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2 janvier 2016 6 02 /01 /janvier /2016 09:49
The Eagle does not fight the snake on the ground. It picks it up into the sky and changes the battle ground, and then it releases the snake into the sky. The snake has no stamina, no power and no balance in the air. It is useless, weak and vulnerable unlike on the ground where it is powerful wise and deadly. Take your fight into the spiritual realm by praying and when you are in the spiritual realm God takes over your battles. Don't fight the enemy in his comfort zone, change the battle grounds like the Eagle and let God take charge through your earnest prayer. You'll be assured of clean victory. Pray without ceasing. (Monk Seraphim) L'Aigle ne combat pas le serpent au sol. Il l'emporte dans le ciel, changeant de champ de bataille, et là, il laisse le serpent choir du haut du ciel. Le serpent n'a aucune endurance, aucune puissance et aucun équilibre en l'air. Il est impuissant, faible et vulnérable contrairement à lorsqu'il est sur le sol, où il est puissant, habile et mortel. Emportez votre combat dans le royaume spirituel en priant, et quand vous serez dans le royaume spirituel, Dieu reprendra le contrôle de vos batailles. Ne vous battez pas avec l'ennemi sur son propre terrain, déplacez le champ de bataille comme le fait l'Aigle et laissez Dieu Se charger de tout, par votre prière ardente. Vous serez assuré de la vraie victoire. Priez sans cesse. (Moine Seraphim)

The Eagle does not fight the snake on the ground. It picks it up into the sky and changes the battle ground, and then it releases the snake into the sky. The snake has no stamina, no power and no balance in the air. It is useless, weak and vulnerable unlike on the ground where it is powerful wise and deadly. Take your fight into the spiritual realm by praying and when you are in the spiritual realm God takes over your battles. Don't fight the enemy in his comfort zone, change the battle grounds like the Eagle and let God take charge through your earnest prayer. You'll be assured of clean victory. Pray without ceasing. (Monk Seraphim) L'Aigle ne combat pas le serpent au sol. Il l'emporte dans le ciel, changeant de champ de bataille, et là, il laisse le serpent choir du haut du ciel. Le serpent n'a aucune endurance, aucune puissance et aucun équilibre en l'air. Il est impuissant, faible et vulnérable contrairement à lorsqu'il est sur le sol, où il est puissant, habile et mortel. Emportez votre combat dans le royaume spirituel en priant, et quand vous serez dans le royaume spirituel, Dieu reprendra le contrôle de vos batailles. Ne vous battez pas avec l'ennemi sur son propre terrain, déplacez le champ de bataille comme le fait l'Aigle et laissez Dieu Se charger de tout, par votre prière ardente. Vous serez assuré de la vraie victoire. Priez sans cesse. (Moine Seraphim)

Dear friends. Aloho M'Barek.

May this new year be for you and your friends bathed in the light of Christ our Redeemer, "Rising Sun who comes to visit us!"

Remember, in your prayers, our Christian brothers around the world suffer all sorts of indignities and vigorously testify of Christ and the Gospel of Love, Truth, Justice and Peace, sometimes up the supreme witness of Martyr ...

May they teach us by their heroic fidelity!

Again: Happy and Holy Year to you and all those you love: Peace, health, strength and serenity!

You are in our prayers, thank you to remember us in your own. Aloho m'barekh (God bless you)!

Your fraternally devoted and faithful in the Lord.

+ Mor Philipose -Mariam, Metropolitan

 

A WORD OF ST John Chrysostom FOR THE NEW YEAR:


"The year will be happy for you, not when you drink to be drunk on the first day, but when and the first and each of the other days you will do what is in accordance with God.
The day may be good or bad, not its essence because one day is not differentiated in any way another day, but because of our diligence or laziness.
If you have worked well when the day is good, but if you have sinned the day is bad and painful.
If you're going to think that way and have yourself so as to perform the prayers and works of charity, then the whole year will be happy for you;
if you start to neglect virtue for yourself and wait for your spiritual happiness in the early months of the day of days, so you will not have anything good. "

 

Chers amis. Aloho m'barekh.
Que cette année nouvelle soit pour vous et vos amis toute baignée de la lumière du Christ notre Rédempteur, "Soleil levant qui vient nous visiter" !

N'oubliez pas, dans vos prières, nos frères Chrétiens qui, partout dans le monde subissent toutes sortes d'affronts et témoignent vigoureusement  du Christ et de l'Evangile d'Amour, de Vérité, de Justice et de Paix, parfois jusqu'au témoignage suprême du Martyr...
Puissent-ils nous enseigner par leur fidélité héroïque !


Encore une fois : Bonne et Sainte année à vous et à tous ceux que vous aimez :
Paix, santé, force et sérénité !

« Que le Seigneur vous bénisse et vous garde! 

Que le Seigneur fasse briller sur vous son visage, et qu’il vous fasse grâce! 

Que le Seigneur tourne vers vous son visage, et qu’il vous apporte la paix! »
(Nb VI, 24-26)
« Que la grâce de notre Seigneur Jésus Christ, l’amour de Dieu et la communion du Saint Esprit soient avec vous tous. Amen. »
(2 Co XIII, 13)

 Puisse la sérénité tout au long de cette année 2016, régner dans votre cœur ! Heureux ceux qui laissent la lumière du Christ les éclairer pour faire des choix ou pour prendre les décisions dans leurs vies et agir en conséquence...


Vous êtes dans nos prières, merci de ne pas nous oublier dans les vôtres.
Aloho m’barekh (Dieu vous bénisse) !


Votre fraternellement et fidèlement dévoué en Notre-Seigneur.


+Mor Philipose-Mariam, métropolite

 

UN MOT DE SAINT JEAN CHRYSOSTOME POUR LE NOUVEL AN :

« L'année sera heureuse pour toi non pas quand tu boiras jusqu'à en être ivre le premier jour, mais lorsque et le premier et chacun des autres jours tu vas faire ce qui est conforme à Dieu. 


La journée peut-être bonne ou mauvaise non pas par son essence car un jour ne se différencie en rien d'un autre jour, mais du fait de notre assiduité ou de la paresse. 


Si tu as œuvré le bien, alors la journée sera bonne, en revanche si tu as péché la journée sera mauvaise et pénible. 


Si tu vas raisonner de cette façon et disposer de toi-même de façon à effectuer les prières et les œuvres de charité, alors toute l'année sera heureuse pour toi; 
si tu commences à négliger la vertu par toi-même et attendre ton bonheur spirituel dès le début des mois et du compte des jours, alors tu n'auras rien de bon.»

 

 

 

Dieu nous a toujours aimés et il a de tout temps voulu nous voir répondre à son amour en entrant librement dans son projet pour nous : être des fils, à l’image de son Fils. Il a donné à Israël une Loi pédagogique pour entrer en contact avec lui et commencer à le servir. Mais avant la venue du Christ, il manquait toujours quelque chose du côté de l’homme : personne n’a pu être justifié devant Dieu par la pratique de la Loi, comme le rappelle saint Paul.

Dieu nous a toujours aimés et il a de tout temps voulu nous voir répondre à son amour en entrant librement dans son projet pour nous : être des fils, à l’image de son Fils. Il a donné à Israël une Loi pédagogique pour entrer en contact avec lui et commencer à le servir. Mais avant la venue du Christ, il manquait toujours quelque chose du côté de l’homme : personne n’a pu être justifié devant Dieu par la pratique de la Loi, comme le rappelle saint Paul.

Lectures du jour :

Samedi 2 janvier (Samedi avant la Théophanie)

En France, le 6 Janvier (Epiphanie-Théophanie) n'étant pas chômé, la solennité se célèbre le dimanche le plus proche de la Fête pour permettre aux fidèles de participer à cette importante célébration du Baptème de Notre-Seigneur.

