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13 août 2020 4 13 /08 /août /2020 17:01

15 Août :

Fête de l'Assomption de Sainte-Marie .

Martha Mariam Samajam

  • Soirée :
    • Saint Luc 1: 39 - 56, 2: 22 - 35
  • Matin :
    • Saint-Luke2, 42-51,
  • Avant  Quadisha Qurbana :
    • Exode 3:1 - 6, 19: 16-23
    • Ezéchiel 44: 1 à 3
    • Isaiah45: 11 -19
  • Quadisha Qurbana
    • Actes 1: 12 - 14,
  • 12 Alors, ils retournèrent à Jérusalem depuis le lieu-dit « mont des Oliviers » qui en est proche, – la distance de marche ne dépasse pas ce qui est permis le jour du sabbat.
  • 13 À leur arrivée, ils montèrent dans la chambre haute où ils se tenaient habituellement ; c’était Pierre, Jean, Jacques et André, Philippe et Thomas, Barthélemy et Matthieu, Jacques fils d’Alphée, Simon le Zélote, et Jude fils de Jacques.
  • 14 Tous, d’un même cœur, étaient assidus à la prière, avec des femmes, avec Marie la mère de Jésus, et avec ses frères.
    •  
    • 7: 44 -53
  • 44 Nos pères, dans le désert, avaient la tente Elle avait été faite d’après les ordres de Celui qui parlait à Moïse et qui lui en avait montré le modèle.
  • 45 Après avoir reçu cette tente, nos pères, avec Josué, la firent entrer dans le pays que les nations possédaient avant que Dieu les chasse loin du visage de nos pères. Cela dura jusqu’au temps de David.
  • 46 Celui-ci trouva grâce devant Dieu et il pria afin de trouver une demeure au Dieu de Jacob.
  • 47 Mais ce fut Salomon qui lui construisit une maison.
  • 48 Pourtant, le Très-Haut n’habite pas dans ce qui est fait de main d’homme, comme le dit le prophète :
  • 49 Le ciel est mon trône, et la terre, l’escabeau de mes pieds. Quelle maison me bâtirez-vous, dit le Seigneur, quel sera le lieu de mon repos ?
  • 50 N’est-ce pas ma main qui a fait tout cela ?
  • 51 Vous qui avez la nuque raide, vous dont le cœur et les oreilles sont fermés à l’Alliance, depuis toujours vous résistez à l’Esprit Saint ; vous êtes bien comme vos pères !
  • 52 Y a-t-il un prophète que vos pères n’aient pas persécuté ? Ils ont même tué ceux qui annonçaient d’avance la venue du Juste, celui-là que maintenant vous venez de livrer et d’assassiner.
  • 53 Vous qui aviez reçu la loi sur ordre des anges, vous ne l’avez pas observée. »
    •  
    • Hébreux 9: 3-12
  • 03 Derrière le second rideau, il y avait la tente appelée le Saint des saints,
  • 04 contenant un brûle-parfum en or et l’arche d’Alliance entièrement recouverte d’or, dans laquelle se trouvaient un vase d’or contenant la manne, le bâton d’Aaron qui avait fleuri, et les tables de l’Alliance ;
  • 05 au-dessus de l’arche, les kéroubim de gloire couvraient de leur ombre la plaque d’or appelée propitiatoire. Mais il n’y a pas lieu maintenant d’entrer dans les détails.
  • 06 Les choses étant ainsi disposées, les prêtres entrent continuellement dans la première tente quand ils célèbrent le culte.
  • 07 Mais dans la deuxième tente, une fois par an, le grand prêtre entre seul, et il ne le fait pas sans offrir du sang pour lui-même et pour les fautes que le peuple a commises par ignorance.
  • 08 L’Esprit Saint montre ainsi que le chemin du sanctuaire n’a pas encore été manifesté tant que la première tente reste debout.
  • 09 C’est là une préfiguration pour le temps présent : les dons et les sacrifices qui sont offerts ne sont pas capables de mener à la perfection dans sa conscience celui qui célèbre le culte ;
  • 10 ces préceptes, liés à des observances pour les aliments, boissons et ablutions diverses, concernent seulement la chair et ne sont valables que jusqu’au temps du relèvement !
  • 11 Le Christ est venu, grand prêtre des biens à venir. Par la tente plus grande et plus parfaite, celle qui n’est pas œuvre de mains humaines et n’appartient pas à cette création,
  • 12 il est entré une fois pour toutes dans le sanctuaire, en répandant, non pas le sang de boucs et de jeunes taureaux, mais son propre sang. De cette manière, il a obtenu une libération définitive.
    •  
    •  2: 14 – 18
  • 14 Puisque les enfants des hommes ont en commun le sang et la chair, Jésus a partagé, lui aussi, pareille condition : ainsi, par sa mort, il a pu réduire à l’impuissance celui qui possédait le pouvoir de la mort, c’est-à-dire le diable,
  • 15 et il a rendu libres tous ceux qui, par crainte de la mort, passaient toute leur vie dans une situation d’esclaves.
  • 16 Car ceux qu’il prend en charge, ce ne sont pas les anges, c’est la descendance d’Abraham.
  • 17 Il lui fallait donc se rendre en tout semblable à ses frères, pour devenir un grand prêtre miséricordieux et digne de foi pour les relations avec Dieu, afin d’enlever les péchés du peuple.
  • 18 Et parce qu’il a souffert jusqu’au bout l’épreuve de sa Passion, il est capable de porter secours à ceux qui subissent une épreuve.
    •  
    • Saint Luc 11: 21 -28
  • 21 Quand l’homme fort, et bien armé, garde son palais, tout ce qui lui appartient est en sécurité.
  • 22 Mais si un plus fort survient et triomphe de lui, il lui enlève son armement auquel il se fiait, et il distribue tout ce dont il l’a dépouillé.
  • 23 Celui qui n’est pas avec moi est contre moi ; celui qui ne rassemble pas avec moi disperse.
  • 24 Quand l’esprit impur est sorti de l’homme, il parcourt des lieux arides en cherchant où se reposer. Et il ne trouve pas. Alors il se dit : “Je vais retourner dans ma maison, d’où je suis sorti.”
  • 25 En arrivant, il la trouve balayée et bien rangée.
  • 26 Alors il s’en va, et il prend d’autres esprits encore plus mauvais que lui, au nombre de sept ; ils entrent et s’y installent. Ainsi, l’état de cet homme-là est pire à la fin qu’au début. »
  • 27 Comme Jésus disait cela, une femme éleva la voix au milieu de la foule pour lui dire : « Heureuse la mère qui t’a porté en elle, et dont les seins t’ont nourri ! »
  • 28 Alors Jésus lui déclara : « Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la gardent ! »
    •  
    • Saint Matthieu 12: 46 - 50
  • 46 Comme Jésus parlait encore aux foules, voici que sa mère et ses frères se tenaient au-dehors, cherchant à lui parler.
  • 47 Quelqu’un lui dit : « Ta mère et tes frères sont là, dehors, qui cherchent à te parler. »
  • 48 Jésus lui répondit : « Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? »
  • 49 Puis, étendant la main vers ses disciples, il dit : « Voici ma mère et mes frères.
  • 50 Car celui qui fait la volonté de mon Père qui est aux cieux, celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère. »
    •  
    • Saint Jean 19: 25-27
  • 25 Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine.
  • 26 Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : « Femme, voici ton fils. »
  • 27 Puis il dit au disciple : « Voici ta mère. » Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui.
    •  

« Vous qui avez porté la Vie, vous êtes entrée dans la vie par votre sainte Dormition ! »

Jacopo Torriti - Basilique Sainte Marie Majeure Rome 1296 - la Dormition

Rome, basilique de Sainte Marie Majeure :
la Dormition de la Sainte Mère de Dieu (Jacopo Torriti – 1296)

Strophes empruntées à la liturgie grecque :

Venez ! Depuis toutes les extrémités de la terre, glorifions la vénérable Assomption de la Mère de Dieu !
Car elle a remis dans les mains de son Fils son âme immaculée.
C’est pourquoi, par sa sainte Dormition le monde est éveillé à la vie et, dans des psaumes, des hymnes et des cantiques spirituels, il célèbre, en union avec les anges et les Apôtres, une fête joyeuse.

Pour glorifier votre vénérable Dormition, ô Sainte et Pure Vierge, les troupes angéliques dans le Ciel, et le genre humain sur la terre, chantent de concert.
Car vous avez été la Mère du Créateur de toutes choses, le Christ notre Dieu !
Ne cessez point d’intercéder pour nous auprès de Lui, nous qui avons, après Dieu, notre espoir fixé sur vous, ô Pure Mère de Dieu qu’on ne saura jamais assez glorifier !

Dieu le Créateur de toutes choses vous a donné ce qui surpasse la nature.
Car de même qu’à votre maternité Il vous a laissée vierge, Il a préservé votre corps de la corruption du tombeau et vous a glorifiée dans votre sainte Assomption, vous comblant de présents, comme il convient qu’un fils fasse pour sa mère.

Votre Enfant vous a vraiment, ô Vierge, cachée dans le saint des saints comme le flambeau qu’alimente un feu immortel, comme l’encensoir doré qui contient un charbon divin, comme la houlette, comme les tables écrites par Dieu, comme l’arche sainte, la table du Pain de Vie.

Vous qui avez porté la Vie, vous êtes entrée dans la vie par votre sainte Dormition, sans subir les injures de la mort ; les Anges, les Principautés, les Puissances, les Apôtres, les Prophètes et toute la création vous un fait un cortège d’honneur lorsque votre Fils reçut dans Ses mains pures votre âme immaculée, ô Vierge et Mère, Epouse de Dieu !

Jacopo Torriti - Basilique Sainte Marie Majeure Rome 1296 - Couronnement de Marie

Rome, basilique de Sainte Marie Majeure :
le Couronnement de la Sainte Mère de Dieu (Jacopo Torriti – 1296)

Bataille entre deux loups

 

qui nous habitent tous !

 

Le vieux Cherokee à son fils: fils, il y a une bataille entre deux loups à l'intérieur de nous tous.

L'un est le Mal: C'est la colère, l'envie, la jalousie, la tristesse, le regret, l'avidité, l'arrogance, la honte, le rejet, l'infériorité, le mensonge, la fierté, la supériorité, et l'ego.

L'autre est le Bien: C'est la joie, la paix, l'amour, l'espoir, la sérénité, l'humilité, la gentillesse, la bienveillance, l'empathie, la générosité, la vérité, la compassion et la foi.»

Le petit fils songea à cette histoire pendant un instant et demanda à son grand-père: des deux loups lequel gagne ?

Le vieux Cherokee répondit simplement: celui que tu nourris

A nous de choisir lequel des deux nous voulons nourrir.

 
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Samedi 15 AOÛT

DORMITION-ASSOMPTION DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE

Grand Pèlerinage d'été à Notre-Dame de Miséricorde

10h30 Messe et Procession mariale, renouvellement du vœux de consécration de la France à Marie Reine

Dimanche 16 Août, 1er Dimanche après l'Assomption, programme habituel.

