Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 mai 2014 1 05 /05 /mai /2014 16:37

Tradition Syriaque

 

 

 

Jésus,Marie et les Apôtres parlaient une langue sémitique:l'Araméen ou Syriaque. 

 

C'est donc dans cette langue que le Message de la Bonne Nouvelle du Salut nous fût oralement transmis avant que ne fussent rédigés les Évangiles, en Syriaque et en Grec, sous la forme que nous leur connaissons.

 

   Cette langue est de nos jours encore parlée au Moyen-Orient et se trouve utilisée, dans leurs Liturgies, par plusieurs Églises Orientales "du Levant":

 

-L'Eglise Syriaque (avec ses deux branches: Orthodoxe  et Catholique

 

*l'Eglise-mère de Toutes les Eglises de Tradition Syriaque:

 

¤Patriarcat Syriaque Orthodoxe d'Antioche et de Tout l'Orient (Voir "Ressources Syriaques" : Syriac Orthodox Resources (en Anglais), Shroro - SOC Digest (En Anglais).Institut Syriaque de Belgique),et son Eglise- aux Indes (désormais canoniquement indépendante)

 

¤l'Eglise Orthodoxe Malankare. Site officiel de l'Église Eglise-mère à son tour de l'

 

¤Eglise Syriaque-Orthodoxe Antiochienne (Crée pour l'Europe et ses missions).http://syrorthodoxchurch.com/ et , partant, de notre 

 

¤Eglise Syro-Orthodoxe Francophone.

 

*L'Eglise Syro-Maronite ,

 

-L' Église Assyro-Chaldéenne (avec ses deux branches.http://www.mission.chaldeenne.org/ ).

          Ainsi en est-il donc des moines du Monastère Syriaque de N-D de Miséricorde (Siège de la Métropolie de l'Eglise Syriaque-Orthodoxe-Antiochienne en France et en Afrique ) et, dès lors, de la Paroisse Cathédrale, qui célèbrent la Sainte  Messe (St Qurbana) dans la Tradition Liturgique Syriaque "d'Antioche Jérusalem", cette belle Liturgie de St Jacques dite "Mère de de toutes les Liturgies".

 

  C'est en effet de cette Liturgie primitive de l’Église encore in-divisée que, en s'adaptant au génie propres à chaque peuple, se diversifièrent peu à peu, dans le concert de l’Église Universelle, les diverses expressions de la prière liturgique de chaque Église Locale (ttp://fr.wikipedia.org/wiki/Rite_syriaque_occidental ).

 

   Ainsi, de cette souche première naquirent, progressivement, les rites Byzantins, Romains, Arméniens...

 

Gregorios-Photo-retouchee.jpg

A notre époque, alors que d'aucun vivent comme des déracinés et semblent avoir brisées leurs boussoles,ne sachant plus d'où il vienne et vers où ils vont, il ne nous semble pas indifférent de se tourner vers les origines Apostoliques de notre Foi et de nous souvenir que "La Lumière nous vient de l'Orient".

 

   Le Monastère de Notre-Dame de Miséricorde et ses dépendances, en France, au Cameroun veulent être des lieux de prières pour que soit restaurée, là où c'est nécessaire, et  toujours plus clairement manifestée l' Unité de l’Église du Christ, l'unité des "Eglises Apostoliques".

 

   En effet,on le sait ,le Christ n'a pas fondé plusieurs, mais une seule Église !...Malheureusement l'orgueil humain s'est chargé de déchirer la "Tunique sans couture" du Christ !

 

   Pourtant, malgré ce scandale des divisions qui ne sont que le fruit de l'orgueil, l’Église ne saurait être divisée dans ce qui fait son essence.

 

   Elle reste essentiellement Catholique, universellement unie dans la commune profession de la Foi Orthodoxe (rectitude doctrinale) et cette Grâce du Saint - Esprit qui, à travers les Sacrements surtout, relient ses membres au Christ son Chef et son Pasteur.

 

   Ceux donc qui,par orgueil, ne seraient plus fidèles à la "Tradition Apostolique" et dévieraient vers l'hérésie, vers l'apostasie et entraîneraient les Peuples désorientés vers une grande confusion, ceux- là pêcheraient gravement contre l'unité et la briseraient...