 

Épître : 1 Timothée 3:14-4:5

Je t'écris ces choses, avec l'espérance d'aller bientôt vers toi, mais afin que tu saches, si je tarde, comment il faut se conduire dans la maison de Dieu, qui est l'Église du Dieu vivant, la colonne et le fondement de la vérité. Et, sans contredit, le mystère de la piété est grand : Celui Qui a été manifesté en chair, justifié par l'Esprit, vu des anges, prêché aux Gentils, cru dans le monde, élevé dans la gloire. Mais l'Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s'attacher à des esprits séducteurs et à des doctrines de démons, par l'hypocrisie de faux docteurs portant la marque de la flétrissure dans leur propre conscience, prescrivant de ne pas se marier, et de s'abstenir d'aliments que Dieu a créés pour qu'ils soient pris avec actions de grâces par ceux qui sont fidèles et qui ont connu la vérité. Car tout ce que Dieu a créé est bon, et rien ne doit être rejeté, pourvu qu'on le prenne avec actions de grâces, parce que tout est sanctifié par la parole de Dieu et par la prière.

Évangile : Matthieu 3:1-11

En ce temps-là parut Jean Baptiste, prêchant dans le désert de Judée. Il disait: « Repentez-vous, car le royaume des cieux est proche. » Jean est celui qui avait été annoncé par Isaïe, le prophète, lorsqu'il dit: ''C'est ici la voix de celui qui crie dans le désert: Préparez le chemin du Seigneur, aplanissez ses sentiers.'' Jean avait un vêtement de poils de chameau, et une ceinture de cuir autour des reins. Il se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage. Les habitants de Jérusalem, de toute la Judée et de tout le pays des environs du Jourdain, se rendaient auprès de lui; et, confessant leurs péchés, ils se faisaient baptiser par lui dans le fleuve du Jourdain. Mais, voyant venir à son baptême beaucoup de pharisiens et de sadducéens, il leur dit: « Races de vipères, qui vous a appris à fuir la colère à venir? Produisez donc du fruit digne de la repentance, et ne prétendez pas dire en vous-mêmes: Nous avons Abraham pour père! Car je vous déclare que de ces pierres-ci Dieu peut susciter des enfants à Abraham. Déjà la cognée est mise à la racine des arbres: tout arbre donc qui ne produit pas de bons fruits sera coupé et jeté au feu. Moi, je vous baptise d'eau, pour vous amener à la repentance; mais Celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter Ses souliers. Lui, Il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu. »

 
« Si tu pries bien en silence, espérant être avec Dieu, dit le vénérable Grégoire le Sinaïte, n'accepte jamais ce que tu viendrais à voir de sensuel ou de spirituel, à l'extérieur ou à l'intérieur de toi, même si cela devait être l'image du Christ, d'un Ange ou d'un Saint, ou si la lumière prenait forme et t'imprégnait l'esprit. L'esprit en lui-même possède une force naturelle d'imagination et peut facilement créer des images transparentes de ce qu'elle désire ardemment, chez ceux qui n'en perçoivent pas le danger et se causent ainsi du mal à eux-mêmes. Dieu ne s'indigne pas contre celui qui porte une scrupuleuse attention à soi-même si, par peur de tomber dans l'égarement, il n'accepte pas ce qui vient de Lui sans s'interroger au préalable et s'éprouver comme il se doit. »(Saint Grégoire du Sinaïe)

« Si tu pries bien en silence, espérant être avec Dieu, dit le vénérable Grégoire le Sinaïte, n'accepte jamais ce que tu viendrais à voir de sensuel ou de spirituel, à l'extérieur ou à l'intérieur de toi, même si cela devait être l'image du Christ, d'un Ange ou d'un Saint, ou si la lumière prenait forme et t'imprégnait l'esprit. L'esprit en lui-même possède une force naturelle d'imagination et peut facilement créer des images transparentes de ce qu'elle désire ardemment, chez ceux qui n'en perçoivent pas le danger et se causent ainsi du mal à eux-mêmes. Dieu ne s'indigne pas contre celui qui porte une scrupuleuse attention à soi-même si, par peur de tomber dans l'égarement, il n'accepte pas ce qui vient de Lui sans s'interroger au préalable et s'éprouver comme il se doit. »(Saint Grégoire du Sinaïe)

Commentaires de l'Ecriture par Saint Théophane le reclus.


Samedi avant la Théophanie : samedi 2 janvier

 

I Timothée 3:14-4:5; Matthieu 3:1-11

 

La maison de Dieu, qui est l'Eglise du Dieu vivant, la colonne et le fondement de la vérité (I Tim. 3:15).

Par conséquent, il n'est pas nécessaire pour nous de regarder çà et là pour chercher où est la vérité.

Elle est proche.

Soyez dans l'Eglise, contenez tout ce qu'elle contient, et vous serez dans la vérité.

Vous possèderez la vérité et vivrez par elle et en elle, et vous déborderez de vraie vie.

La vérité n'existe pas en dehors de l'Eglise orthodoxe.

Elle est le seul tuteur fidèle de tout ce qui a été ordonné par le Seigneur par les saints Apôtres, et elle est donc la véritable Eglise apostolique.

Certains ont perdu l'Eglise apostolique, mais puisque leur conscience chrétienne leur dit que seule une Eglise apostolique peut vraiment préserver et montrer la vérité, ils ont décidé de faire une telle église, et ils l'ont faite, et ils l'ont appelé de ce nom.

Ils pouvaient appeler cela l'Eglise apostolique, mais ils ne pouvaient pas transmettre lui l'essence de ce qu'elle devait être.

Car l'Église apostolique a été créée en fonction de la bonne volonté du Père par le Seigneur et Sauveur, et par la grâce de l'Esprit Saint, par l'intermédiaire des Apôtres.

Une telle église ne peut pas être créée par des gens.

Ceux qui pensent qu'ils peuvent créer une telle église sont comme des enfants jouant avec des poupées.

S'il n'y a pas de véritable Eglise apostolique sur la terre, il n'y a pas besoin de gaspiller l'effort de création pour cela.

Mais grâces soient rendues au Seigneur, Il n'a pas permis aux portes de l'enfer de prévaloir sur la Sainte Eglise apostolique. Elle existe et restera, selon Sa promesse, jusques à la fin du monde.

Cette église est notre Église orthodoxe. Gloire à Dieu!

(Version française Claude Lopez-Ginisty d'après St Theophan the Recluse Thoughts for each Day of the Year St Herman of Alaska, Platina, CA USA 2010 +)

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L'EGALITE DES EvÊQUES DANS LE "COLLEGE APOSTOLIQUE"

(Père Jean Romanidès)

La raison première de l’affirmation, fréquente chez les Pères, de l’égalité de tous les évêques (voir, par exemple, saint Cyprien, Sententiae Episcoporum, op. 1), n’est intelligible que si l’on suppose:


1. Que la vie eucharistique concrète, dans sa manifestation locale, est une fin en soi ;

2. que les communautés individuelles sont liées les unes aux autres par leur existence identique en Christ ;


3. que la plénitude du Christ habite dans les fidèles qui se réunissent ensemble dans la vie du Christ epi to auto ;


4. que l’épiscopat est une part indissociable de cette vie locale epi to auto.

 

 

(Sources: http://orthodoxesantiochenice.wordpress.com/ - http://kalomiros.blogspot.com/)  

 

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Par l'Abbé Duquesne

(1732-1791) 
L'évangile médité, 11ème Méditation 

 

La motivation des bergers pour aller à Jésus-Christ

 

     Qui est-ce qui anime les bergers à aller voir les merveilles qui leur sont annoncées ?

C'est d'abord l'exemple.

Ils s'excitent et s'encouragent les uns les autres à répondre à la grâce que Dieu leur a faite, et bientôt ils n'ont plus tous ensemble qu'un cœur, qu'une âme, qu'une volonté; mêmes pensées, mêmes paroles, mêmes sentiments, même action pour aller à Jésus-Christ, l'auteur de leur salut.