 

Adresse: Sanctuaire Marial de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde 

Monastère Syriaque N-D de Miséricorde
Brévilly
61300 CHANDAI

Tel: 02.33.24.79.58 

 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net 

 

lys 2

Au Nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit.
Amîn.

Très douce Vierge Marie, qui avez jadis inspiré au Roi Louis XIII de vous consacrer sa personne, son royaume et ses sujets, daignez continuer d’étendre sur notre personne, notre famille, notre paroisse, notre diocèse et notre Patrie, la France, votre protection maternelle.


Nous aussi, et davantage encore que le pieux Roi,  sommes en butte aux épreuves, aux divisions, aux révoltes et aux erreurs. Le démon et le monde mènent contre la Sainte Eglise, contre la Royauté de votre Fils, contre les familles chrétiennes et contre nos âmes fragiles, une guerre sans merci, cherchant à détruire tout ce qui glorifie Dieu et tout ce qui est soumis à Sa Sainte Volonté.


Le monde entier souffre de famine spirituelle, et il n’est presque plus personne pour prêcher la Vérité et répandre la grâce des sacrements. Les erreurs et le péché règnent partout, jusque dans le sanctuaire, et la foi de vos enfants est sans cesse menacée par des pasteurs indignes qui renient par leurs paroles ou par leurs actes l’Evangile de votre Divin Fils.C’est pourquoi nous nous tournons vers vous avec ferveur et grande confiance, et nous venons à vos pieds nous consacrer à vous. 


Ô Vierge fidèle, conservez en notre intelligence, dans son intégrité, l’orthodoxie de la foi, garante de l'unité catholique; et obtenez-nous la grâce du Saint et Vivifiant  Esprit  pour, répandant Son règne d' Amour, de Justice et de Vérité être, en votre Fils Jésus, des "Artisans de Paix".


Ranimez en notre cœur l’espérance, afin que nous désirions contempler la Trinité Sainte et vous-même dans le Ciel, et que nous demandions humblement à Dieu la fidélité qui y conduit. 


Répandez en notre âme votre charité, pour qu’en toutes choses nous imitions vos vertus et suivions votre exemple. 


Rétablissez dans notre patrie et dans ce qui fut la Chrétienté le règne de Jésus-Christ : que les institutions et les mœurs soient animées et réglées par la Sainte Loi de Dieu. 


Avec vous et par votre intercession, ô Notre-Dame et notre Souveraine, nous voulons ici-bas travailler à la gloire de Dieu, et en jouir dans l’éternité.

Amîn.

Louis XIII offrant sa couronne à Notre-Dame - Nicolas Coustou

Le Roi Louis XIII offrant sa Couronne à la Vierge de Pitié
(Maître-autel de la cathédrale Notre-Dame de Paris, miraculeusement préservé lors de l'incendie d'Avril dernier)

 

Ci dessous, extrait d'une Homélie de de Mgr Jean de St Denis pour la Dormition - 1958
[...]Bienheureux les purs, car ils verront Dieu!
Le Christ, en prononçant ces paroles, pensait d'abord au cœur pur de Marie, cœur déjà pur, cœur ayant acquis la pureté, cœur qui a vu Dieu le jour de l'Assomption, Marie monte en ce jour au-dessus des Séraphins et par elle, le monde se rencontre avec la gloire de Dieu.
Nous sommes tous de la race de Marie, en tant que nous avons le désir de Dieu ; consciemment ou inconsciemment, nous avons tous ce désir de Dieu, mais nous ne sommes pas encore le désir pur de Dieu.
Nous ne voyons pas Dieu parce que notre cœur ne palpite pas assez, pas purement, il palpite en même temps pour d'autres choses.
Nous devons acquérir progressivement la pureté, la virginité du cœur.
Marie est le dernier mot de cette pureté, de cette purification, de cette virginité.
Quand Elle dit : Je suis la servante du Seigneur, Elle est pure, Elle est vierge, et le Verbe, la vraie lumière, la vraie connaissance, peut venir en Elle.
Nous sommes nous aussi appelés à cette conquête de la lumière du Verbe, qui doit s'allumer en nous.[...]
DORMITION ET ASSOMPTION
 
Les catholiques romains célèbrent avec faste, le 15 août, l’Assomption de la Vierge Marie ; ils en ont même fait un dogme (Pie XII en 1950). Les orthodoxes orientaux célèbrent avec une sérénité calme et joyeuse, le 14 août au soir (c’est-à-dire le 15 août, puisque la journée liturgique débute le soir, à vêpres), la Dormition de la Mère de Dieu. Les orthodoxes occidentaux célèbrent les deux fêtes, comme les deux volets du même diptyque.

 

Les catholiques romains ignorent tout à fait la Dormition. Les orthodoxes n’ignorent pas l’Assomption car elle est englobée dans la célébration de la Dormition, chants et textes liturgiques en faisant mainte fois mention.

 

L’une et l’autre célébration ne reposent sur aucune Ecriture « divinement inspirée ». Nulle part on ne parle de ce qui advint à Marie après l’épisode du Golgotha. Cependant, les circonstances de sa mort firent l’objet d’une tradition pieuse qui se répandit en Orient puis en Occident dès avant le VIe siècle, puisque saint Grégoire de Tours (539-594) en fait mention et que l’Eglise antique a incorporée dans ses offices liturgiques.

 

Un siècle plus tard, saint Jean Damascène (676-749) en donne la relation suivante dans sa deuxième Homélie sur la Dormition de la Vierge Marie.

 

« […] Il fallait que celle qui dans l'enfantement avait gardé intacte sa virginité, conservât son corps sans corruption, même après sa mort.
 
« […] Vous voyez, chers pères et frères, tout ce que nous révèle ce tombeau plein de gloire. Et comme preuve qu'il en est bien ainsi, voici ce qui est écrit en propres termes dans l’Histoire euthymiaque, (1) au troisième discours, chapitre 40.

 

« On dit plus haut comment sainte Pulchérie éleva dans Constantinople de nombreuses églises au Christ. L'une d'elles est celle qui fut édifiée aux Blachernes au début du règne de Marcien, de divine mémoire (2). Ces souverains donc, ayant bâti en cet endroit un sanctuaire dédié à la glorieuse et toute sainte Théotokos, Marie toujours Vierge, et l'ayant orné de tout le décor possible, étaient à la recherche de son corps très saint, qui avait reçu Dieu. Ils firent appeler l'archevêque de Jérusalem, Juvénal, et les évêques de Palestine, qui se trouvaient alors dans la capitale à cause du concile qui s'était tenu à Chalcédoine (3) , et ils leur dirent :
 
«Nous apprenons qu'il y a, à Jérusalem, la première église de la toute sainte Théotokos et toujours Vierge Marie, magnifique entre toutes, à l'endroit appelé Gethsémani, où le corps de cette Vierge, qui fut le séjour de la vie, fut déposé dans un cercueil. Or nous voulons faire venir ici cette relique pour la sauvegarde de cette capitale. »

 
Prenant la parole, Juvénal répondit :
 « Dans la sainte Ecriture inspirée de Dieu, on ne raconte pas ce qui se passa à la mort de la sainte Théotokos Marie, mais nous tenons d'une tradition ancienne et très véridique qu'au moment de sa glorieuse dormition tous les saints Apôtres, qui parcouraient la terre pour le salut des nations, furent assemblés en un instant par la voie des airs à Jérusalem. Quand ils furent près d'elle, des anges leur apparurent dans une vision et un divin concert des puissances supérieures se fit entendre. Et ainsi, dans une gloire divine et céleste, la Vierge remit aux mains de Dieu sa sainte âme d'une manière ineffable. Quant à son corps, réceptacle de la divinité, il fut transporté et enseveli, au milieu des chants des anges et des apôtres et déposé dans un cercueil à Gethsémani où pendant trois jours persévéra sans relâche le chant des chœurs angéliques. Après le troisième jour, ces chants ayant cessé, les apôtres présents ouvrirent le cercueil à la demande de Thomas qui seul avait été loin d'eux et qui, venu le troisième jour, voulu vénérer le corps qui avait porté Dieu. Mais son corps digne de toute louange, ils ne purent aucunement le trouver; ils ne trouvèrent que ses vêtements funèbres déposés là, d'où s'échappait un parfum ineffable qui les pénétrait, et ils refermèrent le cercueil. Saisis d'étonnement devant le prodige mystérieux, voici seulement ce qu'ils pouvaient conclure : Celui qui dans sa propre personne daigna s'incarner d'elle et se faire homme. Dieu le Verbe, le Seigneur de la gloire, et qui garda intacte la virginité de sa Mère après son enfantement, Celui-là avait voulu encore, après son départ d'ici-bas, honorer son corps virginal et immaculé du privilège de l'incorruptibilité et d'une translation avant la résurrection commune et universelle. »
 
1 Attribuée au patriarche Euthimios (ou Euphemos) de Constantinople (Ve - VIe siècles).

2 Marcien, empereur de 450 à 457. Pulchérie, son épouse, impératrice de 450 à 453.
3 En 451.

Je vous propose la prière suivante pour

 

notre Pays:

 

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Seigneur Jésus, Ô Christ notre Dieu, Vous qui êtes venu, non pour juger le monde, mais pour le sauver; Vous qui êtes monté librement sur la Croix pour tous les humains;
Vous qui, dans Votre amour ineffable et Vôtre indicible compassion, veillez au bien et au libre salut de chacun;
Vous qui êtes invisiblement présent dans ce monde qui Vous appartient et dans notre pays par le Corps de Votre sainte Eglise, acceptez les prières de supplication et de louange que nous Vous adressons pour notre patrie la France, justement mais cruellement éprouvée.


Seigneur Jésus Christ notre Dieu, par les prières et la protection de Votre Mère toute pure et immaculée, du saint archange Michel, Protecteur de la France, des saints de notre pays, en particulier de notre mère parmi les saints Marie Madeleine "Egale-aux-apôtres" dont les reliques sanctifient notre sol, de son disciple saint Maximin, de saint Lazare Votre ami, des saints Jean Cassien et Victor de Marseille, Martin de Tours, Irénée de Lyon, Hilaire de Poitiers, Germain d’Auxerre, Germain de Paris; de saint Cloud, sainte Geneviève et sainte Radegonde et de tous les saints moines et moniales de notre pays; des saints et victorieux martyrs Pothin et Blandine de Lyon et de tous les saints martyrs de France :

Eclairez, inspirez, convertissez et sauvez notre patrie la France, ceux qui la gouvernent ainsi que chacun des membres de son peuple.


A nous qui Vous supplions dans la vraie Foi, accordez la grâce du non-jugement, la conscience libre, la force du saint Esprit pour témoigner de Votre vérité dans la paix qui vient de Vous.


Accordez-nous la grâce de voir nos propres fautes et d’accueillir Votre pardon.


Donnez-nous de Vous glorifier et de Vous célébrer pour la bienveillance que Vous manifestez à notre pays, à ceux qui le gouvernent et à tout son peuple.


