, they almost disappeared from sight However, now workers have revealed the vivid colours of the beautiful mosaics (pictured) no longer under threat from damp
The completion of the first phase of the restoration (mosaic shown) is already a source of pride
The Roman Catholic, Greek Orthodox and Armenian churches share ownership of the church, and run it according to a 19th-century agreement that assigns responsibilities for upkeep that are jealously guarded by each denomination.
The churches have traditionally viewed each other with suspicion and have had fraught relations.
But al-Bandak said they have all been 'very cooperative' throughout the restoration, even allowing access to the church in the dead of night to facilitate the work of experts.
The full restoration will continue in phases and is expected to take at least another three years.
Additional projects will include work on stone capitals and columns as well as on the ancient floor mosaics currently covered by stone flooring.
However, the work will depend on the availability of funds.
Al-Bandak said an additional $11 million (£8 million) is needed and the Palestinian Authority has already launched a campaign to raise the funds.
'He [President Abbas] told me from the beginning: 'Even if you don't have all the money to go ahead, start. This is a holy place and money will come.'
The completion of the first phase is already a source of pride.
'We are very proud of it because when we protect our national heritage, our history, we protect our future,' al-Bandak added.
Al-Bandak said: 'He [President Abbas] told me from the beginning: "Even if you don't have all the money to go ahead, start. This is a holy place and money will come." This image shows the restoration in progress
(Source :Mail Oneline)
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UN MOYEN-ORIENT DEBARASSE DE DAEC ?...SENARIOS...
La première partie de l’analyse d’Olivier Hanne : « Les risques d’un monde « post-Daesh » » est à retrouver ici.
- Quelle politique envers les anciens membres de Daech ?
Ceux des terroristes qui ne pourront rentrer formeront – comme Al-Qaeda en son temps – des brigades de combattants apatrides, obsédés du djihad, et passeront d’un théâtre à l’autre. Dans cette perspective, on peut craindre un renforcement des groupes terroristes au Sahel, en Libye, en Afghanistan. Face à de tels risques, les organisations internationales et les gouvernements auront à envisager l’hypothèse d’amnisties, afin d’offrir une voie de sortie honorable aux daechistes les moins compromis. Ces amnisties pourront être décidées par les gouvernements nationaux, et validées ensuite par la justice internationale.
À partir de quels modèles peut-on suggérer ces amnisties ? L’histoire récente nous en fournis deux : le modèle étatique algérien de 2005 et le modèle rwandais des années 1996-1998. Dans le premier cas, l’État désarme les combattants, assure leur procès et une sanction forte, tout en leur offrant la vie sauve. Ce modèle autoritaire se fonde sur la crainte. Dans le cas de la Syrie et de l’Irak, l’État a été trop perçu comme oppressif pour reproduire le modèle algérien. Le modèle rwandais est double : il part du bas, c’est-à-dire des communautés villageoises qui réconcilient les génocidaires avec lesquels les victimes vivent au quotidien ; il s’accompagne de procès contre les organisateurs du génocide, justice assurée de l’extérieur par un tribunal pénal international. Dans le cas de la Syrie et de l’Irak, la dimension communautaire de la réconciliation semble une voie conforme aux structures sociales, mais l’ingérence de la justice internationale serait trop mal perçue pour être reproduite.
Concernant la Syrie et l’Irak, les processus de déradicalisation, souvent envisagés en Europe, semblent coûteux et peu efficaces. Au contraire, en respectant les mentalités locales, les axes de réintégration des simples combattants arrêtés pourraient consister en une condamnation symbolique, un retour rapide dans les villages d’origine, où la communauté locale serait garante auprès de l’État de la réintégration professionnelle, religieuse et politique de la personne.
Dans le cas des combattants étrangers, la question est différente : le djihadisme international aggrave la violence des mouvements terroristes, la déconnexion entre les étrangers et le contexte local dans lequel ils se battent démultiplie l’ultra-violence et le sentiment d’impunité. Que faire de ces individus hors de contrôle ? En les renvoyant dans leur pays d’origine (Maghreb, Asie centrale), et en les laissant à la justice de celui-ci, le monde peut être assuré qu’ils seront mis hors d’état de nuire. Mais pour tous ceux qui viennent d’Europe ? Quelle peine exemplaire leur sera réservée ?
- Quelles sont les données du Moyen-Orient « post-Daesh » ?
La fin de Daesh ne signera pas la fin de l’instabilité dans la région dès lors que les causes profondes qui ont créé l’organisation ne seront pas traitées. En effet, l’État islamique s’est nourri de phénomènes géopolitiques connus et anciens. Il est à craindre que les problèmes non traités après les opérations militaires réapparaissent sous une autre forme.
Les données géopolitiques identifiables accompagnant l’après-Daesh sont, de toute évidence au nombre de cinq :
1- Le départ de Bachar al-Assad, sous forme violente ou négociée, est probable. Sous forme violente, il conduira à des débordements contre la minorité alaouite déjà saignée par la guerre. Sous forme négociée, il peut permettre une stabilisation, à condition que le président sorte par le haut, et ses soutiens avec lui.