Ainsi les amitiés, les sociétés, les familles, tous les fidèles devraient-ils s'animer mutuellement et s'exciter sans cesse par leur discours et par leurs exemples à la vertu, à la patience, à la pénitence et aux bonnes œuvres.

Ainsi devrions-nous nous animer à la piété par l'exemple de tant de saints qui nous ont précédés, de tant d'âmes ferventes qui nous environnent, ou qui, répandues dans toute l'Eglise, nous crient, nous sollicitent d'unir nos hommages et nos actions aux leurs. Les bergers s'animent encore par le terme et l'objet auquel il s'agit d'aller.

"Passons jusqu'à Bethléem, et allons voir la merveille qui s'est accomplie".

Le terme c'est Bethléem ; l'objet c'est leur Dieu, leur Sauveur qui est né ...

Et où nous presse t-on d'aller ?

N'est-ce pas à notre Dieu et à notre Sauveur ? n'est-ce pas à Bethléem, qui veut dire maison de pain ? n'est-ce pas au pain descendu du ciel qui est la nourriture des âmes ?

Enfin les bergers s'animent par l'avertissement et l'instruction qu'ils ont reçus du Seigneur.

"Passons et voyons ce que Dieu nous a fait annoncer" par ses anges ... 

N'est-ce pas également le Seigneur qui nous appelle ?

L'éducation si chrétienne que nous avons reçue, tant d'inspirations, tant de bons mouvements seront-ils inutiles ?

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Par Jean Scot Érigène

(?-v. 870), bénédictin irlandais 

Homélie sur le Prologue de Jean, ch. 15 (trad. Delhougne, Les Pères commentent, p. 168 ; cf SC 151, p. 275) 

« Au milieu de vous se tient celui que vous ne connaissez pas : c'est lui qui vient derrière moi »

 

Comme il est logique, c'est Jean l'évangéliste qui introduit Jean Baptiste dans son discours sur Dieu, « l'abîme appelant l'abîme » à la voix des mystères divins (Ps 41,8) :

l'évangéliste raconte l'histoire du précurseur.

Celui qui a reçu la grâce de connaître « le Verbe au commencement » (Jn 1,1) nous renseigne sur celui qui a reçu la grâce de venir en avant du Verbe incarné...

Il ne dit pas simplement :

il y eut un envoyé de Dieu, mais « il y eut un homme » (Jn 1,6).

Il parle ainsi afin de distinguer le précurseur, qui participe seulement de l'humanité, et l'homme qui, unissant étroitement en lui divinité et humanité, est venu ensuite ; afin de séparer la voix qui passe du Verbe qui demeure toujours de façon immuable ; afin de suggérer que l'un est l'étoile du matin qui apparaît à l'aube du Royaume des cieux, et de déclarer que l'autre est le Soleil de justice qui lui succède (Ml 3,20).

Il distingue le témoin de celui qui envoie, la lampe vacillante de la lumière splendide qui remplit l'univers (cf Jn 5,35) et qui, pour le genre humain tout entier, dissipe les ténèbres de la mort et des péchés... 

      « Un homme fut envoyé. » Par qui ?

Par le Dieu Verbe qu'il a précédé. Sa mission était d'être précurseur.

C'est dans un cri qu'il envoie sa parole devant lui : « A travers le désert, une voix crie » (Mt 3,3).

Le messager prépare l'avènement du Seigneur.

« Son nom était Jean » (Jn 1,6) :

la grâce lui a été donnée d'être le précurseur du Roi des rois, le révélateur du Verbe inconnu, le baptiseur en vue de la naissance spirituelle, le témoin, par sa parole et son martyre, de la lumière éternelle.

 

 

Ce 2 Février, les Eglises Bysantines et Bysantino-Slaves font Mémoire de

Saint SÉRAPHIM de SAROV:


Tropaire, t. 4 
Dès ta jeunesse tu as aimé le Christ, Bienheureux, * et, désirant avec ardeur ne servir que lui seul, * au désert tu excellas * dans le travail et la prière continue; * par la tendresse de ton cœur tu as acquis l'amour du Christ * et plus que tous tu as chéri la Mère de Dieu; * c'est pourquoi nous te chantons: * vénérable Père Séraphim, * que tes prières nous obtiennent le salut.

Kondakion, t. 8 
Ayant délaissé les attraits du monde et tout ce qui se corrompt, * tu as élu demeure au monastère de Sarov * et, par la vie angélique que tu menas, * pour beaucoup tu fus le chemin vers le salut; * c'est pourquoi le Christ t'a glorifié en t'accordant * le don des guérisons et des miracles; aussi nous te chantons: * Réjouis-toi, vénérable Père Séraphim.

Ikos
Ayant délaissé ta famille et tes amis * et considéré les richesses comme rebut, * tu as habité le désert de Sarov; * l'ayant emporté sur les passions comme un incorporel, * tu as mérité de rejoindre les Anges dans leurs chœurs; * toi qui as reçu le discernement des esprits, * donne-nous le discernement pour te chanter ainsi: 
Réjouis-toi, ange terrestre, homme du ciel, * réjouis-toi, imitateur du Christ en son amour, * réjouis-toi, vénérable demeure de l'Esprit saint, * réjouis-toi, grande allégresse des sans-espoir. 
Réjouis-toi, fontaine d'où jaillissent les guérisons, * réjouis- toi, douce consolation des âmes affligées, * réjouis-toi, calme havre des moines et sage père spirituel, * réjouis-toi, fierté de la terre de Russie. 
Réjouis-toi, vénérable Père Séraphim. 
(http://calendrier.egliseorthodoxe.com/…/stsj…/janv02bis.html)

 

Les interventions de Marie à Constantinople (aujourd’hui Istanbul, en Turquie) ont été très fréquentes, notamment au Sanctuaire de la Source Vivifiante,

toujours très célèbre, à l’ouest de la ville. C’est le lieu d’une multitude de miracles qui continuent à se réaliser depuis plus de 15 siècles par l’intercession de la Vierge, « Source de Vie ».

L’historien byzantin Nicéphore Calliste Xanthopoulos (13e-14e siècle) rapporte que c’est l’Empereur Léon 1er le Thrace (5e siècle), qui retrouva l’emplacement de la Source. Une voix céleste le conduisit en lui parlant : « Empereur Léon, entre au plus profond de ce bois, prends avec tes mains de l'eau bourbeuse et guéris la soif de l'aveugle ; enduis les yeux de cet aveugle, et tu sauras immédiatement qui je suis, moi qui depuis longtemps suis l'habitante de ce lieu. » L’aveugle recouvra la vue et Léon, devenu Empereur, bâtit une église à ce même emplacement vers 474.

Longtemps après, alors que l’église menaçait de s'écrouler, la Vierge apparut, la souleva jusqu'à ce que fût sortie la foule qui la remplissait. Après la prise de Constantinople par les Turcs (1453), l’église n’est plus que ruines, mais les malades continuent à accourir à la Source où se multiplient miracles et guérisons.(Source:www.msvie.com )

L’incarnation rédemptrice du Fils de Dieu est la proposition d’une autre voie, d’une deuxième voie à travers une nouvelle Alliance. Une Alliance nouvelle et éternelle, scellée dans le sang du Christ, car « Dieu a enfermé tous les hommes dans la désobéissance pour faire à tous miséricorde » (Romains 11,32) par le Christ qui est devenu le serviteur parfait, « l’unique Médiateur » entre Dieu et les hommes (1 Timothée 2,5). Le péché était une séparation avec Dieu qui avait pour conséquence la souffrance et la mort : Jésus subit les conséquences extrêmes du péché et c’est par son obéissance et son amour surabondants qu’il répare infiniment la rupture avec Dieu

L’incarnation rédemptrice du Fils de Dieu est la proposition d’une autre voie, d’une deuxième voie à travers une nouvelle Alliance. Une Alliance nouvelle et éternelle, scellée dans le sang du Christ, car « Dieu a enfermé tous les hommes dans la désobéissance pour faire à tous miséricorde » (Romains 11,32) par le Christ qui est devenu le serviteur parfait, « l’unique Médiateur » entre Dieu et les hommes (1 Timothée 2,5). Le péché était une séparation avec Dieu qui avait pour conséquence la souffrance et la mort : Jésus subit les conséquences extrêmes du péché et c’est par son obéissance et son amour surabondants qu’il répare infiniment la rupture avec Dieu

SAINT MACAIRE d'Alexandrie, qui êtes-vous ?
Anachorète

 

(† v.394)

 

     Saint Macaire d’Alexandrie, (« le Jeune ») natif de cette ville où il pratiquait le négoce, avait dépassé la quarantaine quand il reçut le baptême.