Inspirez-nous de Vous célébrer en premier lieu pour la révélation que Vous avez donnée de Vous-même à nos Pères par la prédications de ces aînés dans la Foi qui sont venu d'Orient pour ensemencer notre terre de l'Evangile de vérité, d'amour et de paix et à ceux qui, en conséquence peuvent en ces jours, sur cette même terre bénie de France, vous confesser avec Votre Père coéternel et Votre très saint, bon et vivifiant Esprit, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles : Amîn!

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« Qu'au nom de Jésus, tout genou fléchisse dans le ciel, sur la terre et dans les enfers ! » (Ph 2, 10).
Seigneur Jésus-Christ, Fils du Dieu Vivant, aie pitié de moi pécheur !
« Jésus, c'est le prix du sang de l'agneau de Dieu ; Jésus, c'est le nom venu du ciel pour sauver le monde ; Jésus, c'est la lumière des âmes, la joie des cœurs, l'incomparable trésor de tous ceux qui aiment.
Jésus, c'est la science des apôtres, la force des martyrs, la paix des confesseurs, l'allégresse des vierges, la couronne de tous les saints.
Jésus, c'est la gloire du ciel, l'espérance de la terre, la terreur de l'enfer.
Jésus, c'est le nom unique de l'unique époux ; c'est notre bien, notre bonheur, notre paradis, notre tout.
En dehors de Jésus, nous n'avons rien ; et sans Jésus, tout ne nous est rien.
Jésus, nous n'avons fait que dire votre nom, et nous avons assez de quoi méditer. Jésus !
Faites-nous connaître, faites-nous aimer, faites-nous goûter Jésus, uniquement Jésus, et éternellement Jésus. »
(Père Emmanuel André (1826-1903), Méditations pour tous les jours de l'année liturgique, Éditions Sainte-Madeleine, Le Barroux, 2004.)
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“Em nome de Jesus, cada joelho dobrado no céu, na terra e no inferno! »(Ph 2,10).
Senhor Jesus Cristo, Filho do Deus vivo, tem piedade de mim, pecador!
“Jesus é o preço do sangue do Cordeiro de Deus; Jesus é o nome que veio do céu para salvar o mundo; Jesus é a luz das almas, a alegria dos corações, o tesouro incomparável de todos os que amam.
Jesus é a ciência dos apóstolos, a força dos mártires, a paz dos confessores, a alegria das virgens, a coroa de todos os santos.
Jesus é a glória do céu, a esperança da terra, o terror do inferno.
Jesus é o nome único da única esposa; é nosso bem, nossa felicidade, nosso paraíso, nosso tudo.
Além de Jesus, não temos nada; e sem Jesus, tudo não é nada para nós.
Jesus, nós apenas dissemos o seu nome e temos o suficiente para ponderar. Jesus!
Deixe-nos saber, faça-nos amar, deixe-nos provar Jesus, somente Jesus, e Jesus para sempre. "
(Padre Emmanuel André (1826-1903), Meditações para todos os dias do ano litúrgico, Éditions Sainte-Madeleine, Le Barroux, 2004.)
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“In the name of Jesus, every knee bow in heaven, on earth and in hell! »(Ph 2, 10).
 
 
Lord Jesus Christ, Son of the Living God, have mercy on me, a sinner!
“Jesus is the price of the blood of the Lamb of God; Jesus is the name that came from heaven to save the world; Jesus is the light of souls, the joy of hearts, the incomparable treasure of all those who love.
Jesus is the science of the apostles, the strength of martyrs, the peace of confessors, the joy of virgins, the crown of all saints.
Jesus is the glory of heaven, the hope of earth, the terror of hell.
Jesus is the unique name of the only spouse; it is our good, our happiness, our paradise, our everything.
Apart from Jesus, we have nothing; and without Jesus, everything is nothing to us.
Jesus, we have only said your name, and we have enough to ponder. Jesus!
Let us know, make us love, let us taste Jesus, only Jesus, and Jesus forever. "
(Father Emmanuel André (1826-1903), Meditations for all the days of the liturgical year, Éditions Sainte-Madeleine, Le Barroux, 2004.)
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“En el nombre de Jesús, toda rodilla se doble en el cielo, en la tierra y en el infierno. »(Ph 2, 10).
Señor Jesucristo, Hijo del Dios vivo, ten piedad de mí, pecador.
“Jesús es el precio de la sangre del Cordero de Dios; Jesús es el nombre que vino del cielo para salvar al mundo; Jesús es la luz de las almas, la alegría de los corazones, el tesoro incomparable de todos los que aman.
Jesús es la ciencia de los apóstoles, la fuerza de los mártires, la paz de los confesores, el gozo de las vírgenes, la corona de todos los santos.
Jesús es la gloria del cielo, la esperanza de la tierra, el terror del infierno.
Jesús es el nombre único del único cónyuge; es nuestro bien, nuestra felicidad, nuestro paraíso, nuestro todo.
Aparte de Jesús, no tenemos nada; y sin Jesús, todo es nada para nosotros.
Jesús, solo hemos dicho tu nombre y tenemos suficiente para reflexionar. ¡Jesús!
Háganos saber, háganos amar, gustemos a Jesús, sólo a Jesús, ya Jesús para siempre. "
(Padre Emmanuel André (1826-1903), Meditaciones para todos los días del año litúrgico, Éditions Sainte-Madeleine, Le Barroux, 2004.)
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NOTRE-DAME
 
LA DORMITION ISRAËL
Notre-Dame du jour (13 août) - Dormition de la Bienheureuse Vierge Marie - vers l'an 58 après JC
La Dormition de la Vierge Marie. Semblable à son divin Fils, Marie s'est levée et a été enlevée au ciel le troisième jour après sa mort.
La mort de la Madone est survenue en présence des apôtres, à l'exception de saint Thomas.
«Les saints apôtres ont tenu une réunion concernant l'inhumation du corps sacré de leur reine et maîtresse.
 
Tandis qu'ils se souvenaient que, selon la coutume des Juifs lors de l'enterrement, le corps divinisé de leur Maître avait été oint de pommades et d'épices précieuses et enveloppé dans des tissus funéraires sacrés; ils ne pensaient pas faire autrement avec le corps virginal de sa très sainte Mère.
 
En conséquence, ils ont appelé les deux jeunes filles, qui avaient aidé la reine de son vivant et qui avaient été désignées comme l'héritière de ses robes, et leur ont demandé d'oindre le corps de la Mère de Dieu avec la plus grande révérence et modestie et de l'envelopper de linge auparavant. il doit être placé dans le cercueil.
Avec beaucoup de respect et de crainte, les deux vierges entrèrent dans la pièce, où le corps de la Sainte Vierge reposait sur son divan; mais le rayonnement qui en découlait les bloquait et les aveuglait de telle manière qu'ils ne pouvaient ni voir ni toucher le corps, ni même savoir à quel endroit il se trouvait.
 
Avec encore plus de respect et de respect que leur entrée, les deux filles quittèrent la pièce; et avec beaucoup d'excitation et de stupeur, ils racontèrent aux apôtres ce qui s'était passé.
 
Ils, non sans inspiration divine, en sont venus à la conclusion que cette Arche d'Alliance ne devait pas être touchée ou gérée de la manière courante.
 
Alors saint Pierre et saint Jean entrèrent dans l'oratoire et aperçurent l'éclat, et en même temps ils entendirent la musique céleste des anges, qui chantaient:
«Je vous salue Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous» . D'autres ont répondu:
"Une Vierge avant l'accouchement, pendant l'accouchement et après l'accouchement."
 
A partir de ce moment, de nombreux fidèles ont exprimé leur dévotion à la Bienheureuse Vierge Marie par ces paroles de louange; et ils ont été transmis d'eux pour être répétés par nous avec l'approbation de la sainte Église.
 
Les deux saints apôtres, Saint-Pierre et Saint-Jean, furent un temps perdus dans l'admiration pour ce qu'ils virent et entendirent de leur reine; et pour décider quoi faire, ils tombèrent à genoux, suppliant le Seigneur de le faire savoir.
 
Puis ils ont entendu une voix disant: "Ne laissez pas le corps sacré être découvert ou touché."
Ayant ainsi été informés de la volonté de Dieu, ils apportèrent un cercueil et, une fois la luminosité diminuée, ils s'approchèrent du lit et prirent avec leurs mains avec une grande révérence la tunique aux deux extrémités.
 
Ainsi, sans changer de posture, ils ont soulevé le trésor sacré de la Vierge Mère et l'ont placé sur le cercueil dans la même position qu'il occupait sur le lit.
 
Ils pouvaient le faire facilement, car ils ne sentaient plus le poids du corps mais il semble que celui de la tunique.
 
Dans ce cercueil, la splendeur du corps était encore plus modérée et chacun, par la disposition du Seigneur et pour la consolation de tous les présents, pouvait maintenant percevoir et étudier la beauté de ce visage virginal et de ses mains.
 
Quant au reste, la toute-puissance de Dieu protégeait sa demeure céleste, Abbaye de la Dormition à Jérusalem où, selon la tradition, le lieu où Notre-Dame est morte ou est tombée dans un sommeil profond (Dormition)
 
Ensuite, les apôtres ont consulté davantage au sujet de son enterrement. Leur décision est devenue connue parmi la multitude de fidèles à Jérusalem, que beaucoup ont amené de nombreuses bougies dans le cercueil et un miracle s'est produit que toutes les bougies qui ont brûlé ce jour-là et les deux jours suivants sont restées sans qu'aucune des bougies ne soit consommée ou fondue. .
Les apôtres ont pris sur leurs épaules le cercueil avec le corps sacré et le tabernacle de Dieu et, en tant que prêtres de la loi évangélique, ils ont porté le propitiatoire des oracles divins et des bénédictions dans une procession ordonnée depuis le Cénacle de la ville jusqu'à la vallée de Josaphat.
 
Ces fidèles habitants de Jérusalem étaient l'accompagnement visible de la procession.
Mais au-delà de ce groupe, il y avait une autre multitude invisible, celle des courtisans du ciel.
 
Il était composé des mille anges de la reine, continuant leurs chants célestes, qui ont été entendus par les apôtres et les disciples et bien d'autres, et qui ont continué doucement pendant trois jours.
 
En plus de ces nombreux autres esprits étaient descendus du ciel, c'est-à-dire plusieurs milliers ou légions d'anges avec les anciens patriarches et prophètes, parmi lesquels saint Joachim, Anna, saint Joseph,
 
Lorsque la procession arriva au Saint-Sépulcre dans la vallée de Josaphat , les deux mêmes apôtres, Saint-Pierre et Saint-Jean, qui avaient placé le trésor céleste du divan sur le cercueil, avec une joyeuse révérence, le placèrent dans le tombeau et le recouvrèrent d'un drap de lin, les mains des anges accomplissent plus de ces derniers rites que les mains des apôtres.
 
Ils ont fermé le tombeau avec une grande pierre, selon la coutume de l'enterrement à cette époque.
 
Les courtisans célestes retournèrent au ciel, tandis que les mille anges de la reine continuaient leur tour, protégeant le corps sacré et gardant la musique comme à son enterrement.
 
La foule diminua et les saints apôtres et disciples, dissous dans de tendres larmes, retournèrent au Cénacle.
 

