Saint Ubaldo, issu d'une famille noble, naquit à Gubbio, ville de l'État ecclésiastique. Il fut élevé dans le séminaire de Saint Marien et de Saint-Jacques, et il y fit de grands progrès dans la littérature sacrée et profane. L'étude des divines Écritures eut toujours pour lui beaucoup de charmes. Lorsqu'il fut en âge de penser à un établissement, on lui proposa des partis considérables, mais il les refusa tous, parce qu'il avait résolu de passer sa vie dans le célibat. ;
Dieu le préserva de la contagion du vice, et le fortifia contre les mauvais exemples de plusieurs de ses compagnons d'étude. Ne pouvant à la fin supporter certains abus qu'il voyait tolérer, il quitta le séminaire de Saint-Marien et de Saint-Jacques, et entra dans celui de Saint-Second, où il acheva ses études.
L'évêque de Gubbio, qui eut bientôt connu son mérite, le nomma prieur du chapitre de sa cathédrale, afin qu'il pût réformer plusieurs désordres qui régnaient parmi les chanoines. Ubaldo se prépara à cet important ouvrage par le jeûne, la prière et d'autres exercices de piété. Il gagna d'abord trois des chanoines qui paraissaient mieux disposés que les autres, et leur persuada de vivre avec lui en communauté. Leur exemple ne tarda pas à faire impression sur tout le chapitre.
Ubaldo alla quelque temps après visiter des chanoines réguliers renommés pour leur sainteté. Ils étaient dans le territoire de Ravenne, et avaient pour instituteur Pierre de Honestis, homme de grande vertu. Le saint passa trois mois avec eux, pour bien connaître la discipline qu'ils observaient. Il prit leur règle, qui lui parut fort sage, l'apporta à Gubbio, et vint à bout de la faire suivre par tout son chapitre.
La maison canoniale et le cloître ayant été consumés par un incendie, il regarda cet événement comme une occasion que Dieu lui présentait de se décharger de son prieuré, et de se retirer dans quelque solitude. Il- prit sa route vers le désert de Font Avellane. Il y trouva Pierre de Rimini, auquel il communiqua le dessein qu'il avait de quitter le monde. Mais ce grand- serviteur de Dieu lui dit que son dessein était une tentation, et l'exhorta fortement à retourner à son église, pour continuer d'y faire du bien, en suivant sa première vocation. Ubaldo revint à Gubbio, où il rétablit les bâtiments de son chapître, qui devint plus florissant que jamais.
L'évêque de Pérouse étant mort en 1126, notre saint fut élu d'une voix unanime pour remplir son siège. Il n'en eut pas plus tôt appris la nouvelle, qu'il alla se cacher dans un lieu fort retiré, en sorte qu'il fut impossible de le découvrir. Après le départ des députés de Pérouse, il se rendit à Rome. Il s'y jeta aux pieds du pape Honorius II, le conjura avec larmes de le dispenser d'accepter l'épiscopat, et employa les raisons les plus pressantes pour obtenir cette grâce. Honorius se laissa fléchir, et lui accorda ce qu'il demandait. Mais il le nomma lui-même évêque de Gubbio en 1128, et donna ordre au clergé de la ville de procéder à son élection suivant la forme ordinaire. Il fit la cérémonie de son sacre au commencement de l'année suivante.
Le nouvel évêque parut animé d'un esprit vraiment apostolique. Mort au monde et à lui-même, il vivait dans une entière mortification de tous ses sens. Il était infatigable dans les travaux de la pénitence et dans ceux du ministère épiscopal ; sobre, humble, sincère, plein de compassion pour tout le monde. Mais entre les vertus qui le caractérisaient, on distinguait principalement la patience avec laquelle il supportait les injures et les affronts. En voici un trait :
Pendant qu'on réparait les murailles de Gubbio, il arriva que les ouvriers empiétèrent sur la vigne du saint. Il leur représenta doucement le tort qu'ils lui faisaient, et les pria de cesser. L'inspecteur des travaux ne lui répondit que par des insultes ; puis, le poussant avec brutalité, il le fit tomber dans un monceau de mortier. Le bon évêque se releva en silence, et se retira sans faire la moindre plainte. Mais le peuple demanda qu'on lui fît justice, en bannissant le coupable, et en confisquant ses biens. Il était si animé, qu'Ubaldo, pour tirer l'inspecteur des mains des magistrats, fut obligé de dire que la connaissance de cette affaire lui appartenait, et que lui seul devait en être le juge. Les esprits se calmèrent alors un peu. Le coupable, touché de repentir, déclara lui-même qu'il se soumettrait à toutes les peines qu'on lui indiquerait, dût-il lui en coûter la vie. Toute la vengeance du saint se termina à lui donner un baiser de paix, et à prier Dieu de lui pardonner la faute dont il s'agissait, ainsi que toutes celles qu'il pouvait avoir commises.
Ubaldo oubliait le soin de sa propre vie, dès que quelques-uns de ses diocésains se trouvaient en danger. Ayant appris un jour qu'il s'était élevé une sédition dans la ville, que 1 on avait pris les armes avec fureur, et que déjà il y avait eu beaucoup de sang répandu, il courut à l'endroit où étaient les combattants ; il se jeta entre eux, et tomba au milieu des épées nues. Les mutins le croyant mort, quittèrent aussitôt les armes, s'abandonnèrent à une vive douleur, s'accusèrent tous d'être les meurtriers de leur évêque. Le saint, après avoir remercié Dieu de la cessation du tumulte, calma les frayeurs du peuple, en assurant qu'il était non seulement plein de vie, mais qu'il n'avait pas même reçu de blessure.
L'empereur Frédéric Barberousse venait de prendre et de saccager Spolète. Il menaçait Gubbio d'un semblable traitement. Le saint, qui avait une tendresse de père pour son troupeau, alla au-devant du vainqueur, désarma sa colère, et obtint de lui la grâce de son peuple.
Les deux dernières années de sa vie ne furent qu'un tissu de maladies cruelles qu'il supporta avec une patience héroïque. Le jour de Pâque de l'année 1160, il fit un effort pour se lever et pour dire la messe. Il prononça même un discours sur la vie éternelle. Au sortir de sa cathédrale, on le transporta dans un appartement qu'il avait auprès de l'église de Saint-Laurent. Il y resta jusqu'à la fête de l'Ascension, pour se préparer à la mort. Il se fit ensuite reporter à l'évêché, où il continua d'instruire son clergé et son peuple, qui venaient le visiter et lui demander sa bénédiction. Enfin, ayant reçu les sacrements de l'Église, il mourut le 16 mai 1160.
Les habitants des provinces voisines assistèrent à ses funérailles, et furent témoins de plusieurs prodiges qui s'opérèrent à son tombeau. Ce spectacle remplit tous les cœurs d'une tendre dévotion, et y ranima les plus vifs sentiments de christianisme. L'esprit de charité étouffa les divisions et les animosités. On oublia les injures reçues, et l'union fut rétablie entre les villes que de longs différends avaient aigries les unes contre les autres.
Le saint avait eu dès son vivant le don des miracles. Il avait guéri plusieurs malades par ses prières, et par la vertu du signe de la croix. Cependant un aveugle s'étant adressé à lui dans l'espérance de recouvrer la vue, il ne lui accorda point ce qu'il demandait. La vue du corps, lui dit-il, serait préjudiciable à votre âme. Souffrez cet aveuglement temporel, qui sera récompensé dans le ciel de la claire vision de Dieu. L'aveugle, content de cette réponse, ne le pria plus de lui rendre l'usage de la vue.
SOURCE : Alban Butler : Vie des Pères, Martyrs et autres principaux Saints… – Traduction : Jean-François Godescard.
Mémoire le 29 de chaque mois au Monastère Syriaque N-D de Miséricorde en même temps que le Pèlerinage mensuel à Saint Michel et aux Saints Archanges/ Solennité et vénération des reliques le dimanche le plus proche du 16 Mai en la Paroisse "N-D des Grâces-St Ubald" de JAULDES (16) où se trouve sa relique.
Saint Ubald
Évêque et confesseur
(† 1160)
Saint Ubald, de l'Ordre des Chanoines réguliers de saint Augustin (L’Ordre Canonial est constitué de Monastères de Clercs) où il rétablit l'obéissance, fut contraint, en 1128, par le Pape Honorius II, qui l'estimait beaucoup, d'accepter la consécration épiscopale et de prendre le gouvernement de l'église de Gubbio, sa ville natale, en Italie.
Il continua à mener une vie très austère et se dévoua corps et âme à ses diocésains.
II mourut le jour de la Pentecôte en 1160.
On invoque volontiers son secours contre les mauvais Esprits.
D’où la mémoire mensuelle qu’on en fait, unis à St Michel, au le 29 de chaque mois au Monastère Syriaque N-D de Miséricorde, et la solennité qu’on en fait en notre Paroisse N-D des Grâces/ St Ubald à JAULDES (Charente) le dimanche le plus proche de sa Fête.
Son tombeau se trouve dans sa ville natale. Son corps s’est conservé jusqu’à nos jours sans corruption.
Une protection contre les démons et les personnes malveillantes ? Croix reliquaire de St Ubald (En argent) en souscription (20 euros) à commander au Monastère Syriaque N-D de Miséricorde. Brévilly. 61300 CHANDAI
le 16 mai (Peut être solennisé le dimanche le plus proche)
SAINT UBALD
Evêque et Confesseur
IIIème classe (avant 1960 : semidouble)
Messe Státuit, du Commun d’un Confesseur Pontife I, sauf l’oraison suivante :
Collecte P
Laissez-vous fléchir, Seigneur : que l’intercession du bienheureux Ubald votre Confesseur et Pontife nous obtienne votre secours ; étendez sur nous votre main miséricordieuse pour nous défendre contre toutes les perfidies du démon.
Secrète C
Que le souvenir de vos Saints nous soit, ô Seigneur, en tous lieux, un sujet de joie, afin que nous ressentions la protection de ceux dont nous célébrons à nouveau les mérites.
Postcommunion C
Accordez-nous, s’il vous plaît, ô Dieu tout-puissant, qu’en rendant grâces pour les dons reçus, nous recevions plus de bienfaits encore grâce à l’intercession du bienheureux Ubald votre Confesseur et Pontife.
Ubald, né d’une famille noble, à Gubbio, en Ombrie fut, dès ses plus tendres années, élevé avec grand soin dans la piété et les lettres. Au cours de sa jeunesse, on le pressa plusieurs fois d’embrasser l’état du mariage, mais jamais il n’abandonna sa résolution de garder la virginité. Ordonné Prêtre, il distribua son patrimoine aux pauvres et aux Églises, et étant entré chez les Chanoines réguliers de l’Ordre de Saint-Augustin, il établit cet institut dans sa patrie, et y vécut quelque temps de la manière la plus sainte. La réputation de sa sainteté s’étant répandue, i ! fut préposé malgré lui par le Souverain Pontife Honorius II au gouvernement de l’Église de Gubbio, et reçut la consécration épiscopale.
Cinquième leçon.
Ayant donc pris possession de son Église, il ne changea rien à sa manière de vivre accoutumée, mais il commença à se distinguer d’autant plus en tout genre de vertus, qu’il procurait très efficacement le salut des autres par la parole et l’exemple, s’étant fait de cœur le modèle de son troupeau. Sobre dans sa nourriture, sans recherche dans ses vêtements, n’ayant pour couche qu’un lit dur et très pauvre, il portait constamment en son corps la mortification de la croix, tandis qu’il nourrissait chaque jour son esprit par une application incessante à la prière. C’est ainsi qu’il parvint à cette admirable mansuétude, qui lui fit non seulement supporter avec égalité d’âme les plus graves injures et les mépris, mais encore prodiguer avec l’admirable tendresse de la charité une entière bienveillance à ses persécuteurs.
Sixième leçon.
Deux ans avant de sortir de cette vie, Ubald, affligé de longues maladies, fut purifié comme l’or dans la fournaise, par les plus cruelles souffrances ; cependant il ne cessait de rendre grâces à Dieu. Le saint jour de la Pentecôte étant arrivé, il s’endormit dans la paix, après avoir gouverné de nombreuses années avec le plus grand mérite l’Église confiée à ses soins, et être devenu illustre par ses saintes œuvres et par ses miracles. Le Pape Célestin III a mis Ubald au nombre des Saints. Son pouvoir éclate particulièrement pour mettre en fuite les esprits immondes. Son corps, demeuré sans corruption après tant de siècles, est l’objet d’une grande vénération de la part des fidèles dans sa patrie que plus d’une fois il a délivrée de périls imminents.
