Forgive them that trespass against you with joy, as a good son rejoices when he has a chance of fulfilling the will of his beloved father.
(St John of Kronstadt, My Life in Christ)
Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains 8,35-39.
Frères, qui nous séparera de l'amour du Christ ? L'affliction ? l'angoisse ? la persécution ? la faim ? le dénuement ? le péril ? l'épée ?
Selon qu'il est écrit : " A cause de toi, tout le jour nous sommes livrés à la mort, et on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie. "
Mais dans toutes ces épreuves nous sommes plus que vainqueurs, par celui qui nous a aimés.
Car j'ai l'assurance que ni la mort, ni la vie, ni le anges, ni les principautés, ni les choses présentes, ni les choses à venir, ni les puissances,
ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu dans le Christ Jésus Notre-Seigneur.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 12,24-26.
En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples : En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de froment tombé en terre ne meurt pas, il demeure seul ;
Mais s'il meurt, il porte beaucoup de fruit. Celui qui aime sa vie, la perdra ; et celui qui hait sa vie en ce monde, la conservera pour la vie éternelle.
Si quelqu'un veut être mon serviteur, qu'il me suive, et là où je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu'un me sert, mon Père l'honorera.
Par Théodore de Mopsueste
(?-428), évêque Syro-oriental de Mopsueste en Cilicie et théologien
Commentaire de l'évangile de Jean ; CSCO 116, p. 171s (trad. Orval rev.)
Chemin de croix, chemin de gloire
« Voici venue l'heure où le Fils de l'homme doit être glorifié » (Jn 12,23)… Après avoir annoncé sa glorification étonnante, qui semblait incompatible avec sa Passion, Jésus ajoute : « En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé ne tombe en terre et ne meurt pas, il reste seul ; s'il meurt, il porte beaucoup de fruit » (v. 24). « Que ma mort ne vous trouble donc pas. Le grain de blé est seul avant de tomber en terre, mais une fois tombé et mort, il germe pour une grande gloire et porte le double de fruits ; il déploie ses richesses devant tous et montre l'éclat de sa beauté. Pensez qu'il en est de même de moi. Maintenant je suis seul et sans gloire, méconnu dans la foule obscure des autres hommes. Mais lorsque j'aurai subi les souffrances de la croix, je ressusciterai avec grande gloire. Alors je porterai de nombreux fruits »…
Après ces prédictions à son propre sujet, Jésus exhorte ses disciples à l'imiter : « Celui qui aime sa vie la perdra, et celui qui cesse de s'y attacher en ce monde la gardera pour la vie éternelle » (v. 25). « Donc, non seulement ma Passion ne doit pas vous scandaliser…, mais vous devez être prêts vous aussi à subir les mêmes souffrances pour porter les mêmes fruits. » Il dit ensuite très simplement : « Si quelqu'un me sert, qu'il me suive. » « Si quelqu'un veut être mon serviteur, qu'il montre par ses actes qu'il veut marcher à ma suite. » « Là où je suis, là aussi sera mon serviteur. Si quelqu'un me sert, mon Père l'honorera » (v. 26). « Celui qui prend part à mes souffrances aura également part à ma gloire ; il sera avec moi éternellement dans le monde à venir et il partagera ma joie dans le Royaume des cieux. Voilà comment mon Père honorera ceux qui m'auront servi avec fidélité. »
« Le Saint-Esprit vient en nous lors du baptême et fait de nous Son sanctuaire. Or le Saint-Esprit ne demeure pas en nous de manière violente, mais conformément à notre volonté. Si nous péchons contre Lui, Il ne demeure plus en nous ; Satan prend Sa place et notre sanctuaire charnel devient une porcherie. »
Prologue d’Ohrid du saint évêque serbe Nicolas (Vélimirovitch, 1880-1956)
22 mai/4juin, homélie
Pardonnez avec joie à ceux qui vous offensent, de même qu'un bon fils se réjouit lorsqu'il a la possibilité d'accomplir la volonté de son père bien-aimé.
(Saint Jean de Kronstadt, ma vie en Christ)
SAINT(S) DU JOUR:
1er Février:
SAINT IGNACE
Patriarche d'Antioche,
martyr et Père de l'Église
(† 107 ou 115)
Certains auteurs assurent qu'Ignace fut ce petit enfant que Notre-Seigneur plaça au milieu des apôtres lorsque, pour leur donner une leçon d'humilité, Il leur dit : « Si vous ne devenez semblables à de petits enfants, vous n'entrerez jamais dans le royaume des Cieux ». Ce qui est certain, c'est qu'il était un familier des premiers disciples du Sauveur, disciple lui-même de saint Jean, l'apôtre bien-aimé.
Ignace fut un grand évêque, un homme d'une rare sainteté ; mais sa gloire est surtout son martyre. Conduit devant l'empereur Trajan, il subit un long interrogatoire :
« C'est donc toi, vilain démon, qui insultes nos dieux?
-- Nul autre que vous n'a jamais appelé Théophore un mauvais démon.
-- Qu'entends-tu par ce mot Théophore ?
-- Celui qui porte Jésus-Christ dans son cœur.
-- Crois-tu donc que nous ne portons pas nos dieux dans notre cœur ?
-- Vos dieux ! Ce ne sont que des démons ; il n'y a qu'un Dieu Créateur, un Jésus-Christ, Fils de Dieu, dont le règne est éternel.
-- Sacrifie aux dieux, je te ferai pontife de Jupiter et père du Sénat.
-- Tes honneurs ne sont rien pour un prêtre du Christ. »
Trajan, irrité, le fait conduire en prison. « Quel honneur pour moi, Seigneur, s'écrie le martyr, d'être mis dans les fers pour l'amour de Vous ! » et il présente ses mains aux chaînes en les baisant à genoux.
L'interrogatoire du lendemain se termina par ces belles paroles d'Ignace : « Je ne sacrifierai point ; je ne crains ni les tourments, ni la mort, parce que j'ai hâte d'aller à Dieu. »
Condamné aux bêtes, il fut conduit d'Antioche à Rome par Smyrne, Troade, Ostie. Son passage fut partout un triomphe ; il fit couler partout des larmes de douleur et d'admiration :
« Je vais à la mort avec joie, pouvait-il dire. Laissez-moi servir de pâture aux lions et aux ours. Je suis le froment de Dieu ; il faut que je sois moulu sous leurs dents pour devenir un pain digne de Jésus-Christ. Rien ne me touche, tout m'est indifférent, hors l'espérance de posséder mon Dieu. Que le feu me réduise en cendres, que j'expire sur le gibet d'une mort infâme ; que sous la dent des tigres furieux et des lions affamés tout mon corps soit broyé ; que les démons se réunissent pour épuiser sur moi leur rage : je souffrirai tout avec joie, pourvu que je jouisse de Jésus-Christ. »
Saint Ignace, dévoré par un lion, répéta le nom de Jésus jusqu'au dernier soupir. Il ne resta de son corps que quelques os qui furent transportés à Antioche.
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Saint Sigisbert, Roi des Francs
en Austrasie,
fils du Roi Dagobert 1er,
père de Saint Dagobert II
et patron de la ville de Nancy.
Tropaire ton 4
Saint Sigisbert, tu as régné sur l'Austrasie,*
Protégeant la terre que Dieu t'avait donnée,*
Détestant la violence et aimant les gens humbles,*
Rendant la justice pour tous les démunis,*
Bâtissant des monastères sur ton royaume.*
Roi dévot, prie le Christ pour qu'Il sauve nos âmes!
Il gouverna ses Etats avec sagesse et les dota de nombreux monastères pour y faire rayonner la foi. Il fut inhumé dans l'église de Saint-Martin de Metz qu'il avait fondée.
Il est également considéré comme le fondateur des abbayes de Malmédy et Stavelot en Belgique sur des terrains cédés par saint Remacle.
Il mourut vers l’âge de vingt-huit ans, le 1er février 656. Ses reliques sont conservées à la cathédrale de Nancy.
http://orthodoxievco.net/…/vi…/synaxair/fevrier/sigebert.pdf
Séquence liturgique occidentale
1. Que sera ce fils de Lorraine ?
Déjà dans les eaux du baptême
Il reconnaît Dieu et l’adore,
Il lui consacre sa parole.
2 Le saint prophète qui baptise
Des eaux sacrées l’enfant royal
Annonce la gloire céleste,
Joyeux, aux hommes dans la peine.
3 Ces paroles ne trompent pas ;
Sur le trône de ses parents,
Il siège, et la vertu l’assiste,
S’étonnant d’habiter la Cour.
4 L’honneur des lois et de l’autel
Retrouve une nouvelle vie ;
L’épidémie d’enfer s’enfuit,
Et l’âge d’or descend du ciel.
5 Roi très bon, tu chéris la paix !
A voir mille de tes sujets
Te dresser de sanglants lauriers,
Tu préfères qu’un seul soit sauf.
6 Tu sais te vaincre toi-même,
Tu réduis les fastes royaux,
Tu domptes ta jeunesse ardente,
Et cette victoire te plaît.
7 Roi saint, considère ton peuple
Et, de ton trône dans le ciel,
Réclame du Dieu tout-puissant
Pour nous une égale victoire. Amen. Alléluia !
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Sainte Brigitte de Kildare
Tropaire t.1
Ô sainte Brigitte, tu es devenue sublime par ton humilité,/
et tu volas sur les ailes du désir de Dieu,/
quand tu arrivas dans la Ville éternelle
et que tu apparus devant Ton Divin Epoux, /
portant la couronne de la virginité, /
tu tins ta promesse /
de te souvenir de ceux qui ont recours à toi. /
Tu fais ruisseler la grâce sur le monde, et tu
multiplies les miracles. /
intercéde auprès du Christ notre Dieu,
afin qu'Il sauve nos âmes.
Kondakion t.4
La Vierge Sainte Brigitte, emplie de la sagesse divine, /
est allée avec joie le long de la voie de l'enfance évangélique, /
et avec la grâce de Dieu /
elle a atteint ainsi, le sommet de la vertu. /
C'est pourquoi elle accorde maintenant des bénédictions
à ceux qui viennent à elle avec foi. /
Ô Vierge sainte, intercède auprès du Christ notre Dieu /
pour qu'Il ait pitié de nos âmes.
Issue d'une noble famille d'Irlande, qui avait été convertie par saint Patrick [fête le 17 mars], sainte Brigitte montra très tôt d'admirables dispositions pour la vertu.
Quand elle eut atteint l'âge de seize ans, elle refusant tous les prétendants qu'attirait sa rare beauté et entra dans un monastère à quelques kilomètres de Dublin.
Sept autres jeunes filles se placèrent aussitôt sous sa direction. et la communauté qu'elle fonda, autour d'un gros chêne grandit rapidement grâce à la renommée de la sainte abbesse constituant l'une des premières communautés féminines de l'Irlande. Ce monastère, nommé Kyldare, devint par la suite une cité épiscopale, et les disciples de sainte Brigitte allèrent fonder des couvents dans toute l'Irlande.