LA DORMITION DE LA MÈRE DE DIEU

par Vladimir Lossky.
« La fête de la Dormition de la Mère de Dieu, connue en Occident sous le nom de l’Assomption, comprend deux moments distincts mais inséparables pour la foi de l’Église : la mort et l’ensevelissement de la Mère de Dieu ; et sa résurrection et son ascension .

L’Orient orthodoxe a su respecter le caractère mystérieux de cet événement qui, contrairement à la résurrection du Christ, n’a pas fait l’objet de la prédication apostolique.

En effet, il s’agit d’un mystère qui n’est pas destiné aux oreilles de " ceux de l’extérieur ", mais se révèle à la conscience intérieure de l’Église.

Pour ceux qui sont affermis dans la foi en la résurrection et l’ascension du Seigneur, il est évident que, si le Fils de Dieu avait assumé sa nature humaine dans le sein de la Vierge, celle qui a servi à l’Incarnation devait à son tour être assumée dans la gloire de son Fils ressuscité et monté au ciel. Ressuscite, Seigneur, en ton repos, toi et l’Arche de ta sainteté (Ps 131, 8, qui revient à maintes reprises dans l’office de la Dormition).

" Le cercueil et la mort " n’ont pas pu retenir " la Mère de la vie " car son Fils l’a transférée dans la vie du siècle futur (kondakion).
La glorification de la Mère est une conséquence directe de l’humiliation volontaire du Fils :

le Fils de Dieu s’incarne de la Vierge Marie et se fait " Fils de l’homme ", capable de mourir, tandis que Marie, en devenant Mère de Dieu, reçoit la " gloire qui convient à Dieu " (vêpres, ton 1) et participe, la première parmi les êtres humains, à la déification finale de la créature. " Dieu se fit homme, pour que l’homme soit déifié " (S. Irénée, S. Athanase, S. Grégoire de Nazianze, S. Grégoire de Nysse [PG 7, 1120 ; 25, 192 ; 37, 465 ; 45, 65] et d’autres Pères de l’Église).

La portée de l’incarnation du Verbe apparaît ainsi dans la fin de la vie terrestre de Marie.

" La Sagesse est justifiée par ses enfants " : la gloire du siècle à venir, la fin dernière de l’homme est déjà réalisée, non seulement dans une hypostase divine incarnée, mais aussi dans une personne humaine déifiée.

Ce passage de la mort à la vie, du temps à l’éternité, de la condition terrestre à la béatitude céleste, établit la Mère de Dieu au-delà de la résurrection générale et du jugement dernier, au-delà de la parousie qui mettra fin à l’histoire du monde.

La fête du 15 août est une seconde Pâque mystérieuse, puisque l’Église y célèbre, avant la fin des temps, les prémices secrètes de sa consommation eschatologique.

Ceci explique la sobriété des textes liturgiques qui laissent entrevoir, dans l’office de la Dormition, la gloire ineffable de l’Assomption de la Mère de Dieu (l’office de " l’Ensevelissement de la Mère de Dieu ", 17 août, d’origine très tardive, est au contraire trop explicite : il est calqué sur les matines du Samedi saint (" Ensevelissement du Christ ").


La fête de la Dormition est probablement d’origine hiérosolymitaine.

Cependant, à la fin du IVe siècle, Éthérie ne la connaît pas encore.

On peut supposer néanmoins que cette solennité n’a pas tardé à apparaître, puisque au VIe siècle, elle est déjà répandue partout : S. Grégoire de Tours est le premier témoin de la fête de l’Assomption en Occident (De gloria martyrum, Miracula I, 4 et 9 - PL 71, 708 et 713), où elle était célébrée primitivement en janvier. de missel de Bobbio et le sacramentaire gallican indiquent la date du 18 janvier.)

Sous l’empereur Maurice (582-602) la date de la fête est définitivement fixée au 15 août (Nicéphore Calliste, Hist. Eccles., 1.XVII, c. 28 - PG, 147, 292).


Parmi les premiers monuments iconographiques de l’Assomption, il faut signaler le sarcophage de Santa Engracia à Saragosse (début du IVe siècle) avec une scène qui est très probablement celle de l’Assomption (Dom Cabrol, Dict. d’archéol. chrét., I, 2990-94) et un relief du VIe siècle, dans la basilique de Bolnis-Kapanakéi, en Georgie, qui représente l’Ascension de la Mère de Dieu et fait pendant au relief avec l’Ascension du Christ (S. Amiranaschwili, Histoire de l’art géorgien (en russe, Moscou, 1950), p. 128 ).

Le récit apocryphe qui circulait sous le nom de S. Méliton (IIe siècle), n’est pas antérieur au commencement du V siècle (PG, 5, 1231-1240). Il abonde en détails légendaires sur la mort, la résurrection et l’ascension de la Mère de Dieu, informations douteuses que l’Église prendra soin d’écarter.

Ainsi, S. Modeste de Jérusalem (+634), dans son " Éloge à la Dormition " - (Encomium, PG 86, 3277-3312), est très sobre dans les détails qu’il donne : il signale la présence des Apôtres " amenés de loin, par une inspiration d’en haut ", l’apparition du Christ, venu pour recevoir l’âme de sa Mère, enfin, le retour à la vie de la Mère de Dieu, " afin de participer corporellement à l’incorruption éternelle de celui qui l’a fait sortir du tombeau et qui l’a attirée à lui, de la manière que lui seul connaît ". (Patrologia Orientalis, XIX, 375-438.)

L’homélie de S. Jean de Thessalonique (+vers 630) ainsi que d’autres homélies plus récentes – de S. André de Crète, de S. Germain de Constantinople, de S. Jean Damascène (PG 97, 1045-1109 ; 98, 340-372 ; 96, 700-761) – sont plus riches en détails qui entreront aussi bien dans la liturgie que dans l’iconographie de la Dormition de la Mère de Dieu.


Le type classique de la Dormition dans l’iconographie orthodoxe se borne, habituellement, à représenter la Mère de Dieu couchée sur son lit de mort, au milieu des Apôtres, et le Christ en gloire recevant dans ses bras l’âme de sa Mère.

Cependant, quelquefois, on a voulu signaler également le moment de l’assomption corporelle : on y voit alors, en haut de l’icône, au-dessus de la scène de Dormition, la Mère de Dieu assise sur un trône dans la mandorle, que les anges portent vers les cieux.


Sur notre icône (Paris, XXe siècle), le Christ glorieux entouré de mandorle regarde le corps de sa Mère étendu sur un lit de parade. Il tient sur son bras gauche une figurine enfantine revêtue de blanc et couronnée de nimbe : c’est " l’âme toute lumineuse " (vêpres, stichère du ton 5) qu’il vient de recueillir.

Les douze Apôtres " se tenant autour du lit, assistent avec effroi " (vêpres, stichère du ton 6) au trépas de la Mère de Dieu. On reconnaît facilement, au premier plan, S. Pierre et S. Paul, des deux côtés du lit.

Sur quelques icônes, on représente en haut, dans le ciel, le moment de l’arrivée miraculeuse des Apôtres, rassemblés " des confins de la terre sur les nues " (kondakion, ton 2).

La multitude d’anges présents à la Dormition forme parfois une bordure extérieure autour de la mandorle du Christ. Sur notre icône, les vertus célestes qui accompagnent le Christ sont signalées par un séraphin à six ailes.

Trois évêques nimbés se tiennent derrière les Apôtres. Ce sont S. Jacques, " le frère du Seigneur ", premier évêque de Jérusalem, et deux disciples des Apôtres : Hiérothée et Denys l’Aréopagite, venus avec S. Paul (kondakion, ton 2 ; voir le passage des Noms divins du Pseudo-Denys sur la Dormition : III, 2 PG, 3, 681).

Au dernier plan, deux groupes de femmes représentent les fidèles de Jérusalem qui, avec les 633 évêques et les Apôtres, forment le cercle intérieur de l’Église où s’accomplit le mystère de la Dormition de la Mère de Dieu.


L’épisode d’Athonius, un Juif fanatique qui eut les deux mains coupées par le glaive angélique, pour avoir osé toucher à la couche funèbre de la Mère de Dieu, figure sur la plupart des icônes de la Dormition.

La présence de ce détail apocryphe dans la liturgie (tropaire de l’ode 3) et l’iconographie de la fête doit rappeler que la fin de la vie terrestre de la Mère de Dieu est un mystère intime de l’Église qui ne doit pas être exposé à la profanation : inaccessible aux regards de ceux de l’extérieur, la gloire de la Dormition de Marie ne peut être contemplée que dans la lumière intérieure de la Tradition. »


(Vladimir Lossky * Article paru dans Le Messager de l’Exarcat du Patriarcat russe en Europe occidentale, n° 27, juillet-septembre 1957.)

A Dieu, Père Boris BOBRINSKOY
 
In memoriam Père Boris Bobrinskoy
Le repos d’un juste

Dans la nuit du 6 au 7 août, dans la lumière de la Transfiguration du Sauveur Jésus Christ, notre Père en Dieu le protopresbytre Boris Bobrinskoy est entré dans son repos.

Fidèles à l’enseignement de saint Jean Chrysostome, nous rendons grâce à Dieu qui appelle son serviteur à entrer dans sa joie et celle de ses saints.

Les chrétiens ne s’affligent que lorsqu’un homme meurt dans la captivité de ses péchés.

Mais quand un juste se retire de ce monde, ils l’accompagnent avec des lumières, des chants pleins de foi et leurs hommages les plus affectueux.

Père Boris, depuis des années, se préparait par le repentir à cet événement.

Suivant notre foi, le Seigneur envoie ses anges pour le conduire pendant quarante jours jusqu’au lieu qu’Il lui a assigné jusqu’à la Résurrection et le jugement universels.

Pour notre cher Père, nous ne redoutons pas ce jugement, car le Christ ne trouvera en lui que quelques faiblesses, car, comme le dit la prière, « nul homme n’est sans péché ».

La bienveillance du serviteur de Dieu

Avec émotion et avec beaucoup de joie, sachant que tous connaissent l’œuvre théologique et liturgique du grand homme d’Église, nous voulons témoigner des qualités de cœur, de l’attention pastorale, de la gentillesse, du sourire et de la bienveillance de ce prêtre aux nombreux enfants dans le Seigneur.

Père Boris, tel que nous l’avons connu pendant des années, était très aimable, très calme, pondéré, discret, respectueux de son interlocuteur, généralement sans jugement à l’égard des personnes ; nous ne nous rappelons pas l’avoir entendu mal parler de quelqu’un.

L’illuminateur d’une génération

Père Boris a été, pour d’innombrables personnes, pendant plus de cinquante ans, un véritable illuminateur.

Ce n’était pas tellement par des explications brillantes de théologie académique qu’il nous conduisait, encore qu’il fût d’une très grande culture biblique et patristique.

Non : c’étaient son exemple, la lumière de son visage et la mesure de ses paroles, qui étaient pour notre génération un phare.

Il était d’une orthodoxie profonde et ouverte, accueillante quoique sans compromission, capable de dialogue en raison de son exceptionnelle compétence.

Gloire à Dieu !