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Pour honorer son Pontife éternel, la sainte Église lui présente aujourd’hui les mérites d’un Pontife mortel ici-bas, mais entre, après cette vie, dans les conditions de l’immortalité bienheureuse. Ubald a représenté le Christ sur la terre ; comme son divin chef il a reçu l’onction sainte, il a été médiateur entre le ciel et la terre, il a été le Pasteur du troupeau, et maintenant il est uni à notre glorieux Ressuscité, Christ, Médiateur et Pasteur. En signe de la faveur dont il jouit auprès de lui dans le ciel, le Fils de Dieu a confié à Ubald le pouvoir spécial d’agir efficacement contre les ennemis infernaux, qui tendent quelquefois aux hommes de si cruelles embûches. Souvent l’invocation du saint évêque et de ses mérites a suffi pour dissoudre les machinations des esprits de malice ; et c’est afin d’encourager les fidèles à recourir à sa protection que l’Église l’a admis au rang des saints qu’elle recommande plus particulièrement à leur dévotion.
Soyez notre protecteur contre l’enfer, ô bienheureux Pontife ! L’envie des démons n’a pu souffrir que l’homme, cette humble et faible créature, fût devenu l’objet des complaisances du Très-Haut. L’incarnation du Fils de Dieu, sa mort sur la croix, sa résurrection glorieuse, les divins Sacrements qui nous confèrent la vie céleste, tous ces sublimes moyens à l’aide desquels la bonté de Dieu nous a rétablis dans nos premiers droits, ont excité au plus haut degré la rage de cet antique ennemi, et il cherche à se venger en insultant en nous l’image de notre créateur. Il fond quelquefois sur l’homme avec toutes ses fureurs ; par une affreuse parodie de la grâce sanctifiante qui fait de nous comme les instruments de Dieu, il envahit, il possède des hommes, nos frères, et les réduit au plus humiliant esclavage. Votre pouvoir, ô Ubald, s’est signalé souvent dans la délivrance de ces victimes infortunées de l’envie infernale ; et la sainte Église célèbre en ce jour la prérogative spéciale que le Seigneur vous a confiée. Dans votre charité toute céleste, continuez à protéger les hommes contre la rage des démons ; mais vous savez, ô saint Pontife, que les embûches de ces esprits de malice sont plus fatales encore aux âmes qu’elles ne le sont aux corps. Prenez donc pitié aussi des malheureux esclaves du péché, sur lesquels le divin soleil de Pâques s’est levé sans dissiper leurs ténèbres. Obtenez qu’ils redeviennent enfants de la lumière, et que bientôt ils aient part à cette résurrection pascale dont Jésus est venu nous apporter le gage.
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La fête de ce saint évêque de Gubbio (+ 1160), si puissant contre les esprits infernaux, entra dans le calendrier de l’Église universelle seulement sous Paul V. La messe Statuit est du Commun, mais la première collecte est propre.
La mitre de saint Ubald est conservée à Rome dans la basilique d’Eudoxie sur l’Esquilin, où l’on célèbre sa fête.
Prière. — « Apaisez-vous, Seigneur, en nous accordant votre secours ; et par l’intercession du bienheureux Ubald, votre Pontife et confesseur, étendez sur nous votre bras miséricordieux contre toute malice diabolique. Par notre Seigneur, etc. »
Il vainc le diable, celui qui s’exerce surtout aux vertus qui s’opposent davantage à sa malice ; l’amour de Dieu par exemple, l’humilité, la chasteté et l’amour de la paix. Le démon apparut un jour à saint Macaire et lui demanda : Macaire, que font les moines de plus que nous ? Ils jeûnent souvent, et nous ne goûtons aucune sorte de nourriture ; ils dorment peu, et nous ne reposons jamais ; ils sont chastes, et nous n’avons pas même de corps. En quoi donc les moines nous sont-ils supérieurs ? Le saint répondit : Vous êtes orgueilleux, et les moines sont humbles, voilà ce qu’ils font de plus que vous. Alors, confus, le démon s’enfuit.
La liturgie connaît l’influence du diable dans l’Église et le combat efficacement.
Saint Ubald. — Jour de mort : 16 mai (dimanche de la Pentecôte) 1160. Tombeau : à Gubbio, en Ombrie. Image : On le représente en évêque, le diable fuyant devant lui. Vie : Le saint est originaire de Gubbio, en Italie. Il devint prêtre et chanoine. En 1128, malgré ses répugnances, il céda aux désirs du pape Honorius II et fut nommé évêque de sa ville natale. Dans cette charge, il fut un modèle de simplicité apostolique, de zèle pastoral et de sainteté personnelle. On invoque volontiers son secours contre les mauvais Esprits. Il mourut le 16 mai 1160. Son tombeau se trouve dans sa ville natale. Son corps s’est conservé jusqu’à nos jours sans corruption.
Pratique :
La puissance de saint Ubald se manifesta surtout dans l’expulsion des mauvais Esprits. La liturgie, qui insiste tant sur la proximité des anges, compte aussi avec la forte influence des mauvais Esprits, car elle lutte continuellement contre eux. C’est pourquoi il n’est pas rare de trouver, dans la liturgie, des exorcismes. Il y a également un grand nombre de sacramentaux institués contre l’influence des mauvais Esprits, par exemple l’eau bénite, les cierges, les rameaux bénits. Ne méprisons pas ces moyens. — La messe (Statuit) est du commun des confesseurs pontifes avec une oraison propre laquelle nous demandons à Dieu, par l’intercession saint, d’étendre la main contre toute méchanceté du diable ».
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Prière à Notre-Dame du Bon Conseil :
Ô très glorieuse Vierge Marie, choisie par le Conseil éternel pour être la Mère du Verbe Incarné, Trésorière des grâces divines et Avocate des pécheurs, moi, le plus indigne de vos serviteurs, je recours à Vous, afin que Vous daigniez être mon guide et mon conseil dans cette vallée de larmes. Obtenez-moi par le très précieux Sang de votre divin Fils le pardon de mes péchés, le salut de mon âme et les moyens nécessaires pour l'acquérir. Obtenez à la sainte Église le triomphe sur ses ennemis et la propagation du règne de Jésus Christ sur la terre. Amen.
________________
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/
maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn
Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.
PRIERE POUR LES VOCATIONS:
Père, faites se lever parmi les chrétiens
de nombreuses et saintes vocations au sacerdoce,
qui maintiennent la foi vivante
et gardent une mémoire pleine de gratitude de Votre Fils Jésus,
par la prédication de sa parole
et l'administration des sacrements,
par lesquels Vous renouvelez continuellement vos fidèles dans la Grâce du Saint Esprit.
Donnez-nous de saints ministres de Votre autel,
qui soient des célébrants attentifs et fervents de l'eucharistie,
sacrement du don suprême du Christ pour la rédemption du monde, sacrement de la pérennité de Sa présence comme "l'Emmanuel", Dieu présent au milieu et pour le salut de Son Peuple.
Appelez des ministres de Votre miséricorde,
qui dispensent la joie de Votre pardon
par le sacrement de la réconciliation.
Père, puisse notre Église Syro-Orthodoxe francophone accueillir avec joie
les nombreuses inspirations de l'Esprit de Votre Fils
et, qu'en étant docile à ses enseignements,
elle prenne soin des vocations au ministère sacerdotal
et à la vie consacrée.
Soutenez les évêques, les prêtres, les diacres,
les personnes consacrées et tous les baptisés dans le Christ,à l'intérieur et à l'exterieur de notre Tradition Syro- Orthodoxe
afin qu'ils accomplissent fidèlement leur mission
au service de l'Évangile.
Nous Vous le demandons par le Christ notre Seigneur, Votre Fils bien-aimé qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles sans fin.
Amîn.
Ô Marie, Mère de Miséricorde et Reine des apôtres, priez pour nous !
__________
PAR SA MORT, CHRIST A VAINCU LA MORT
"De plus en plus la vie chrétienne semble se limiter à une « manière de se comporter », à un code de bonne conduite.
De plus en plus le christianisme s'aliène en prenant un caractère social adapté aux mesures des exigences humaines les moins dignes, aux mesures du conformisme, de la conservation stérile, de l'étroitesse du cœur et de l'absence d'audace, aux mesures du moralisme insignifiant qui cherche à embellir la lâcheté et la sécurité individuelle en les couvrant de la parure mortelle des convenances sociales.
Les hommes qui ont réellement soif de vie, qui sont chaque jour sur la corde raide à la frontière de toutes les morts possibles, qui luttent désespérément pour distinguer quelque lumière dans le mystère hermétique de l'existence humaine, c'est-à-dire les hommes auxquels fondamentalement et par excellence s'adresse l’Évangile du salut, tous ces hommes, inéluctablement, demeurent loin de l'ordre rationnellement organisé, conventionnel, social, de la chrétienté établie.
Dans un tel climat aujourd'hui, pour un grand nombre d'hommes, de chrétiens, l'ascèse - fût-ce comme notion, ou comme mot - est pour ainsi dire incompréhensible.
Si l'on parle du jeûne, de tempérance, de limitation volontaire des désirs individuels, il est sûr qu'on recevra en retour condescendance ou ironie.
Ceci bien sûr n'empêche pas les hommes d'avoir leurs «convictions métaphysiques », de croire à quelque « être suprême» ou au « doux Jésus» qui a enseigné une Ethique admirable.
Mais la question est de savoir à quoi servent les « convictions métaphysiques» si elles ne donnent pas une réponse réelle (non pas idéaliste et abstraite) au problème de la mort, au scandale de la dissolution du corps dans la terre.
Cette réponse ne se trouve que dans la connaissance que donne l'ascèse, l'étude de l'opposition de la mort dans notre corps même, le dépassement dynamique du dépérissement de l'homme. Et non pas n'importe quelle ascèse.
Mais celle qui nous rend conformes à l'exemple du Christ, lequel a volontairement accepté la mort pour la détruire :
-« Par la mort Il a vaincu la mort ».
Tout dépérissement volontaire de l'égocentricité «contre nature» est en puissance une abolition de la mort et un triomphe de la vie de la personne.
Pour que l'homme parvienne enfin à remettre en toute confiance son corps - qui est l'ultime retranchement de la mort - dans les mains de Dieu, dans les bras de la « terre du Seigneur », dans l'accomplissement de la communion des saints."
Christos Yannaras
extrait "La liberté de la morale" (Labor et Fides - Perspective orthodoxe)
Prière pour les familles:
Ô Jésus très aimant, qui,
par Vos ineffables vertus
et exemples de vie domestique,
avez consacré la Famille choisie
pour Vous sur la terre,
jetez un regard de Miséricorde
sur notre famille et daignez recevoir l’offrande que nous Vous faisons de nous- même et consacrer les membres de cette famille qui,
prosternée à vos pieds,
Vous supplie de lui être propice.
Souvenez-Vous que ce foyer
Vous appartient, comme
s'étant voué et consacré à Vous
pour Vous honorer d'un culte particulier.
Protégez notre famille dans Votre Bonté,
délivrez notre foyer de tous périls,
secourrez notre communauté de vie dans toutes ses nécessités,
accordez à notre famille la force de persévérer
toujours dans l'imitation de Votre Sainte-Famille,
afin que, fidèlement attachée à Votre Amour
tout le temps de sa vie mortelle,
elle puisse enfin chanter
Vos éternelles louanges dans les Cieux.
Ô Marie, très douce Mère,
nous implorons Votre protection,
bien persuadés que Votre Divin
et unique Fils exaucera Vos prières.
Et Vous aussi,
très glorieux Patriarche Saint-Joseph,
unissez l'appui de votre paternel patronage à la douce intercession de notre Mère miséricordieuse qui, avec vous,
remettra nos vœux entre les mains du Christ- Jésus notre Divin Rédempteur et Médiateur, Lui qui, étant Dieu, vit et règne avec le Père, dans l’unité du St Esprit pour les siècles des siècles .Amîn.
Jésus, Marie, Joseph,
éclairez-nous,
secourez-nous,
conduisez- nous au Christ Sauveur !
Amîn.
Prière à St Michel:
Saint Michel Archange,
défendez-nous dans le combat;
soyez notre protecteur
contre les méchancetés
et les embûches du démon.
Que Dieu lui commande,
nous vous en supplions ;
et vous, prince de la milice céleste,
par le pouvoir divin qui vous a été confié,
précipitez au fond des enfers Satan
et les autres esprits mauvais
qui parcourent le monde
pour la perte des âmes. Amîn.
Laissez-vous fléchir, Seigneur : que l'intercession du bienheureux Ubald votre Confesseur et Pontife, unie à celles de la Reine des Anges et de Saint Michel Archange,nous obtienne votre secours ; étendez sur nous votre main miséricordieuse pour nous défendre contre toutes les perfidies du démon.
Saint Ubald, priez pour nous ! (3 fois)
Une Prière du soir
(Saint Macaire)
Dieu éternel et Roi de toute créature, Vous qui avez daigné me conduire jusqu'à cette heure, pardonnez-moi les péchés que j'ai commis ce jour en actions, en paroles et en pensées, et purifiez, Seigneur, ma pauvre âme de toute souillure de la chair et de l'esprit.