S’étant retiré dans la solitude, il atteignit bientôt une si haute excellence que saint Antoine dit à son sujet que

« le Saint-Esprit s’était reposé sur lui ».

 

     Il vécut, à ce qu’on croit, dans le désert de Nitria, qui, d’après le nombre des ascètes, fut appelé les Cellules, et visita probablement d’autres parties de la Libye.

Ami de saint Macaire l’Ancien dit l’Égyptien;éxilé pour la cause de l’orthodoxie de la Foi; bien qu’il eût un talent extraordinaire pour la conduite des religieux, il se déroba à cet honneur et, sur la fin de sa vie, alla s’offrir comme novice au monastère de Tabenne, que venait de fonder saint Pacôme.

Il mourut, dit-on, centenaire, vers 394.

 

UNE PRIERE DU MATIN:

« O très sainte volonté de mon Dieu, qui m'avez environnée de vos miséricordes, je vous en rends infinies grâces : je vous adore du profond de mon âme ; et, de toutes mes forces et affections, j'unis dès maintenant et pour toujours ma volonté à la vôtre, particulièrement en tout ce que je ferai, et en tout ce qu'il vous plaira de m'envoyer cette journée, consacrant de nouveau à votre souveraine gloire mon âme, mon esprit, mon corps, et toutes mes actions et pensées, paroles, œuvres, et tout mon être, vous suppliant de toute l'humilité de mon cœur d'accomplir en moi vos éternels desseins, sans me permettre que j'y donne aucun empêchement.

Vos yeux qui pénètrent les plus intimes replis de mon cœur, voient que tout mon désir est d'accomplir cette sainte volonté ; mais ils voient aussi ma faiblesse et mon impuissance : c'est pourquoi, prosterné aux pieds de votre infinie miséricorde, je vous conjure mon Sauveur, [...] de m'octroyer la grâce de l'accomplir parfaitement, afin que, comme un feu de votre céleste amour, je lui sois un sacrifice agréable, qui sans fin vous loue et bénisse avec la glorieuse Vierge et tous les saints. Amen. »

Soeur Jeanne de Chantal (1572-1641), extrait de la Lettre 16 à Mgr l'Archevêque de Bourges son frère, in "Lettres de Sainte Chantal Fondatrice de la Ordre de la Visitation Sainte-Marie", Nouvelle édition, Tome I, A Paris, J.J. Blaise, 1823.

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SAINT JEAN DE CHRONSTAT, QUI ÊTES-VOUS ?

En 1829,

en un

petit village au nord de la Russie,

naquit Jean Serguieff, fils d'un sacristain.

Sa famille était très pauvre mais l'entourait de tendresse et de prières. Il ne parvenait pas à apprendre ce que l'on enseignait à l'école." Mon manque de capacité et d'intelligence, me causait beaucoup de chagrin", écrivit-il lui-même plus tard. Fort affligé, il suppliait ardemment Dieu de le secourir.

Et voici ce qu'il advint : "J'aimais me lever la nuit quand tout le monde dormait et que tout était tranquille. J’étais le seul à ne pouvoir m'endormir, en proie à une profonde mélancolie. D'angoisse, je tombai à genoux, et tout à coup, je sentis tout mon être bouleversé. Ce fut comme si un voile venait de tomber de mes yeux et que mon esprit s'ouvrait. Je pus me rappeler clairement tout ce que le maître m'avait dit. Je me sentais léger et heureux. A l'aube je sautai à bas de mon lit et je saisis mes livres. O joie ! Je comprenais tout.  Bientôt, je cessai d'être le dernier de ma classe".

Jean termine ses études à l'académie, se marie et est ordonné prêtre en 1855.

Il est nommé desservant à la cathédrale Saint-André de Cronstadt où il demeure pendant cinquante ans. En y pénétrant, pour la première fois, il la reconnaît, car il s'y était vu officier en songe, et comprit que par ce rêve Dieu avait répondu à ses prières. Ceux qui étaient présents à sa première liturgie, furent saisis et pénétrés de l'extase religieuse de son service. Toute sa vie, il célébra avec ferveur la sainte liturgie, qu’il vivait comme le service du Ciel sur la terre, l’œuvre la plus sainte, la plus sublime et la plus vivifiante. Il exhortait ses fidèles à la communion fréquente, à la participation au sacrifice eucharistique dont la puissance embrasse tout et va jusqu’en enfer.

Sa renommée parmi les pauvres grandissait. Il ne refusait jamais de venir à leur secours. Il écoutait tout ce qu'on avait à lui dire, donnait son conseil, et souvent acceptait de manger un morceau avec les pauvres.

En 1857, il enseigne l’Ecriture sainte à l'école municipale, il aime les enfants qu’il considère comme les lys blancs de la vallée de la famille, mais il est appelé de partout et doit quitter avec tristesse l'enseignement.

Il guérit les malades, la foule le presse de toutes parts, lui baise les mains, le suit et il ne peut prendre le moindre repos. Il marche, il accourt, il ne s’arrête jamais.

Cronstadt fourmille de fainéants et de mendiants. Il forme alors un comité de secours, et une maison de travail ; les offrandes arrivent de tous les coins de la Russie.

Dans les derniers jours de sa vie, il prédit l'approche de terribles événements en Russie. Dans ses sermons il parle du terrible jugement de Dieu : "Russie, si tu abandonne ta foi, comme beaucoup de représentants de la classe intellectuelle l'ont déjà fait, tu ne seras plus la sainte Russie, mais une simple horde de tribus sauvages ayant pour but de se détruire les unes les autres".

Vers la  fin de sa  vie, sa santé diminue, ses forces déclinent et il subit d’intenses douleurs physiques. Seule la liturgie le soulageait. Il s'écriait : "Il me tarde de voir mon Maître, qui m'a créé à son image, me donnant la raison, une volonté libre et une âme immortelle. Quand donc Le verrai-je, mon Désiré !"

 

Il meurt le 2 janvier 1909.

image001En 1829, en un petit village au nord de la Russie, naquit Jean Serguieff, fils d'un sacristain. Sa famille était très pauvre mais l'entourait de tendresse et de prières. Il ne parvenait pas à apprendre ce que l'on enseignait à l'école." Mon manque de capacité et d'intelligence, me causait beaucoup de chagrin", écrivit-il lui-même plus tard. Fort affligé, il suppliait ardemment Dieu de le secourir.

Et voici ce qu'il advint : "J'aimais me lever la nuit quand tout le monde dormait et que tout était tranquille. J’étais le seul à ne pouvoir m'endormir, en proie à une profonde mélancolie. D'angoisse, je tombai à genoux, et tout à coup, je sentis tout mon être bouleversé. Ce fut comme si un voile venait de tomber de mes yeux et que mon esprit s'ouvrait. Je pus me rappeler clairement tout ce que le maître m'avait dit. Je me sentais léger et heureux. A l'aube je sautai à bas de mon lit et je saisis mes livres. O joie ! Je comprenais tout.  Bientôt, je cessai d'être le dernier de ma classe".

Jean termine ses études à l'académie, se marie et est ordonné prêtre en 1855.