2- Le ressentiment chez les Arabes sunnites, victimes de la sidération collective liée à Daesh et à leur position de victimes permanentes (bombardements massifs russes, exactions d’Al-Assad, frappes occidentales…). Ils soutiendront tout mouvement leur redonnant une place, soit dans les frontières de leur État, soit dans un nouveau cadre institutionnel.
3- Le rôle des Kurdes sera accru dans toute la région, dégénérant sur un conflit de longue durée avec la Turquie, mais aussi avec les Arabes sunnites, notamment dans la plaine de Ninive, sur les frontières du Kurdistan irakien et dans le Rojava (territoires kurdes de Syrie). Des formes de nettoyage ethnique se sont déjà produites et sont à craindre.
4- Le rôle accru des milices chiites dans la vie politique irakienne, à la manière du Hezbollah libanais. Ces milices, si elles s’unissent, pourront aggraver les tensions entre Bagdad et Riyad.
5- L’avenir des chrétiens d’Orient est hypothéqué.
- Les crises potentielles du Moyen-Orient « post-Daesh »
Les crises les plus probables qui accompagneront la nouvelle configuration politique post-Daesh peuvent être évoquées à travers deux scénarios, forcément caricaturaux.
Scénario n° 1 : Les Kurdes en Irak et Syrie, et le gouvernement chiite irakien sortent grands vainqueurs de la conflagration, tandis que les sunnites irakiens sont stigmatisés pour avoir collaboré avec l’organisation terroriste, tout comme une partie des sunnites syriens qui, en outre, ont vécu le drame de l’exil. Dans la plaine de Ninive, la vallée du Tigre et autour de Hassaka, les rétorsions se multiplient, qu’elles soient menées par les Kurdes (occurrences limitées) ou les milices chiites (plus fréquent, exécutions sommaires, destruction de maisons). La Turquie et la Syrie s’affrontent pour le contrôle du Rojava, qui a gagné son autonomie. Pourtant, les deux entités étatiques irakienne et syrienne se maintiennent. La Russie et l’Iran sont désormais les puissances les plus influentes en Syrie, tandis qu’une concurrence grandit en Irak entre Washington et Téhéran.
Scénario n° 2 : La balkanisation est en cours, comme en 1925, mais échappe totalement aux anciens projets de Grand Moyen-Orient des États-Unis. La partition a permis à la France et aux États-Unis de revenir en force dans la région, notamment dans les États kurdes. L’influence des États salafistes n’a jamais été aussi forte dans les zones sunnites, dont ils assurent la reconstruction. Les tensions entre Kurdes (Rojava, Kurdistan) et Turcs sont fortes. Les espaces sunnites irako-syriens – autrefois associés dans l’Histoire – cherchent à s’unifier, mais la définition des frontières ne cesse de poser des problèmes internationaux. Cette balkanisation met la région dans les mains des puissances extérieures, qu’elles soient mondiales (Russie, États-Unis, France) ou régionales (Arabie Saoudite, Iran, Turquie).
- La question du positionnement américain
Mais l’avenir en Syrie et en Irak ne pourra se faire sans les États-Unis, malgré l’omniprésence russe depuis août 2015. Or, le 15 novembre 2015, l’Institute for the Study of War, le principal think-tank universitaire américain appuyant par ses rapports la politique des États-Unis au Moyen-Orient, publiait les éléments pour une nouvelle stratégie américaine dans la région.
Le document fait preuve d’un certain réalisme concernant l’avenir, notamment à l’égard des Kurdes :
Ne pas se fier aux forces kurdes pour une reprise rapide au-delà de leur frontière ethnique (…).
Mais d’autres passages indiquent que les États-Unis se préparent, après la prochaine élection présidentielle, à des tactiques militaires dures, proches de celles des Russes, ne pouvant qu’accentuer les traumatismes des populations et l’échec de la paix :
Il faut cesser de prendre des gants contre l’EI en Irak et Syrie, ajuster les règles d’engagement pour accepter le risque de dommages collatéraux, frapper toutes les cibles de l’EI qui sont sur nos listes, et faire un maximum de dommages possible par les airs et rapidement (…).
Si ce think tank – qui n’est pas un institut de recherche neutre – parvient à influencer la campagne électorale américaine, une crise est déjà à craindre avec la Russie :
Il faut tout faire pour retirer le régime d’Assad du pouvoir, et pas seulement Assad (…). Il faut rejeter les Russes de Syrie.
États-Unis et Russie ont donc déjà basculé dans le monde « post-Daech », un monde qui s’annonce sans pitié pour les populations du Moyen-Orient et guère enthousiasmant sur le plan des libertés. En revanche, dans cette reconfiguration dramatique, la France a de toute évidence un rôle à jouer comme puissance intermédiaire et relais diplomatique.(Source : Aleteia)
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Ne l'oublions pas ! Prions sans relâche pour sa libération et celle de son Confrère ...