Accordez-moi, Seigneur, de passer cette nuit dans un sommeil paisible, afin que, me relevant de mon humble couche, je puisse me rendre agréable à Votre très saint Nom tous les jours de ma vie, et terrasser tous les ennemis charnels et incorporels qui m'assaillent.
Et délivrez-moi, Seigneur, des vaines pensées qui me souillent et des désirs mauvais.
Car à Vous appartiennent le règne, la puissance et la gloire, Père, Fils et Saint-Esprit, maintenant et toujours et pour les siècles des siècles. Amîn.
Où invoquer Saint Ubald en France?
Pour l'Eglise Romaine-catholique:
ALSACE:
Collégiale Saint Thiébauld (St Ubald)
10,Place Joffre,
68800 THANN
Tel:03 89 37 91 11
Pour l'Eglise Syro-Orthodoxe:
NORMANDIE:
Sanctuaire Marial de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.
"L'avenir est dans la paix, il n'y a pas d'avenir sans paix"
"The future is in peace, there is no future without peace"
"O futuro está em paz, não há futuro sem paz"
(SS Ignatius Aprem II)
Note:
Eglise Métropolitaine fondée grâce à l'élan missionnaire de l'Eglise Syrienne Orthodoxe des Indes (Malankare) pour l'Europe et ses missions, notre Eglise Syro-Orthodoxe de Mar Thoma, située en francophonie et ses missions d'Afrique, du Brésil, du Pakistan et en Amérique latine* est une Eglise Orthodoxe-Orientale.
Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien et la paix du monde.
¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…
Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles, nous n'exigeons aucun fixe.
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Nota:
A Igreja Metropolitana fundada graças ao ímpeto missionário da Igreja Ortodoxa Síria das Índias (Malankare) para a Europa e suas missões, nossa Igreja Siro-Ortodoxa de Mar Thoma, localizada em Francofonia e suas missões da África, Brasil, do Paquistão e da América Latina * é uma Igreja Ortodoxa Oriental.
O mosteiro siríaco é um centro de oração pela unidade das igrejas apostólicas, a unanimidade do testemunho cristão e a paz do mundo.
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As ofertas são gratuitas e não são obrigatórias, no entanto, qualquer oferta é deduzida da sua renda tributável em 66% da sua renda.
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Offerings are free and not obligatory. However, any offer is deducted from your taxable income at 66% of your income.
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For the Francophone Syro-Orthodox Chaplaincy of Africans living in France, contact the Heads: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89), Metropolitan and Sister Marie-André M'Bezele, nun (06.17.51.25.73).
Nota:
La Iglesia Metropolitana, fundada gracias al ímpetu misionero de la Iglesia Ortodoxa Siria de las Indias (Malankare) para Europa y sus misiones, nuestra Iglesia Siro-Ortodoxa de Mar Thoma, ubicada en la Francofonía y sus misiones desde África, Brasil, de Pakistán y América Latina * es una iglesia ortodoxa oriental.
El monasterio siríaco es un centro de oración por la unidad de las iglesias apostólicas, la unanimidad del testimonio cristiano y la paz del mundo.
¤ Presencia pastoral en varias regiones de Francia para: acompañamiento espiritual, sacramentos, sacramentales (bendiciones, oraciones de liberación o exorcismo, oraciones para sanar) ...
Para los servicios pastorales prestados al monasterio como la recepción de los fieles para estancias cortas o retiros espirituales, no requerimos ninguna reparación.
Las ofertas son gratuitas y no obligatorias, sin embargo, cualquier oferta se deduce de su ingreso imponible al 66% de su ingreso.
Etiquete todos los C B con el siguiente orden "Metropolitan E S O F"
Para la Capellanía franco-ortodoxa francófona de africanos que viven en Francia, comuníquese con los Jefes: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89), Metropolitana y la Hermana Marie-André M'Bezele, monja (06.17.51.25.73).
Le Moine ne rompt pas la solidarité profonde qui doit unir entre eux
les frères humains… Ils se conforment aux sentiments du Christ
Tête de l'Eglise, le "premier né d'une multitude de frères" et à Son
amour pour tous les hommes…
A travers les prières monastiques, c’est toute l’Eglise qui prie et
intercède pour l’humanité.
Le savez-vous ? Chacun de vous, dans le secret de son existence,
participe à cet immense courant de prière souterraine qui irrigue le
monde…
Si vous le souhaitez, vous pouvez nous confier une intention de
prière en l'envoyant à l'adresse suivante:
Monastère Syro-Orthodoxe de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly, 4
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
Shlom lekh bthoolto Mariam/Hail, O Virgin Mary/maliath taibootho/full of grace/moran a'amekh-the Lord is with thee/mbarakhto at bneshey/blessed art thou among women/wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/O qadeeshto Mariam/Holy Mary/yoldath aloho/Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/pray for us sinners/nosho wabsho'ath mawtan./now and at the hour of our death./Amîn
Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn
Rome, basilique de Sainte Marie Majeure : la Dormition de la Sainte Mère de Dieu (Jacopo Torriti – 1296)
Strophes empruntées à la liturgie grecque :
Venez ! Depuis toutes les extrémités de la terre, glorifions la vénérable Assomption de la Mère de Dieu !
Car elle a remis dans les mains de son Fils son âme immaculée.
C’est pourquoi, par sa sainte Dormition le monde est éveillé à la vie et, dans des psaumes, des hymnes et des cantiques spirituels, il célèbre, en union avec les anges et les Apôtres, une fête joyeuse.
Pour glorifier votre vénérable Dormition, ô Sainte et Pure Vierge, les troupes angéliques dans le Ciel, et le genre humain sur la terre, chantent de concert. Car vous avez été la Mère du Créateur de toutes choses, le Christ notre Dieu ! Ne cessez point d’intercéder pour nous auprès de Lui, nous qui avons, après Dieu, notre espoir fixé sur vous, ô Pure Mère de Dieu qu’on ne saura jamais assez glorifier !
Dieu le Créateur de toutes choses vous a donné ce qui surpasse la nature. Car de même qu’à votre maternité Il vous a laissée vierge, Il a préservé votre corps de la corruption du tombeau et vous a glorifiée dans votre sainte Assomption, vous comblant de présents, comme il convient qu’un fils fasse pour sa mère.
Votre Enfant vous a vraiment, ô Vierge, cachée dans le saint des saints comme le flambeau qu’alimente un feu immortel, comme l’encensoir doré qui contient un charbon divin, comme la houlette, comme les tables écrites par Dieu, comme l’arche sainte, la table du Pain de Vie.
Vous qui avez porté la Vie, vous êtes entrée dans la vie par votre sainte Dormition, sans subir les injures de la mort ; les Anges, les Principautés, les Puissances, les Apôtres, les Prophètes et toute la création vous un fait un cortège d’honneur lorsque votre Fils reçut dans Ses mains pures votre âme immaculée, ô Vierge et Mère, Epouse de Dieu !
Rome, basilique de Sainte Marie Majeure : le Couronnement de la Sainte Mère de Dieu (Jacopo Torriti – 1296)
-JEUDI 15 AOÛT,
DORMITION-ASSOMPTION DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE
Grand Pèlerinage d'été à Notre-Dame de Miséricorde
10h30 Messe et Procession mariale, renouvellement du vœux de consécration de la France à Marie Reine
Adresse: Sanctuaire Marial de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.
Au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit.
Amîn.
Très douce Vierge Marie, qui avez jadis inspiré au Roi Louis XIII de vous consacrer sa personne, son royaume et ses sujets, daignez continuer d’étendre sur notre personne, notre famille, notre paroisse, notre diocèse et notre Patrie, la France, votre protection maternelle.
Nous aussi, et davantage encore que le pieux Roi, sommes en butte aux épreuves, aux divisions, aux révoltes et aux erreurs. Le démon et le monde mènent contre la Sainte Eglise, contre la Royauté de votre Fils, contre les familles chrétiennes et contre nos âmes fragiles, une guerre sans merci, cherchant à détruire tout ce qui glorifie Dieu et tout ce qui est soumis à Sa Sainte Volonté.
Le monde entier souffre de famine spirituelle, et il n’est presque plus personne pour prêcher la Vérité et répandre la grâce des sacrements. Les erreurs et le péché règnent partout, jusque dans le sanctuaire, et la foi de vos enfants est sans cesse menacée par des pasteurs indignes qui renient par leurs paroles ou par leurs actes l’Evangile de votre Divin Fils.C’est pourquoi nous nous tournons vers vous avec ferveur et grande confiance, et nous venons à vos pieds nous consacrer à vous.
Ô Vierge fidèle, conservez en notre intelligence, dans son intégrité, l’orthodoxie de la foi, garante de l'unité catholique; et obtenez-nous la grâce du Saint et Vivifiant Esprit pour, répandant Son règne d' Amour, de Justice et de Vérité être, en votre Fils Jésus, des "Artisans de Paix".
Ranimez en notre cœur l’espérance, afin que nous désirions contempler la Trinité Sainte et vous-même dans le Ciel, et que nous demandions humblement à Dieu la fidélité qui y conduit.
Répandez en notre âme votre charité, pour qu’en toutes choses nous imitions vos vertus et suivions votre exemple.
Rétablissez dans notre patrie et dans ce qui fut la Chrétienté le règne de Jésus-Christ : que les institutions et les mœurs soient animées et réglées par la Sainte Loi de Dieu.
Avec vous et par votre intercession, ô Notre-Dame et notre Souveraine, nous voulons ici-bas travailler à la gloire de Dieu, et en jouir dans l’éternité.
Amîn.
Le Roi Louis XIII offrant sa Couronne à la Vierge de Pitié (Maître-autel de la cathédrale Notre-Dame de Paris, miraculeusement préservé lors de l'incendie d'Avril dernier)
Extrait d'une Homélie de de Mgr Jean de St Denis pour la Dormition - 1958
[...]Bienheureux les purs, car ils verront Dieu!
Le Christ, en prononçant ces paroles, pensait d'abord au cœur pur de Marie, cœur déjà pur, cœur ayant acquis la pureté, cœur qui a vu Dieu le jour de l'Assomption, Marie monte en ce jour au-dessus des Séraphins et par elle, le monde se rencontre avec la gloire de Dieu.
Nous sommes tous de la race de Marie, en tant que nous avons le désir de Dieu ; consciemment ou inconsciemment, nous avons tous ce désir de Dieu, mais nous ne sommes pas encore le désir pur de Dieu.
Nous ne voyons pas Dieu parce que notre cœur ne palpite pas assez, pas purement, il palpite en même temps pour d'autres choses.
Nous devons acquérir progressivement la pureté, la virginité du cœur.
Marie est le dernier mot de cette pureté, de cette purification, de cette virginité.
Quand Elle dit : Je suis la servante du Seigneur, Elle est pure, Elle est vierge, et le Verbe, la vraie lumière, la vraie connaissance, peut venir en Elle.
Nous sommes nous aussi appelés à cette conquête de la lumière du Verbe, qui doit s'allumer en nous.[...]
Ce 12 Août, c'est le dukhrono de Saint Azazael (Mor Izozoel) mort en 304 conformément au Calendrier Liturgique des Églises de Tradition Syro-Orthodoxe.
Il est aussi connu sous le nom de Saint Pancrace de Rome.
Saint PANCRACE / Saint Azazael (Mor Izozoel)/ est né d'une riche famille de PHRYGIE ( Dans l'ouest de l'actuelle TURQUIE ) qui possédait en outre des terres en ITALIE. Orphelin jeune, il est pris en charge par son oncle DENYS ( Il ne s'agit pas de Saint DENIS ) qui l'emmène vivre à ROME où il a une villa sur le Mont CAELUIS. Ils rencontrent l'évéque de ROME, CORNEILLE qui deviendra par la suite Pape, qui les convertit au christianisme.
Or, c'est l'époque de la plus féroce répression contre les chrétiens.
Les empereurs VALÉRIEN et GALLIEN avaient déjà promulgué en 257-258 des édits très répressifs.
DIOCLÉTIEN et MAXIMIEN déclenchent la "Grande Persécution" par des édits de 303-309 qui prévoient notamment la destruction des églises et la peine de mort pour qui refuse de sacrifier aux dieux romains. L'empire est alors dirigé par une tétrarchie. Voir pour plus de détails sur les persécutions.
C'est, selon les sources, entre 287 et 304 que PANCRACE alors âgé de quatorze ans est arrêté, refuse d'abjurer et est décapité.
Voir le récit que Jacques de VORAGINE fait de sa vie et de son martyre dans son ouvrage "La Légende Dorée" rédigé entre 1250 et 1280.
Il est enterré dans les catacombes près de la Via Aurelia à Rome.