Ses fondations l'obligeaient à faire de fréquents voyages et, partout où elle passait, des miracles s'accomplissaient.
Parmi les nombreux récits qui lui sont consacrés, citons celui du Livre de Lismor :
"Brigitte et certaines vierges allèrent avec elle recevoir le voile de l'évêque Mel à Telcha Mide. Il était heureux de les voir. Par humilité, Brigitte resta en arrière afin d'être la dernière à recevoir le voile. Une rose rouge tomba sur sa tête, du faîte du toit de l'église. L'évêque Mel dit alors : "Avance-toi, O sainte Brigitte, que je puisse orner ta tête du voile avant les autres vierges." Elle s'est alors avancée. Et par une grâce du Saint-Esprit, c'est le rituel d'ordination épiscopale qui a été lu sur elle! Macaille dit que l'ordination épiscopale ne devrait pas être donnée à une femme. L'évêque Mel répondit : "Je n'ai aucun pouvoir en la matière. C'est Dieu qui a conféré cette dignité à Brigitte, au devant de toute (autre) femme." C'est pourquoi depuis lors les hommes d'Irlande rendent les honneurs épiscopaux au successeur de Brigitte."
Par le seul signe de la Croix, elle chassait les démons, guérissait les maladies des hommes et des animaux, convertissait les pécheurs, et sa présence inspirait à tout le peuple l'amour de Dieu. Tous les personnages marquants de son époque la connurent et lui témoignèrent leur admiration.
Après avoir prédit le jour de sa mort, elle s'endormit en paix, un 1er février (vers 524-528). Elle laissait à ses sœurs une règle monastique, résumant son enseignement.
Elle est reconnue comme patronne de l'Irlande, avec saint Patrick, et y est vénérée comme la seconde sainte après la Mère de Dieu.
Son culte s'est répandu dans toute l'Europe au cours du Moyen Âge et particulièrement en Bretagne, où on la nomme Brec'hed ou Berhet, et où de nombreuses chapelles lui sont dédiées comme à Locmariaquer, Noyalo, Merdrignac ou Trigavou.
http://www.diocesedegeneve.net/…/Fevri…/Ste.Brigitte_FRA.pdf
Saint martyr Tryphon
( Et savez-vous pourquoi saint Tryphon est représenté avec un faucon?On ne voit cela que sur les icônes russes: parce qu'un jour, un fauconnier d'Ivan III ayant laissé échapper son faucon préféré se faisait énormément de souci à l'idée du châtiment qui l'attendait. Il pria son saint patron le martyr Tryphon et s'endormit sous un arbre. Il vit en rêve le saint à cheval qui lui rapportait l'oiseau, et s'éveillant, l'aperçut près de lui. En signe de reconnaissance, le fauconnier fit bâtir à cet endroit une très belle petite église en pierre qui existe encore, rue Trifonovskaïa, à Moscou. J'habitais à deux pas, et j'allais parfois lire l’acathiste et des diptyques avec le diacre qui s'en occupait. C'était un endroit miraculeux, comme un petit morceau de campagne russe en plein milieu de Moscou. )
Tryphon, quel est ton sort?
- Sous le tranchant du glaive je trouve la mort.
Et le temps de ta fin? - C'est la nouvelle lune.
En «Février» Tryphon est inscrit à la «une».
Par ses saintes prières, ô notre Dieu, aie pitié de nous et sauve-nous. Amen
Tropaire, t. 4
Ton Martyr, Seigneur, pour le combat qu'il a mené * a reçu de toi, notre Dieu, la couronne d'immortalité; * animé de ta force, il a terrassé les tyrans * et réduit à l'impuissance l'audace des démons; * par ses prières sauve nos âmes, ô Christ notre Dieu.
Kondakion, t. 8
Fortifié par la Trinité, tu fis disparaître le culte des dieux multiples, * glorieux Tryphon, vénérable dans le Seigneur; * ayant vaincu les tyrans grâce au Christ Sauveur, * tu as reçu la couronne des Témoins * et le pouvoir des guérisons, comme invincible martyr.
Ikos
L'assemblée des fidèles présente en ce jour * le festin sacré portant les signes de l'avant-fête: * le Seigneur porté sur les bras du saint vieillard * quarante jours après sa nativité virginale * et le mémorial de l'Athlète victorieux, * pour célébrer le triomphe de l'invincible martyr.
Exapostilaire, t. 3
Dans la merveilleuse et divine félicité * qui te comble, Bienheureux, * tu es devenu le compagnon des Anges saints, * toi qui faisais paître les oies dans les vallons * et de Dieu tu as reçu le pouvoir des guérisons, * mégalomartyr, saint Tryphon, * pour éloigner des hommes les faiblesses et les infirmités.
Ce glorieux Martyr du Christ était originaire de la ville de Lampsaque, en Phrygie (Asie Mineure). Ses parents, modestes mais pieux, lui inspirèrent dès son plus jeune âge l'amour des saintes vertus évangéliques, de sorte qu'il obtint très tôt de Dieu la grâce de guérir les hommes et les animaux de leurs maladies, et de chasser les esprits impurs, tout en restant dans l'humble condition de gardien d'oies. Au temps du règne de l'empereur Gordien (238-244), un démon furieux prit possession de la fille du souverain, sans que ni les médecins ni les mages ne puissent rien faire pour elle. Le démon s'écria un jour : « Seul Tryphon a la force de me déloger! » Gordien envoya aussitôt des émissaires dans tout l'Empire à la recherche de ce guérisseur. L'ayant trouvé en train de garder paisiblement ses oies, ils emmenèrent à Rome le jeune garçon de dix-sept ans. Dès son arrivée, Tryphon expulsa le démon par la puissance de sa prière, et le fit apparaître aux habitants de la ville sous la forme d'un chien noir et répugnant, afin qu'il confesse, qu'instrument de Satan, le père de tout mal, il n'avait, lui et les siens, aucun pouvoir contre les Chrétiens. L'empereur reconnaissant couvrit Tryphon de présents que le Saint distribua aux pauvres sur le chemin du retour vers sa patrie. Il reprit en paix ses activités, répandant autour de lui miracles et bénédictions divines, jusqu'au temps de la persécution de Dèce (250). Il fut alors dénoncé au préfet de l'Orient, Akylin, comme un dangereux promoteur du Christianisme. Il se livra de lui-même aux soldats qui avaient été envoyés pour l'arrêter, et se présenta radieux à Nicée, de vant le tribunal, méprisant avec assurance les flatteries du préfet comme ses menaces. Il fut d'abord attaché au poteau de torture et frappé pendant trois heures à coups d'épées de bois, qui servaient à l'exercice des soldats. Comme il semblait rester étranger à la souffrance, le tyran le fit ensuite attacher derrière son cheval et l'obligea à courir pieds nus sur les chemins rocailleux et verglacés. Puis, de retour à Nicée, comme il refusait d'adorer l'image de l'empereur, on lui planta des clous dans les pieds et on le traîna ainsi au milieu de la ville. Mais l'amour du Christ transformait les souffrances du jeune Martyr en de divines délices1 , et le spectacle de ces tortures ne faisait qu'attirer l'admiration de la foule. Les soldats s'acharnaient à lui déboîter les membres, à le frapper de verges et à lui brûler tout le corps avec des torches, mais le Saint endurait tout avec joie, en priant pour ses bourreaux. Et soudain, une couronne de fleurs, ornée de pierres précieuses, descendit du ciel pour se poser sur sa tête. Akylin, impuissant et ridicule, ordonna alors de le décapiter en-dehors de la ville. Mais, avant même que le bourreau n'abatte son glaive meurtrier, le Saint Martyr rendit son âme à Dieu. Les Chrétiens de Nicée se précipitèrent pour honorer sa précieuse dépouille, mais le Saint leur apparut pour leur révéler que sa place était dans sa patrie. C'est donc à Lampsaque qu'il fut enseveli et qu'il accomplit de nombreux Miracles au cours des siècles. Il est invoqué pour la protection des jardins et des cultures contre les sauterelles, les reptiles et toutes sortes d'autres bestioles nuisibles.
1. Tryphie signifie "délices".
http://calendrier.egliseorthodoxe.com/…/stsfevri…/fev01.html Source:Père Duloisy sur Facebook.
2 FEVRIER:
PRESENTATION DE NOTRE-SEIGNEUR AU TEMPLE ET SAINTE RENCONTRE:
Ce jeudi 2 février c'est la fête de la Présentation de Notre Seigneur au Temple & du vieillard St. Siméon ( Mor Shem'un Sobo ), selon le calendrier liturgique de notre Tradition Syro-Orthodoxe.
La fête de la Pésentation (En Syriac ma'alto , "de l'entrée ), communément connue comme la fête du vieillard Siméon, commémore la présentation de notre Seigneur au temple 40 jours après sa naissance (Luke 2:22-39) conformément à la Loi des Juifs Loi (voir Lévitique 12:1-4).
Nous avons un service spécial pour la bénédiction des cierges similaire à celui de la messe de la "Chandeleur" dans les églises occidentales, est effectué, après que chaque membre de la l'assemblée ait en main un cierge allumé symbolisant la lumière (c'est-à-dire le Christ) qu'a vu le vieillard Siméon .
En Orient, une coutume populaire veut que les fidèles utilisent de la suie de ces bougies pour la couleur de leurs paupières, bien que cela ne fasse pas partie de la liturgie.
Au cours de la liturgie, des bougies (De préférence de vraie cire d'abeilles) sont placées sur un plateau et recouvertes d'un mince voile blanc.
Le plateau est ensuite placé sur une table dans l'avant-choeur, sous le signe de l'Évangile.
À la fin de la quqalyon de la mère de Dieu, le célébrant porte une croix dans ses bras, à l'exemple de Siméon qui a reçu le Christ en ses bras, il accomplit à ce moment là une procession à l'intérieur de l'église.
"Et maintenant, Seigneur, laisse Ton serviteur,
selon Ta parole, s’en aller en paix,
parce que mes yeux ont vu le salut qui vient de Toi,
que tu as préparé pour être mis devant tous les peuples,
Lumière qui doit se révéler aux nations,
et la gloire de Ton peuple Israël."
" Allons, nous aussi… à la rencontre du Christ et accueillons-le,
ornez votre chambre… et recevez le Christ Roi…
Et accueillez Marie la porte du ciel ".
Ces chants de la fête de la Présentation s’appliquent aussi à notre âme.
Chaque âme devrait être un Temple de Dieu, où Marie apporte Jésus.
Et chacun de nous, comme Siméon, devrait prendre l’enfant dans ses bras et dire au Père : " Mes yeux ont vu ton salut".
La prière de Siméon, " laisse ton serviteur s’en aller en paix ", ne signifie pas seulement que celui qui a vu Jésus et l’a tenu dans ses bras peut maintenant quitter cette vie, mourir en paix.
Elle signifie encore pour nous que, ayant vu et touché le Sauveur, nous sommes délivrés de la servitude du péché et nous pouvons nous éloigner en paix du royaume du mal.)
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/
maliath taibootho/ full of grace/
moran a'amekh - the Lord is with thee/
mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/
wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/
O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/
yoldath aloho/ Mother of God/
saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/
nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./
Amîn
Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.