 

   Nous ne pouvons donc que vous inviter à nous rejoindre dans notre effort de restauration de cette unité, voulue par le Christ pour Son Église, à travers l'humble fidélité à l'héritage des Pères, particulièrement par la célébration simple, joyeuse et digne de l'Antique Liturgie d'Antioche Jérusalem.

 

   Si arrive que vous nous fassiez l'honneur et le bonheur de nous rejoindre, en France ou en Afrique, pour l'une ou l'autre de nos célébrations, vous aurez à cœur, tout comme nous que cette Liturgie naturellement empreinte de respect et d'adoration, revête une plus grande solennité; si vous souhaitez que nos assemblées soient vivantes et recueillies, nous vous prions donc d'être, autant que possible, une demi heure en avance pour répéter ces beaux cantiques traditionnels que vous aimez...

 

   Plus que jamais nous avons besoin de nous réunir autour de nos prêtres (Moines et séculiers) dans des oasis de fidélité et de paix où, à travers l'Orthodoxie de la Foi, nous puissions, comme le chantent les Oraisons de la Liturgie Syriaque du Baptême, remercier le Seigneur "de nous avoir incorporés à Son Église Sainte, Catholique et Apostolique! " car en elle nous honorons le Seul Vrai Dieu, nous trouvons et protection contre l'Esprit du Mal, ainsi que la force de vaincre l'adversité.


 

 
 

L'Église syriaque toujours vivante


L'identité Syriaque orthodoxe plonge ses racines dans la région du "Tur Abdin" en  l'actuelle Turquie.
Or celui-ci est de plus en plus déserté. En 1965, un fidèle demanda à l'évêque de Mardin (il s'agit de Mor Philoxène Youhanna Dolabani) :


« Sera-ce la fin de l'Église Syriaque Orthodoxe puisqu'en fuyant la Turquie les fidèles perdront, probablement, leur identité et leur foi traditionnelle ? »
et le saint évêque répondit :


-« La fin de notre Église ne viendra pas, mon fils. Si le soleil de l'Église Syriaque Orthodoxe se couche en Turquie, il se lèvera ailleurs dans le monde. Les racines vivantes ont été, et 

St-Gregoire--Patriache-de-Jerusalem-Consecrateur-de-St-K.JPG 

seront toujours, ici, même si l'arbre est violemment coupé, encore et encore, il continuera de fleurir en raison de ses racines intactes ».
« Le soleil de l'Église Syriaque Orthodoxe se lèvera ailleurs dans le monde ! »

Comme il avait raison, le saint évêque ! Nous assistons déjà, un peu partout, à une aube radieuse. Le message de l'Église Syriaque Orthodoxe, porté par une Église qui ne fut jamais une institution de pouvoir, dont les évêques et les prêtres se reconnaissent « serviteurs des serviteurs de Dieu », transmis par une Église véritablement 

trinitaire et dont tous les fidèles sont à l'écoute de l'Esprit Saint, ce message nous vient de « racines toujours intactes » et comme il a raison, le saint évêque, de garder, envers et contre tout, l'espérance !
Que le Christ, notre Dieu, daigne l'exaucer !

(Extrait du livre de C. GUÉRILLOT, L'Église d'Antioche Syriaque Orthodoxe ; 1 : Une Église martyre, approche historique, éd. Véga, Paris 2008, p.118)

C'est ainsi que, en raison du phénomène de "diaspora" hélas suscité par les vagues de persécutions dont nos frères et soeurs sont victimes en leurs terres d'origine, la Tradition Syriaque se répand désormais dans le monde entier...C'est ainsi que, grâce à l'audace missionnaire de l'Eglise Malankare Orthodoxe, à côté des juridictions plus "etniques", notre Eglise Syriaque-Orthodoxe Antiochienne propose aux Occidentaux et aux Africains cette riche et antique Tradition qui unit désormais en une seule famille spirituelle l'Orient et l'Occident.