C'est en 312, soit une dizaine d'années plus tard que l'empereur CONSTANTIN se convertit à la religion chrétienne après avoir remporté une guerre de succession contre de multiples prétendants.
C'est le Saint Pape Orthodoxe de Rome GRÉGOIRE dit Le Grand, élu pape en 590, connu pour son dévouement vis à vis des pestiférés, qui, ayant installé son monastère non loin de la propriété de DENYS, recommanda la vénération de PANCRACE et fit inclure sa tête dans un buste en argent.
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Neuvaine à Saint Pancrace (pour le travail et la guérison):
Réciter, chaque jour de la neuvaine, l’acte de contrition avant la prière du jour et les prières à la très Sainte Trinité après celle-ci. Cette neuvaine est recommandée pour demander guérison et travail.
Prières à dire chaque jour
Notre Seigneur Jésus-Christ a enseigné en araméen (Syriaque). Nous défendons, avec nos frères de L'Eglise de l 'Orient ( les chrétiens syro-chaldéens) que nous avons reçu directement des Apôtres le texte de la Peshitta , la Bible en araméen (syriaque). Ainsi, découvrons- nous avec émotion les paroles-mêmes que Notre Seigneur a prononcées.
Le Pape de Rome, Sa Sainteté Jean-Paul II ne disait-il pas que "l'Église doit respirer à deux poumons, l'orient et l'occident"?
Apprenons à connaître toujours davantage la tradition Apostolique pour en vivre et la mieux transmettre ! KAÛMO : TRISAGION : Ô Dieu Saint;Ô Dieu Saint et Fort;Ô Dieu Saint et Immortel, crucifié pour nous .
+Les Fidèle en se signant : Etraham elayn (Prends pitié de nous).
(Le Trisagion est chanté 3 fois)
"ABOUN D'BASMAYO" Le Notre Père:
Version en phonétique:
*Aboun d‘bachmayo, neth kadash shmokh, titheh malkoutokh,
*Notre Père, qui êtes aux cieux Que votre nom soit sanctifié que votre règne arrive,
nehwe tsebionokh, aykano d‘bashmayo of bar'o.
que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel
*Hablan lahmo d'sounqonan yaomono,
* Donnez-nous aujourd’hui notre pain quotidien ( substantiel )
*washbouklan haoubèin wahtohèin,aïykano dof hnan shbakn lhayobèin
pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés,
wlo ta'lan l'nesyouno, elo fasolan men bisho,
et ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal.
Metoul dilokhi malkoutho wou haïlo wou teshbohto l'olam olmin.Amîn.
Car à vous appartiennent le règne, la puissance et la gloire, dans les siècles des siècles. AMÎN.
Oraison éventuelle:
V. Soubho labo wlabro walrouho qadiso :
R. Waelayn mhilé hatoyé rahmé wahnono nestafeoun batrayoun eolmé waleolmîn. Amîn.
V. Gloire au Père, au Fils et au Saint-Esprit.
R. Et que sa miséricorde et sa grâce abondent en nous, pauvres pécheurs, dans les deux siècles et jusqu’aux siècles des siècles. Amîn.
Acte de contrition
Mon Dieu, j'ai un très grand regret de Vous avoir offensé parce que Vous êtes infiniment Bon, infiniment Aimable, et que le péché Vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de Votre Sainte Grâce de ne plus Vous offenser et de faire pénitence.
Prières à la très Sainte Trinité
Prière au Père Éternel
Je crois, Père Céleste, tout ce qui est conforme à la Foi droite (foi orthodoxe), et dans cette Foi je veux vivre et mourir ; par l’intercession de Saint-Pancrace, accordez-moi, à moi et à ma famille, une bonne santé pour accomplir mes obligations.
Notre Père, Je Vous salue Marie, Gloire au Père.
Prière au Fils de Dieu
Ô Bon Jésus, accordez-moi la vertu d’Espérance en Vos promesses, comme le fit Saint-Pancrace, qui eut toujours confiance en Votre Providence, et que je puisse obtenir ainsi, par son intercession, du travail et le don de la réussite en toutes choses que je devrai entreprendre pour satisfaire mes besoins et ceux de ma famille.
Notre Père, Je Vous salue Marie, Gloire au Père.
Prière à l’Esprit Saint
Accordez-moi la vertu de Charité pour aimer Dieu par-dessus toutes choses et mon prochain par amour pour Dieu, comme le faisait le glorieux Saint-Pancrace. Par son intercession, j’ai confiance d’ obtenir cette Grâce et celle d’être préservé des malheurs et des personnes mal intentionnées.
Notre Père, Je Vous salue Marie, Gloire au Père.
Prière finale
Ô glorieux Saint-Pancrace, je vous demande de m’obtenir les Grâces dont j‘ai besoin et en particulier, santé et travail, afin que je puisse me présenter devant votre Icône (image) pour vous rendre grâce des faveurs reçues. Amîn.
Neuvaine à Saint-Pancrace
Premier jour
Acte de contrition
Notre cœur a été créé pour aimer : ce que tu dois le plus aimer, c’est Dieu, plus que toutes les personnes, plus que toutes les richesses du monde et, de cette manière, tu éviteras aussi beaucoup de désillusions. Saint-Pancrace fit de cette manière et c’est pourquoi il obtint tant de faveurs de Dieu. Demande-lui cette Grâce du fond du cœur, tu vivras plus tranquille et tu obtiendras sa protection dans tout ce dont tu as besoin.
Terminer par les prières à la très Sainte Trinité.
Deuxième jour
Acte de contrition
Dieu veut que nous aimions notre famille et nos frères humains, cet amour doit toujours être enveloppé d’amour surnaturel (charité) pour ne jamais risquer de devenir un obstacle pour aimer Dieu. Ainsi faisait Saint-Pancrace qui, de cette manière, attira beaucoup d’âmes au Ciel. Demande-lui de tout ton cœur d’aimer toutes autres personnes comme de vrais frères, afin d’aimer Dieu toujours mieux et, suivant l’exemple de St Pancrace, de vivre dans son amitié spirituelle et, par son intercession fraternelle, obtenir de nombreuses Grâces.
Terminer par les prières à la très Sainte Trinité.
Troisième jour
Acte de contrition
Pancrace avait un cœur si bon qu’il éprouvait toujours de la compassion pour les pauvres et les malheureux, c’est pourquoi il obtint tant de Grâces du Ciel ; essaie, toi aussi, de l’imiter dans ces vertus et ainsi, tu obtiendras, par son intercession, beaucoup de Grâces de Dieu !
Terminer par les prières à la très Sainte Trinité.
Quatrième jour
Acte de contrition
Le glorieux Saint-Pancrace n’essaya pas seulement d’être bon, il travailla surtout à guider, son exemple, d’autres âmes vers le Ciel ; c’est pourquoi Dieu lui accorda tant de pouvoir en faveur de ses dévots, afin que, mesurant l’efficacité de son intercession fraternelle, ceux- ci, à son exemple, vivent en vrais chrétiens et témoignent du salut en Jésus Christ. Essaie, toi aussi, de faire ce que tu peux pour propager cette dévotion et veille surtout à vivre en vrai chrétien afin que d’autres empruntent, à leur tour, le chemin du Ciel. Ainsi, tu obtiendras beaucoup de Grâces, spécialement celles que tu réclames pendant cette neuvaine pourvu qu’elles soient conformes à ton véritable intérêt.
Terminer par les prières à la très Sainte Trinité.
Cinquième jour
Acte de contrition
Dans le monde, il y a beaucoup de personnes qui, humainement parlant, paraissent mauvaises ; n’admire jamais leurs mauvais exemples ni leurs réussites bâties sur l’injustice et la corruption, fais en sorte de ne jamais agir comme elles, mais au contraire, à l’imitation de Saint-Pancrace, défends toujours la vérité, la justice, le partage et toutes bonnes actions. De cette manière, tu obtiendras tout ce dont tu as besoin par l’intercession de Saint-Pancrace, qui, te reconnaissant pour frère en Christ, viendra au secours de tes prières en les appuyant de son intercession auprès du Père des Miséricordes.
Terminer par les prières à la très Sainte Trinité.
Sixième jour
Acte de contrition
L’une des choses qui coûtent le plus à notre cœur trop souvent enflé d’orgueil, c’est de pardonner à ceux qui nous ont offensés. Prie le glorieux Saint-Pancrace pour qu’il t’obtienne cette Grâce quand quelqu’un t’aura offensé, puisque lui-même alla jusqu’à pardonner à ceux qui le martyrisèrent ; et sois assuré que tu seras plus tranquille après, que tu retrouvera progressivement sérénité et paix intérieure et que tu obtiendras pour toi et ta famille plus que tu ne saurais espérer.
Terminer par les prières à la très Sainte Trinité.
Septième jour
Acte de contrition
Dans ce monde, il faut avoir beaucoup de patience en tout puisqu’ adviennent plus de contrariétés qu’on ne saurait attendre. Prends donc comme modèle le glorieux Saint-Pancrace, qui se conformait en tout à la Volonté de Dieu ; c’est ainsi qu’il put vivre sereinement et devenir un grand Saint, au milieu de beaucoup de peines. Demande-lui de bon cœur qu’il t’aide et il t’accordera cette Grâce et bien d’autres.
Terminer par les prières à la très Sainte Trinité.
Huitième jour
Acte de contrition
Tout comme tu aimes regarder le portrait de tes parents et d'autres personnes amies, il convient[1]aussi que tu vénère l’icône (l'image) du glorieux Saint-Pancrace qui te rappelle que tu as au Ciel un frère qui se sanctifia au milieu des mêmes tribulations que toi. Lorsque tu regarde son image tu te souviens qu’il aurait pu dire à la suite de St Paul et comme tout chrétien authentique : « Ce n’est plus moi qui vit, c’est le Christ qui vit en moi »,et tu ne doute pas que, depuis le Ciel, il voie comment tu tâche de vivre en chrétien, laissant l’Esprit-Saint, te « prendre sous Son ombre » pour manifester au monde, par ton témoignage, la présence du Christ vivant en Ses membres …. Plus tu vivra avec ferveur, plus tu te confiera à sa fraternelle intercession, plus il priera Dieu qu'Il t'accorde ce que tu lui demandes pendant cette neuvaine, tant pour toi que pour les personnes de ta famille.
Terminer par les prières à la très Sainte Trinité.
Neuvième jour
Acte de contrition
Maintenant que tu termines la neuvaine, tu dois être « es en pleine forme » spirituelle ! et tu es plus désireux de mettre l’amour de Dieu et du prochain au centre de ta vie et, par conséquent, de te rendre digne de rejoindre au Ciel, à l’heure de Dieu ! la compagnie de St Pancrace et de tous ces frères en humanité qui se sont laissé travailler par l’Esprit de force, de Sainteté, d’amour et de Lumière. Sois sûr que, « là haut », il t’attend auprès de Marie et de tous les Saints nos frères. Alors, comme lui, accomplis bien tes obligations en vivant en bon chrétien, libre de toute attache au pêché, dans et par l’Esprit de liberté spirituelle, obtenant d’ores et déjà sa protection en toutes choses, tant pour toi que pour ta famille.
Terminer par les prières à la très Sainte Trinité. St Pancrace est considéré par la piété populaire comme un excellent guérisseur, en particulier pour les rhumatismes. C'est aussi par son intermédiaire que se règle les problèmes matériels et affectifs. Il est aussi invoqué lorsque l'on est en butte à de faux témoignages et à la médisance. Prière à St Pancrace pour les maux de tête:
(souffler 3 fois en forme de croix sur le front, sur l'oreille droite puis la gauche)
Vous obtenez, glorieux Saint Pancrace,
Par votre médiation,
à tous vos fervents dévots,
la guérison du mal de tête.
Qu'à votre intercession, la douleur d'un si grand mal
soit promptement soulagée, au Nom du Père,Amîn +, et du Fils, Amîn +, et du St et vivifiant Esprit pour la vie Éternelle, Amîn+.
Comme on l'a vu plus haut, Saint Pancrace est invoqué contre le faux témoignage.
Rappelons que Pancrace était un jeune romain très tôt converti à la foi chrétienne. En ces temps cruels de persécution, il ne craignit pas d'affirmer hautement sa foi en Jésus-Christ. Il fut soumis aux plus affreux supplices sans qu'il cessât de prononcer le nom de Jésus avec ferveur, et mourut, martyr de sa foi, en 304.
INVOCATION
Considérez, ô Seigneur, que je suis abandonné et sans appui, que mon cœur est livré au trouble et à la tristesse. Venez à mon secours, et que saint Pancrace, votre glorieux martyr, intercède pour nous, afin que par l'efficacité de ses prières, nous obtenions toutes les consolations que nous attendons de votre adorable justice. Nous vous en prions par le Christ Jésus N.-S, Lui qui vit et règne avec Vous le St Esprit, pour les siècles des siècles. Amîn.