Les bras de Siméon portant le Christ Jésus
semblent le sein du Père, où il siège là-sus.
Dans le temple, le deux, Siméon le reçut.
A notre Dieu gloire et puissance dans les siècles. Amen.
Tropaire, t. 1
Réjouis-toi, Pleine de grâce, Vierge Mère de Dieu, * car de toi s'est levé le Soleil de justice, * le Christ notre Dieu, illuminant ceux qui étaient dans les ténèbres. * Réjouis-toi aussi, juste vieillard Siméon, * car dans tes bras tu as porté le libérateur de nos âmes * qui nous permet de prendre part * à sa divine Résurrection.
Apostiche t.7
Sion orne ta chambre nuptiale et reçois le Christ-Roi. Accueille avec amour Marie qui est la Porte du ciel, car elle tient dans ses bras le Roi de Gloire, Celui qui la Lumière nouvelle. La Vierge s’arrête, présentant sin Fils engendré avant l’aurore. Siméon Le reçoit dans ses bras et annonce au peuple qu’Il est le Maître de la vie et de la mort et le Sauveur du monde.
Kondakion, t. 1
Seigneur qui par ta naissance as sanctifié le sein de la Vierge, * par ta Présentation tu as béni les mains de Siméon. * En venant à notre rencontre tu nous as sauvés, * ô Christ notre Dieu. * Donne en notre temps la paix à ton Eglise, * affermis nos pasteurs dans ton amour, * toi le seul ami des hommes.
Ikos
Accourons vers la Mère de Dieu * pour voir son Fils présenté à Siméon; * du haut du ciel, les Anges, le voyant, * ont manifesté leur surprise en disant: * Merveille, ce que nous voyons à présent, * ineffable, incompréhensible, sortant de l'ordre commun; * celui qui a créé jadis Adam * se laisse porter comme un enfant; * celui que nul espace ne peut contenir * trouve place dans les bras du Vieillard; * celui qui est dans le sein du Père, sans limites pour sa divinité, * accepte d'être limité par la chair, lui le seul ami des hommes.
Exapostilaire
Amené au Temple par l'Esprit, le vieillard Siméon a reçu * dans ses bras le Seigneur qui donne la loi; * Maintenant, s'exclame-t-il, laisse-moi m'en aller dans la paix, * me délivrant du lien qui me rattache à la chair, * car mes yeux ont contemplé la clarté qui se révèle aux nations * et le salut préparé pour Israël.
When the ever-virgin Mary's forty days of purification were passed, according to the Law of Moses she took her son Jesus to the Temple in Jerusalem, to dedicate him to God as her first-born son. At the temple the Lord's parents offered the sacrifice of a pair of doves (Luke 2:22-23), from which we learn that they were poor, since those who were able were required to offer a lamb. At the Temple, the Lord was met by Zacharias, father of St John the Baptist, and by the aged, righteous Symeon, who had awaited the salvation of God for many years. (Sts Symeon and Anna are commemorated tomorrow.) We are told that some Pharisees, seeing the child Jesus recognized as the Messiah of Israel, were enraged, and went to tell King Herod. Realizing that this must be the child of whom he had been warned, Herod immediately sent soldiers to kill Him. But the righteous Joseph, warned in dream, fled with the child and his wife, the most holy Theotokos, into Egypt, and they were preserved.
The Feast of the Meeting of the Lord was observed in Jerusalem at least from the fourth century. Its observance was brought to Constantinople by the Emperor Justinian in 542. In the West it is called the Feast of the Purification of the Mother of God, or Candlemas Day.
Note sur la "Présentation du Seigneur au Temple"
« Chandeleur »
La fête de ce jour a un double objet, célébrer la purification de Marie et la présentation de Jésus au Temple selon la loi de Moïse. Cette loi fixait le temps où les mères devaient se présenter avec leurs nouveau-nés devant les autels, et elle exigeait une offrande pour le rachat des enfants mâles. Ni Marie, toute pure dans sa maternité, ni Jésus, Fils de Dieu, n'étaient obligés à cette cérémonie ; cependant par humilité, et pour donner aux hommes un éclatant exemple d'obéissance aux lois divines, Marie, accompagnée de Joseph et portant Jésus en ses bras, se rendit au Temple de Jérusalem.
La fête chrétienne qui nous conserve le souvenir de cette cérémonie porte, dans le langage populaire, le nom de la Chandeleur, à cause de la procession qui se fait ce jour-là dans nos églises avec des cierges allumés.
Les cierges symbolisent Notre-Seigneur Jésus-Christ, Lumière du monde ; la procession représente le passage de la sainte Famille dans le Temple et la rencontre des deux vieillards Siméon et Anne. Saint Anselme, développant ce mystère, nous dit qu'il y a trois choses à considérer dans le cierge : la cire, la mèche et la flamme. La cire, ouvrage de l'abeille virginale, est la chair du Christ ; la mèche, qui est intérieure, est son âme ; la flamme, qui brille en la partie supérieure est sa Divinité.
La procession de la Chandeleur nous apparaît comme la marche du peuple chrétien à la lumière du Christ, figuré par les cierges que portent le clergé, la portion choisie de l'Église, comme Jésus même était porté entre les bras de Marie, entre ceux du saint vieillard Siméon et du pontife qui l'offrit au Seigneur.
Les cierges de la Chandeleur sont bénits avec une solennité toute particulière et avec l'emploi des prières les plus touchantes. Conservés dans la maison des chrétiens, ils sont un gage de la protection divine. Il est dans l'esprit de l'Église d'allumer les cierges de la Chandeleur pour repousser les esprits de ténèbres, dans les dangers corporels et spirituels, au lit des mourants, pour éloigner d'eux l'ennemi des hommes, qui fait alors son suprême effort afin d'arracher les âmes à Dieu. C'est bien alors surtout, en effet, que l'homme a besoin du recours du Rédempteur, vraie lumière des âmes, pour illuminer les derniers instants de sa vie.
« Admirons dans le Saint Vieillard Siméon quelle fut sa foi
aux promesses de la loi et des Prophètes. Siméon attendait le Rédempteur promis. Il soupirait sans cesse après cet heureux moment qui devait faire le bonheur et la consolation du peuple de Dieu. Dans ce désir, dans cette attente du Messie, il vivait dans la justice, dans la crainte du Seigneur, et le Saint-Esprit était en lui... Si nous avions une vraie foi aux promesses de l’Évangile, si nous attendions véritablement les biens qui nous y sont promis, nous ne trouverions pas de difficulté à vivre dans la sainteté et à conserver l'Esprit saint dans nos cœurs ; mais une foi trop faible, une vie mondaine, lâche et dissipée nous prive des consolations de Dieu, éteint en nous l'espérance, et ne nous fait envisager l'autre vie et le second avènement de Jésus qu'avec frayeur.
Observons quelle fut la foi de Siméon à la révélation de l'Esprit saint. Cet Esprit de Dieu lui avait révélé qu'il ne mourrait point sans avoir vu le Messie ; il lui tardait que cet heureux moment arrivât ; cependant il ne devait voir Jésus que dans l'infirmité de sa chair mortelle, et il devait mourir bientôt après ; pour nous au contraire nous devons le voir après notre mort, dans la splendeur de sa gloire, lorsque toutes nos peines seront finies et qu'il ne nous restera plus qu'à régner éternellement avec lui ; cette pensée nous alarme, nous effraie. Esprit saint, venez dans mon cœur pour le détacher de tout ce qui est ici-bas et le faire soupirer après l'heureux moment de sa délivrance, et de son vrai bonheur.
Considérons combien grande fut la foi de Siméon à la présence de Jésus Sauveur. Conduit par l'Esprit de Dieu il vint au Temple lorsqu'on amenait ce Divin enfant pour le présenter au Seigneur. Il le vit, il le contempla, et intérieurement il l'adora. La cérémonie étant finie il ne put se contenir, il s'approcha de lui, le prit entre ses bras, le serra sur son cœur et fit éclater les transports de sa joie, de sa reconnaissance et de son amour... Si nous avions une foi vive, nous connaîtrions que nous avons le même Jésus dans le Sacrement de l'Eucharistie, et nous l'y recevrions dans les sentiments de Siméon. Mais, hélas ! n'est-ce pas souvent l'esprit de vanité, de curiosité ou d'intérêt, la coutume, le respect humain, ou quelque autre motif indigne et criminel qui nous conduisent à l'Autel et au Temple ! »
P. Bonaventure Girardeau (+1774), Évangile médité, et distribué pour tous les jours de l'année, suivant la concorde des quatre Évangélistes, Revu et corrigé par M. l'Abbé Duquesne, Nouvelle édition, Tome premier (XVe Méditation, Premier point), Paris, Amable Costes et Cie, 1823.
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« Remarquons dans Marie son obéissance. Elle obéit à une loi dont les termes dans leur sens propre semblent l'excepter formellement, puisqu'elle marque positivement : une femme qui aura conçu et enfanté suivant le cours ordinaire de la nature. Mais par amour pour la loi de Dieu, et pour éviter le scandale du peuple qui ignorait le grand mystère opéré en sa faveur, Marie ne fait point valoir ses privilèges, elle observe le précepte, elle en remplit toutes les ordonnances jusque dans le dernier détail. Est-ce avec cet amour, avec cette ferveur, avec cette ponctualité que nous obéissons à Dieu ? Hélas, ou nous transgressons formellement sa loi, ou nous ne l'observons qu'imparfaitement !
Considérons dans Marie son humilité. Elle sacrifie aux yeux des hommes la gloire de sa Virginité, dont elle avait été si jalouse aux yeux des Anges et devant Dieu. Elle se montre dans le premier parvis du Temple comme une femme immonde qui ne peut entrer dans le second avant d'avoir été purifiée. Cette Vierge sainte sait que Dieu connaît sa pureté, cela lui suffit ; elle est peu inquiète des jugements humains. Que nous sommes bien différents : peu inquiets d'être souillés aux yeux de Dieu, nous ne sommes attentifs qu'à paraître purs aux yeux des hommes !
Admirons dans Marie son esprit de pauvreté. Selon la loi, la Mère devait offrir un agneau et une tourterelle, ou, si sa situation ne lui permettait pas, elle devait présenter deux tourterelles, ou deux petits de colombes. Marie s'en tient à cette dernière disposition de la loi, qui était conforme à son état présent. Elle ne rougit point de paraître pauvre aux yeux du monde et dans la Maison du Seigneur. Hélas, n'est-ce pas souvent dans ce saint lieu où notre vanité veut paraître avec plus d'ostentation et de luxe ! »
P. Bonaventure Girardeau (+1774), Évangile médité, et distribué pour tous les jours de l'année, suivant la concorde des quatre Évangélistes, Revu et corrigé par M. l'Abbé Duquesne, Nouvelle édition, Tome premier (XIVe Méditation, Premier point), Paris, Amable Costes et Cie, 1823.