 


Pour apprendre ou s'imprégner des chants Liturgiques de la Tradition Syriaque: Syriac Music. Musique

 

LA TRADITION SYRIAQUE EN FRANCE ET FRANCOPHONIE
( Article tiré du Site: LES AMIS DE LA TRADITION SYRIAQUE. http://les-amis-de-la-tradition-syriaque-syro-orthodoxe-syro-catholiqu.over-blog.com/)
Bref Historique:

    La Tradition Syriaque unit entre elles plusieurs Juridictions ecclésiastiques: Orthodoxes ou Catholiques qui ont essaimées du Moyen Orient jusqu'aux Indes. 

   Au delà des clivages politiques qui conduisirent trop souvent à des divisions aujourd'hui largement dépassées, l'Eglise Syrienne possède la plus ancienne Liturgie Chrétienne. 

   Elle hérite en effet de la première communauté de Jérusalem et du glorieux et antique Patriarcat d'Antioche dont elle est la "Fille aînée".

  Après 70 années de captivités à Babylone (536-606 av J.C), les Hébreux adoptèrent la langue Syro-Araméenne.   
  C'est dans cette langue que fut écrit le Talmud (recueil de traditions rabinniques).

   Et c'est encore dans cette langue parlée par Lui-même, Sa Ste mère et Ses Apôtres,  que Jésus célébra la première Liturgie Eucharistique qui au Cénacle préfigurait et actualisait Son Sacrifice sanglant du lendemain sur le Golgotha (par lequel, soit dit en passant, Il abolissait en les accomplissant tous les autres sacrifices),exactement comme sur son ordre et depuis, les prêtres Chrétiens renouvellent ce Sacrifice en offrant au Père la Divine Offrande (St Qurbana) d'une manière non sanglante, satisfactoire et propitiatoire pour la régénération de l'Homme.

   C'est en cette même langue, au moins en partie, que les Eglises-soeurs des familles Syro-Orthodoxes ou Syro-Catholiques célèbrent encore l'Eucharistie (St Qurbana) qu'elles appartiennent à l'Eglise-mère d'Antioche ou aux "Chrétiens de St Thomas" (Chrétientés Syriaques de Indes).

   Elles emploient pour ce faire la Liturgie dite "Mère de toutes les Liturgie": l'anaphore attribuée à St Jacques ,"frère"(cousin) du Seigneur et premier Evêque de Jérusalem. 

   C'est pourquoi l'on parle communément de la "Liturgie d'Antioche-Jérusalem".

   Les Eglises Syriennes (ou Syriaque), peuvent légitimement revendiquer l'héritage directe de l'Eglise de Jérusalem.

   L'Eglise Syrienne se dit aussi ,comme nous l'avons vu,"fille aînée d'Antioche".

   Fondée en 301 av J.C par Antiochos (325-261), la ville d'Antioche était la Métropole de la "Grande Syrie" (qui englobait alors la Palestine et une partie de l'actuelle Turquie).

   C'est en cette ville que Pierre, le "Prince des Apôtres", fonda son premier Siège avant de se rendre à Rome où il sera martyrisé en 67.

   Lorsque Jérusalem, en 70, fut mis à sac par l'Empereur TITUS, les Chrétiens vinrent nombreux se réfugier à Antioche, cette Métropole où l'on parlait une langue qu'il connaissaient: le Syriaque.

   C'est dans cette ville que, pour la première fois, on donna au disciple du Christ: "le Nazaréen", le nom de Chrétien.


   C'est encore à Antioche que, pour la première fois, St Ignace désignera comme appartenant à  l'Eglise "Catholique"(Universelle) toutes les "Eglises locales" qu''unit la profession Orthodoxe (droite) de la Foi.

   Il ne peut, en effet, exister d'unité Catholique hors de l'Orthodoxie de la foi professée et de la rectitude des rites sacramentels.

   Les Eglises de la famille Syro-Orthodoxe (Eglises Orthodoxes Orientales) et de la famille Syro-Catholique s'originent au Moyen -Orient (Iraq, Liban,Turquie,etc) et aux Indes du Malabar-Malankar (Kerala ou Sud de L'Inde).