Saint Pancrace, que l'on invoque efficacement contre le faux témoignage, priez pour nous, et assistez-nous de tout votre pouvoir.
ORAISON
Ô Grand Dieu, livrée à la calomnie et à la mauvaise foi de mes persécuteurs, couverte d'opprobre devant les hommes, toujours faciles à se laisser persuader tout ce qui déshonore vos serviteurs, je viens vous prier d'accourir à mon secours, vous qui pouvez manifester la malice de ceux qui m'accusent, confondre leur imposture, et me mettre à couvert des traits empoisonnés qu'ils ne cessent de lancer contre moi.
Il serait inutile, ô mon Dieu, de me justifier en votre présence. Je porte devant vous assez d'autres iniquités que je ne puis désavouer, et que je ne cesserai d'expier par mes larmes. Mais pour celles dont on m'accuse, vous savez, grand Dieu, que j'en suis innocente, et que mes mains n'ont jamais été souillées des crimes qu'on m'impute. Ce n'est pas, Seigneur, que la dépravation profonde de mon cœur ne m'en rende capable; mais votre grâce m'en a préservée, et je ne fais que publier vos dons, en protestant hautement de mon innocence. Amîn.
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This 12th of August, it is the dukhrono of Saint Azazael (Mor Izozoel) died in 304 according to the Liturgical Calendar of the Churches of Syro-Orthodox Tradition.
It is also known as Saint Pancrace of Rome.
SAINT PANCRACE / Saint Azazael (Mor Izozoel) / was born from a rich family of PHRYGIA (In the west of present TURKEY) who also owned land in ITALY. Young orphan, he is supported by his uncle DENYS (It is not Saint Denis) who takes him to live in Rome where he has a villa on Mount Caulis. They meet the bishop of ROME, CORNEILLE who will later become Pope, who converts them to Christianity.
Now, it is the time of the fiercest repression against Christians.
The emperors VALERIAN and GALLIEN had already promulgated in 257-258 very repressive edicts.
DIOCLETIEN and MAXIMIEN trigger the "Great Persecution" by edicts of 303-309 that provide for the destruction of churches and the death penalty for those who refuse to sacrifice to the Roman gods. The empire is then ruled by a tetrarchy. See for more details on the persecutions.
According to sources, between 287 and 304, fourteen-year-old PANCRACE is arrested, refuses to abjure and is beheaded.
See the account that Jacques de VORAGINE made of his life and his martyrdom in his work "The Golden Legend" written between 1250 and 1280.
He is buried in the catacombs near Via Aurelia in Rome.
It was in 312, about ten years later that the emperor CONSTANTIN converted to the Christian religion after winning a succession war against multiple suitors.
It is the Holy Orthodox Pope of Rome GRÉGOIRE said Le Grand, elected pope in 590, known for his devotion towards the plague victims, who, having installed his monastery not far from the property of DENYS, recommended the veneration of PANCRACE and made include his head in a silver bust.
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Este 12 de agosto, é o dukhrono de Saint Azazael (Mor Izozoel) morreu em 304 de acordo com o Calendário Litúrgico das Igrejas da Tradição Siro-Ortodoxa.
Também é conhecido como Saint Pancrace de Roma.
Saint PANACRACE / Saint Azazael (Mor Izozoel) / nasceu de uma rica família de PHRYGIA (no oeste da atual TURQUIA) que também possuía terras na Itália. Jovem órfão, ele é apoiado por seu tio DENYS (não é Saint Denis) que o leva a morar em Roma, onde ele tem uma villa no Monte Caulis. Eles se encontram com o bispo de ROMA, CORNEILLE, que mais tarde se tornará o papa, que os converte ao cristianismo.
Agora, é a época da mais feroz repressão contra os cristãos.
Os imperadores VALERIANO e GALLIEN já haviam promulgado em 257-258 decretos muito repressivos.
DIOCLETIEN e MAXIMIEN desencadeiam a "Grande Perseguição" por decretos de 303-309 que prevê a destruição de igrejas e a pena de morte para aqueles que se recusam a sacrificar aos deuses romanos. O império é então governado por uma tetrarquia. Veja para mais detalhes sobre as perseguições.
Segundo fontes, entre 287 e 304, PANCRACE, de quatorze anos, é preso, se recusa a abjurar e é decapitado.
Veja o relato que Jacques de VORAGINE fez de sua vida e seu martírio em sua obra "A Lenda de Ouro", escrita entre 1250 e 1280.
Ele está enterrado nas catacumbas perto da Via Aurelia, em Roma.
Foi em 312, cerca de dez anos depois, que o imperador CONSTANTIN se converteu à religião cristã depois de vencer uma guerra sucessiva contra múltiplos pretendentes.
É o Santo Papa Ortodoxo de Roma GRÉGOIRE disse Le Grand, eleito papa em 590, conhecido por sua devoção às vítimas da peste, que, tendo instalado seu mosteiro não muito longe da propriedade de Denis, recomendou a veneração do PANCRACE e fez inclua sua cabeça em um busto de prata.
SAINTE RADEGONDE, QUI ÊTES-VOUS ?
Le 13 août
Fille de roi, sainte Radegonde est emportée captive à l’âge de 10 ans par Clotaire lerqui la reçoit comme part de butin de guerre. Il l'emmène en France, dans le Vermandois. Dès son dans le secourt les pauvres, remplit les tâches les plus humbles et se consacre à Dieu.
On la vante tellement et elle est si belle que le roi Clotaire veut l’épouser, bien qu'ayant déjà trois femmes. Lorsqu'elle apprend ce projet, elle se sauve, mais Clotaire la rattrape en un village qui porte depuis son nom.
Vivant à la cour, Radegonde ne quitte pas son ascèse, elle a sur elle un cilice, laisse son lit royal pour aller prier, transforme ses habits éclatants et brodés en nappes et corporaux, et parvient à influencer son farouche roi-époux.
Mais un jour Clotaire lerfait assassiner le propre frère de Radegonde. La Sainte implore sa liberté et le roi finit par lui permettre de partir dans un monastère.
Elle demande alors à l’évêque Saint Médard de lui donner l'habit de religieuse, le Saint craint le roi et refuse. Alors, Radegonde se rend dans la sacristie, se coupe les cheveux, revêt la robe monastique, revient auprès de saint Médard et lui dit : « Sachez, bienheureux prélat, que si vous vous laissez aller au respect humain et à la crainte des hommes, et que vous différiez de me consacrer, le souverain Pasteur vous demandera compte de mon âme ».
Médard, dans l'admiration, bénit son entrée dans la vie monastique. Elle se rend près de Loudun, mais Clotaire la regrette et veut la reprendre. Elle se réfugie en l'église Saint-Hilaire et, grâce à son incessante prière et à la prophétie de Jean, le reclus de Chinon, le roi la laisse enfin en paix.
Elle fonde son monastère et nomme abbesse sa fille spirituelle Agnès, se soumettant elle-même à l'obéissance totale.
Puis, elle envoie le prêtre Réovale à Jérusalem afin d'obtenir de l'empereur une relique du saint martyr Mammès, mais cela ne suffit point à son amour du Christ et elle souhaite recevoir un morceau du Bois de la Sainte Croix.
L'empereur de Constantinople lui en donne un grand morceau et la joie de Radegonde est incroyable. Elle prie Mérovée, évêque de Poitiers, de faire la translation des reliques. Il n'accepte pas et se retire dans sa maison de campagne. La reine de France écrit au roi, fils de Clotaire défunt et Saint Euphrone, archevêque de Tours, apporte l'extraordinaire relique au monastère qui prend le nom de Sainte-Croix.
Auprès de la prière, sainte Radegonde agit, réalisant la paix entre les quatre fils-rois de Clotaire, écrivant des lettres, assistant à un concile à Tours où parmi plusieurs saints est présent Saint Germain de Paris.
Elle envoie comme messager le grand poète Venance Fortunat qui lui envoie souvent des lettres et d'admirables hymnes en vers dont le « Vexilla Regis » que nous chantons pendant la Semaine Sainte.
Sainte Radegonde fait des miracles, chasse les démons, soigne les lépreux, dirige des rois.
En conclusion, écoutez bien ce qui lui arriva et qui est encore représenté dans l'église Sainte Radegonde de Poitiers.
Un jour, un merveilleux jeune-homme lui apparut. Elle se détourna, Il lui dit : « Radegonde, toi qui as tant de désir de me posséder... sache que tu seras une des plus riches pierres précieuses de mon diadème ». Elle comprend alors qu’elle va mourir.
La marque du pied du Christ resta pendant des siècles imprimée sur la pierre, et chaque année le Recteur de l'Université venait haranguer sainte Radegonde devant le « Pas-Dieu ».
La Sainte naquit au ciel le 13 août 587.
13 Août Sainte Radegonde de Poitiers (Radegundis en latin3), née vers 519 à Erfurt en Thuringe, morte le 13 août 587 à Poitiers, est une princesse thuringienne, devenue reine orthodoxe des Francs en épousant Clotaire Ier, fils de Clovis.
CANTIQUE A SAINTE RADEGONDE REINE DE FRANCE ET MONIALE:
''Qui t'a dédié des chants d'amour
''Fille de Saint Martin de Tours
''Vierge de France, prisonnière
''Dans le château du Roi Clotaire
''Touchée par l'amour du Seigneur
''Tu confies ta vie, ta pudeur
''A ton ravisseur, le roi.
''On fit partout des feux de joie.
''Tu préfères l'église à la cour
''Laves les pieds des pèlerins
''Et tu t'enfuis un beau matin
''A cheval pour te rendre à Tours
''Les seigneurs francs sont dans l'église
''Médard t'impose les mains
''De reine tu deviens nonne
''Mais c'était là ta terre promise
''Les étendards du Roi s'avancent
''Jusqu'en l'église Sainte Croix
''Tu offres tes robes de soie
''Aux sanctuaires, reine de France.
''Sous ton tombeau ô Radegonde
''A l'évêque Jean aujourd'hui
''Tu confie le peuple des Gaules
''Et l'Eglise de Saint Denys.
(La ballade de sainte Radegonde – Patrick Favier et Père Roger Michel Bret).
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13 August Saint Radegonde de Poitiers (Radegundis in Latin3), born about 519 in Erfurt in Thuringia, died August 13, 587 in Poitiers, is a Thuringian princess, became Orthodox Queen of the Franks by marrying Clotaire I, son of Clovis.
13 August Saint Radegonde de Poitiers (Radegundis in Latin3), born about 519 in Erfurt in Thuringia, died August 13, 587 in Poitiers, is a Thuringian princess, became Orthodox Queen of the Franks by marrying Clotaire I, son of Clovis.
CANTEEN AT SAINTE RADEGONDE QUEEN OF FRANCE AND MONIALE:
'' Who dedicated you songs of love
'' Daughter of Saint Martin of Tours
'' Virgin of France, prisoner
'' In the castle of King Clotaire
'' Touched by the love of the Lord
'' You entrust your life, your modesty
"To your captor, the king.
"We made bonfires everywhere.
'' You prefer the church at the court
'' Laves the feet of the pilgrims
'' And you run away one morning
'' On horseback to go to Tours
'' The Frankish lords are in the church
'' Medard is laying hands on you
'' Queen, you become a nun
'' But that was your promised land
'' The King's banners come forward
'' To St. Croix Church
'' You offer your silk dresses
'' To sanctuaries, Queen of France.
'' Under your tomb o Radegonde
'' To Bishop Jean today
'' You entrust the people of Gaul
'' And the Church of Saint Denys.
(The ballade of Saint Radegonde - Patrick Favier and Father Roger Michel Bret)
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13 de agosto St. Radegund (Radegundis em Latin3), nascido por volta de 519 em Erfurt, na Turíngia, morreu 13 de agosto 587 em Poitiers, é uma princesa da Turíngia se tornou rainha ortodoxo ao se casar com Franks Clotaire I, filho de Clóvis.
CANTEEN AT SAINTE RADEGONDE RAINHA DE FRANÇA E MONIALE:
'' Quem te dedicou canções de amor
'' Filha de São Martinho de Tours
'' Virgem da França, prisioneira
'' No castelo do rei Clotaire
'' Tocado pelo amor do Senhor
'' Você confia sua vida, sua modéstia
"Para o seu captor, o rei.
"Fizemos fogueiras em todos os lugares.
'' Você prefere a igreja na corte
'' Laves os pés dos peregrinos
'' E você foge uma manhã
'' A cavalo para ir a Tours
'' Os senhores francos estão na igreja
'' Medard está colocando as mãos em você
'' Rainha, você se torna uma freira
"Mas essa era a sua terra prometida
'' Os estandartes do rei se apresentam
'' Para Igreja St. Croix
'' Você oferece seus vestidos de seda
'' Para santuários, rainha da França.