NB : Le plan et la matière de cet ouvrage appartiennent au P. Giraudeau, jésuite. Les infirmités de ce religieux ne lui ayant pas permis de les mettre en œuvre, M. l'Archevêque de Paris le confia à l'Abbé Duquesne qui employa plusieurs années à ce travail. [Quérard, II, 718]. La première version parut en 1773, éditée à Paris chez Charles-Pierre Berton, en 12 tomes.
2 février de l'an 43 :
Première Divine Liturgie sur le sol des Gaules.
Selon l'Abbé Duhaut dans son ouvrage ''Marie protectrice de
la France'' (1906), Lazare, Marthe et Marie, Marie Jacobé,
Marie Salomé, Maximin et Sidoine, Sara et Marcelle, ayant
accosté sur les côtes de Provence (Tradition des Saintes-
Maries-de-la-mer), construisirent un modeste oratoire, qui
fut probablement le premier temple chrétien élevé sur la
terre des Gaules.
C'est là que le 2 février 43 fut célébrée la Divine Liturgie.
വി. സഭ നാളെ കർത്താവിന്റെ ദേവാലയ പ്രവേശന സ്മരണയിൽ മായൽത്തോ പെരുന്നാൾ ഭക്തി പുരസരം കൊണ്ടാടുന്നു കൂടാതെ വൃദ്ധനായ ശെമവോന്റെയും, മർത് ഹന്നയുടെയും ( വയോധിക ദിനം ) , മലങ്കര സഭയുടെ ഗാന്ധി എന്ന് പ്രശസ്തനായ ..തീണ്ടലും , തോടിലിന്റെയും , ഉച്ച നീച്ചത്വങ്ങളുടെയും കാലത്ത് സമൂഹത്തിലെ താഴ്ന്ന വിഭാഗത്തെയും , അശരണരുടെയും ഇടയിൽ ദൈവ ദൂതനെ പോലെ ചുരുളും , ചെങ്ങലയും, ഭക്ഷണവും , വസ്ത്രവുമായി നടന്നു കുടിലായ കുടിലെല്ലാം കയറി ഇറങ്ങി സമൂഹത്തിന്റെ മുഖ്യ ധാരയിലേക്ക് കൊണ്ടുവന്ന പാവങ്ങളുടെ അപ്പോസ്തോലാൻ പുണ്യശ്ലോകനായ പത്രോസ് മാർ ഒസ്താത്തിയോസ് തിരുമേനിയുടെ 49 മത് ഓർമ്മ പെരുന്നാളും വി. സഭ ഭക്തി ആദരവോടെ കൊണ്ടാടുന്നു ..പ്രധാന പെരുന്നാൾ അഭി. പിതാവ് അന്ത്യവിശ്രമം കൊള്ളുന്ന കണ്ടനാട് കർമ്മേൽ ദയറയിൽ അഭി. ഡോ യാക്കോബ് മാർ ഐറേനിയോസ് ,അഭി.ഡോ സഖറിയാസ് മാർ അപ്രേം എന്നി പിതാക്കന്മാരുടെ പ്രധാന കര്മികത്വതിലും കൊണ്ടാടുന്നു
Avec cette vidéo de l'un des deux Evêques Syriens encore détenus par les islamistes, vous aurez une idée, pour ceux qui n'y pourront être, de la Procession de demain à l'église et, surtout, vous n'oublierez-pas de prier pour leur libération... À la fin de la quqalyon de la mère de Dieu, le célébrant porte une croix dans ses bras, à l'exemple de Siméon qui a reçu le Christ en ses bras, il accomplit à ce moment là une procession à l'intérieur de l'église.
SIGNEZ LA PETITION POUR LA LIBERATION DES DEUX EVÊQUES QUIDNAPES EN SYRIE /PETITION ON THE ABDUCTION OF THE TWO HIERARCHS OF ALEPPO SYRIAToujours aucune nouvelle d'eux....Nous espérons...
*Rappel des faits:
Le 22 avril 2013, Mgr Yohanna (Jean) Ibrahim, archevêque syriaque orthodoxe d’Alep, et Mgr Boulos (Paul) Yazigi, archevêque grec orthodoxe de la même ville, étaient enlevés à l’ouest d’Alep en Syrie. Les deux évêques s’étaient rendus en voiture,fraternellement, avec un chauffeur, dans cette région pour tenter de négocier la libération de deux prêtres enlevés en février précédent : le Père Michel Kayyal (catholique arménien) le le Père Maher Mahfouz (grec-orthodoxe). C’est l’un des enlèvements les plus étranges en période de guerre puisqu’il n’y a eu aucune revendication. Même les médias ne s’intéressent pas beaucoup à cette affaire, jugée peu sulfureuse et surtout incompréhensible. Pour cette raison, le site Internet grec Pemptousia met en ligne une pétition (en anglais) pour la libération de deux hiérarques. Pour la signer,pétition relayée en France par Orthodoxie.com et nous-même cliquez ICI !
Merci.
N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et
fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"
ou terroristesen tous genres !
Prions sans relâche pour que le
Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...
Let us not forget the bishops, priests and faithful
Christians held by "Islamists" or terrorists of all
kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.
Pray for their release ...
Arme invincible, soutien de la foi, Très Sainte Croix ,
nous te chantons, / devant toi nous prosternant avec foi: / tu es le refuge, la gloire des chrétiens; / gardienne des orthodoxes et fierté des martyrs, / à juste titre nous te glorifions.
Croix de Jésus, armure des chrétiens, / tu donnes aux rois victoire et tu renverses les démons: / à ceux qui se prosternent devant toi / donne ta protection et la grande miséricorde.
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amîn
Tous ceux qui d'un cœur ardent / se prosternent pieusement / devant le croix et les souffrances de ton Fils, / fais qu'ils deviennent, ô Mère de Dieu, / les citoyens du Paradis / et les héritiers de la gloire des cieux.
True Christianity – Be converted
We need to be converted to Christianity, to life in Christ. It doesn’t matter if you were born into a Christian family. It doesn’t matter if you attend Church services regularly. It doesn’t matter if you teach Sunday School. We can do all of these, and yet still not have begun to really be a Christian. Perhaps we did make a beginning, as a child, or a youth, and things have just started to get tough recently. Maybe our Christian faith doesn’t seem to make sense like it once did. Maybe we find our Christian faith challenged both by the people we spend time with now, and by the daily problems we face and Christianity, that Christianity we were taught, just doesn’t seem to solve or even address. Maybe we know that we are just going through the motions, trying to please our family and priests, and God.
We need to be converted. You need to be converted. But converted to the real and authentic and abundant life that Christ offers. Not a substitute religion. Not a counterfeit religion. Not a false religion.
If we haven’t experienced all that God wants for us, and if we haven’t yet been able to participate in the divine life that is offered to us in Christ, then we have never rejected God. We have never lost our faith. We have never grown cold and confused. The problem is that we have never been properly taught what Christianity means.
What does it mean to be converted? Well in some sense it means simply to turn around. It means realising that you are heading in the wrong direction and doing something about it. How do we know that we are going the wrong way? From the perspective of being and becoming a real Christian it seems to me that we can know that we are heading in the wrong direction if some of these characteristics are present in our life:-
- We have no sense of being close to God and he being close to us at all times
- We are struggling with habitual sins and attitudes that we have no strength to overcome
- There is no spiritual fruitfulness in our life at all
- We don’t see how Christianity is relevant to life in the 21st century
- We go through the motions of prayer and liturgy but have no sense God is there
- We are angry with God because he seems to have let us down
- We think that we have things sorted because we are religious
- We have been hurt by people in the Church and blame God
None of these mean that we are to be blamed for how we feel and where we find ourselves. That’s not the point of this post. We have to begin the journey of the rest of our life from the place where we are today. But we do need to realise that our present experience, if this is what it is like, is not what God desires for us, and not what authentic Christianity teaches and invites us to participate in.
If this is what our life is like then we need to be converted. We need to change our direction. Indeed, even if things are not like this, even if we have rich and transforming experience of God, we need to begin each day with an act of turning everything round to make God the object and focus of our life.
How do we begin? We begin by being honest. Honest about ourselves and about what we think of God. For many folk, the God they have been told they must worship and love is not a God that can be respected at all. If we have been taught that God is angry with us and wants to send us to Hell if we do anything to displease them, then how can we say that we love him? If we think that God is weighing up our good deeds against our bad deeds and will only allow us to enter Heaven if the good outweigh the bad, then how can we love him? If it seems that we can bargain with God, doing religious things in return for gifts and favours, then how can we say that we love him? We can fear such a God, and we can think that we might be able to manipulate such a God, but we cannot love him.
But this is not what the God of Christianity, of real and authentic Christianity, is like at all. If you have been taught any of these other religions then you have been misled and deceived. You certainly need to change your way of thinking, which is another meaning of conversion. What is needed is a dawning understanding of what God is really like.
In the first place, God created all things. We don’t need to be concerned about how in this post. But he made everything, and he made you. He created you to be uniquely the person you could be and become. Why would he go to so much trouble? It is because he wanted each of us, and you yourself, to enter into a relationship of life and love with him. You were created uniquely for a unique relationship with God and you are irreplaceable in God’s purposes and will. All that God created he said was good. And you are created good in God’s love, even though we have fallen into sin and error and weakness and failures of many kinds.
In the second place, even though we have made a mess of our lives and have fallen into sin, we believe absolutely and without any hesitation or exception, that it was because God loves the world that he sent the Word of God into the world as a man like us, except for sin. God became a man while remaining God because he loves us, because he loves you. And the Scriptures are clear, God shows how much he loves us, how much he loves you, because it is while we were sinners that Christ died for us, so that we might live. It is while we were sinners that he rose from death, so that we might rise with him. If God became man, and died and rose again, while we were sinners, then his love is not constrained by our sin. He loves us already without limit. He loves you without limit. The extent of God’s love for you is that he was willing to die in love for you.
And in the third place, in love for each of us, God desires that we enter into a living and life-giving relationship with him. Each of us. That transforms and heals us, that creates in us that person that God created us uniquely to be and which we cannot become apart from a relationship with God who made us in love for love. It is this relationship which brings about, by the grace of the indwelling Holy Spirit, fruitfulness in the spiritual life, peace and joy, strength to overcome even habitual sin, and an unceasing sense of the reality of God’s presence.
This is what the Christian life is really about. This is what it means to be authentically Christian. Everything else is fake and false, and a cheap counterfeit. It is worth spending our life seeking such an experience. Growth in the Christian life does not come without much effort and commitment. But it does come if we enter into a true relationship of love with the God who loves us. If we are not experiencing such a life with God then we need to be converted. We need to change the direction we are heading in and turn back to God, perhaps turn to him for the first time.
Nor is this required of only a few, or those who feel far from God. On the contrary, each day and every day, all of us, if we are authentically Christian must turn again to God, and be converted, so that each day is spent in seeking God, and participating in his divine life and love, which is our salvation and the meaning of true Christianity.
(Source:http://www.stgeorgeministry.com/)
« N'est-il pas le charpentier, le fils de Marie ? »
Par Saint Athanase (295-373), évêque d'Alexandrie, docteur de l'Église
Lettre à Épictète, 5-9 (trad. bréviaire, 1er janvier ; rev.)