Il est nommé desservant à la cathédrale Saint-André de Cronstadt où il demeure pendant cinquante ans. En y pénétrant, pour la première fois, il la reconnaît, car il s'y était vu officier en songe, et comprit que par ce rêve Dieu avait répondu à ses prières. Ceux qui étaient présents à sa première liturgie, furent saisis et pénétrés de l'extase religieuse de son service. Toute sa vie, il célébra avec ferveur la sainte liturgie, qu’il vivait comme le service du Ciel sur la terre, l’œuvre la plus sainte, la plus sublime et la plus vivifiante. Il exhortait ses fidèles à la communion fréquente, à la participation au sacrifice eucharistique dont la puissance embrasse tout et va jusqu’en enfer.

Sa renommée parmi les pauvres grandissait. Il ne refusait jamais de venir à leur secours. Il écoutait tout ce qu'on avait à lui dire, donnait son conseil, et souvent acceptait de manger un morceau avec les pauvres.

En 1857, il enseigne l’Ecriture sainte à l'école municipale, il aime les enfants qu’il considère comme les lys blancs de la vallée de la famille, mais il est appelé de partout et doit quitter avec tristesse l'enseignement.

Il guérit les malades, la foule le presse de toutes parts, lui baise les mains, le suit et il ne peut prendre le moindre repos. Il marche, il accourt, il ne s’arrête jamais.

Cronstadt fourmille de fainéants et de mendiants. Il forme alors un comité de secours, et une maison de travail ; les offrandes arrivent de tous les coins de la Russie.

Dans les derniers jours de sa vie, il prédit l'approche de terribles événements en Russie. Dans ses sermons il parle du terrible jugement de Dieu : "Russie, si tu abandonne ta foi, comme beaucoup de représentants de la classe intellectuelle l'ont déjà fait, tu ne seras plus la sainte Russie, mais une simple horde de tribus sauvages ayant pour but de se détruire les unes les autres".

Vers la  fin de sa  vie, sa santé diminue, ses forces déclinent et il subit d’intenses douleurs physiques. Seule la liturgie le soulageait. Il s'écriait : "Il me tarde de voir mon Maître, qui m'a créé à son image, me donnant la raison, une volonté libre et une âme immortelle. Quand donc Le verrai-je, mon Désiré !"

Il meurt le 2 janvier 1909.

image001En 1829, en un petit village au nord de la Russie, naquit Jean Serguieff, fils d'un sacristain. Sa famille était très pauvre mais l'entourait de tendresse et de prières. Il ne parvenait pas à apprendre ce que l'on enseignait à l'école." Mon manque de capacité et d'intelligence, me causait beaucoup de chagrin", écrivit-il lui-même plus tard. Fort affligé, il suppliait ardemment Dieu de le secourir.

Et voici ce qu'il advint : "J'aimais me lever la nuit quand tout le monde dormait et que tout était tranquille. J’étais le seul à ne pouvoir m'endormir, en proie à une profonde mélancolie. D'angoisse, je tombai à genoux, et tout à coup, je sentis tout mon être bouleversé. Ce fut comme si un voile venait de tomber de mes yeux et que mon esprit s'ouvrait. Je pus me rappeler clairement tout ce que le maître m'avait dit. Je me sentais léger et heureux. A l'aube je sautai à bas de mon lit et je saisis mes livres. O joie ! Je comprenais tout.  Bientôt, je cessai d'être le dernier de ma classe".

Jean termine ses études à l'académie, se marie et est ordonné prêtre en 1855.

Il est nommé desservant à la cathédrale Saint-André de Cronstadt où il demeure pendant cinquante ans. En y pénétrant, pour la première fois, il la reconnaît, car il s'y était vu officier en songe, et comprit que par ce rêve Dieu avait répondu à ses prières. Ceux qui étaient présents à sa première liturgie, furent saisis et pénétrés de l'extase religieuse de son service. Toute sa vie, il célébra avec ferveur la sainte liturgie, qu’il vivait comme le service du Ciel sur la terre, l’œuvre la plus sainte, la plus sublime et la plus vivifiante. Il exhortait ses fidèles à la communion fréquente, à la participation au sacrifice eucharistique dont la puissance embrasse tout et va jusqu’en enfer.

Sa renommée parmi les pauvres grandissait. Il ne refusait jamais de venir à leur secours. Il écoutait tout ce qu'on avait à lui dire, donnait son conseil, et souvent acceptait de manger un morceau avec les pauvres.

En 1857, il enseigne l’Ecriture sainte à l'école municipale, il aime les enfants qu’il considère comme les lys blancs de la vallée de la famille, mais il est appelé de partout et doit quitter avec tristesse l'enseignement.

Il guérit les malades, la foule le presse de toutes parts, lui baise les mains, le suit et il ne peut prendre le moindre repos. Il marche, il accourt, il ne s’arrête jamais.

Cronstadt fourmille de fainéants et de mendiants. Il forme alors un comité de secours, et une maison de travail ; les offrandes arrivent de tous les coins de la Russie.

Dans les derniers jours de sa vie, il prédit l'approche de terribles événements en Russie. Dans ses sermons il parle du terrible jugement de Dieu : "Russie, si tu abandonne ta foi, comme beaucoup de représentants de la classe intellectuelle l'ont déjà fait, tu ne seras plus la sainte Russie, mais une simple horde de tribus sauvages ayant pour but de se détruire les unes les autres".

Vers la  fin de sa  vie, sa santé diminue, ses forces déclinent et il subit d’intenses douleurs physiques. Seule la liturgie le soulageait. Il s'écriait : "Il me tarde de voir mon Maître, qui m'a créé à son image, me donnant la raison, une volonté libre et une âme immortelle. Quand donc Le verrai-je, mon Désiré !"

Il meurt le 2 janvier 1909.

Le baptême et la messe sont pour nous les moyens de nous unir au Christ et de ratifier pour ce qui nous concerne cette Alliance nouvelle qu’il nous propose pour le pardon des péchés et l’adoption filiale. Par cette union sacramentelle décisive, nous sommes rendus participants de la victoire du Christ, et nous recevons goutte à goutte la vie qu’il possède en plénitude en tant que Fils unique du Père. Il nous est ainsi donné d’entrer au ciel « en lui », sous son manteau, en ayant « revêtu le Christ » et étant devenus ainsi « fils dans le Fils ».

Le baptême et la messe sont pour nous les moyens de nous unir au Christ et de ratifier pour ce qui nous concerne cette Alliance nouvelle qu’il nous propose pour le pardon des péchés et l’adoption filiale. Par cette union sacramentelle décisive, nous sommes rendus participants de la victoire du Christ, et nous recevons goutte à goutte la vie qu’il possède en plénitude en tant que Fils unique du Père. Il nous est ainsi donné d’entrer au ciel « en lui », sous son manteau, en ayant « revêtu le Christ » et étant devenus ainsi « fils dans le Fils ».

Saviez-vous que derrière le planning familial se cachait une militante fervente de l’eugénisme « négatif » ?

Margaret Sanger, fondatrice du Planned Parenthood (prototype américain du planning familial français) était en effet favorable à cette doctrine qui consiste à pratiquer la restriction du mariage, la stérilisation, voire l’élimination physique de certains individus porteurs de gènes indésirables pour « améliorer l’être humain ». Ironie du sort, née dans une famille ouvrière d’origine irlandaise, Margaret Sanger était elle-même la sixième d’une fratrie de 11 enfants. Si le planning familial avait existé à son époque, peut-être n’aurait-elle jamais vu le jour… Voici un florilège de ses citations témoignant des convictions qui l’animaient.