'' Sob seu túmulo o Radegonde
'' A Dom Jean hoje
'' Você confia o povo da Gália
'' E a Igreja de Saint Denys.
(A balada de São Radegonde - Patrick Favier e padre Roger Michel Bret)
HOMÉLIE DU 15 AOÛT 1954 , par l'évêque Jean de Saint Denis
(Eugraph Kovalevsky)
Cette mystérieuse fête de l’Assomption de la Vierge, Marie, Mère de Dieu, l’Église n’a pas osé, dans les commencements, la proclamer, l’annoncer aux profanes, la dévoiler au monde extérieur ; mais à mesure que l’Église s’avance dans les temps, Marie Mère de Dieu est de plus en plus exaltée et le sera de plus en plus dans l’avenir.
Déjà, cette solennité augmente de siècle en siècle : en Russie, un nouveau rite de l’enterrement et de la résurrection de Marie ; à Rome, un nouveau dogme sur Marie,
C’est que si tout commence par Dieu - le Verbe par qui tout a été fait et rien n’a été fait sans Lui - tout finit par l’homme : et le Verbe s’est fait chair.
Tout se bâtit sur Dieu, tout se termine par l’homme qui devient Dieu.
L’être humain qui fut déifié au-dessus de tous, dépassant tous les autres, c’est Marie ; et plus l’heure s’approche de la déification du monde prédite par le Christ, plus Marie qui a porté en elle la source de la vie, est glorifiée par le monde.
Marie, Mère de cette source de vie, ne devait pas mourir de mort naturelle ; mais elle ne voulut pas se distinguer de tous ; elle accepta de mourir, souhaitant pour son corps qui avait porté le Christ, de toucher la terre maternelle.
Elle voulut mourir comme son Fils dans sa parfaite humilité, celle qui a dit : « mon esprit se réjouit en Dieu mon Sauveur, parce qu’Il a regardé la bassesse de sa servante » veut mourir.
Mais les apôtres voyant en elle le temple de Jésus Christ Le supplie de la ressusciter, et leur prière est exaucée ; les anges ravissent le corps de Marie du tombeau.
Ce qui se passe en elle, se passera pour les humains au dernier jour.
Mais Marie, dans sa pureté extrême, si elle accepte bien de mourir, demande, supplie de ne pas être éprouvée par les esprits impurs : chose surprenante à nos yeux ! Comment, elle, trésor de pureté, plus vénérable que les séraphins et les chérubins, craint-elle les esprits impurs ?
Et nous, qui souvent, ne les craignons même pas, serions-nous donc plus courageux qu’elle ? Certes non ! Nous ne craignons pas les esprits impurs, parce que nous ne sommes pas assez purs.
Un homme sale n’a pas peur de la saleté, elle ne le dégoûte pas, elle ne lui fait pas horreur. De même un être impur n’est pas dégoûté par les esprits impurs. Mais à un être pur, les esprits mauvais font horreur, parce qu’ils ne sont pas seulement redoutables, ils sont ignobles.
Avez-vous oublié cette prière de Jésus ? "Que cette coupe passe... "
Lui, le Verbe qui a tout créé, demande à cette heure dernière que la coupe passe... Quelle coupe ?
La coupe du péché, toute la puanteur du péché du monde, qu’Il a accepté de boire jusqu’à la lie...
Quand on est pécheur, il n’est pas pénible d’être touché par le péché ; mais lorsque l’on devient assez pur, comme il est difficile et douloureux de s’approcher du péché !
Un homme foncièrement honnête est pour ainsi dire incapable d’être malhonnête.
De même, pour un homme qui a atteint un plan supérieur, il est très difficile, non de pardonner - c’est tout autre chose - mais de toucher le péché. Ce n’est pas du mépris, c’est une impossibilité.
Cette perfection de la Vierge, perfection dans l’obéissance, dans l’humilité, la pureté, cette fleur de l’humanité, cela ne signifie pas qu’elle ne soit pas elle aussi fragile non pour tomber, mais pour supporter l’ignominie, et c’est ainsi qu’avant de monter glorieusement au ciel, elle supplie son Fils de lui épargner les épreuves des esprits impurs.
Et son Fils l’exauce, mais d’une autre manière qu’elle l’avait demandé.
"Tu vas les subir, mais Je te donnerai la puissance de les écraser". Dieu lui donne les anges comme une armée rangée pour la bataille, et elle devient toute-puissante et redoutable elle-même aux esprits impurs.
C’est pour cela que nous pouvons nous adresser à elle pour lui demander aide et protection contre les attaques des démons, la prier de nous couvrir de son manteau afin qu’ils ne touchent pas à notre âme, car dans cette épreuve, Marie est devenue mère de l’humanité pécheresse.
Telle est l’étrange loi de protection par Marie si bien que tous les pécheurs s’adressent à elle et trouvent protection près d’elle sans encourir ses reproches.
Vous l’avez remarqué, les pires d’entre eux s’adressent le plus volontiers à la plus pure, et elle, sans aucun mouvement de sévérité envers ses enfants, pleure sur eux, les écoute, se penche sur la misère, nous donnant à deviner ce que sera le monde futur où tous ceux qui viendront avec une âme assoiffée, avec le désir du pardon, recevront amour et miséricorde.
Certaines personnes qui ne sont pas dans l’Église, s’étonnent et demandent pourquoi nous nous adressons tellement à Marie, alors que nous pourrions nous adresser directement à Dieu, au Fils venu parmi nous, pourquoi ce culte autour de Marie ?
Mais celui qui a pénétré dans l’Église, connaît la nécessité de l’intercession des Saints et surtout de Marie, parce que plus on s’approche de la vie spirituelle, plus on se sent petit, indigne, plus on a le désir de s’humilier non seulement devant Dieu, mais devant les hommes, les vivants et les morts, et plus on comprend ce mystère de la chaîne des prières entre tous.
Quand nous demandons à Marie de prier pour nous, c’est nous qui prions en elle, elle qui est chair de notre chair, os de nos os, elle qui est de notre humanité, de notre race.
C’est l’humanité qui monte en elle vers Dieu, qui implore Dieu, qui cherche Dieu.
Avec elle, nous nous disons serviteurs et servantes de Dieu, avec elle nous disons à Dieu : « Que Ta volonté soit faite ! »
Allons maintenant implorer Marie, prier devant sa statue, et qu’elle nous donne sa protection, nous montrant promptement sa puissance, et son amour pour nous pécheurs.
12 Alors, ils retournèrent à Jérusalem depuis le lieu-dit « mont des Oliviers » qui en est proche, – la distance de marche ne dépasse pas ce qui est permis le jour du sabbat.
13 À leur arrivée, ils montèrent dans la chambre haute où ils se tenaient habituellement ; c’était Pierre, Jean, Jacques et André, Philippe et Thomas, Barthélemy et Matthieu, Jacques fils d’Alphée, Simon le Zélote, et Jude fils de Jacques.
14 Tous, d’un même cœur, étaient assidus à la prière, avec des femmes, avec Marie la mère de Jésus, et avec ses frères.
7: 44 -53
44 Nos pères, dans le désert, avaient la tente Elle avait été faite d’après les ordres de Celui qui parlait à Moïse et qui lui en avait montré le modèle.
45 Après avoir reçu cette tente, nos pères, avec Josué, la firent entrer dans le pays que les nations possédaient avant que Dieu les chasse loin du visage de nos pères. Cela dura jusqu’au temps de David.
46 Celui-ci trouva grâce devant Dieu et il pria afin de trouver une demeure au Dieu de Jacob.
47 Mais ce fut Salomon qui lui construisit une maison.
48 Pourtant, le Très-Haut n’habite pas dans ce qui est fait de main d’homme, comme le dit le prophète :
49 Le ciel est mon trône, et la terre, l’escabeau de mes pieds. Quelle maison me bâtirez-vous, dit le Seigneur, quel sera le lieu de mon repos ?
50 N’est-ce pas ma main qui a fait tout cela ?
51 Vous qui avez la nuque raide, vous dont le cœur et les oreilles sont fermés à l’Alliance, depuis toujours vous résistez à l’Esprit Saint ; vous êtes bien comme vos pères !
52 Y a-t-il un prophète que vos pères n’aient pas persécuté ? Ils ont même tué ceux qui annonçaient d’avance la venue du Juste, celui-là que maintenant vous venez de livrer et d’assassiner.
53 Vous qui aviez reçu la loi sur ordre des anges, vous ne l’avez pas observée. »
Hébreux 9: 3-12
03 Derrière le second rideau, il y avait la tente appelée le Saint des saints,
04 contenant un brûle-parfum en or et l’arche d’Alliance entièrement recouverte d’or, dans laquelle se trouvaient un vase d’or contenant la manne, le bâton d’Aaron qui avait fleuri, et les tables de l’Alliance ;
05 au-dessus de l’arche, les kéroubim de gloire couvraient de leur ombre la plaque d’or appelée propitiatoire. Mais il n’y a pas lieu maintenant d’entrer dans les détails.
06 Les choses étant ainsi disposées, les prêtres entrent continuellement dans la première tente quand ils célèbrent le culte.
07 Mais dans la deuxième tente, une fois par an, le grand prêtre entre seul, et il ne le fait pas sans offrir du sang pour lui-même et pour les fautes que le peuple a commises par ignorance.
08 L’Esprit Saint montre ainsi que le chemin du sanctuaire n’a pas encore été manifesté tant que la première tente reste debout.
09 C’est là une préfiguration pour le temps présent : les dons et les sacrifices qui sont offerts ne sont pas capables de mener à la perfection dans sa conscience celui qui célèbre le culte ;
10 ces préceptes, liés à des observances pour les aliments, boissons et ablutions diverses, concernent seulement la chair et ne sont valables que jusqu’au temps du relèvement !
11 Le Christ est venu, grand prêtre des biens à venir. Par la tente plus grande et plus parfaite, celle qui n’est pas œuvre de mains humaines et n’appartient pas à cette création,
12 il est entré une fois pour toutes dans le sanctuaire, en répandant, non pas le sang de boucs et de jeunes taureaux, mais son propre sang. De cette manière, il a obtenu une libération définitive.
2: 14 – 18
14 Puisque les enfants des hommes ont en commun le sang et la chair, Jésus a partagé, lui aussi, pareille condition : ainsi, par sa mort, il a pu réduire à l’impuissance celui qui possédait le pouvoir de la mort, c’est-à-dire le diable,
15 et il a rendu libres tous ceux qui, par crainte de la mort, passaient toute leur vie dans une situation d’esclaves.
16 Car ceux qu’il prend en charge, ce ne sont pas les anges, c’est la descendance d’Abraham.
17 Il lui fallait donc se rendre en tout semblable à ses frères, pour devenir un grand prêtre miséricordieux et digne de foi pour les relations avec Dieu, afin d’enlever les péchés du peuple.
18 Et parce qu’il a souffert jusqu’au bout l’épreuve de sa Passion, il est capable de porter secours à ceux qui subissent une épreuve.
Saint Luc 11: 21 -28
21 Quand l’homme fort, et bien armé, garde son palais, tout ce qui lui appartient est en sécurité.
22 Mais si un plus fort survient et triomphe de lui, il lui enlève son armement auquel il se fiait, et il distribue tout ce dont il l’a dépouillé.
23 Celui qui n’est pas avec moi est contre moi ; celui qui ne rassemble pas avec moi disperse.
24 Quand l’esprit impur est sorti de l’homme, il parcourt des lieux arides en cherchant où se reposer. Et il ne trouve pas. Alors il se dit : “Je vais retourner dans ma maison, d’où je suis sorti.”
25 En arrivant, il la trouve balayée et bien rangée.
26 Alors il s’en va, et il prend d’autres esprits encore plus mauvais que lui, au nombre de sept ; ils entrent et s’y installent. Ainsi, l’état de cet homme-là est pire à la fin qu’au début. »
27 Comme Jésus disait cela, une femme éleva la voix au milieu de la foule pour lui dire : « Heureuse la mère qui t’a porté en elle, et dont les seins t’ont nourri ! »
28 Alors Jésus lui déclara : « Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent ! »
Saint Matthieu 12: 46 - 50
46 Comme Jésus parlait encore aux foules, voici que sa mère et ses frères se tenaient au-dehors, cherchant à lui parler.
47 Quelqu’un lui dit : « Ta mère et tes frères sont là, dehors, qui cherchent à te parler. »
48 Jésus lui répondit : « Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? »
49 Puis, étendant la main vers ses disciples, il dit : « Voici ma mère et mes frères.
50 Car celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux, celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère. »
Saint Jean 19: 25-27
25 Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine.
26 Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. »
27 Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui.