Le Verbe, la Parole éternelle de Dieu, « a pris en charge la descendance d'Abraham ; c'est pourquoi il devait se faire en tous points semblable à ses frères » (He 2,16-17) et prendre un corps pareil au nôtre. C'est pourquoi Marie est vraiment nécessaire pour qu'il prenne ce corps en elle et l'offre en notre faveur comme étant le sien... Gabriel le lui avait annoncé en termes soigneusement choisis. Il n'a pas dit, de façon banale : « Celui qui va naître en toi »... ; il a dit : « Celui qui va naître de toi »...
Tout cela s'est fait ainsi pour que le Verbe, en assumant notre nature et en l'offrant en sacrifice, la fasse totalement sienne. Il a voulu nous revêtir ensuite de sa propre nature divine, ce qui permet à Saint Paul de dire : « Il faut que ce qui est périssable en nous devienne impérissable, que ce qui est mortel revête l'immortalité » (1Co 15,53). Cela ne s'est pas fait de façon simulée comme certains hérétiques l'ont imaginé : jamais de la vie ! Le Sauveur est devenu vraiment homme, et le salut de l'homme tout entier est venu de là... Notre salut n'est pas une apparence, il n'est pas pour le corps seul, mais pour l'homme tout entier, âme et corps, et ce salut est venu du Verbe lui-même.
Ce qui est venu de Marie était donc humain par nature, selon les Écritures, et le corps du Seigneur était un vrai corps ; oui, un vrai corps, puisqu'il était identique au nôtre, car Marie est notre sœur, puisque nous descendons tous d'Adam.
LA PAIX DU COEUR
Dans la paix du cœur se dissipent les inquiétudes sur soi-même et tu vas jusqu’à découvrir à quel point tu te réalises dans une vie donnée…
Tu t’interroges : mais où est la source à laquelle puiser un tel élan ?
Elle est dans la mystérieuse présence d’un amour.
Le plus important pour toi est de découvrir que Dieu t’aime.
Là est la source. Et ton amour est présence et pardon.
Il t’aime, même si tu penses ne pas l’aimer.
Et viendra un jour où tu lui diras : je t’aime, peut-être pas comme je voudrais, mais je t’aime.
….Par son Esprit Saint, le Ressuscité traverse, pour le transfigurer, même le plus déconcertant en toi.
Les pessimismes que tu portes sur toi-même se dissolvent.
Fais la chasse aux impressions sombres que peut secréter l’imagination.
Et s’éclaire la paix du cœur.
Chante mon âme : je suis au Christ, je suis du Christ.
Imperceptible changement au-dedans, la transfiguration de l’être se poursuit au long de l’existence.
Elle donne de vivre dans le moment présent, elle fait de chaque jour un aujourd’hui de Dieu.
Déjà sur la terre, elle est le commencement de la Résurrection, le début d’une vie qui n’a pas de fin.
Pensais-tu qu’en toi le sable d’un désert avait recouvert l’amour ?
Des déserts intérieurs, il y en a.
Mais est-il nécessaire de s’y arrêter ?
Sur une terre aride fleurit l’amandier… Et s’il y avait moins de déserts qu’on le suppose.
Frère ROGER
(Extrait de la Lettre de Russie – Taizé, 1989), via le Blog de Seraphim)
OUI A LA VIE:
Article 214-1 Créé par Loi n°2004-800 du 6 août 2004 – art. 28 JORF 7 août 2004
« Le fait de mettre en œuvre une pratique eugénique tendant à l’organisation de la sélection des personnes est puni de trente ans de réclusion criminelle et de 7 500 000 euros d’amende ».
Il faut bien lire les mots de cette loi. Celle-ci en effet, a été transgressée allègrement par la loi Veil qui prévoit l’élimination par l’avortement, des enfants porteurs de maladies considérée comme graves ou incurables. C’est donc bien une sélection génétique des personnes, en l’occurrence d’enfants dans le sein de leur mère.
Puis est venue la procréation médicalement assistée appelée aussi « les bébés éprouvettes ». La fécondation in vitro permettait d’examiner les embryons en prélèvent une seule cellule. Conjointement était surveillé le développement de cet embryon avant de l’implanter chez la mère. Tout embryon estimé mal venu était mis à l’évier comme probablement la nature l’aurait fait.
Mais l’amélioration de la technique de la fécondation in vitro (PMA) a comme corollaire la possibilité d’étudier le génome et l’ADN de l’embryon ; tout simplement en en prélevant une cellule. Ceci étant initialement effectué quand dans une famille des étaient enfants porteurs d’une maladie génétique transmissible comme la myopathie ou la mucoviscidose. Il s’agissait donc bien d’effectuer une recherche aboutissant à une « sélection » de type eugénique théoriquement réprimée par la loi.
Mais l’homme dans la perspective, hédoniste, matérialiste et consumériste de la société n’est plus qu’un produit. S’il n’est plus utile ou constitue une charge pour la société, il doit disparaître : c’est l’euthanasie et aussi une proposition de loi de novembre 2016 prévoyant un véritable tri des embryons avant leur implantation chez la femme.
Qui soutient le plus cette proposition ? c’est Frydman, qui pratiqua le premier accouchement d’une enfant par procréation assistée, la fameuse Amandine. Pour lui, il faut généraliser la procréation médicalement assistée à tous les couples qui le demandent, les lesbiennes, les femmes isolées en mal d’enfant, les célibataires. Il vient d’ailleurs d’écrire un livre défendant cette thèse. René Frydman est d’origine juive et il sait très bien que les nazis voulaient effectivement épurer la race en éliminant les handicapés. Or il donne des raisons dont la plus percutante est la suivante : si on élimine les embryons malades ou porteurs de maladies futures, il n’y aura pas besoin de pratiquer ultérieurement un avortement. À terme le droit à la différence n’existera plus : l’humanité sera véritablement normalisée par ce tri embryonnaire. Tel est leMeilleur des Mondes d’Aldous Huxley : celle d’hommes standardisés, rationalisés, uniformisés par les critères de rentabilité définis par la société. L’horreur absolue prônée aussi par Attali.
Le professeur Arnold Munnich, généticien a été conseiller à la présidence de la République de 0207 à 2012. Pour lui, le respect de la Vie dès son commencement est le seul moyen de bloquer la barbarie qui s’installe en se débarrassant des plus faibles. Il prend une comparaison. Notre vie est un comme un livre : ce n’est pas la quantité de pages qui comptent mais ce qu’il y a dedans. Étant généticien et proche de ses malades il nous donne ce message : « Les parents et les fratries d’enfants atteints de maladies génétiques, toutes catégories socio-professionnelles confondues nous disent tous : pour eux l’enfant différend est une richesse, une leçon de courage, un trésor d’humanité et un supplément d’âme ».(Fig. 03/07/201). C’est sans nul doute que ce Jésus a voulu dire par ses paroles : « Aimez-vous les uns les autres » et que l’Eglise appelle la charité : l’aide au plus petit, au plus démuni et aux plus pauvres.
Frydman s’il était né entre 1936 et 1945 ne serait sans doute pas de ce monde parce que les nazis considéraient les Juifs comme« différents ». Il ne serait pas là pour nous dire que la destruction d’embryon éviterait des prises en charge couteuses pour la Sécurité Sociale. Pour nous dire que l’avenir de la société est dans l’uniformité d’où naquit l’ennui. Le monde de Frydman est celui du vide, de l’ennui. Sans doute celui de l’enfer.
Source: MPI, Article du Docteur Jean-Pierre Dickès
Pour circuler dans Paris, Lyon et Grenoble les jours de pollution, les automobilistes doivent désormais acquérir une vignette dite antipollution « Crit’Air ». C’est ce que l’on appelle la circulation différenciée : les voitures supposées peu polluantes peuvent circuler, les autres, notamment les voitures anciennes, sont interdites de circulation.
Une mesure anti-sociale, puisque les conducteurs les moins riches n’ont pas toujours les moyens de s’acheter un véhicule neuf et moins polluant : ils sont désormais interdits de circulation les jours de pollution ! Ces « sans dents » ne bénéficieront plus non plus de la gratuité des transports.
SOURCE
Chants de la Liturgie de la Sainte Rencontre
*Tropaire(n°14) et chant de bénédiction des cierges dans le rite occidental(n°13)
(http://richard.serene.free.fr/sonotheque.htm)
N°14 : Salut ! (Réjouis-toi) Pleine de grâce, Mère pure de Dieu et Vierge.* De toi a resplendi le Soleil de justice,* Christ notre Dieu, illuminant ceux qui sont dans les ténèbres.* Et toi, juste vieillard, sois dans la joie,* car tu as reçu dans tes bras le Libérateur de nos âmes,* Celui qui nous donne la Résurrection.
N°13 :
Refrain:
Lumière qui doit se révéler aux nations et gloire de ton peuple Israël !
- Lumen ad revelationem gentium,
- et gloriam plebis tuæ Israel
Et maintenant, Seigneur, laisse ton serviteur, selon ta parole, s’en aller en paix
Lumière qui doit se révéler aux nations et gloire de ton peuple Israël !
Parce que mes yeux ont vu le Salut qui vient de Toi
Lumière qui doit se révéler aux nations et gloire de ton peuple Israël !
Que Tu as préparé pour être mis à la face de tous les peuples.
Lumière qui doit se révéler aux nations et gloire de ton peuple Israël !
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit
Lumière qui doit se révéler aux nations et gloire de ton peuple Israël !
Comme il était au commencement et maintenant...
Lumière qui doit se révéler aux nations et gloire de ton peuple Israël !
Le PIB français a progressé de 1,1% en 2016 en raison d'un accroissement de la consommation des ménages et des investissements privés. Le gouvernement s'est félicité de ce chiffre pourtant inférieur à ses prévisions et à celui de l'année 2015 (1,2%).
La croissance du PIB a atteint 1,1% en France en 2016, après avoir accéléré au quatrième trimestre où elle s'est établie à 0,4%, a annoncé mardi 31 janvier l'Insee. Ce chiffre est nettement inférieur aux prévisions du gouvernement, qui tablait sur une progression de 1,4% du PIB sur l'ensemble de l'année. En 2015, la croissance s'était établie à 1,2%.
Pour autant, le ministre de l'Economie et des Finances Michel Sapin a estimé que ce chiffre témoignait d'une activité «dynamique» et qu'il «aura permis de faire reculer le chômage».
«C'est le signe d'une reprise qui s'installe durablement», a-t-il ajouté.
Investissement des entreprises et consommation des ménages en hausse
Dans le détail, les dépenses de consommation des ménages, qui contribuent traditionnellement à la solidité de l'activité, ont augmenté de 1,8% l'an dernier, après 1,4% en 2015. L'investissement des entreprises, autre moteur indispensable à une reprise durable de l'activité, a pour sa part progressé de 4,3%, soit deux fois plus que l'année précédente (+2%).