1. « Il ne faut pas que circule l’idée que l’on veut exterminer la population Noire (‘the Negro Population‘) »

Tel que le révèle une de ses lettre adressée au Docteur Clarence Gamblerdatée du 19 décembre 1939 dont cette citation provient, Sanger a encouragé la stérilisation des personnes jugées « inaptes », tels que les Noirs, les minorités ethniques, les malades ou les handicapés. D’après l’organisation américaine Live Action dont sont extraites ces citations, le Guttmacher Institute (ancienne division de recherche pro-avortement du planning familial) estimait que les Afro-américaines étaient cinq fois plus susceptibles de recourir à l’avortement que les Blanches. Les cliniques du planning familial auraient donc été implantées stratégiquement dans les communautés de noirs et de minorités ethniques. Encore aujourd’hui, 37% des avortements sont pratiqués parmi les membres de la communauté noire, qui représente seulement 13% de la population américaine.

2. « J’ai accepté l’invitation à entrer en contact avec la branche féminine du Ku Klux Klan »

Cette citation est extraite d’un discours prononcé par Margaret Sanger en 1926 lors d’un meeting du Ku Klux Klan à Silver Lake, dans le New Jersey (États-Unis), retranscrit dans son autobiographie (The Autobiography of Margaret Sanger). « J’ai été escortée jusqu’à la tribune, on me présenta, puis je commençai mon discours… Je crois que finalement, j’avais atteint mon but à travers de simples illustrations », poursuit-elle.

3. « Ce sont (…) les mauvaises herbes de l’humanité », « des reproducteurs imprudents », « ils pondent (…) des êtres humains qui n’auraient jamais dû venir au monde »

Dans un autre ouvrage intitulé « Pivot of Civilization », Sanger traite les pauvres et les immigrés expliquant notamment que, les concernant, la charité relève de l’erreur idéologique.

4. « Le contrôle des naissances consiste ni plus ni moins en l’élimination des inadaptés »

C’est dans ses écrits tels que « L’éthique et le contrôle des naissances » et « Le contrôle des naissances et la nouvelle race » qu’elle note que le contrôle des naissances vise principalement à produire « une race plus propre » en éliminant ce qu’elle considère comme des « inadaptés ».

5. « Je pense que le plus grand de tous les péchés est de mettre des enfants au monde »

Cette citation est extraite d’une interview accordée en 1957 au journaliste Mike Wallace : « Je pense que le plus grand des péchés est de mettre des enfants au monde – qui ont des maladies à cause de leurs parents, qui n’auront pas la chance de devenir des êtres humains dignes de ce nom. Des délinquants, des prisonniers, toutes sortes de choses qui sont déjà inscrites à la naissance. Ça pour moi, c’est le plus grand péché que l’on puisse faire. » En guise de solution, Margaret Sanger préconisait que chaque famille américaine fasse une demande au gouvernement pour avoir un enfant, elle déclara ainsi au journal America Weekly en 1934 : « il est devenu nécessaire de mettre en place un système de permission de naissance. »(Source:ALETEIA)

 

Samedi 2 JANVIER 2016. Lectures du jour, lectures pour demain dimanche. ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR:

EN VRAC...POUR VOTRE REFLEXION PERSONNELLE...

 

 

(04-15) Prière pour les prêtres

Le président islamo-conservateur turc, Recep Tayyip Erdogan, a évoqué l'Allemagne nazie d'Adolf Hitler pour défendre le système présidentiel fort qu'il veut instaurer en Turquie, rapporte vendredi la presse turque.

"Dans un système unitaire (comme la Turquie) un système présidentiel peut parfaitement exister. Il y a actuellement des exemples dans le monde et aussi des exemples dans l'histoire. Vous en verrez l'exemple dans l'Allemagne d'Hitler", a-t-il dit aux journalistes jeudi soir de retour d'une visite de travail en Arabie Saoudite, cité par les journaux.


Erdogan veut renforcer ses pouvoirs

M. Erdogan qui dirige la Turquie depuis 2002, d'abord comme Premier ministre puis président depuis 2014, veut modifier la constitution afin que le rôle du président passe d'une fonction symbolique à celle d'un dirigeant aux pouvoirs étendus, comme aux Etats-Unis, en Russie ou en France. M. Erdogan a indiqué qu'il entendait mobiliser dans le courant de la nouvelle année la société turque pour un débat afin de parvenir à un "consensus social" sur ses ambitions présidentielles.


Il devra négocier avec l'opposition

Le projet d'un passage à un système présidentiel défendu par l'homme fort de Turquie est revenu au premier plan après la nette victoire (49,5% des voix, 317 députés) de son parti de la justice et du développement (AKP) aux élections du 1er novembre dernier.

Mais l'AKP n'a pas obtenu la majorité qualifiée (367 députés) pour pouvoir modifier la Constitution seul et doit rechercher le soutien de l'opposition, opposée en bloc à une présidentialisation du régime sous Erdogan qu'elle accuse de dérive autoritaire.

Le Premier ministre Ahmet Davutoglu a, à cette fin, lancé mercredi un premier dialogue avec le chef du principal parti d'opposition CHP (Parti républicain du peuple, CHP), Kemal Kiliçdaroglu, pour relancer les efforts en vue d'une nouvelle constitution plus libérale qui remplacerait l'actuelle héritée du coup d'Etat des militaires, en 1980.

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"L’occident n’est jamais intervenu efficacement"

« L’espoir, une décision de foi »

"Beaucoup partent mais nous, nous continuons la reconstruction du pays avec ceux qui restent..."

Aleteia : Vous êtes déjà venu en France en février dernier, pourquoi revenir une nouvelle fois ?

Père Toufic Eïd : Rien n’a changé depuis : l’occident n’est jamais intervenu efficacement. Je suis revenu à l’invitation de l’association Sos Chrétiens d’Orient, pour témoigner une nouvelle fois sous la forme de conférences. Nous avons choisi comme thème pour cette visite « l’espoir, une décision de foi », car résister et faire un effort permanent découlent d’un choix qu’il faut renouveler chaque jour. Je viens donc pour témoigner de ce qu’est la vie des chrétiens de Maaloula et de leurs paroisses. Depuis un an et demi de libération, la vie a repris et les maisons se reconstruisent, c’est un constat qu’il faut mettre en perspective avec l’immigration de masse que l’on observe partout en Europe.

Comment faut-il interpréter ce phénomène d’immigration massive ?

L’immigration en Syrie est devenue une sorte de « phénomène de mode ». Même si certains n’ont pas besoin d’immigrer, ils partent pour l’Europe malgré tout. Une sorte de frénésie mimétique s’est emparée de nombreuses personnes qui ne font que reproduire l’exemple de certains autres. Une trentaine de jeunes sont partis de Maaloula, dont un pharmacien qui est mort en mer. Il n’avait pourtant absolument aucune raison de quitter Maaloula qui est aujourd’hui pacifiée… C’est un problème qui découle directement du manque de sentiment d’appartenance à la société et de l’instabilité politique syrienne. Beaucoup partent mais nous, nous continuons la reconstruction du pays avec ceux qui restent, c’est notre défi. Voilà pourquoi je viens en France pour expliquer comment nous poursuivons notre travail dans cette situation.

portrait Père Toufic2

Comment se passe donc cette reconstruction ?

Nous essayons de reprendre les activités paroissiales, en premier lieu le catéchisme. Des jeunes étudiants et lycéens ont aussi relancé le scoutisme. Nous avons par ailleurs reformé une communauté féminine au sein du monastère et remis sur pied une crèche ainsi qu’une chorale. Autant de choses qui ont redonné vie à notre paroisse malgré la perte de la moitié de nos fidèles. Nous étions 3 000 avant la guerre mais plus de 1 500 personnes sont partis pour différentes raisons, soit à Damas pour le travail ou les études, soit ont immigrés au Liban ou ailleurs.

Une chose est survenue depuis votre première visite en France, c’est l’intervention Russe. Comment est-elle perçue par les Syriens ?

Les Syriens, globalement, ont la sensation que cela aura des répercussions positives sur la situation actuelle. Du point de vue militaire, cette intervention a beaucoup de sens puisque l’armée Syrienne a d’ors et déjà repris l’initiative sur le front. Sur le plan politique, nous pouvons dire que cela a stabilisé la société en quelques sortes. Certaines personnes ne voyaient plus aucune issue à ce conflit mais l’arrivée des russes leur a redonné un peu d’espoir.