LA DORMITION DE LA MÈRE DE DIEU
par Vladimir Lossky. « La fête de la Dormition de la Mère de Dieu, connue en Occident sous le nom de l’Assomption, comprend deux moments distincts mais inséparables pour la foi de l’Église : la mort et l’ensevelissement de la Mère de Dieu ; et sa résurrection et son ascension .
L’Orient orthodoxe a su respecter le caractère mystérieux de cet événement qui, contrairement à la résurrection du Christ, n’a pas fait l’objet de la prédication apostolique.
En effet, il s’agit d’un mystère qui n’est pas destiné aux oreilles de " ceux de l’extérieur ", mais se révèle à la conscience intérieure de l’Église.
Pour ceux qui sont affermis dans la foi en la résurrection et l’ascension du Seigneur, il est évident que, si le Fils de Dieu avait assumé sa nature humaine dans le sein de la Vierge, celle qui a servi à l’Incarnation devait à son tour être assumée dans la gloire de son Fils ressuscité et monté au ciel. Ressuscite, Seigneur, en ton repos, toi et l’Arche de ta sainteté (Ps 131, 8, qui revient à maintes reprises dans l’office de la Dormition).
" Le cercueil et la mort " n’ont pas pu retenir " la Mère de la vie " car son Fils l’a transférée dans la vie du siècle futur (kondakion). La glorification de la Mère est une conséquence directe de l’humiliation volontaire du Fils :
le Fils de Dieu s’incarne de la Vierge Marie et se fait " Fils de l’homme ", capable de mourir, tandis que Marie, en devenant Mère de Dieu, reçoit la " gloire qui convient à Dieu " (vêpres, ton 1) et participe, la première parmi les êtres humains, à la déification finale de la créature. " Dieu se fit homme, pour que l’homme soit déifié " (S. Irénée, S. Athanase, S. Grégoire de Nazianze, S. Grégoire de Nysse [PG 7, 1120 ; 25, 192 ; 37, 465 ; 45, 65] et d’autres Pères de l’Église).
La portée de l’incarnation du Verbe apparaît ainsi dans la fin de la vie terrestre de Marie.
" La Sagesse est justifiée par ses enfants " : la gloire du siècle à venir, la fin dernière de l’homme est déjà réalisée, non seulement dans une hypostase divine incarnée, mais aussi dans une personne humaine déifiée.
Ce passage de la mort à la vie, du temps à l’éternité, de la condition terrestre à la béatitude céleste, établit la Mère de Dieu au-delà de la résurrection générale et du jugement dernier, au-delà de la parousie qui mettra fin à l’histoire du monde.
La fête du 15 août est une seconde Pâque mystérieuse, puisque l’Église y célèbre, avant la fin des temps, les prémices secrètes de sa consommation eschatologique.
Ceci explique la sobriété des textes liturgiques qui laissent entrevoir, dans l’office de la Dormition, la gloire ineffable de l’Assomption de la Mère de Dieu (l’office de " l’Ensevelissement de la Mère de Dieu ", 17 août, d’origine très tardive, est au contraire trop explicite : il est calqué sur les matines du Samedi saint (" Ensevelissement du Christ ").
La fête de la Dormition est probablement d’origine hiérosolymitaine.
Cependant, à la fin du IVe siècle, Éthérie ne la connaît pas encore.
On peut supposer néanmoins que cette solennité n’a pas tardé à apparaître, puisque au VIe siècle, elle est déjà répandue partout : S. Grégoire de Tours est le premier témoin de la fête de l’Assomption en Occident (De gloria martyrum, Miracula I, 4 et 9 - PL 71, 708 et 713), où elle était célébrée primitivement en janvier. de missel de Bobbio et le sacramentaire gallican indiquent la date du 18 janvier.)
Sous l’empereur Maurice (582-602) la date de la fête est définitivement fixée au 15 août (Nicéphore Calliste, Hist. Eccles., 1.XVII, c. 28 - PG, 147, 292).
Parmi les premiers monuments iconographiques de l’Assomption, il faut signaler le sarcophage de Santa Engracia à Saragosse (début du IVe siècle) avec une scène qui est très probablement celle de l’Assomption (Dom Cabrol, Dict. d’archéol. chrét., I, 2990-94) et un relief du VIe siècle, dans la basilique de Bolnis-Kapanakéi, en Georgie, qui représente l’Ascension de la Mère de Dieu et fait pendant au relief avec l’Ascension du Christ (S. Amiranaschwili, Histoire de l’art géorgien (en russe, Moscou, 1950), p. 128 ).
Le récit apocryphe qui circulait sous le nom de S. Méliton (IIe siècle), n’est pas antérieur au commencement du V siècle (PG, 5, 1231-1240). Il abonde en détails légendaires sur la mort, la résurrection et l’ascension de la Mère de Dieu, informations douteuses que l’Église prendra soin d’écarter.
Ainsi, S. Modeste de Jérusalem (+634), dans son " Éloge à la Dormition " - (Encomium, PG 86, 3277-3312), est très sobre dans les détails qu’il donne : il signale la présence des Apôtres " amenés de loin, par une inspiration d’en haut ", l’apparition du Christ, venu pour recevoir l’âme de sa Mère, enfin, le retour à la vie de la Mère de Dieu, " afin de participer corporellement à l’incorruption éternelle de celui qui l’a fait sortir du tombeau et qui l’a attirée à lui, de la manière que lui seul connaît ". (Patrologia Orientalis, XIX, 375-438.)
L’homélie de S. Jean de Thessalonique (+vers 630) ainsi que d’autres homélies plus récentes – de S. André de Crète, de S. Germain de Constantinople, de S. Jean Damascène (PG 97, 1045-1109 ; 98, 340-372 ; 96, 700-761) – sont plus riches en détails qui entreront aussi bien dans la liturgie que dans l’iconographie de la Dormition de la Mère de Dieu.
Le type classique de la Dormition dans l’iconographie orthodoxe se borne, habituellement, à représenter la Mère de Dieu couchée sur son lit de mort, au milieu des Apôtres, et le Christ en gloire recevant dans ses bras l’âme de sa Mère.
Cependant, quelquefois, on a voulu signaler également le moment de l’assomption corporelle : on y voit alors, en haut de l’icône, au-dessus de la scène de Dormition, la Mère de Dieu assise sur un trône dans la mandorle, que les anges portent vers les cieux.
Sur notre icône (Paris, XXe siècle), le Christ glorieux entouré de mandorle regarde le corps de sa Mère étendu sur un lit de parade. Il tient sur son bras gauche une figurine enfantine revêtue de blanc et couronnée de nimbe : c’est " l’âme toute lumineuse " (vêpres, stichère du ton 5) qu’il vient de recueillir.
Les douze Apôtres " se tenant autour du lit, assistent avec effroi " (vêpres, stichère du ton 6) au trépas de la Mère de Dieu. On reconnaît facilement, au premier plan, S. Pierre et S. Paul, des deux côtés du lit.
Sur quelques icônes, on représente en haut, dans le ciel, le moment de l’arrivée miraculeuse des Apôtres, rassemblés " des confins de la terre sur les nues " (kondakion, ton 2).
La multitude d’anges présents à la Dormition forme parfois une bordure extérieure autour de la mandorle du Christ. Sur notre icône, les vertus célestes qui accompagnent le Christ sont signalées par un séraphin à six ailes.
Trois évêques nimbés se tiennent derrière les Apôtres. Ce sont S. Jacques, " le frère du Seigneur ", premier évêque de Jérusalem, et deux disciples des Apôtres : Hiérothée et Denys l’Aréopagite, venus avec S. Paul (kondakion, ton 2 ; voir le passage des Noms divins du Pseudo-Denys sur la Dormition : III, 2 PG, 3, 681).
Au dernier plan, deux groupes de femmes représentent les fidèles de Jérusalem qui, avec les 633 évêques et les Apôtres, forment le cercle intérieur de l’Église où s’accomplit le mystère de la Dormition de la Mère de Dieu.
L’épisode d’Athonius, un Juif fanatique qui eut les deux mains coupées par le glaive angélique, pour avoir osé toucher à la couche funèbre de la Mère de Dieu, figure sur la plupart des icônes de la Dormition.
La présence de ce détail apocryphe dans la liturgie (tropaire de l’ode 3) et l’iconographie de la fête doit rappeler que la fin de la vie terrestre de la Mère de Dieu est un mystère intime de l’Église qui ne doit pas être exposé à la profanation : inaccessible aux regards de ceux de l’extérieur, la gloire de la Dormition de Marie ne peut être contemplée que dans la lumière intérieure de la Tradition. »
(Vladimir Lossky * Article paru dans Le Messager de l’Exarcat du Patriarcat russe en Europe occidentale, n° 27, juillet-septembre 1957.)
Saint Nicolas gardien de maison!
Une dame s'était rendue à la procession Velikoretsky (cette procession, populaire chez les habitants de Suzdal, existe depuis plus de 600 ans). Et ce n'est qu'à la fin du premier jour du voyage qu'elle a réalisé qu'elle avait laissé la maison ouverte. La maison à la périphérie de Kirov est isolée, personne d'autre n'y habite. Que faire ?
On lui conseilla de rentrer chez elle, mais elle décida de continuer. Et la procession a duré une semaine. Ensuite elle rentra chez elle et immédiatement senti qu'il y avait quelqu'un dans la maison. La porte était grande ouverte. Elle se tenait sur le porche, effrayée d'entrer.
Soudain, un jeune homme mal rasé en sorti, se jeta à genoux devant elle et cria : "Laisse-moi sortir, laisse-moi sortir, pour l'amour de Dieu ! Je te rendrai tout, je ferai n'importe quoi mais laisse-moi sortir ! "
"La porte est ouverte", répondit la femme, "Sortez."
"Je ne peux pas, le vieil homme ne me laissera pas sortir" - "Quel vieil homme ?" - "Pas si grand, gris. J'ai pénétré à l'intérieur, j'ai vidé le réfrigérateur, je me suis emparé d'autre chose - c'est tout - et je suis allé à la porte. Et à la porte, il y avait ce vieil homme. Et il ne disait rien. Et j'ai eu tellement peur. La nuit, j'ai essayé de sortir, mais il était encore à la porte.
"Laissez-moi sortir ou au moins livrez-moi à la police."
"Quel genre de policier croirait ça ? Tu n'as pas allumé d'incendie, et je n'ai pas besoin de ce que tu as volé!"
"J'ai peur du vieil homme", répondit-il.
La femme dit une prière et laissa l'homme partir..
A miracle associated with St. Nicholas the Wonderworker. A certain woman went to the Velikoretsky procession (this procession, popular among Suzdal people, is more than 600 years old). And only at the end of the first day of the trip she realized that she had left the house unlocked. The house on the outskirts of Kirov is separate, no one else lives in it. What to do? She was advised to return, but she decided to move on. And the whole procession was held for a week. She returned home, and immediately felt that there was someone in the house. The door was wide open. She stood on the porch, afraid to enter. Suddenly, a young unshaven man comes out, throws himself on her knees in front of her and shouts: “Let me out, let me out, for God's sake! I’ll return everything to you, I’ll work it all out, let me out! ”“ The door is open” the woman answers, “come out.” - "I can’t, the old man will not let me out" - “What old man?” - “Not so tall, gray. I climbed in, I cleaned out the refrigerator, I grabbed something else — that’s it, the whole thing — and went to the door. And at the door is this old man. And he doesn’t say anything. And I'm so scared. At night I tried to get out but he was at the door again. Let me out or at least give me to the police. ” “What kind of police would believe this?” You didn’t set fire and thanks, I don’t need the things! ”-“ I'm afraid of the old man ” the man said. The woman said the prayer and released the man
O guardião da casa de Saint Nicolas!
Uma senhora foi à procissão de Velikoretsky (essa procissão, popular entre os habitantes de Suzdal, já dura mais de 600 anos). E foi apenas no final do primeiro dia da viagem que ela percebeu que havia deixado a casa aberta. A casa nos arredores de Kirov é isolada, ninguém mais mora lá. O que fazer?
Ela foi aconselhada a ir para casa, mas ela decidiu continuar. E a procissão durou uma semana. Então ela foi para casa e imediatamente sentiu que havia alguém na casa. A porta estava escancarada. Ela estava de pé na varanda, com medo de entrar.
De repente, um homem jovem de barba por fazer saiu, se jogou de joelhos diante dela e gritou: "Deixe-me sair, deixe-me sair, pelo amor de Deus! Eu vou te dar tudo, eu vou fazer qualquer coisa, mas deixar eu fora!
"A porta está aberta", a mulher respondeu: "Saia".
"Eu não posso, o velho não vai me deixar sair" - "Que velho?" - "Não tão grande, cinza, eu entrei, esvaziei a geladeira, peguei outra coisa - só isso - e fui até a porta e na porta Havia aquele velho, e ele não disse nada, e eu estava com tanto medo que tentei sair à noite, mas ele ainda estava na porta.