"A person who, knowing what faults he has committed, willingly and with due thankfulness endures the trials painfully inflicted on him as a consequence of these faults, is not exiled from grace or from his state of virtue; for he submits willingly and pays off his debts by accepting the trials. In this way, while remaining in a state of grace and virtue, he pays tribute not only with his enforced sufferings, which have arisen out of the impassioned side of his nature, but also with his mental assent to these sufferings, accepting them as his due on account of his former offenses. Through true worship, by which I mean a humble disposition, he offers to God the correction of his offenses." (St. Maximos the Confessor (The Philokalia Vol. 2; Faber and Faber pg. 285))
Programme des prochaines semaines au Monastère Syriaque de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Miséricorde:
Program in the coming weeks
Syriac Monastery of the Blessed Virgin Mary, Mother of Mercy:
*Dimanche 6 Mars,
Pèlerinage mensuel à N-D de Miséricorde
Messe à 10h30,.Repas fraternel et réception des fidèles de 13h30 à 17h30.
* Sunday, March 6,
monthly pilgrimage to N-D Mercy
Mass at 10:30 .Repas brotherly reception and loyal 13:30 to 17:30.
*20 Mars :
RAMEAUX (Dimanche des Hosanna) Bénédiction solennelle des rameaux et Messe à 10h30,.Repas fraternel et réception des fidèles de 13h30 à 17h30.
* March 20:
PALM (Sunday Hosanna) Solemn Blessing of the Palms, Mass at 10:30 .Repas brotherly reception and loyal 13:30 to 17:30.
RETRAITE DE SEMAINE SAINTE des Rameaux au lundi de Pâques.
(Période popice pour les préparation au Baptêmes et receptions dans l'Eglise par Chrismation.)
RETRAITE DE SEMAINE SAINTE AU MONASTERE SYRIAQUE
Pour une guérison et une unification totale de l'homme en chemin vers le Père par le Christ Rédempteur notre Divin Médecin et dans la Grâce du St Esprit
INSCRIVEZ-VOUS !...
Inscrivez-vous pour suivre au plus près le Christ, divin Médecin de nos Esprits,de nos âmes et de nos corps pour vous laisser guérir par Lui !...
RETIREMENT OF HOLY WEEK Palm Sunday to Easter Monday.
SIGN UP! ...
Sign up to follow closely the Christ, Divine Physician of our spirits, our souls and our bodies to let you heal Him! ...
*25 Mars:
Vendredi Saint, 15 h Office Liturgique Syriaque de la Crucifixion...
* March 25:
Holy Friday, 15h Syriac Liturgical Service of the Crucifixion ...
*26 Mars :
Samedi Saint: 21h , Bénédiction du feu nouveau et Veillée pascale au rythme des Services Liturgiques Syriaques, Messe de la Résurection de Notre-Seigneur.
* March 26:
Holy Saturday: 21h, Blessing of the New Fire and Vigil at the whim of Liturgical Services Syriacs, Mass of the Resurrection of Our Lord.
*27 Mars :
PÂQUES, Messe à 10h30,.Repas fraternel et réception des fidèles de 13h30 à 17h30.
* March 27:
EASTER Mass at 10:30 .Repas brotherly reception and loyal 13:30 to 17:30.
*Lundi 28 Mars:
PELERINAGE A LA CROIX GLORIEUSE
Messe à 7h au Monastère, départ pour Lisieux.Prières à Lisieux en matinée et déjeuner sur place.
Procession et Prières à la Croix Glorieuse de Dozulé dans l'après-midi.
Retour au Monastère vers 19h.
* Monday, March 28:
PILGRIMAGE TO THE GLORIOUS CROSS
Mass at 7 am at the Monastery, departure for Lisieux.Prières to Lisieux in the morning and lunch.
Procession and Prayers to the Glorious Cross of Dozulé in the afternoon.
Back at the monastery around 19h.
*Pèlerinage à Argenteuil:ou
LA SAINTE TUNIQUE
SERA EXPOSEE
du 25 mars au 10 avril 2016
*Lundi 4 Avril, Pèlerinage des Chrétiens Syro-Orthodoxes de Saint Thomas,
SOYEZ TOUS PRESENTS,
INSCRIVEZ-VOUS DES MAINTENANT !
Inscriptions:
Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonées)
Adresse courriels: asstradsyrfr@laposte.net
Note:
l'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise
Orthodoxe-Orientale.
Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité
des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien
et la paix du monde.
Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil
des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles ,
nous n'exigeons aucun fixe.
Les offrandes sont libres et non
obligatoires.
Toute offrande fait cependant l'objet d'une
déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre
revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F "
Pour
PARIS ET SA REGION :
(Messes épisodiques.
RAMASSAGE DES FIDELES
pour le Weekend de Pèlerinage en Normandie à N-D de Miséricorde
tous les samedis précédent le 1er dimanche du mois à 15h,
Place du Chatelet
RETRAITE DE SEMAINE SAINTE AU MONASTERE SYRIAQUE
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