SOURCE:Père Gérasime, Skyte Sainte-Foy

Un extrait Saint Irénée de Lyon et
 
l'autre
 
de Saint Basile de Césarée :
De saint Irénée de Lyon, évêque:
C'est dans la nouveauté de l'Esprit que nous sommes appelés, non dans la vétusté de la lettre selon la prophétie de Jérémie :
-« Voici venir des jours, oracle du Seigneur, où je conclurai avec la maison de David une alliance nouvelle.
Je mettrai ma Loi au fond de leur être et je l'écrirai sur leur cœur. »
Isaïe annonce que ces promesses doivent être un héritage pour la vocation des gentils — pour eux aussi le livre de la Nouvelle Alliance a été ouvert — lorsqu'il dit :
-« Voici ce que dit le Dieu d'Israël : en ce jour-là, l'homme regardera vers son Créateur et tournera les yeux vers le Saint d'Israël.
Ils ne mettront plus leur espérance dans des autels d'idoles ni dans des oeuvres de leurs mains, fabriquées de leurs doigts. »
II est bien évident que cela s'adresse à ceux qui abandonnent les idoles et croient en Dieu, notre Créateur grâce au Saint d'Israël ; et le Saint d'Israël, c'est le Christ.
Dans Isaïe, le Verbe lui-même dit qu'il devait se manifester parmi nous — le Fils de Dieu, en effet, s'est fait fils d'homme — et se laisse trouver par nous qui auparavant ne le connaissions pas.
« Je me suis manifesté à ceux qui ne me cherchaient pas, j'ai été trouvé par ceux qui ne me questionnaient pas, j'ai dit : me voici, à un peuple qui n'avait pas invoqué mon nom. »
C'est aussi le sens de ce qu'a dit Jean Baptiste :
-« Dieu peut, de ces pierres, faire surgir des fils à Abraham. »
En effet, après avoir été arrachés par la foi au culte des pierres, nos cœurs voient Dieu et deviennent fils d'Abraham qui a été justifié par la foi.(Saint Irénée)
De Saint Basile de Césarée:
"C'est en opposant le bonheur de la vie future au malheur de la vie présente, que vous conserverez votre âme exempte de chagrin et de trouble, comme vous y exhorte le précepte de l'Apôtre.
Ne vous livrez ni à des joies excessives dans la prospérité, ni dans l'adversité à une tristesse qui ôte à votre âme toute sa joie et toute sa vigueur.
Si vous ne vous prémunissez de bons principes, vous ne mènerez jamais une vie tranquille et paisible."(Saint Basile de Césarée)
 
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Um extrato de Saint Irénée de Lyon
 
e o outro
 
de São Basílio de Cesaréia :
De Santo Irineu de Lyon, bispo:
É na novidade do Espírito que somos chamados, não na antiguidade da letra conforme a profecia de Jeremias:
- “Aí vêm os dias, oráculo do Senhor, em que farei uma nova aliança com a casa de Davi”.
Colocarei meu Fa profundamente em seu ser e o escreverei em seus corações. "
Isaías anuncia que essas promessas são para ser uma herança para o chamado dos gentios - para eles também o livro da Nova Aliança foi aberto - quando ele diz:
- “Assim diz o Deus de Israel: naquele dia o homem olhará para o seu Criador e voltará os olhos para o Santo de Israel.
Não colocarão mais sua esperança nos altares dos ídolos nem nas obras de suas mãos, feitas com os dedos. "
É claro que isso se dirige a quem abandona os ídolos e acredita em Deus, nosso Criador, graças ao Santo de Israel; e o Santo de Israel é Cristo.
Em Isaías, a própria Palavra diz que ele tinha que se manifestar entre nós - o Filho de Deus, de fato, se tornou filho do homem - e se deixar ser encontrado por nós que antes não o conhecíamos.
“Eu me manifestei para quem não me procurava, fui encontrado por quem não me questionou, disse: aqui estou, para um povo que não invocou o meu nome. "
Este é também o significado do que João Batista disse:
- "Deus pode, dessas pedras, fazer emergir filhos para Abraão." "
Com efeito, depois de terem sido arrancados do culto das pedras pela fé, os nossos corações vêem a Deus e tornam-se filhos de Abraão, que foi justificado pela fé (Santo Irineu).
De São Basílio de Cesaréia:
“É opondo a felicidade da vida futura à infelicidade da vida presente, que você manterá sua alma livre de tristezas e problemas, como o preceito do Apóstolo te exorta.
Não se entregue nem às alegrias excessivas da prosperidade, nem à adversidade, à tristeza que rouba a sua alma de toda a sua alegria e todo o seu vigor.
Se você não se guardar com bons princípios, nunca terá uma vida tranquila e pacífica. "(São Basílio de Cesaréia)
 
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One extract from Saint Irénée de
 
Lyon and the other
 
of Saint Basil of Caesarea :
From Saint Irenaeus of Lyon, bishop:
It is in the newness of the Spirit that we are called, not in the antiquity of the letter according to the prophecy of Jeremiah:
- "Here come the days, oracle of the Lord, when I will make a new covenant with the house of David."
I will put my Fa deep in their being and write it on their hearts. "
Isaiah announces that these promises are to be an inheritance for the calling of the Gentiles - for them too the book of the New Covenant has been opened - when he says:
- "This is what the God of Israel says: in that day, man will look to his Creator and will turn his eyes to the Holy One of Israel.
They will no longer put their hope in the altars of idols nor in the works of their hands, made with their fingers. "
It is quite obvious that this is addressed to those who abandon idols and believe in God, our Creator thanks to the Holy One of Israel; and the Holy One of Israel is Christ.
In Isaiah, the Word himself says that he had to manifest himself among us - the Son of God, in fact, became the son of man - and let himself be found by us who before did not know him.
“I manifested myself to those who were not looking for me, I was found by those who did not question me, I said: here I am, to a people who had not called on my name. "
This is also the meaning of what John the Baptist said:
- "God can, from these stones, cause sons to emerge for Abraham." "
Indeed, after having been torn by faith from the cult of stones, our hearts see God and become sons of Abraham who was justified by faith (Saint Irenaeus).
From Saint Basil of Caesarea:
"It is by opposing the happiness of the future life to the unhappiness of the present life, that you will keep your soul free from sorrow and trouble, as the precept of the Apostle exhorts you.
Do not indulge yourself neither in excessive joys in prosperity, nor in adversity in a sadness which robs your soul of all its joy and all its vigor.
If you do not guard yourself with good principles, you will never lead a quiet and peaceful life. "(Saint Basil of Caesarea)
 
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Un extracto de Saint Irénée de Lyon
 
y el otro
 
de San Basilio de Cesarea :
De San Ireneo de Lyon, obispo:
Es en la novedad del Espíritu que somos llamados, no en la antigüedad de la letra según la profecía de Jeremías:
- "Aquí vienen los días, oráculo del Señor, cuando haré un nuevo pacto con la casa de David".
Pondré mi Fa en lo profundo de su ser y lo escribiré en sus corazones. "
Isaías anuncia que estas promesas serán una herencia para el llamamiento de los gentiles - para ellos también se ha abierto el libro del Nuevo Pacto - cuando dice:
- "Esto es lo que dice el Dios de Israel: en ese día, el hombre mirará a su Creador y volverá sus ojos al Santo de Israel.
Ya no pondrán su esperanza en los altares de los ídolos ni en las obras de sus manos, hechas con sus dedos. "
Es obvio que esto va dirigido a quienes abandonan los ídolos y creen en Dios, nuestro Creador gracias al Santo de Israel; y el Santo de Israel es Cristo.
En Isaías, el mismo Verbo dice que tuvo que manifestarse entre nosotros - el Hijo de Dios, de hecho, se hizo hijo del hombre - y dejarse encontrar por nosotros que antes no lo conocíamos.
“Me manifesté a los que no me buscaban, me encontraron los que no me cuestionaban, dije: aquí estoy, a un pueblo que no había invocado mi nombre. "
Este es también el significado de lo que dijo Juan el Bautista:
- "Dios puede, de estas piedras, hacer surgir hijos para Abraham". "
De hecho, después de haber sido arrancados por la fe del culto a las piedras, nuestros corazones ven a Dios y se convierten en hijos de Abraham, que fue justificado por la fe (San Ireneo).
De San Basilio de Cesarea:
"Al oponer la felicidad de la vida futura a la infelicidad de la vida presente, mantendrás tu alma libre de dolor y angustia, como te exhorta el precepto del Apóstol.
No te entregues ni a los excesivos gozos de la prosperidad, ni a la adversidad con una tristeza que roba a tu alma todo su gozo y todo su vigor.
Si no te guardas con buenos principios, nunca llevarás una vida tranquila y pacífica "(San Basilio de Cesarea).
 

Shlom lekh bthoolto MariamHail, O Virgin  Mary/ 

  maliath taiboothofull of grace
  
moran a'amekh  - the Lord is with thee
  
mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women
 
 wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus
  
O qadeeshto Mariam/ Holy Mary
  
yoldath aloho Mother of God
  
saloy hlofain hatoyehpray for us sinners
  
nosho wabsho'ath mawtan.now and at the hour of our death.
 
 Amîn 

 

Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

 

 

jesus_pecheurs Isaac Fanous.jpg:

PRIERE POUR LES VOCATIONS:

Père, faites se lever parmi les chrétiens 
de nombreuses et saintes vocations au sacerdoce, 
qui maintiennent la foi vivante 
et gardent une mémoire pleine de gratitude de Votre Fils Jésus, 
par la prédication de sa parole 
et l'administration des sacrements, 
par lesquels Vous renouvelez continuellement vos fidèles dans la Grâce du Saint Esprit. 

Donnez-nous de saints ministres de Votre autel, 
qui soient des célébrants attentifs et fervents de l'eucharistie, 
sacrement du don suprême du Christ pour la rédemption du monde, sacrement de la pérennité de Sa présence comme "l'Emmanuel", Dieu présent au milieu et pour le salut de Son Peuple. 

Appelez des ministres de Votre miséricorde, 
qui dispensent la joie de Votre pardon 
par le sacrement de la réconciliation. 

Père, puisse notre Église Syro-Orthodoxe francophone accueillir avec joie 
les nombreuses inspirations de l'Esprit de Votre Fils 
et, qu'en étant docile à ses enseignements, 
elle prenne soin des vocations au ministère sacerdotal 
et à la vie consacrée. 

Soutenez nos Pères dans la Foi, nos Métropolites,les évêques, les prêtres, les diacres, 
les personnes consacrées et tous les baptisés dans le Christ, à l'intérieur et à l'extérieur de notre Tradition Syro-Orthodoxe 
afin qu'ils accomplissent fidèlement leur mission 
au service de l'Évangile. 

Nous Vous le demandons par le Christ notre Seigneur, Votre Fils bien-aimé qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles sans fin.

Amîn. 

Ô Marie, Mère de Miséricorde et Reine des apôtres, priez pour nous ! 