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«La plus grande» statue de Jésus en Afrique

 

Un Jésus en marbre blanc de plus de huit mètres de haut construit par un homme d'affaires nigérian va être inauguré dans un village du sud-est du Nigeria, un pays composé d'un Sud chrétien et d'un Nord musulman.

La statue de 8,53 mètres de haut, appelée «Jesus de Greatest», a été commandée en 2013 par le riche Nigérian Obinna Onuoha et réalisée par une entreprise chinoise.

L'effigie de marbre blanc de 40 tonnes représente Jésus pieds nus, les bras ouverts, et surplombera l'Eglise catholique de St. Aloysius, dans le village majoritairement chrétien d'Abajah, dans l'Etat d'Imo (sud-est).

«Ce sera la plus grande statue de Jésus du continent», assure Obinna Onuoha, directeur général d'une compagnie nigériane de distribution de pétrole et de gaz.

« Les pèlerins viendront, c’est sûr »

«Les pèlerins viendront, c'est sûr», affirme l'homme d'affaires de 43 ans, qui dit ne pas craindre que l'effigie fasse l'objet d'attaques. «Nous pensons que les religions peuvent coexister». Obinna Onuoha a néanmoins alerté la police locale de l'inauguration de la statue, prévue le jour du Nouvel an, où il attend un millier de personnes. Fervent catholique, l'homme a eu l'idée de construire ce Jésus géant en 1997 après une «vision».

Le Nigeria, pays le plus peuplé d'Afrique avec ses 170 millions d'habitants, est divisé par des oppositions ethniques et régionales, entre un Sud plus riche et majoritairement chrétien, et un Nord musulman très pauvre. Selon le Pew Research Center, la population nigériane se répartit à peu près équitablement entre musulmans et chrétiens. Dans le Nord, les insurgés islamistes de Boko Haram ont tué plus de 17.000 personnes depuis 2009.(Source : 20 Minutes)

INVITATIONS:

 

 
 
Récit et propositions du Père François Guilloud
Recteur du sanctuaire de Notre-Dame de Grâces
1. REDÉCOUVRONS NOTRE PASSÉ
 1519 
Les apparitions de Notre Dame de Grâces à Cotignac

Notre Dame de Grâces est apparue à Cotignac et elle y a promis de grandes faveurs : « Que l’on vienne ici en procession pour recevoir les dons que je veux y répandre. » Cette promesse est toujours actuelle et nous devons la prendre au sérieux.

Le 10 août 1519, un bûcheron, Jean de la Baume, gravit le mont Verdaille. Il est seul. Comme d'accoutumée, il commence sa journée par prier. À peine s'est-il relevé qu'une nuée lui apparaît, découvrant la Vierge Marie avec l'Enfant Jésus, qu'entourent saint Bernard de Clairvaux, sainte Catherine martyre, et l'archange saint Michel. Notre Dame est debout, les pieds sur un croissant de lune. Elle s'adresse alors à Jean : « Je suis la Vierge Marie. Allez dire au clergé et aux Consuls de Cotignac de me bâtir ici même une église, sous le vocable de "Notre-Dame de Grâces", et qu'on y vienne en procession pour recevoir les dons que je veux y répandre. » La vision disparut. Jean garda d’abord pour lui le message, ce qui lui valut une seconde apparition de la Mère de Dieu.... 

Toute l'équipe du projet Cotignac500 (Sanctuaire de Notre-Dame de Grâces, Diocèse de Fréjus-Toulon, Association Marie de Nazareth) remercie son partenaire la Communauté des Frères de Saint-Jean pour la participation à cet email.

Nouvelles du projet

Le projet Cotignac 500 vient de se lancer : merci de le faire connaitre  à toutes les personnes qui pourraient s'y intéresser.

Programme de ces prochaines semaines au

Monastère Syriaque de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Miséricorde:

Program in the coming weeks

Syriac Monastery of the Blessed Virgin Mary, Mother of Mercy:

"Each breath we take is a gift. Each moment of life is a grace." - Thomas Merton
 



 

 

*Dimanche 3 Janvier:

 Solennité de l'Epiphanie-Théopanie

(Le Dimanche le plus proche du 6 Janvier puisque le jour même n'est pas chômé)

10h30, Quadisha Qurban (Offrande de la Ste Messe), Grande bénédiction de l'eau.Repas fraternel. De 15h à 18h et plus, réception des fidèles. Soupé à 19h suivit de Soutoro (Office des Complies)

* Sunday, January 3: Solemnity of the Epiphany-Epiphany

(The Sunday closest to January 6 as the same day is not busy)

10:30 Quadisha Qurban (Offering of the Holy Mass), Great Blessing of Brotherlyeau.Repas. From 15h to 18h and, reception of the faithful. Supper at 19h followed by Soutoro (Office of Compline)

NOËL AU MONASTÈRE SYRIAQUE DANS LA QUIÉTUDE D'UNE CAMPAGNE NORMANDE , POURQUOI PAS ? CHRISTMAS AT MONASTERY SYRIAC IN THE TRANQUILITY OF NORMAN CAMPAIGN, WHY NOT?

Inscriptions:


Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,

Brévilly

61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58

ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonées)

Adresse courriels: asstradsyrfr@laposte.net


 

 

 

*l'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise

Orthodoxe-Orientale

 

Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité

des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien

et la paix du monde.

 

Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil 

des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles , 

nous n'exigeons aucun fixe.

Les offrandes sont libres et non 

obligatoires

Toute offrande fait cependant l'objet d'une 

déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre 

revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F 

 
NOËL AU MONASTÈRE SYRIAQUE DANS LA QUIÉTUDE D'UNE CAMPAGNE NORMANDE , POURQUOI PAS ? CHRISTMAS AT MONASTERY SYRIAC IN THE TRANQUILITY OF NORMAN CAMPAIGN, WHY NOT?
Samedi 2 JANVIER 2016. Lectures du jour, lectures pour demain dimanche. ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR:

Baptême de notre Seigneur Jésus-Christ   (6 Janvier)

Cette Fête est appelée "Danaha" et en  syriaque «Dawn». C’est la Fête de l’Epiphanie ou Théophanie.

Quand le 6 Janvier ne tombe pas un dimanche, cette Fête est solennisée en France le dimanche le plus proche.

Saint Qurbana

o    Actes 19: 1 -7 :

·         01 Pendant qu’Apollos était à Corinthe, Paul traversait le haut pays ; il arriva à Éphèse, où il trouva quelques disciples.

·         02 Il leur demanda : « Lorsque vous êtes devenus croyants, avez-vous reçu l’Esprit Saint ? » Ils lui répondirent : « Nous n’avons même pas entendu dire qu’il y a un Esprit Saint. »

·         03 Paul reprit : « Quel baptême avez-vous donc reçu ? » Ils répondirent : « Celui de Jean le Baptiste. »

·         04 Paul dit alors : « Jean donnait un baptême de conversion : il disait au peuple de croire en celui qui devait venir après lui, c’est-à-dire en Jésus. »

·         05 Après l’avoir entendu, ils se firent baptiser au nom du Seigneur Jésus.

·         06 Et quand Paul leur eut imposé les mains, l’Esprit Saint vint sur eux, et ils se mirent à parler en langues mystérieuses et à prophétiser.

·         07 Ils étaient une douzaine d’hommes au total.

o     

o    Epître de St Paul Apôtre à Tite 2: 11 :

o    11 La grâce de Dieu s’est manifestée pour le salut de tous les hommes.

o     3: 9 :

o    09 Quant aux recherches folles sur les généalogies, les disputes et les polémiques sur la Loi, évite-les, car elles sont inutiles et vaines.

o    Evangile de Notre-Seigneur J-C selon Saint-Luc 3:7-22 :

·         07 Jean disait aux foules qui arrivaient pour être baptisées par lui : « Engeance de vipères ! Qui vous a appris à fuir la colère qui vient ?