Au cours du seul mois de décembre 2016, néanmoins, la consommation des ménages a reculé de 0,8%.
source
LE RELATIVISME EST UN POISON
Il peut nous être utile, dixit ALETEIA, de se remémorer la sagesse du Pape Benoît XVI. Lors d’un entretien avec le journaliste Peter Seewald, Benoît XVI a prononcé une phrase aujourd’hui emblématique de notre époque : la dictature du relativisme.
Peter Seewald : dans son roman futuriste Le Meilleur des Mondes, l’auteur britannique Aldous Huxley prédisait en 1932, que la falsification serait l’élément fondamental de la modernité. Dans une réalité fictive, la vérité est fausse, voire même absente, alors rien de l’analyse finale ne compte réellement. Il n’y a pas de vérité, pas de point de vue. En fait, aujourd’hui, la vérité est considérée comme un concept bien trop subjectif pour être un standard universel valide. La distinction entre véritable et faux semble avoir été abolie. Tout est, dans une certaine mesure, négociable. Est-ce là le relativisme dont vous nous avertissiez si urgemment ?
Benoît XVI : Il est évident que le concept de vérité est devenu suspect. C’est un concept dont nous avons bien trop abusé. L’intolérance et la cruauté sont apparues au nom de la vérité. C’est pour cette raison que les gens ont peur lorsqu’ils entendent des propos tels que « c’est la vérité », ou bien « je détiens la vérité. » Nous ne la détenons jamais. Au mieux, c’est elle qui nous détient. Personne ne contestera qu’il faut être prudent lorsque l’on revendique la vérité. Mais la rejeter complètement en la déclarant inaccessible peut être destructeur.
Une grande partie des philosophies modernes consistent à dire que l’homme n’est pas capable de vérité. Mais dans ce cas, l’homme ne serait pas capable de valeurs éthiques non plus. Alors il n’aurait aucun standard. Il n’aurait donc qu’à organiser les choses au mieux, pour lui même, et l’opinion de la majorité serait le seul critère valable. Cependant, l’Histoire a maintes fois démontré à quel point l’opinion de la majorité pouvait être dangereuse, comme par exemple les régimes nazis et marxistes, qui s’opposaient à la vérité.
Lors de l’ouverture du conclave en 2005, vous avez déclaré dans votre homélie que « nous mettons en place une dictature du relativisme, qui ne reconnaît rien comme définitif et dont les standards ultimes sont simplement l’égo et les désirs de chacun. »
C’est pour cette raison que nous devons avoir le courage de dire : oui, l’homme doit chercher la vérité, car il en est capable. Il va s’en dire que la vérité nécessite des critères de vérification et falsification. Elle doit toujours être accompagnée de tolérance. Mais la vérité nous souligne aussi les valeurs constantes qui font de l’humain un être exceptionnel. C’est pourquoi l’humilité de reconnaître la vérité et de l’accepter comme standard doit être apprise et pratiquée de nouveau.
La vérité règne, non grâce à la violence mais grâce à son propre pouvoir. C’est le thème central des Évangiles de Jean : devant Pilate, Jésus professe être la Vérité lui-même et témoin de la Vérité. Il ne la défend pas avec des légions, mais la rend visible grâce à sa Passion et par la même parvient à la faire régner.
Voici les propos de l’homélie du Cardinal Ratzinger lors du conclave de 2005 :
Tout les êtres humains désirent laisser une trace durable. Mais qu’est-ce qui résiste au temps ? Pas l’argent. Pas même les immeubles, ni les livres. Après un certain temps, plus ou moins court, tout disparaît. La seule chose qui ne disparaît jamais est l’âme humaine, la personne humaine créée par Dieu, pour l’éternité.
Le fruit qui perdure est le résultat de tout ce que nous avons semés dans les âmes humaines : l’amour, la connaissance, un geste capable de réchauffer les coeurs, des mots qui ouvrent l’âme à la joie. Alors prions le Seigneur de nous aider à porter le fruit qui ne meurt jamais. C’est le seul moyen pour que la terre se transforme d’une vallée de larmes en un jardin de Dieu.(Source:ALETEIA)
HYMNE A LA TRINITE
Hymne II (IV)
Source : Mr Luc Fritz, via "Religion Orthodoxe"
Synésius, écrivain et poète, est né en Lybie, à Cyrène, vers 370. Issu d’une famille d’aristocrates païens, grands propriétaires terriens, il poursuit des études supérieures à Alexandrie avant que d’être délégué, entre 399 et 402, auprès de l’empereur pour négocier une réduction d’impôts destinée à soulager la Pentapole soumise à de multiples invasions barbares. Il retourne ensuite à Cyrène où il épousera une chrétienne, sans aucun doute de haute condition sociale, car c’est Théophile, le patriarche d’Alexandrie, qui bénira cette union. Libéré de ses obligations officielles, Synésius consacre son temps à sa famille, à l’entretien de ses propriétés ainsi qu’à ses activités philosophiques et littéraires. En 404, Cyrène est victime de nouvelles incursions de pillards. Synésius organise la défense de la région qui retrouve la paix en 405. Cette proximité avec les siens lui vaudra d’être acclamé évêque après le décès de l’évêque de Ptolémaïs.
Cette élection le surprend et il tarde à l’accepter car il ne veut ni se séparer de son épouse, ni renoncer à ses convictions néoplatoniciennes. Il écrit une lettre ouverte à son frère : « Tu ne seras pas seul à lire cette lettre ; en te l’adressant, je veux surtout faire savoir à tous dans quelles dispositions je suis. Quoi qu’il arrive par la suite, on n’aura pas le droit de m’accuser, ni devant Dieu, ni devant les hommes, ni surtout devant le vénérable Théophile. En lui soumettant toutes mes pensées, je m’en remets à sa décision ; en quoi donc pourrais-je être coupable ? Or, Dieu lui-même et la loi m’ont donné une épouse de la main sacrée de Théophile. Je le déclare hautement, je ne veux point me séparer d’elle ; je ne veux point non plus m’approcher d’elle furtivement, comme un adultère ; car, de ses deux actes, l’un répugne à la piété, l’autre est une violation de la règle. […] Enfin, il est un point sur lequel […] je dois insister, un peu plus ; car, à côté de cette difficulté, toutes les autres ne sont rien. Il est malaisé, pour ne pas dire impossible, d’arracher à notre esprit les convictions que la science y a fait entrer. Or, tu sais que la philosophie repousse beaucoup de ces dogmes admis par le vulgaire. […] Cette résurrection, objet de la commune croyance, n’est pour moi qu’une allégorie sacrée et mystérieuse, et je suis loin de partager les opinions de la foule. […] Si je suis appelé à l’épiscopat, je n’irai point, j’en prend à témoin Dieu et les hommes, prêcher des dogmes auxquels je ne croirai point. Dieu est la vérité même et je ne veux pas l’offenser. Mes doctrines sont le seul point où je ne pourrai me faire violence. […] Jamais je ne consentirai à dissimuler mes convictions ; ma langue ne sera pas en désaccord avec ma conscience. » Théophile d’Alexandrie fit confiance à cet esprit droit et l’ordonna évêque au cours de l’an 410.
L’oeuvre chrétienne de Synésius se compose de deux discours, d’homélies et de neuf hymnes dont la thématique trinitaire combat une résurgence de la pensée eunoméenne. Il y présente une pneumatologie singulière où l’Esprit Saint intervient dans la génération du Fils. Il est la volonté du Père par laquelle celui-ci enfante le Fils.
Hymne II (IV)
C'est toi qu’à l’aurore :
c’est toi qu’à la montée, c’est toi qu’au milieu et c’est toi qu’au déclin du jour sacré et de la nuit divine, c’est toi que je chante, ô Père, médecin des âmes, médecin des corps, toi qui dispenses la divine sagesse, toi qui écartes
toutes les maladies, et qui donnes aux âmes
une existence sereine que ne traverse pas
l’inquiétude terrestre, mère des douleurs,
mère des passions !
Fais que ma vie soit toujours exempte de tous ces tourments,
afin que je puisse célébrer par des hymnes la racine cachée
de toutes choses, et que jamais mon âme
ne soit entraînée par des égarements
qui l’éloignent de Dieu.
C’est toi, ô Bienheureux, c’est toi que je chante !
Que la terre se taise au moment de mes hymnes,
et que se tienne en silence sacré à l’heure de tes louanges,
tout ce que comprend le monde universel, car tout en lui, ô Père, a été fait par toi !
Que s’apaisent donc le sifflement des vents, le murmure des arbres, la rumeur des oiseaux. Que l’éther immobile
et que l’air immobile écoutent mes chants. Que les chutes d’eau s’arrêtent sans bruit en tombant sur terre,
et que les perturbateurs des hymnes sacrés, ces Génies, à qui
les cavernes sont chères et qui habitent au milieu ces tombeaux, soient éloignés de mes saintes prières.
Mais que tous les bons et les heureux ministres du Père d’intelligence, ces Génies qui résident dans le haut et le bas
des profondeurs du monde, bienveillamment s’informent
de nos hymnes au Père, et bienveillamment fassent monter vers Lui mes supplications.
Monade des monades, père des pères, principes des principes,
source des sources, racine des racines, bien des biens,
astres des astres, monde des mondes, idée des idées,
abîme de beauté, semence cachée, père des siècles,
père des indicibles univers de l’esprit, d’où tu fais que s’échappe le souffle immortel qui, venant flotter
sur les masses du corps suspend et suscite un second univers.
Je te chante, ô Bienheureux par le son de ma voix ; je te chante, ô Bienheureux, par mon silence aussi, car si tu entends
le son de ma voix, tu entends aussi
le silence de l’âme.
Je chante en outre le Fils, le Premier-né et la prime lumière. Toi donc, illustre enfant, du Père ineffable,
je te chante en mes hymnes, ô Bienheureux,
conjointement avec le Père tout-puissant,
et je chante aussi ce qu’après toi, le Père enfanta :
cette Volonté féconde principe intermédiaire,
cet Esprit-Saint centre du Père et centre aussi du Fils.
Tu es la mère, tu es la fille, tu es la soeur, toi qui as délivré
la racine cachée. Car, pour que le Père s’épanchât sur le Fils,
cet épanchement même a su trouver son germe.
Son fruit se situa, Dieu sorti de Dieu, au centre intermédiaire,
et, par cet enfant et par le radieux épanchement du Père immortel, le Fils aussi a su trouver son germe.
Tu es l’unité, bien qu’étant trinité ; unité qui demeure
et toujours trinité. Et cette division selon l’intelligence,
possède indivisible ce qui est divisé.
Le Fils, bien qu’il en sorte, réside dans le Père ; et, tout en dehors qu’il soit, il n’en régit pas moins tout ce qui est du Père,
en faisant descendre dans les univers le bonheur de la Vie,
d’où lui-même tire sa propre vie.
Verbe que je chante en même temps que le Père suprême,
c’est la pensée du Père ineffable qui te donne le jour,
et, une fois enfanté, tu es le Verbe de ton générateur.