__________

 

ORAÇÃO PELAS VOCAÇÕES:

Tree of Life #Jesus #Disciples #Coptic Icon:
Pai, deixe repousar entre os cristãos
numerosas e santas vocações ao sacerdócio,
que mantenham viva a fé
e manter uma memória cheia de gratidão Seu Filho Jesus,
pela pregação de sua palavra
e administrar os sacramentos,
pelo qual você renovar continuamente os vossos fiéis na graça do Espírito Santo.

Dê-nos santos ministros do vosso altar,
que estão celebrantes atentos e entusiastas da Eucaristia,
sacramento do dom supremo de Cristo para a redenção do mundo, o sacramento da sustentabilidade da sua presença como "Emmanuel", Deus presente entre e para a salvação de Seu povo.

Chamar ministros de sua mercê,
que fornecem a alegria de Seu perdão
através do Sacramento de reconciliação.

Pai, que nossa Igreja siro-ortodoxo falando alegremente boas-vindas
as numerosas inspirações do Espírito de Seu Filho
e, que sendo obedientes a seus ensinamentos,
ela cuida das vocações ao ministério sacerdotal
e à vida consagrada.

Apoiar nossos pais na fé, nossos metropolitanas, bispos, sacerdotes, diáconos,
pessoas consagradas e todos os baptizados em Cristo, dentro e fora da nossa tradição siro-ortodoxo
de modo que eles fielmente cumprir a sua missão
o serviço do Evangelho.

Você Nós vos pedimos por Cristo, nosso Senhor, Seu amado Filho, que vive e reina contigo eo Espírito Santo para todo o sempre.
Amin.

Modern Coptic Madonna:

Ó Maria, Mãe de Misericórdia e Rainha dos Apóstolos, rogai por nós!

Extrait tiré d'un commentaire
 
d'Origène (+ 253)

 

"Jésus dans nos tempêtes":
S'il nous arrive d'être exposés à des tentations inévitables, rappelons-nous que Jésus nous a obligés à monter dans la barque et qu'il veut que nous le précédions sur l'autre rive (Mt 14,22).
A la vérité, il est impossible d'atteindre l'autre rive sans supporter l'épreuve des vagues et du vent contraire.
Lorsque nous nous verrons assaillis de nombreuses et graves difficultés, et que nous serons fatigués d'effectuer cette traversée avec des moyens modestes et limités, pensons que notre barque arrivant alors au milieu de la mer est tourmentée par les flots (Mt 14,24), qui veulent que nous fassions naufrage dans la foi (1Tm 1,19) ou dans quelque autre vertu.
Mais lorsque nous verrons l'esprit du Mauvais combattre nos entreprises, pensons qu'alors le vent nous est contraire.
Quand donc nous aurons subi ces assauts au long des trois veilles de la nuit, en traversant l'obscurité des tentations, luttant avec tout le courage dont nous sommes capables et prenant garde à ne pas faire naufrage dans la foi ou dans quelque autre vertu,
croyons alors qu'à la quatrième veille (Mt 14,25), lorsque la nuit sera avancée et que le jour sera tout proche (Rm 13,12),
le Fils de Dieu viendra vers nous en marchant sur la mer (Mt 14,25) pour nous la rendre bienveillante.
Et lorsque nous verrons le Verbe nous apparaître, nous serons troublés avant de comprendre clairement que c'est le Sauveur, venu habiter parmi nous.
Croyant encore voir un fantôme (Mt 14,26), pleins de crainte, nous pousserons des cris.
Mais lui nous parlera aussitôt: Confiance, dira-t-il, c'est moi, n'ayez pas peur (Mt 14,27).
Et il peut se trouver parmi nous un Pierre (Mt 14,28) tendant vers la perfection (He 6,1) sans y être encore parvenu, que cette parole d'encouragement remplira d'une ardeur nouvelle.
Comme pour échapper à cette tentation qui le tourmente, il descendra de la barque ; voulant aller vers Jésus, il se mettra à marcher sur les eaux (Mt 14,29); mais, avec sa foi encore faible et ses doutes, il verra la violence du vent, il prendra peur et commencera à enfoncer.
Pourtant, il ne coulera pas, parce qu'il appellera Jésus d'une voix forte et lui dira: Seigneur, sauve-moi (Mt 14,30)!
Puis, à peine ce Pierre aura-t-il fini de parler et de dire: Seigneur, sauve-moi!, que le Verbe étendra la main pour lui porter secours; il le saisira au moment où il commencera à enfoncer et lui reprochera son peu de foi et ses doutes.
Observez toutefois qu'il n'a pas appelé Pierre "incrédule", mais homme de peu de foi, et qu'il lui a dit: Pourquoi as-tu douté? (Mt 14,31), car il avait une certaine foi, mais penchait aussi dans le sens contraire.
Après cela, Jésus et Pierre monteront dans la barque, et le vent tombera (Mt 14,32), et ceux qui seront dans la barque, sachant de quels périls ils ont été sauvés, se prosterneront devant lui en disant <>: Vraiment, tu es le Fils de Dieu (Mt 14,33).
 
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Extrato retirado de um comentário
 
de Orígenes (+ 253)
 
“Jesus nas nossas tempestades”:
Se acontecer de sermos expostos a tentações inevitáveis, lembremo-nos de que Jesus nos obrigou a entrar no barco e que quer que o sigamos para o outro lado (Mt 14,22).
Na verdade, é impossível chegar à outra margem sem suportar a prova de ondas e ventos contrários.
Quando nos vemos assaltados por tantas e graves dificuldades, e cansados ​​de fazer esta travessia com meios modestos e limitados, pensemos que o nosso barco que então chega ao meio do mar está atormentado pelas ondas (Mt 14,24). , que querem que naufragemos na fé (1Tm 1,19) ou em alguma outra virtude.
Mas quando vemos o espírito do Mal lutando contra nossos negócios, vamos pensar que o vento está contra nós.
Quando, portanto, suportamos esses assaltos ao longo das três vigílias noturnas, passando pela escuridão das tentações, lutando com toda a coragem de que somos capazes, e tomando cuidado para não naufragar na fé ou em alguma outra virtude,
acreditemos então que na quarta vigília (Mt 14,25), quando será tarde a noite e o dia muito próximo (Rm 13,12),
o Filho de Deus virá até nós andando sobre o mar (Mt 14,25) para torná-lo benevolente para nós.
E quando virmos a Palavra aparecer para nós, ficaremos perturbados antes de entendermos claramente que é o Salvador que veio habitar entre nós.
Ainda acreditando que vemos um fantasma (Mt 14,26), cheios de medo, gritaremos.
Mas ele nos falará imediatamente: Confie, ele dirá, sou eu, não tenha medo (Mt 14,27).
E pode haver entre nós um Pedro (Mt 14,28) que se esforça pela perfeição (Hb 6,1), sem ainda a ter alcançado, a quem esta palavra de encorajamento irá encher de novo ardor.
Como se quisesse escapar dessa tentação que o atormenta, ele sairá do barco; querendo ir a Jesus, começará a andar sobre as águas (Mt 14,29); mas, com sua fé ainda fraca e suas dúvidas, ele verá a violência do vento, ele terá medo e começará a afundar.
Porém, não afundará, porque chamará a Jesus com grande voz e lhe dirá: Senhor, salva-me (Mt 14,30)!
Então, dificilmente este Pedro terá terminado de falar e dizer: Senhor, salva-me!, Que a Palavra estenderá sua mão para ajudá-lo; ele vai agarrá-lo no momento em que começar a afundar e reprová-lo por sua falta de fé e suas dúvidas.
Observe, porém, que ele não chamou Pedro de "incrédulo", mas de um homem de pouca fé, e que lhe disse: Por que você duvidou? (Mt 14,31), porque ele tinha uma certa fé, mas também se inclinava na direção oposta.
Depois disso, Jesus e Pedro entrarão no barco, e o vento diminuirá (Mt 14,32), e aqueles que estão no barco, sabendo de quais perigos foram salvos, se prostrarão diante dele, dizendo <>: Verdadeiramente, tu és o Filho de Deus (Mt 14,33).
 
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Extract taken from a commentary by
 
Origen (+ 253)
 
"Jesus in our storms":
If we happen to be exposed to inevitable temptations, let us remember that Jesus forced us to get into the boat and that he wants us to go before him to the other shore (Mt 14,22).
In truth, it is impossible to reach the other shore without enduring the test of waves and headwinds.
When we see ourselves assailed by many and serious difficulties, and that we are tired of making this crossing with modest and limited means, let us think that our boat then arriving in the middle of the sea is tormented by the waves (Mt 14,24) , who want us to be shipwrecked in faith (1Tm 1,19) or in some other virtue.
But when we see the spirit of Evil fighting our businesses, let's think that then the wind is against us.
When therefore we have endured these assaults throughout the three night watches, passing through the darkness of temptations, struggling with all the courage of which we are capable, and being careful not to be shipwrecked in faith or in some other virtue,
let us believe then that on the fourth watch (Mt 14,25), when the night will be late and the day will be very near (Rom 13,12),
the Son of God will come to us walking on the sea (Mt 14,25) to make it benevolent to us.
And when we see the Word appear to us, we will be troubled before we clearly understand that it is the Savior, who came to dwell among us.
Still believing that we see a ghost (Mt 14,26), full of fear, we will cry out.
But he will speak to us immediately: Trust, he will say, it is I, do not be afraid (Mt 14,27).
And there may be among us a Peter (Mt 14,28) tending towards perfection (Heb 6,1) without having yet achieved it, whom this word of encouragement will fill with new ardor.
As if to escape this temptation which torments him, he will get off the boat; wanting to go to Jesus, he will begin to walk on the waters (Mt 14,29); but, with his faith still weak and his doubts, he will see the violence of the wind, he will be afraid and will begin to sink.
However, it will not sink, because it will call Jesus with a loud voice and say to him: Lord, save me (Mt 14,30)!
Then, hardly will this Peter have finished speaking and saying: Lord, save me !, than the Word will stretch out his hand to help him; he will seize it the moment he begins to sink in and reproach him for his lack of faith and his doubts.
Observe, however, that he did not call Peter "unbeliever," but a man of little faith, and said to him: Why did you doubt? (Mt 14,31), because he had a certain faith, but also leaned in the opposite direction.
After that, Jesus and Peter will get into the boat, and the wind will fall (Mt 14,32), and those who are in the boat, knowing from what perils they have been saved, will bow down to him, saying <>: Truly, you are the Son of God (Mt 14,33).
 