   Même si, aux origines de l'expansion du Christianisme de nombreux missionnaires orientaux de Tradition Syriaque parvinrent en Occident (de même qu'il parvinrent, à la suite de St Thomas, jusqu'aux Indes et en Chine), la latinisation,puis la romanisation des rites nous tinrent à l'écart de cette vivifiante Tradition Originelle.

   Il fallut donc attendre, à la la faveur hélas! des récentes convulsions historiques qui secouent le Moyen -Orient, que des communautés entieres soient contraintes de quitter  leurs terres pour rejoindre  nos lointaines régions pour que  nous découvrions enfin ces antiques chrétientés, descendantes de ceux qui nous apportèrent l'Evangile du Salut.

   Le Catéchisme de l'Eglise Romaine ne nous en avait pas parlé! et nous autres, fidèles occidentaux, ignorions qu'avant d'aller à Rome, St Pierre dirigea l'Eglise d'Antioche.

    Nous ignorions aussi, ou nous oubliions du moins que les douze Apôtres et Disciples partirent évangéliser les quatres points du monde et que, bien évidemment, leur enseignement ,tout comme leur manière de louer Dieu, s'adaptèrent aux us et coûtumes locales (d'où la constitution d'écoles théologiques et de rites particuliers).

   Aujourd'hui donc, nous savons! grâce à ces déracinés, victimes du fanatisme qui, providentiellement  témoignent auprès de nos peuples de ce que furent nos racines oubliées.

   Mais tous ces frères meurtris,le plus souvent, prient naturellement dans leurs langues et, pour ne pas risquer de perdre leur identité, s'agrippent légitimement à ces marques de leur identité ! 

  
 Evidemment, pour nous autres Occidentaux ,"c'est comme si on nous parlait Araméen" ,et pour cause ! Alors évidemment,même si nous sommes ravis d'entendre un peu et même d'apprendre l'Araméen ! pour communier plus largement aux sources vivifiante de la "Tradition Apostolique" telle qu'elle nous est transmise inaltérée par ces Eglises, nous autres fils et filles dans occident qui fut chrétien,  apprécions cependant de rencontrer sur nos chemins telle ou telle communauté religieuse qui, reçue dans l'une ou l'autre de ces antiques Eglises Orthodoxes Orientales (Syriaque , Copte, Ethiopiènne...) célèbrent,au moins en partie, dans nos langues occidentales ces merveilleuses Liturgies Orientales et nous découvrent, à travers des traductions, l'extraordinaire richesse  des "Pères Apostoliques" et, tout simplement, nous révèlent qu'elles sont nos propres racines...

Nous avons aujourd'hui en France plusieurs Eglises appartenant à la Tradition Syriaque, lesquelles, chacune à sa façon, transmettent l'héritage cultuel et culturel auquel s'attache notre Association des "Amis de la Tradition Syriaque"

-------------------------------------------------------------------------------------------------------
SOL
I
DARITE SYRO FRANCOPHONE:


Menaces sur la présence syriaque, Soutenons nos frères du Tur Abdin (Turquie) !

 
   

 

Haut lieu de la fragile présence syriaque dans le Sud-Est de la Turquie , le monastère de Mor Gabriel(Deyrulumur), fait l’objet de visées et de convoitises qui se traduisent aujourd’hui par la multiplication de procédures judiciaires. En effet, les chefs de certains villages kurdes voisins ont semble-t-il décidé d’en récupérer les terres. La communauté syriaque Orthodoxe lance un cri d’appel au travers d’un site Internet et d’une pétition en ligne. Ci-dessous, des informations et quelques précisions.

- Don’t touch Mor Gabriel

L’Eglise syriaque fait partie des Eglises orthodoxes orientales autocéphales réorganisées après les persécutions qui précédèrent et suivirent le Concile de Chalcédoine (451) . 


Or, s'il  est dans le Sud-Est anatolien un élément fort et sacré de la présence syriaque, c'est bien le monastère de Mor Gabriel
(Deyrulumur, à proximité de Mardin) ! fondé il y a de cela 1640 ans. En outre les bâtiments conventuels et l’église, la fondation religieuse dont il est le coeur est propriétaire de terrains aux alentours. Ce sont ces terres qui font aujourd’hui l’objet de la convoitise de certains voisins.Elle a pour chef Sa Sainteté 
Ignace Ephrem II Karim, Patriarche d’Antioche et deTout l'Orient en actuelle résidence à Damas.