Le premier, tu t’es élancé de la racine première,
ô toi qui es la racine de tout ce qui vient après
ta radieuse naissance ! L’ineffable Monade,
la semence de tout, t’a semé, toi qui es
la semence de tout, et par toi la nature
la plus haute, la médiane et l’extrême,
jouissent des dons bienfaisants de Dieu le Père et d’une vie féconde.
Par toi, la sphère qui ne vieillit point, imperturbablement
déroule le cercle de sa révolution.
C’est sous ta direction que par la violente rotation de la grande cavité du ciel, le chœur des septs planètes
danse en sens inverse.
Et, si les éclats, sans nombre des étoiles embellissent l’unique
cavité du monde, c’est par ta volonté, ô très illustre Fils !
Tu circules, en effet, au sein du creux du ciel, et tu maintiens le cours indissoluble des siècles.
Ce sont, ô Bienheureux, tes saintes lois qui, dans les flancs du ciel aux infinies profondeurs, conduisent le troupeau des astres éclatants.
C’est toi qui, aux êtres qui résident aux cieux, toi qui, à ceux qui habitent les airs, toi qui, à ceux qui séjournent sur terre,
toi qui, à ceux qui vivent sous la terre, c’est toi qui assignes
leurs tâches respectives, et qui leur attribue la vie.
Roi de l’Intelligence, c’est toi qui la dispenses aux dieux et à tous ceux des êtres mortels qui ont bu les ondées du destin de l’esprit.
Tu donnes l’âme, à ceux dont la vie et dont l’activité de la pleine vigueur, dépendent de l’Âme.
Les créatures même qui sont dénuées d’âme, se relient à ta chaîne ; et tout ce qui est privé de la vigueur de ton souffle,
cueille aussi de ton sein la force qui le conserve, force que ta puissance leur transmet du sein de ton Père ineffable,
la Monade cachée. C’est de là que s’échappe le ruisseau de vie
et qu’il se répand, grâce à ta puissance, jusque sur la Terre,
à travers les mondes sans bornes de l’esprit.
Et c’est de là que reçoit la source descendante des biens,
le monde visible : image apparente du monde intelligible.
Ce monde visible a un second soleil : c’est le générateur de la lumière qui brille aussitôt après le soleil de l’esprit,
et l’ordonnateur aux yeux éclatants de la matière qui naît
et de celle qui meurt.
Fils et sensible image du soleil de l’esprit, il octroie tous les biens qui naissent dans le monde.
Et cela arrive par ta volonté ô très illustre Fils ; et par la tienne aussi, ô Père inconcevable, ô Père inexprimable :
inconcevable à l’esprit, inexprimable en paroles.
Tu es, en effet, l’intelligence de toute intelligence,
l’âme des âmes et la nature des natures.
Regarde, je fléchis le genou devant toi, et je tombe à terre,
moi, ton serviteur et ton suppliant aux yeux aveuglés.
O toi qui accordes la lumière de l’esprit, prends en pitié,
ô Bienheureux, mon âme implorante !
Bannis les maladies, bannis les chagrins qui rongent les âmes.
Bannis aussi ce Chien, cet infernal effronté, ce démon de la terre, loin de mon âme, loin de ma prière, loin de ma vie
et loin de mes actes.
Qu’il reste, ce Démon, extérieur à mon corps,extérieur à mon âme et extérieur à tout ce qui nous appartient.
Qu’il me laisse en repos et qu’il fuie loin de moi, ce Démon de la matière, cette énergie des passions, qui barre, comme d’un mur, la route qui monte, et qui fait obstacle aux élans qui portent à la quête de Dieu.
Donne-moi pour ami, pour compagnon, ô Roi, l’Ange saint de la sainte énergie, l’Ange de la prière illuminée par Dieu, le cher dispensateur des nobles biens, le gardien de l’âme, le gardien de la vie, le surveillant des prières, le surveillant des actes !
Qu’il conserve mon corps pur des maladies ; qu’il garde mon esprit pur de toute tache, et qu’il apporte à mon âme
l’oubli des passions, afin que, dans l’existence même
que je mène sur cette terre, l’aile de mon âme soit
sustentée par tes hymnes, et afin que je puisse,
autant qu’il est possible, après le trépas
et après les liens qui rivent à la terre,
obtenir cette vie déliée de la matière,
qui me fera monter jusqu’en tes résidences
et au sein d’où s’échappe la source de mon âme.
Tends-moi la main ; rappelle à toi, ô Bienheureux,
et sors de la matière une âme suppliante !
Source :
Mario Meunier, Hymnes de Synésius de Cyrène, Éditions du Bateau ivre, Paris 1947, p. 193-207.
INVITATION(S)
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OUVERTURE DE LA CATHÉDRALE RUSSE DE LA SAINTE TRINITE AUX VISITEURS
J'invite nos fidèles de région parisienne à visiter ce haut lieu de spiritualité et de culture de l'Eglise Russe fort opportunément établie aujourd'hui à Paris.Ce pourrait-être l'occasion également d'une sortie communautaire ce lundi 6...
OUVERTURE DE LA CATHÉDRALE RUSSE SAINTE TRINITE AUX VISITEURS
A compter du lundi 6 février, la cathédrale de la Sainte-Trinité sera ouverte aux visiteurs tous les jours.
Outre les horaires d'ouverture pendant les offices, la cathédrale sera accessible tous les jours de 15h00 à 19h00. Durant cette plage horaire, un prêtre francophone sera présent pour célébrer des offices privés (te-deum, requiem, etc...), pour confesser et pour échanger.
Il sera possible à toute heure d'organiser des visites groupées ou individuelles en réservant par avance à l'adresse mail suivante : visitecathedrale@gmail.com
Adresse mail de la cathédrale : cathedrale.russe@gmail.com
- ОТКРЫТИЕ СОБОРА ДЛЯ ПОСЕТИТЕЛЕЙ -
Начиная с понедельника 6 февраля, Свято-Троицкий кафедральный собор открывает двери своим посетителям в ежедневном режиме.
Помимо обычных запланированных богослужений, собор будет открыт ежедневно с 15:00 до 19:00, в это время в храме будет постоянно находиться священник, возможно будет совершить индивидуальные молитвословия (молебны, панихиды и пр.), исповедоваться, пообщаться со священником (все священники франкоязычные).
В любое время возможно организовать обзорные экскурсии для групп или индивидуально, предварительно записавшись по адресу: visitecathedrale@gmail.com
Электронный адрес собора: cathedrale.russe@gmail.com
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Une journée pour les volontaires
Samedi 4 février, l'association organise une journée spéciale de formation pour tous ceux qui souhaitent partir en mission humanitaire au Proche-Orient et rejoindre nos équipes terrain.
Au Liban, en Jordanie, en Irak et en Syrie, les chrétiens d'Orient vous attendent. Préparez-vous à les rejoindre !
Nos intervenants répondront à toutes vos questions, inquiétudes, espérances...
Vous serez alors armés pour prendre LA décision et franchir le pas en tout connaissance de cause.
Envoyez-nous un mail pour vous inscrire: formationvolontaires@gmail.com
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Alors que Jésus vient d’annoncer aux
disciples qu’il va partir, Thomas lui dit :
« Seigneur, nous ne savons pas où vas-tu.
Comment pourrions-nous savoir le chemin ? »
Jésus lui répond :
« Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ;
personne ne va vers le Père sans passer par
moi.
Jésus dit encore :
« Si quelqu’un m’aime, il gardera ma parole ;
mon Père l’aimera, nous viendrons vers lui et
chez lui nous ferons notre demeure.
(Évangile selon Saint Jean 14, 5-6;23)
PRESENTATION DE JESUS AU TEMPLE:
*Jeudi 2 FEVRIER, Fête de la Purification de la Ste Vierge et Présentation de Jésus au Temple
10h30, Messe et bénédiction des cierges de la chandeleur...
Holy Mass this Wednesday.
, Holy Mass at 10.30pm. We will celebrate the presentation of our Lord in the temple as it is written in Luke 2:22. God Bless.
*Vendredi 3, Fête de St Blaise, Messe et bénédiction des cierges de St Blaise (Contre les maladies de gorge)
(PRESENTATION DE NOTRE-SEIGNEUR AU TEMPLE ET SAINTE RENCONTRE:
" Allons, nous aussi… à la rencontre du Christ et accueillons-le, ornez votre chambre… et recevez le Christ Roi…
Et accueillez Marie la porte du ciel ".
Ces chants de la fête de la Présentation s’appliquent aussi à notre âme.
Chaque âme devrait être un Temple de Dieu, où Marie apporte Jésus.
Et chacun de nous, comme Siméon, devrait prendre l’enfant dans ses bras et dire au Père : " Mes yeux ont vu ton salut".
La prière de Siméon, " laisse ton serviteur s’en aller en paix ", ne signifie pas seulement que celui qui a vu Jésus et l’a tenu dans ses bras peut maintenant quitter cette vie, mourir en paix.
Elle signifie encore pour nous que, ayant vu et touché le Sauveur, nous sommes délivrés de la servitude du péché et nous pouvons nous éloigner en paix du royaume du mal.)
Après la naissance de Jésus, ses parents partent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur.
Selon la coutume , ils doivent offrir au Seigneur un couple de tourterelles ou deux petites colombes.
Ce jour-là, poussé par l' Esprit Saint , Syméon un homme juste et religieux, vient au temple et voit entrer Joseph et Marie avec l'enfant Jésus.
Syméon prend l'enfant dans ses bras, et bénit Dieu en disant :
« Maintenant, Seigneur, tu peux me laisser m'en aller dans la paix. Moi qui suis ton serviteur. Car mes yeux ont vu Celui qui vient nous sauver : Il est la lumière pour éclairer toutes les nations , et il est la gloire d' Israë l, ton peuple. »
Joseph et Marie s'étonnaient de tout ce qu'on disait de Jésus.
(Évangile selon saint Luc, chapitre 2, versets 22 à 32 )
LE PREMIER DIMANCHE DE
CHAQUE MOIS:
Pèlerinage au Monastère Syriaque en
l'honneur
de
N-D DE MISERICORDE
et Des Sts du Kerala:
St Gregoir de Jérusalem
St Abraham Koorilose Bava
St Gregorios de Parumala
10h30, Messe, repas fraternel, réception des fidèles..
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Paroisse NORD-OUEST et Nord-Est
(N-D de Miséricorde):
NORMANDIE :
CHANDAI (61):
* Le Sanctuaire Marial de la
Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde
(Fresque de la Mère de Dieu entourée des Apôtres, mur Est du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
(Fresque des Sts Pères Interieur droit du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)
Messe journalières en semaine à 10h30
Tous les dimanches, Messe à 10h30 et permanence constante de prêtres pour CATÉCHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
(Liturgie de St Jacques dite "d'Antioche-Jérusalem")
Tel: 02.33.24.79.58 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
(Fresque des Sts Pères Interieur gauche du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)
* Relais Paroissial St Michel
S/ Mme H MARIE, 43 Rue de la Marne
14000 CAEN.Tel: 02.33.24.79.58
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
Le 30 de chaque mois, Permanence pastorale de 8h30 à 19h (Sur R.D.V) chez Mme Henriette Marie, 43, Rue de la Marne à CAEN. Tel 06.33.98.52.54 . (Possibilité de rencontrer un prêtre pour Catéchisme, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
NANTES:
*Groupe de prières et "relais paroissial" St Charbel
18h, Messe le 2ème jeudi de chaque mois et permanence régulière d'un prêtre Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) de 9h à 17h (06.48.84.94.89 ).