"Deixe-me sair ou pelo menos me entregar à polícia."
"Que tipo de policial acreditaria nisso? Você não acendeu o fogo, e eu não preciso do que você roubou!"
"Tenho medo do velho", ele respondeu.
A mulher fez uma oração e deixou o homem ir.
Voici une magnifique homélie du Père Boulad sur notre résurrection à venir.
Lire aussi ces citations avant de regarder la vidéo pour vous mettre dans le bain.
Saint Paul ose crier haut et fort : « Si l’on proclame que Christ est ressuscité des morts, comment certains d’entre vous disent-ils qu’il n’y a pas de résurrection des morts ? S’il n’y a pas de résurrection des morts, Christ non plus n’est pas ressuscité, et si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est vide, et vide aussi votre foi » (1 Corinthiens 15,12-14).
« Ce qui est semé périssable ressuscite impérissable ; ce qui est semé sans honneur ressuscite dans la gloire ; ce qui est semé faible ressuscite dans la puissance ; ce qui est semé corps physique ressuscite corps spirituel » ( 1 Corinthiens 15,42-44)
« Nous ne sommes pas des anges, nous avons un corps » disait sainte Thérèse d’Avila.
L’âme est spécifique à un corps. Lorsque le Christ vient pour sauver l’humanité, il ne peut sauver que tout l’homme, « corps et âme ». Mgr Michel Aupetit, archevêque de Paris.
LES ABEILLES QUI RESPECTENT LES
SAINTES ICÔNES
Dans la région de Kapandriti près d'Athènes, quelque chose de merveilleux se passe.
Il y a seize ans, un pieux apiculteur nommé Isidoros Ţiminis, a pensé à placer dans une de ses ruches une icône du Seigneur.
Peu de temps après, quand il a ouvert la ruche, il a été étonné que les abeilles aient montré du respect et de la dévotion à l'icône, après avoir brodé dans la cire, tout en laissant à découvert le visage et le corps du Seigneur. Depuis lors, chaque printemps, il met dans les ruches des icônes du Sauveur, de la Vierge Marie et des saints, et le résultat est toujours le même.
Un jour, j'ai apporté d'un couvent une icône faite à la main, qui représentait le Golgotha avec trois croix. Les abeilles ont "brodé" avec de la cire toute la surface de la composition, laissant percevoir clairement la Croix du Christ et [du Bon Larron] à sa droite, tandis que le voleur sur la croix de gauche était couvert d'une épaisse couche de cire.
La dernière fois que j'y suis allé, nous avons mis dans la ruche une icône de saint Etienne l'archidiacre protomartyr, dont notre humble société d'édition porte le nom.
Comme vous pouvez le voir sur la photo que nous publions, l'icône est entièrement revêtue de cire d'abeille, laissant à découvert son visage et son corps.
Version française Claude Lopez-Ginisty
L'Eucharistie transcende l'institution, et l'Église
devient Corps du Christ (Père Schmemann)
Par et dans l'Eucharistie, comprise et vécue comme le Sacrement de l'Église, comme l'acte qui fait de l'Église ce qu'elle est - le Peuple de Dieu, le Temple de l'Esprit Saint, le Corps du Christ, don et manifestation de la vie nouvelle du nouvel âge.
C'est ici et seulement ici, au centre unique de toute vie et expérience chrétienne, que la théologie peut retrouver sa fontaine de jouvence, se régénérer comme témoignage vivant de l'Église vivante, de sa foi, de son amour et de son espérance.
Mais de même que l'Église de l'Ancienne Alliance, le vieil Israël, existait comme un passage vers la Nouvelle Alliance, et a été instituée pour préparer les voies du Seigneur, l'Église comme institution existe pour révéler - dans "ce monde" - le "monde à venir", le Royaume de Dieu, accompli et manifesté en Christ.
Elle est le passage de l'"ancien" dans le "nouveau" - mais ce qui est racheté, renouvelé et transfiguré à travers elle n'est pas "l'Église", mais l'ancienne vie elle-même, le vieil Adam et toute la Création.
Et elle est ce "passage" précisément parce qu'en tant qu'institution, elle est "l'os des os et la chair de la chair" de ce monde, parce qu'elle représente la Création entière, la représente vraiment, assume toute sa vie et l'offre - en Christ - à Dieu.
Elle est en effet instituée pour le monde et non comme une institution "religieuse" distincte qui existe pour les besoins spécifiquement religieux des hommes.
Elle représente - "rend présent" - toute l'humanité, parce que l'homme et la création ont été appelés dès le début à être le Temple de l'Esprit Saint et le réceptacle de la vie divine.
L'Église est donc la restauration par Dieu et l'acceptation par l'homme de la destinée originelle et éternelle de la Création elle-même.
Elle est la présence de l'Acte Divin, qui restaure et l'obéissance des hommes qui acceptent cet acte.
Ce n'est pourtant que lorsqu'elle accomplit et accomplit ce "passage", lorsqu'en d'autres termes, elle se transcende comme "institution" et "société" et devient la nouvelle vie de la nouvelle création, qu'elle est le Corps du Christ.
En tant qu'institution, l'Église est dans ce monde le Sacrement du Corps du Christ, du Royaume de Dieu et du monde à venir.
Nous pouvons maintenant revenir à l'Eucharistie, car c'est en effet l'acte même de passage par lequel l'Église s'accomplit comme une nouvelle Création et, par conséquent, le Sacrement de l'Église.
Dans l'Eucharistie, l'Église transcende les dimensions d'"institution" et devient le Corps du Christ. C'est l'"eschaton" de l'Église, sa manifestation comme monde à venir.
P. Alexandre Schmemann
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A Eucaristia transcende a instituição e a Igreja se
torna Corpo de Cristo (Padre Schmemann)
Através e na Eucaristia, entendido e vivido como o Sacramento da Igreja, como o ato que faz da Igreja o que é - o Povo de Deus, o Templo do Espírito Santo, o Corpo do Cristo, dom e manifestação da nova vida da nova era.
É aqui e somente aqui, no centro único de toda a vida e experiência cristã, que a teologia pode redescobrir sua fonte de juventude, regenerar-se como um testemunho vivo da Igreja viva, de sua fé, de seu amor e de sua esperança. .
Mas assim como a Igreja da Antiga Aliança, o Velho Israel, existia como um portal para a Nova Aliança, e foi instituída para preparar os caminhos do Senhor, a Igreja como uma instituição existe para revelar - neste mundo "- o" mundo por vir ", o Reino de Deus, realizado e manifestado em Cristo.
É a passagem do "velho" para o "novo" - mas o que é redimido, renovado e transfigurado através dele não é "a Igreja", mas a velha vida em si, o velho Adão e toda a criação.
E é essa "passagem" precisamente porque, como instituição, é "o osso dos ossos e a carne da carne" deste mundo, porque representa toda a Criação, representa-a verdadeiramente, assume toda a sua vida e oferta - em Cristo - a Deus.
É de fato instituído para o mundo e não como uma instituição "religiosa" separada que existe para as necessidades especificamente religiosas dos homens.
Ela representa - "torna presente" - toda a humanidade, porque o homem e a criação foram chamados desde o início para serem o Templo do Espírito Santo e o receptáculo da vida divina.
A Igreja é, portanto, a restauração por Deus e a aceitação pelo homem do destino original e eterno da própria Criação.
É a presença do Divino Ato, que restaura e obedece aos homens que aceitam esse ato.
Porém, somente quando realiza e realiza essa "passagem", quando, em outras palavras, transcende a si mesma como "instituição" e "sociedade" e se torna a nova vida da nova criação, que é o Corpo de Cristo.
Como instituição, a Igreja é neste mundo o Sacramento do Corpo de Cristo, o Reino de Deus e o mundo vindouro.
Podemos agora retornar à Eucaristia, porque é realmente o próprio ato de passagem através do qual a Igreja se realiza como uma nova Criação e, conseqüentemente, o Sacramento da Igreja.
Na Eucaristia, a Igreja transcende as dimensões da "instituição" e torna-se o Corpo de Cristo. É o "eschaton" da Igreja, sua manifestação como um mundo por vir.
P. Alexander Schmemann
By and in the Eucharist, understood and lived as the Sacrament of the Church, as the act, which ever makes the Church to be what she is — the People of God, the Temple of the Holy Spirit, the Body of Christ, the gift and manifestation of the new life of the new age. It is here and only here, in the unique center of all Christian life and experience that theology can find again its fountain of youth, be regenerated as a living testimony to the living Church, her faith, love and hope. But just as the Church of the Old Covenant, the old Israel, existed as a passage to the New Covenant, was instituted in order to prepare the ways of the Lord, the Church as institution exists in order to reveal — in "this world" — the "world to come," the Kingdom of God, fulfilled and manifested in Christ. She is the passage of the "old" into the "new" — yet what is being redeemed, renewed and transfigured through her is not the "Church," but the old life itself, the old Adam and the whole of creation. And she is this "passage" precisely because as institution she is "bone of the bones and flesh of the flesh" of this world, because she stands for the whole creation, truly represents it, assumes all of its life and offers it — in Christ — to God. She is indeed instituted for the world and not as a separate "religious" institution existing for the specifically religious needs of men. She represents — "makes present" — the whole of mankind, because mankind and creation were called from the very beginning to be the Temple of the Holy Spirit and the receptacle of Divine life. The Church is thus the restoration by God and the acceptance by man of the original and eternal destiny of creation itself. She is the presence of the Divine Act, which restores and the obedience of men who accept this act. Yet it is only when she performs and fulfills this "passage," when, in other terms, she transcends herself as "institution" and "society" and becomes indeed the new life of the new creation, that she is the Body of Christ. As institution the Church is in this world the sacrament of the Body of Christ, of the Kingdom of God and the world to come. We can now return to the Eucharist, for it is indeed the very act of passage in which the Church fulfills herself as a new creation and, therefore, the Sacrament of the Church. In the Eucharist, the Church transcends the dimensions of "institution" and becomes the Body of Christ. It is the "eschaton" of the Church, her manifestation as the world to come. Fr. Alexandre Schmemann
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Où nous trouver ?
Grande Paroisse NORD-OUEST et NORD-EST (Paroisse Cathédrale N-D de Miséricorde):
NORMANDIE :
CHANDAI (61) et CHAISE-DIEU DU THEIL (27):
* Le Sanctuaire Marial de la
Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.
Tous les dimanches, Messe à 10h30 et permanence constante de prêtres pour CATÉCHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
(Liturgie de St Jacques dite "d'Antioche-Jérusalem")
Le 30 de chaque mois, Permanence pastorale de 8h30 à 19h (Sur R.D.V) chez Mme Henriette Marie, 43, Rue de la Marne à CAEN. Tel 06.33.98.52.54 . (Possibilité de rencontrer un prêtre pour Catéchisme, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
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Grande Paroisse "NOUVELLE AQUITAINE" , OCCITANIE (N-D de la Très Sainte Trinité):
NANTES:
*"relais paroissial" St Charbel
18h, Messe le 2ème jeudi de chaque mois et permanence régulière d'un prêtre Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) de 9h à 17h (06.48.84.94.89).
NOUS RECHERCHONS UN LOCAL SUR NANTES POUR DONNER AUX FIDÈLES AU MOINS UN DIMANCHE PAR MOIS LA SAINTE MESSE AINSI QU'UN MEILLEUR SERVICE PASTORAL
ANGOULÊME (Jauldes):
*Paroisse N-D de Toutes Grâces et St Ubald
MAISON NOTRE-DAME
66,Place Schoeneck, LE BOURG
16560 JAULDES.
Tel: 05.45.37.35.13 * Messe les 2èmes et 4èmes Dimanches de Chaque mois à 10h30 suivies d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.
* Possibilité de prendre Rendez-vous avec le prêtre la semaine suivant le 2éme dimanche du mois ainsi que pour les visites aux malades et à domicile.
Permanence régulière d'un prêtre pour CATÉCHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
PERIGUEUX (La Chapelle Faucher):
*Paroisse Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front
ERMITAGE ST COLOMBAN* Puyroudier (Rte d'Agonac) 24530LA CHAPELLE FAUCHER.
Tel:05.45.37.35.13
* Messe le 4ème samedi de Chaque mois à 10h30et permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISMES, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
LOURDES:
*Relais paroissial St Gregorios de Parumala
* Messes épisodiques ( en fonction des besoins des fidèles) à 10h30
Rte de Pau
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CAMEROUN, PAKISTAN ET BRÉSIL:
Pour obtenir les adresses du Monastère de YAOUNDÉ,
des paroisses et "relais paroissiaux de Doula, Yaoundé, Elig Nkouma, Mimboman, Bertoua, Monabo, veuillez les demander au Monastère Métropolitain. De même pour les Paroisses du Brésil et du Pakistan:
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.