Le monastère est confronté à trois procédures judiciaires intentées par des “riverains”. Les riverains en question : des personnes qui, il y a trois ans à peine, avaient déjà pris possession des terrains appartenant aux Yézidis (minorité religieuse encore présente en Irak, ndlr). Dans une lettre adressée au gouvernement turc, le député suédois social-démocrate, Yilmaz Kerimo (d’origine turque syriaque) nommait le responsable de ces démarches judiciaires : le père d’un député AKP de la région qui se trouve être à la tête d’un groupe de “protecteurs de village” [supplétifs para-militaires de l’armée turque dans le Sud-Est anatolien, armés par Ankara dans le cadre de la lutte contre le PKK, ndlr]. Les plaintes déposées auprès du procureur de Mydiat s’appuient sur une rhétorique bien connue et malheureusement efficace.

Petit florilège.

1) “L’église qui n’est pas une fondation religieuse et qui n’a pas de titre de propriété ou d’exploitation, s’est installée partout comme un occupant. Elle occupe nos terres et en exploite les bois.

L’église dont on dit ici qu’elle n’a pas le statut juridique de fondation est une fondation pieuse datant de la période ottomane. Elle est ainsi reconnue dans le Journal Officiel de la République turque (24.01.2003).

Puis plus loin, “nous nous adressons à tous les responsables ; vous devez mettre fin à cette occupation et à ce pillage ! Vous êtes les fils du Sultan Fatih qui promettait de couper la tête à qui couperait une branche de ses forêts. Vous devez non pas couper la tête de ce prêtre épiscopal mais mettre un terme au pillage.

2) “Dans ce monastère, on donne des cours de religion à des enfants de 10 à 12 ans dont l’identité reste secrète. On y viole la loi d’unification de l’enseignement. On y mène des actions réactionnaires. En outre, il s’agit d’un musée qui ne peut se prévaloir d’une autorisation pour les pratiques religieuses.

Or, le Traité de Lausanne, acte fondateur de la Turquie moderne, énonce en son article 40 le droit pour “les membres des minorités non-musulmanes de fonder, de diriger et de contrôler toutes sortes d’écoles et d’institutions d’enseignement et d’y utiliser librement leur langue comme d’y pratiquer librement ce que commandent leurs croyances.

Il est rappelé un peu plus haut à l’article 37 qu’aucune loi ou décision de justice ne peut porter atteinte à ces dispositions. Plus loin, les plaignants précisent leur pensée : “quant aux moines, les prêtres et les métropolites qui vivent là-bas comme d’autres personnes inconnues, on se demande d’où elles sont venues, dans quel but ?” La présence des Syriaques dans cette région est attestée depuis au moins 16 siècles.

3) Ces gens-là “poussent le peuple à la révolte et à l’émeute. Ils mènent des actions de toutes sortes visant à défaire l’esprit d’unité et de solidarité de la nation”. Sans commentaire.

4) “Et ici sans que l’on en connaisse la provenance et sans que ces sommes ne soient soumises à l’impôt, arrive de l’argent aux origines occultes.

Sachant que les fondations sont soumises au strict contrôle de la Direction Générale des Fondations, un tel afflux d’argent est-il seulement envisageable ?

***

Il y a un mois environ dans un éditorial consacré à cette question, Baskin Oran concluait : “d’après moi, il faut les laisser se faire spolier leurs terrains. İls iront porter l’affaire devant la Cour Européenne de Justice et c’est finalement le contribuable turc qui paiera une fois la Turquie condamnée !

Avant d’ajouter : “nous aurons au moins préservé notre pays des attaques impérialistes et de la terreur missionnaire.

- Don’t touch Mor Gabriel


Source : Texte construit à partir de  plusieurs articles glanés sur Internet dont l’article de Baskin Oran, paru le 21-12-2008 dans Radikal 2.

 

 

 

Partager cet article
Repost0

commentaires

Recherche

Liens