ANGOULÊME (Jauldes):
*Paroisse N-D de Toutes Grâces/St Ubald
MAISON NOTRE-DAME
LE BOURG
16560 JAULDES.
Tel:05.45.37.35.13
* Messe les 2èmes et 4èmes Dimanches de Chaque mois à 10h30 suivies d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.
* Possibilité de prendre Rendez-vous avec le prêtre la semaine suivant le 2éme dimanche du mois ainsi que pour les visites aux malades et à domicile.
Permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
PERIGUEUX (La Chapelle Faucher):
*Paroisse Notre-Dame de la Très Sainte Trinité
Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front
ERMITAGE ST COLOMBAN*
Puyroudier (Rte d'Agonac)
24530 LA CHAPELLE FAUCHER.
Tel:05.45.37.35.13
* Messe le 4ème samedi de Chaque mois à 10h30 et permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISMES, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
CAMEROUN:
Pour obtenir les adresses du Monastère de YAOUNDE,
des paroisses et "relais paroissiaux de Doula, Yaoundé, Elig Nkouma, Mimboman, Bertoua, Monabo, veuillez les demander au Monastère Métropolitain:
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
PELERINAGE A LOURDES
DU 16 AU 19 FEVRIER 2017
Une fois de plus une petite portion des Chrétiens francophone
de St Thomas se retrouvera à Lourdes pour un Pèlerinage
Syro-Orthodoxe Francophone entre le 11 Février, anniversaire
de l'Apparition de la "belle dame" à Bernadette (Devenue
depuis"Journée mondiale de prière pour les malades") et le 18,
fête de la Ste Bernadette.
Nous prierons pour tous ceux et celles qui
n'ont pu venir, nous prierons pour nos malades, la société
française elle aussi bien malade et la paix du monde bien
compromise...
Cliquez ici pour programme et inscriptions:
PÈLERINAGE A LOURDES DU 16 AU 19 FÉVRIER 2017, INSCRIVEZ-VOUS VITE !
PELERINAGE DU CENTENAIRE DE
L'APPARITION DE LA SAINTE
VIERGE A FATIMA
Prés-inscriptions:
Donnez-nous votre opinion:
Préférez-vous le mois de
MAI ou
D'OCTOBRE ?
Sanctuaires visités:
*Lourdes
*N-D de Garabandal
*Christ de Limpias
*N-D de l'Escorial
*N-D de Fatima
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Où trouver en France un Prêtre exorciste Orthodoxe Oriental ?
Cliquez sur ce lien:
Note:
L'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise
Orthodoxe-Orientale.
Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité
des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien
et la paix du monde.
¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…
Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil
des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles ,
nous n'exigeons aucun fixe.
Les offrandes sont libres et non
obligatoires.
Toute offrande fait cependant l'objet d'une
déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre
revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F "
Pour l' Aumônerie Syro-Orthodoxe Francophone des Africains vivant en France, contacter les Responsables: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89 ), Métropolite et Soeur Marie-Andre M'Bezele, Moniale ( 06.17.51.25.73).
Adresse du Monastère métropolitain ci-dessous :
Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.
Présentation de Jésus au Temple / Mayaltho
Le 2 février, est célébré la Présentation de l’enfant Jésus au Temple. Si le 2 Février n’est pas chômé, on solennise le dimanche le plus près de la Fête . Cette Fête est aussi appelée "Jour de l'âge ancien".
Ce même jour: Fête de la Saint-Simon et Saint-Hanna.
Saint Qurbana
- 10 Le gouverneur lui ayant fait signe de parler, Paul répliqua : « Sachant que, depuis des années, tu as cette nation sous ta juridiction, c’est avec confiance que je présente la défense de ma cause.
- 11 Tu peux vérifier qu’il n’y a pas plus de douze jours que je suis monté à Jérusalem pour adorer.
- 12 On ne m’a pas trouvé dans le Temple en train de discuter avec qui que ce soit, ni dans les synagogues ou en ville en train d’ameuter la foule,
- 13 et ils ne peuvent alléguer aucun fait à l’appui de ce dont ils m’accusent maintenant.
- 14 Mais je le déclare devant toi : c’est selon le Chemin du Seigneur – ce qu’ils désignent comme un groupe – que je rends un culte au Dieu de nos pères ; je crois à tout ce qu’il y a dans la Loi et à tout ce qui est écrit dans les prophètes ;
- 15 mon espérance en Dieu, et ce qu’ils attendent eux-mêmes, c’est qu’il va y avoir une résurrection des justes et des injustes.
- 16 C’est pourquoi, moi aussi, je m’efforce de garder une conscience irréprochable en toute chose devant Dieu et devant les hommes.
- 17 Au bout de plusieurs années, je suis venu apporter le produit des aumônes destinées à ma nation, et présenter des offrandes rituelles.
- 18 C’est à cette occasion qu’on m’a trouvé dans le Temple après une cérémonie de purification, sans qu’il y ait eu ni attroupement ni tumulte.
- 19 Il y avait, ce jour-là, des Juifs venus de la province d’Asie ; ils devraient se présenter devant toi et m’accuser s’ils avaient quelque chose contre moi.
- 20 Ou bien alors, que ceux qui sont là disent quel délit ils ont constaté quand j’ai comparu devant le Conseil suprême.
- 21 À moins qu’il ne s’agisse de cette seule parole que j’ai criée, debout au milieu d’eux : “C’est à cause de la résurrection des morts que je passe aujourd’hui en jugement devant vous.” »
- 22 Félix, qui avait une connaissance approfondie de ce qui concerne le Chemin du Seigneur, ajourna l’audience en disant : « Quand le commandant Lysias descendra de Jérusalem, je rendrai une sentence sur votre affaire. »
- 23 Il donna l’ordre au centurion de garder Paul en détention avec un régime adouci, et sans empêcher les siens de lui rendre des services.
- 13 Aussi, je vous demande de ne pas vous décourager devant les épreuves que j’endure pour vous : elles sont votre gloire.
- 14 C’est pourquoi je tombe à genoux devant le Père,
- 15 de qui toute paternité au ciel et sur la terre tient son nom.
- 16 Lui qui est si riche en gloire, qu’il vous donne la puissance de son Esprit, pour que se fortifie en vous l’homme intérieur.
- 17 Que le Christ habite en vos cœurs par la foi ; restez enracinés dans l'amour, établis dans l'amour.
- 18 Ainsi vous serez capables de comprendre avec tous les fidèles quelle est la largeur, la longueur, la hauteur, la profondeur…
- 19 Vous connaîtrez ce qui dépasse toute connaissance : l’amour du Christ. Alors vous serez comblés jusqu’à entrer dans toute la plénitude de Dieu.
- 20 À Celui qui peut réaliser, par la puissance qu’il met à l’œuvre en nous, infiniment plus que nous ne pouvons demander ou même concevoir,
- 21 gloire à lui dans l’Église et dans le Christ Jésus pour toutes les générations dans les siècles des siècles. Amen.
- 01 Vous, les enfants, obéissez à vos parents dans le Seigneur, car c’est cela qui est juste :
- 02 Honore ton père et ta mère, c’est le premier commandement qui soit assorti d’une promesse :
- 03 ainsi tu seras heureux et tu auras longue vie sur la terre.
- 04 Et vous, les parents, ne poussez pas vos enfants à la colère, mais élevez-les en leur donnant une éducation et des avertissements inspirés par le Seigneur.
-
- Evangile de Notre-Seigneur Jésus-Christ selon Saint-Luc 2: 22 -40 :
- 22 Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur,
- 23 selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur.
- 24 Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes.
- 25 Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.
- 26 Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
- 27 Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
- 28 Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant :
- 29 « Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.
- 30 Car mes yeux ont vu le salut
- 31 que tu préparais à la face des peuples :
- 32 lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. »
- 33 Le père et la mère de l’enfant s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
- 34 Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction
- 35 – et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
- 36 Il y avait aussi une femme prophète, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser. Elle était très avancée en âge ; après sept ans de mariage,
- 37 demeurées veuves, elle était arrivée à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. Elle ne s’éloignait pas du Temple, servant Dieu jour et nuit dans le jeûne et la prière.
- 38 Survenant à cette heure même, elle proclamait les louanges de Dieu et parlait de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
- 39 Lorsqu’ils eurent achevé tout ce que prescrivait la loi du Seigneur, ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth.
- 40 L’enfant, lui, grandissait et se fortifiait, rempli de sagesse, et la grâce de Dieu était sur lui.
Ce jeudi 2 février c'est la fête de la Présentation de Notre Seigneur au Temple & du vieillard St. Siméon ( Mor Shem'un Sobo ), selon le calendrier liturgique de notre Tradition Syro-Orthodoxe.
La fête de la Pésentation (En Syriac ma'alto , "de l'entrée ), communément connue comme la fête du vieillard Siméon, commémore la présentation de notre Seigneur au temple 40 jours après sa naissance (Luke 2:22-39) conformément à la Loi des Juifs Loi (voir Lévitique 12:1-4).
Nous avons un service spécial pour la bénédiction des cierges similaire à celui de la messe de la "Chandeleur" dans les églises occidentales, est effectué, après que chaque membre de la l'assemblée ait en main un cierge allumé symbolisant la lumière (c'est-à-dire le Christ) qu'a vu le vieillard Siméon .
En Orient, une coutume populaire veut que les fidèles utilisent de la suie de ces bougies pour la couleur de leurs paupières, bien que cela ne fasse pas partie de la liturgie.
Au cours de la liturgie, des bougies (De préférence de vraie cire d'abeilles) sont placées sur un plateau et recouvertes d'un mince voile blanc.
Le plateau est ensuite placé sur une table dans l'avant-choeur, sous le signe de l'Évangile.
À la fin de la quqalyon de la mère de Dieu, le célébrant porte une croix dans ses bras, à l'exemple de Siméon qui a reçu le Christ en ses bras, il accomplit à ce moment là une procession à l'intérieur de l'église.
http://sor.cua.edu/Feast/Presentation.html
Les lectures saintes de la Bible de l'église lectionnaire sont les suivantes :
Soirée :
Saint -.. Luke 2 : 22-40
Bonjour.
Saint -.. Luke 2:22-40
Avant Saint Qurbana :
Lévitique 12:1-8, 22:17-23
Proverbes 6:20-24, 23:22-26
Isaiah 10:33-11:10
Genèse 18:23-33
Joshua 7:6-13
Nom de Dieu :
Actes 24:10-23
Éphésiens 3 : 13-23
Saint -.. Luc 2 : 36-40
Pour plus de sermons et commentaires sur la base de l'Évangile en lecture, prière de visiter : http://www.malankaraworld.com/Library/sermons/Sermon-of-the-week_Mayaltho.htm
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