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Extracto tomado de un comentario
 
de Orígenes (+ 253)
 
"Jesús en nuestras tormentas":
Si nos vemos expuestos a tentaciones inevitables, recordemos que Jesús nos obligó a subir a la barca y que quiere que vayamos antes que él a la otra orilla (Mt 14,22).
En verdad, es imposible llegar a la otra orilla sin soportar la prueba de las olas y los vientos en contra.
Cuando nos veamos asaltados por muchas y serias dificultades, y que estamos cansados ​​de hacer esta travesía con medios modestos y limitados, pensemos que nuestro barco que llega entonces en medio del mar está atormentado por las olas (Mt 14,24). , que quieren que naufraguemos en la fe (1Tm 1,19) o en alguna otra virtud.
Pero cuando veamos el espíritu del mal luchando contra nuestros negocios, pensemos que entonces el viento está en nuestra contra.
Por tanto, cuando hemos soportado estos asaltos a lo largo de las tres vigilias nocturnas, atravesando las tinieblas de las tentaciones, luchando con todo el coraje de que somos capaces y cuidando de no naufragar en la fe o en alguna otra virtud,
Creamos, pues, que en la cuarta vigilia (Mt 14,25), cuando la noche se hará tarde y el día estará muy cerca (Rom 13,12),
el Hijo de Dios vendrá a nosotros caminando sobre el mar (Mt 14,25) para hacernos benévolo.
Y cuando veamos que la Palabra se nos aparece, nos turbaremos antes de comprender claramente que es el Salvador, quien vino a morar entre nosotros.
Creyendo todavía que vemos un fantasma (Mt 14,26), llenos de miedo, clamaremos.
Pero él nos hablará enseguida: Confía, dirá, soy yo, no temas (Mt 14,27).
Y puede haber entre nosotros un Pedro (Mt 14,28) que aspira a la perfección (Heb 6,1) sin haber llegado todavía, a quien esta palabra de aliento llene de nuevo ardor.
Como para escapar de esta tentación que lo atormenta, se bajará de la barca; queriendo ir a Jesús, comenzará a caminar sobre las aguas (Mt 14,29); pero, con su fe aún débil y sus dudas, verá la violencia del viento, tendrá miedo y comenzará a hundirse.
Sin embargo, no se hundirá, porque llamará a Jesús a gran voz y le dirá: ¡Señor, sálvame (Mt 14,30)!
Entonces, difícilmente este Pedro habrá terminado de hablar y decir: ¡Señor, sálvame !, que la Palabra extenderá su mano para ayudarlo; lo aprovechará en el momento en que comience a hundirse y reprocharle su falta de fe y sus dudas.
Observe, sin embargo, que no llamó a Pedro "incrédulo", sino a un hombre de poca fe, y le dijo: ¿Por qué dudaste? (Mt 14,31), porque tenía cierta fe, pero también se inclinaba en sentido contrario.
Después de eso, Jesús y Pedro subirán a la barca, y el viento caerá (Mt 14,32), y los que están en la barca, sabiendo de qué peligros se han salvado, se postrarán ante él, diciendo <>: En verdad, eres el Hijo de Dios (Mt 14,33).
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L'INDIGNATION, LE HURLEMENT,
 
L'APPEL D'UN PRÊTRE:
Le genre humain fait face à des ennemis puissants et organisés, déterminés et implacables, avec un projet : refaçonner l’humanité suivant leur idéologie démente et criminelle. Ces forces des ténèbres siègent aujourd’hui au cœur des institutions de notre pays.
"Notre pays, la France, est entré dans les ténèbres ce 1er août à 3h 35 du matin.
C’est à cette heure-là qu’une poignée de députés a voté en catimini la loi dite de « bioéthique » - qui est en réalité la négation même de toute éthique.
Par cette loi, non seulement les fondements anthropologiques des règles légales de filiation sont piétinées, mais il est même désormais autorisé, en vertu d’un amendement voté in extremis, de tuer un enfant dans le ventre de sa mère jusqu’au dernier instant de la grossesse – oui ! jusqu’au terme !
(...) Désormais, un enfant pleinement constitué sur le point de sortir du ventre de sa mère peut être tué en France sur simple décision d’un adulte.
Il va de soi que la nuit d’une épaisseur d’encre, la nuit étouffante et insupportable dans laquelle est entré notre pays n’est pas la même que celle dans laquelle entre le prophète Élie dans le récit du Premier Livre des Rois que nous propose la liturgie du dimanche 9 août.
Pour Élie, c’est la nuit bénie de l’attente obscure de Dieu ; nuit d’espérance et de fidélité tranquille ; nuit de veille sur la montagne de Dieu, l’Horeb, nuit qui prélude à l’aurore dans laquelle Dieu vient se manifester.
C’est cette nuit du mystère dont parle saint Jean de la Croix :
« Nuit bénie, en secret, car nul ne me voyait, … sans autre lueur ni guide hors celle qui brûlait en mon cœur ; et celle-ci me guidait, plus sûre que celle de midi » (s. Jean de la Croix, La nuit obscure, str. 3-4).
C’est, hélas, une autre nuit qui s’est abattue sur la France : nuit de l’iniquité où ont cours des lois scélérates, où s’est installée la mort spirituelle d’une nation, le refus de Dieu, la négation de la vie en son origine même ; nuit du plus infâme des crimes qu’est l’assassinat programmé d’une multitude d’enfants innocents. Nuit de l’abomination, du crime contre l’humain, tout cela au « pays des droits de l’homme ».
Il n’est plus l’heure de discuter poliment ni même de pétitionner, comme l’ont souligné certains de nos évêques.
Le genre humain fait face à des ennemis puissants et organisés, déterminés et implacables, avec un projet : refaçonner l’humanité suivant leur idéologie démente et criminelle.
Ces forces des ténèbres siègent aujourd’hui au cœur des institutions de notre pays.
Pouvons-nous seulement espérer qu’un jour ces ténèbres abyssales dans lesquelles nous sommes entraînés s’ouvrent à une autre nuit, la nuit de Dieu, prélude d’un renouveau ?
Si nous abandonnions cette espérance, alors cela voudrait dire que nous aurions perdu la foi. Car la foi nous commande de ne jamais désespérer, même au cœur de la nuit la plus obscure.
Osons en ce jour adresser à Dieu de toutes nos forces cette prière : que la nuit du péché le plus monstrueux qui soit, dans laquelle est désormais plongée la France autrefois catholique, soit transformée un jour prochain en une nuit illuminatrice au sein de laquelle naîtra l’aube d’un jour nouveau.
« Car il n’est que l’espérance
pour animer notre cœur
qui, de nos plus noires souffrances,
sait toujours être vainqueur ».
Abbé Laurent Prudhomme.
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INDIGNAÇÃO, UIVO,
 
CHAMADO DE UM SACERDOTE:
A humanidade enfrenta inimigos poderosos e organizados, determinados e implacáveis, com um projeto: remodelar a humanidade de acordo com sua ideologia insana e criminosa. Essas forças das trevas estão no cerne das instituições de nosso país hoje.
“Nosso país, a França, escureceu no dia 1º de agosto às 3h35.
Foi nessa época que um punhado de parlamentares votou secretamente a favor da chamada lei da "bioética" - que na verdade é a própria negação de toda ética.
Por esta lei, não só os fundamentos antropológicos das normas jurídicas da filiação são espezinhados, mas é mesmo agora autorizado, em virtude de uma emenda votada in extremis, a matar um filho no ventre de sua mãe até o último momento da morte. gravidez - sim! até o fim!
(...) A partir de agora, uma criança plenamente constituída prestes a emergir do ventre de sua mãe pode ser morta na França por simples decisão de um adulto.
Nem é preciso dizer que a noite densa de tinta, a noite sufocante e insuportável em que nosso país entrou não é a mesma em que o profeta Elias entra no relato do Primeiro Livro dos Reis que nós propõe a liturgia do domingo, 9 de agosto.
Para Elias, é a noite abençoada da escura expectativa de Deus; noite de esperança e fidelidade silenciosa; vigília noturna na montanha de Deus, Horebe, noite que preludia o amanhecer em que Deus vem manifestar-se.
É esta noite do mistério de que fala São João da Cruz:
“Bendita noite, em segredo, porque ninguém me viu, (…) sem outra luz ou guia além da que ardia em meu coração; e este me guiou, mais seguro do que o meio-dia ”(v. João da Cruz, A noite escura, str. 3-4).
É, infelizmente, mais uma noite que se abateu sobre a França: noite de iniqüidade onde acontecem leis desonestas, onde ocorre a morte espiritual de uma nação, a rejeição de Deus, a negação. da vida em sua própria origem; noite do mais infame dos crimes, o assassinato planejado de uma multidão de crianças inocentes. Noite de abominação, de crime contra o homem, tudo na “terra dos direitos humanos”.
Não é mais hora de discutir educadamente ou mesmo de fazer petições, como alguns de nossos bispos apontaram.
A humanidade enfrenta inimigos poderosos e organizados, determinados e implacáveis, com um projeto: remodelar a humanidade de acordo com sua ideologia insana e criminosa.
Essas forças das trevas estão no cerne das instituições de nosso país hoje.
Podemos apenas esperar que um dia essa escuridão abismal para a qual somos atraídos se abra para outra noite, a noite de Deus, o prelúdio para uma renovação?
Se abandonarmos essa esperança, isso significará que perderemos nossa fé. Pois a fé nos ordena que nunca nos desesperemos, mesmo no coração da noite mais escura.
Ousemos hoje dirigir esta oração a Deus com todas as nossas forças: que a noite do pecado mais monstruoso que é, em que agora está imersa a antiga França católica, se transforme um dia em breve numa noite iluminada na qual nascerá o amanhecer de um novo dia.
"Porque só há esperança
para animar nosso coração
quem, de nossos sofrimentos mais sombrios,
sempre sabe ser um vencedor ”.
Abade Laurent Prudhomme
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INDIGNATION, HOWLING,
 
CALL OF A PRIEST:
Mankind faces powerful and organized enemies, determined and relentless, with a project: to reshape humanity according to their insane and criminal ideology. These forces of darkness sit today at the heart of our country's institutions.
“Our country, France, entered darkness on August 1 at 3.35 am.
It was at this time that a handful of MPs secretly voted for the so-called "bioethics" law - which is in fact the very negation of all ethics.
By this law, not only the anthropological foundations of the legal rules of filiation are trampled, but it is even now authorized, by virtue of an amendment voted in extremis, to kill a child in the womb of his mother until the last moment of death. pregnancy - yes! until the end!
(...) From now on, a fully constituted child about to emerge from his mother's womb can be killed in France at the simple decision of an adult.
It goes without saying that the ink-thick night, the suffocating and unbearable night into which our country entered is not the same as that into which the prophet Elijah enters in the account of the First Book of Kings that we proposes the liturgy of Sunday August 9.
For Elijah, it is the blessed night of the dark expectation of God; night of hope and quiet fidelity; night watch on the mountain of God, Horeb, night which preludes to the dawn in which God comes to manifest himself.
It is this night of the mystery of which Saint John of the Cross speaks:
“Blessed night, in secret, for no one saw me,… without another light or guide except the one that burned in my heart; and this one guided me, more sure than that of midday ”(s. John of the Cross, The dark night, str. 3-4).
It is, alas, another night that befell France: night of iniquity where rogue laws take place, where the spiritual death of a nation, the rejection of God, the negation took place. of life at its very origin; night of the most infamous of crimes, the planned murder of a multitude of innocent children. Night of abomination, of crime against humans, all in the "land of human rights".
It is no longer the time to politely discuss or even to petition, as some of our bishops have pointed out.
Mankind faces powerful and organized enemies, determined and relentless, with a project: to reshape humanity according to their insane and criminal ideology.
These forces of darkness sit today at the heart of our country's institutions.
Can we only hope that one day this abysmal darkness we are drawn into will open up to another night, the night of God, the prelude to a renewal?
If we let go of this hope, then it would mean that we would have lost our faith. For faith commands us never to despair, even in the heart of the darkest night.
On this day, let us dare to address this prayer to God with all our might: may the night of the most monstrous sin that is, in which the formerly Catholic France is now immersed, be transformed one day soon into an illuminating night within which will be born the dawn of a new day.
"Because there is only hope
to animate our heart
who, of our darkest sufferings,
always knows how to be a winner ”.
Abbot Laurent Prudhomme
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INDIGNACIÓN, Aullido,
 
LLAMADO DE UN SACERDOTE:
La humanidad se enfrenta a enemigos poderosos y organizados, decididos e implacables, con un proyecto: remodelar a la humanidad de acuerdo con su ideología loca y criminal. Estas fuerzas de la oscuridad se encuentran hoy en el corazón de las instituciones de nuestro país.
“Nuestro país, Francia, entró en la oscuridad el 1 de agosto a las 3.35 am.
Fue en ese momento que un puñado de diputados votó en secreto a favor de la llamada ley de "bioética", que de hecho es la negación misma de toda ética.
Por esta ley, no solo se pisotean los fundamentos antropológicos de las normas legales de filiación, sino que incluso ahora se autoriza, en virtud de una enmienda votada in extremis, matar a un niño en el vientre de su madre hasta el último momento de la muerte. embarazo - ¡sí! ¡hasta el final!
(...) A partir de ahora, un niño plenamente constituido a punto de salir del vientre de su madre puede ser asesinado en Francia por la simple decisión de un adulto.
No hace falta decir que la noche espesa como la tinta, la noche sofocante e insoportable en la que entró nuestro país no es la misma en la que entra el profeta Elías en el relato del Primer Libro de los Reyes que nosotros propone la liturgia del domingo 9 de agosto.
Para Elías, es la noche bendita de la oscura espera de Dios; noche de esperanza y fidelidad tranquila; Vigilia nocturna en el monte de Dios, Horeb, noche que preludia el amanecer en el que Dios viene a manifestarse.
Es esta noche del misterio de la que habla San Juan de la Cruz:
“Bendita noche, en secreto, porque nadie me vio,… sin otra luz o guía que la que ardía en mi corazón; y éste me guió, más seguro que el del mediodía ”(s. Juan de la Cruz, La noche oscura, estr. 3-4).
Es, ay, otra noche que cayó sobre Francia: noche de iniquidad donde se llevan a cabo leyes deshonestas, donde tuvo lugar la muerte espiritual de una nación, el rechazo de Dios, la negación. de la vida en su origen; noche del más infame de los crímenes, el asesinato planeado de una multitud de niños inocentes. Noche de abominación, de crímenes contra humanos, todo en la "tierra de los derechos humanos".
Ya no es el momento de discutir cortésmente o incluso de hacer peticiones, como han señalado algunos de nuestros obispos.
La humanidad se enfrenta a enemigos poderosos y organizados, decididos e implacables, con un proyecto: remodelar a la humanidad de acuerdo con su ideología loca y criminal.
Estas fuerzas de la oscuridad se encuentran hoy en el corazón de las instituciones de nuestro país.
¿Sólo podemos esperar que un día esta abismal oscuridad a la que nos vemos arrastrados se abra a otra noche, la noche de Dios, el preludio de una renovación?
Si dejamos ir esta esperanza, significaría que habríamos perdido nuestra fe. Porque la fe nos manda a no desesperarnos nunca, ni siquiera en el corazón de la noche más oscura.
Atrevámonos hoy a dirigir esta oración a Dios con todas nuestras fuerzas: que la noche del pecado más monstruoso que es, en la que ahora está inmersa la Francia antes católica, se transforme un día pronto en una noche iluminadora en la que nacerá el el amanecer de un nuevo día.
"Porque solo hay esperanza
para animar nuestro corazón
quien, de nuestros sufrimientos más oscuros,
siempre sabe ser un ganador ”.
Abad Laurent Prudhomme
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Premier dimanche après la fête de 

l'Assomption de Sainte-Marie
  • Soirée :
    • Saint-Luc 14: 25-35
  • Matin :
    • Saint-Luc15: 1-10
  • Avant Quadisha Qurbana :
    • Exode 14: 21-31
    • I Samuel 8: 4 -9
    • Isaïe 43:1-5
  • Saint Qurbana :
    • 1ère de St Jean 2: 22-29
  • 22 Le menteur n’est-il pas celui qui refuse que Jésus soit le Christ ? Celui-là est l’anti-Christ : il refuse à la fois le Père et le Fils ;
  • 23 quiconque refuse le Fils n’a pas non plus le Père ; celui qui reconnaît le Fils a aussi le Père.
  • 24 Quant à vous, que demeure en vous ce que vous avez entendu depuis le commencement. Si ce que vous avez entendu depuis le commencement demeure en vous, vous aussi, vous demeurerez dans le Fils et dans le Père.
  • 25 Et telle est la promesse que lui-même nous a faite : la vie éternelle.
  • 26 Je vous ai écrit cela à propos de ceux qui vous égarent.
  • 27 Quant à vous, l’onction que vous avez reçue de lui demeure en vous, et vous n’avez pas besoin d’enseignement. Cette onction vous enseigne toutes choses, elle qui est vérité et non pas mensonge ; et, selon ce qu’elle vous a enseigné, vous demeurez en lui.
  • 28 Et maintenant, petits-enfants, demeurez en lui ; ainsi, quand il se manifestera, nous aurons de l’assurance, et non pas la honte d’être loin de lui à son avènement.
  • 29 Puisque vous savez que lui, Jésus, est juste, reconnaissez que celui qui pratique la justice est, lui aussi, né de Dieu.

 

    • Ephésiens 6: 10-17
  • 10 Puisez votre énergie dans le Seigneur et dans la vigueur de sa force.
  • 11 Revêtez l’équipement de combat donné par Dieu, afin de pouvoir tenir contre les manœuvres du diable.
  • 12 Car nous ne luttons pas contre des êtres de sang et de chair, mais contre les Dominateurs de ce monde de ténèbres, les Principautés, les Souverainetés, les esprits du mal qui sont dans les régions célestes.
  • 13 Pour cela, prenez l’équipement de combat donné par Dieu ; ainsi, vous pourrez résister quand viendra le jour du malheur, et tout mettre en œuvre pour tenir bon.
  • 14 Oui, tenez bon, ayant autour des reins le ceinturon de la vérité, portant la cuirasse de la justice,
  • 15 les pieds chaussés de l’ardeur à annoncer l’Évangile de la paix,
  • 16 et ne quittant jamais le bouclier de la foi, qui vous permettra d’éteindre toutes les flèches enflammées du Mauvais.
  • 17 Prenez le casque du salut et le glaive de l’Esprit, c’est-à-dire la parole de Dieu.
    • Saint Luc 6: 39 – 45
  • 39 Il leur dit encore en parabole : « Un aveugle peut-il guider un autre aveugle ? Ne vont-ils pas tomber tous les deux dans un trou ?
  • 40 Le disciple n’est pas au-dessus du maître ; mais une fois bien formé, chacun sera comme son maître.
  • 41 Qu’as-tu à regarder la paille dans l’œil de ton frère, alors que la poutre qui est dans ton œil à toi, tu ne la remarques pas ?
  • 42 Comment peux-tu dire à ton frère : “Frère, laisse-moi enlever la paille qui est dans ton œil”, alors que toi-même ne vois pas la poutre qui est dans le tien ? Hypocrite ! Enlève d’abord la poutre de ton œil ; alors tu verras clair pour enlever la paille qui est dans l’œil de ton frère.
  • 43 Un bon arbre ne donne pas de fruit pourri ; jamais non plus un arbre qui pourrit ne donne de bon fruit.
  • 44 Chaque arbre, en effet, se reconnaît à son fruit : on ne cueille pas des figues sur des épines ; on ne vendange pas non plus du raisin sur des ronces.
  • 45 L’homme bon tire le bien du trésor de son cœur qui est bon ; et l’homme mauvais tire le mal de son cœur qui est mauvais : car ce que dit la bouche, c’est ce qui déborde du cœur.

 

Maintenues en confinement au Monastère en Normandie, toutes les célébrations Liturgiques avaient été annulées  en Charente (16), Dordogne (24), Lourdes (65) et l'Est (90,68,67) jusqu'à la fin de la Pandémie.

Nous  pouvons désormais  les reprendre progressivement.

Suivez bien ce Blog pour connaitre les prochains Rendez-Vous Liturgiques pastoraux et fraternels près de chez vous.

 

Nos prochains Rendez-Vous Liturgiques au

 

Monastère et en dehors:

SOYEZ TOUS PRESENTS, Réservez la date du 15 Août sur vos agendas !

 

Du Samedi 15 au mercredi 19 Retraite-Pèlerinage de

 

délivrance et de guérison à

 

N-D de Miséricorde, Montligeon,

 

Notre-Dame de Pontmain,

 

Alençon et Lisieux.

 

¤LA CHAPELLE FAUCHER (Périgueux):

- Messe le 22 Août *

 

¤ANGOULÊME (Jauldes):

- Messe  le 23 Août *

¤LOURDES (65):

-Possibilité de Visites  sur le Sud-Ouest et Pyrénées du les jours précédent le 30 Août.Messe à LOURDES le Dimanche 30 à 10h30 (S'inscrire au 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées) Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

 

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Permanence pastorale en région Parisienne:

La Permanence pastorale mensuelle reprendra les:

*Jeudi 3 SEPTEMBRE, visites aux malades et bénédictions des maisons

*Vendredi 4 SEPTEMBRE toute la journée jusqu'à 18h

*Samedi 5 SEPTEMBRE en matinée pour accompagnements spirituels, Sacrements (Confessions, Onction des malades...), Prières de délivrances ou d'exorcismes, prières de guérison... .(Inscriptions:06 48 89 94 89)

Samedi 6 à 15h , départ des fidèles de Région Parisienne qui veulent participer au Pèlerinage du dimanche à Notre-Dame de Miséricorde . (Inscriptions:06 48 89 94 89)

https://img.over-blog-kiwi.com/1/49/89/80/20191012/ob_2edb42_genevieve-ste.jpg#width=238&height=300

ANNONCE: Nous recherchons toujours un local pour y installer Chapelle et permanence pastorale continue sur Paris...L'année 2020 Célébrera les 1600 ans de Sainte Geneviève, lui aurons-nous trouvé son Sanctuaire des Chrétiens Syro-Orthodoxes de Mar Thoma sur Paris ?

 Merci de rechercher pour nous et de nous avertir de toute opportunité. 

 

* P rogramme habituel: Messe à 10h30 et disponibilité d'un ou de plusieurs prêtres  pour CATECHISMES, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .

 

DIMANCHE 6 SEPTEMBRE,

TOUS AU MONASTÈRE POUR LE

PÈLERINAGE

MENSUEL,

MAIS AUSSI POUR

L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE EXTRAORDINAIRE

DE L'ASSOCIATION CULTUELLE DE LA

"METROPOLIE DE L'EGLISE SYRO-ORTHODOXE

DE MAR THOMA"