·         08 Produisez donc des fruits qui expriment votre conversion. Ne commencez pas à vous dire : “Nous avons Abraham pour père”, car je vous dis que, de ces pierres, Dieu peut faire surgir des enfants à Abraham.

·         09 Déjà la cognée se trouve à la racine des arbres : tout arbre qui ne produit pas de bons fruits va être coupé et jeté au feu. »

·         10 Les foules lui demandaient : « Que devons-nous donc faire ? »

·         11 Jean leur répondait : « Celui qui a deux vêtements, qu’il partage avec celui qui n’en a pas ; et celui qui a de quoi manger, qu’il fasse de même ! »

·         12 Des publicains (c’est-à-dire des collecteurs d’impôts) vinrent aussi pour être baptisés ; ils lui dirent : « Maître, que devons-nous faire ? »

·         13 Il leur répondit : « N’exigez rien de plus que ce qui vous est fixé. »

·         14 Des soldats lui demandèrent à leur tour : « Et nous, que devons-nous faire ? » Il leur répondit : « Ne faites violence à personne, n’accusez personne à tort ; et contentez-vous de votre solde. »

·         15 Or le peuple était en attente, et tous se demandaient en eux-mêmes si Jean n’était pas le Christ.

·         16 Jean s’adressa alors à tous : « Moi, je vous baptise avec de l’eau ; mais il vient, celui qui est plus fort que moi. Je ne suis pas digne de dénouer la courroie de ses sandales. Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et le feu.

·         17 Il tient à la main la pelle à vanner pour nettoyer son aire à battre le blé, et il amassera le grain dans son grenier ; quant à la paille, il la brûlera au feu qui ne s’éteint pas. »

·         18 Par beaucoup d’autres exhortations encore, il annonçait au peuple la Bonne Nouvelle.

·         19 Hérode, qui était au pouvoir en Galilée, avait reçu des reproches de Jean au sujet d’Hérodiade, la femme de son frère, et au sujet de tous les méfaits qu’il avait commis.

·         20 À tout cela il ajouta encore ceci : il fit enfermer Jean dans une prison.

·         21 Comme tout le peuple se faisait baptiser et qu’après avoir été baptisé lui aussi, Jésus priait, le ciel s’ouvrit.

·         22 L’Esprit Saint, sous une apparence corporelle, comme une colombe, descendit sur Jésus, et il y eut une voix venant du ciel : « Toi, tu es mon Fils bien-aimé ; en toi, je trouve ma joie. »

o     

Bénédiction de l'eau

o    Actes 8:35-40 :

·         35  Philippe prit la parole et, à partir de ce passage de l’Écriture, il lui annonça la Bonne Nouvelle de Jésus.

·         36 Comme ils poursuivaient leur route, ils arrivèrent à un point d’eau, et l’eunuque dit : « Voici de l’eau : qu’est-ce qui empêche que je sois baptisé ? »

·         38 Il fit arrêter le char, ils descendirent dans l’eau tous les deux, et Philippe baptisa l’eunuque.

·         39 Quand ils furent remontés de l’eau, l’Esprit du Seigneur emporta Philippe ; l’eunuque ne le voyait plus, mais il poursuivait sa route, tout joyeux.

·         40 Philippe se retrouva dans la ville d’Ashdod, il annonçait la Bonne Nouvelle dans toutes les villes où il passait jusqu’à son arrivée à Césarée.

o     

o    Epître aux Hébreux 10: 15-25 :

·         15 L’Esprit Saint, lui aussi, nous l’atteste dans l’Écriture, car, après avoir dit :

·         16 Voici quelle sera l’Alliance que j’établirai avec eux quand ces jours-là seront passés, le Seigneur dit : Quand je leur donnerai mes lois, je les inscrirai sur leurs cœurs et dans leur pensée

·         17 et je ne me rappellerai plus leurs péchés ni leurs fautes.

·         18 Or, quand le pardon est accordé, on n’offre plus le sacrifice pour le péché.

·         19 Frères, c’est avec assurance que nous pouvons entrer dans le véritable sanctuaire grâce au sang de Jésus :

·         20 nous avons là un chemin nouveau et vivant qu’il a inauguré en franchissant le rideau du Sanctuaire ; or, ce rideau est sa chair.

·         21 Et nous avons le prêtre par excellence, celui qui est établi sur la maison de Dieu.

·         22 Avançons-nous donc vers Dieu avec un cœur sincère et dans la plénitude de la foi, le cœur purifié de ce qui souille notre conscience, le corps lavé par une eau pure.

·         23 Continuons sans fléchir d’affirmer notre espérance, car il est fidèle, celui qui a promis.

·         24 Soyons attentifs les uns aux autres pour nous stimuler à vivre dans l’amour et à bien agir.

·         25 Ne délaissons pas nos assemblées, comme certains en ont pris l’habitude, mais encourageons-nous, d’autant plus que vous voyez s’approcher le Jour du Seigneur.

o     

o    Evangile selon Saint-Jean 4:1-42 :

·         01 Les pharisiens avaient entendu dire que Jésus faisait plus de disciples que Jean et qu’il en baptisait davantage. Jésus lui-même en eut connaissance.

·         02 – À vrai dire, ce n’était pas Jésus en personne qui baptisait, mais ses disciples.

·         03 Dès lors, il quitta la Judée pour retourner en Galilée.

·         04 Or, il lui fallait traverser la Samarie.

·         05 Il arrive donc à une ville de Samarie, appelée Sykar, près du terrain que Jacob avait donné à son fils Joseph.

·         06 Là se trouvait le puits de Jacob. Jésus, fatigué par la route, s’était donc assis près de la source. C’était la sixième heure, environ midi.

·         07 Arrive une femme de Samarie, qui venait puiser de l’eau. Jésus lui dit : « Donne-moi à boire. »

·         08 – En effet, ses disciples étaient partis à la ville pour acheter des provisions.

·         09 La Samaritaine lui dit : « Comment ! Toi, un Juif, tu me demandes à boire, à moi, une Samaritaine ? » – En effet, les Juifs ne fréquentent pas les Samaritains.

·         10 Jésus lui répondit : « Si tu savais le don de Dieu et qui est celui qui te dit : “Donne-moi à boire”, c’est toi qui lui aurais demandé, et il t’aurait donné de l’eau vive. »

·         11 Elle lui dit : « Seigneur, tu n’as rien pour puiser, et le puits est profond. D’où as-tu donc cette eau vive ?

·         12 Serais-tu plus grand que notre père Jacob qui nous a donné ce puits, et qui en a bu lui-même, avec ses fils et ses bêtes ? »

·         13 Jésus lui répondit : « Quiconque boit de cette eau aura de nouveau soif ;

·         14 mais celui qui boira de l’eau que moi je lui donnerai n’aura plus jamais soif ; et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau jaillissant pour la vie éternelle. »

·         15 La femme lui dit : « Seigneur, donne-moi de cette eau, que je n’aie plus soif, et que je n’aie plus à venir ici pour puiser. »

·         16 Jésus lui dit : « Va, appelle ton mari, et reviens. »

·         17 La femme répliqua : « Je n’ai pas de mari. » Jésus reprit : « Tu as raison de dire que tu n’as pas de mari :

·         18 des maris, tu en as eu cinq, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari ; là, tu dis vrai. »

·         19 La femme lui dit : « Seigneur, je vois que tu es un prophète !...

·         20 Eh bien ! Nos pères ont adoré sur la montagne qui est là, et vous, les Juifs, vous dites que le lieu où il faut adorer est à Jérusalem. »

·         21 Jésus lui dit : « Femme, crois-moi : l’heure vient où vous n’irez plus ni sur cette montagne ni à Jérusalem pour adorer le Père.

·         22 Vous, vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs.

·         23 Mais l’heure vient – et c’est maintenant – où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et vérité : tels sont les adorateurs que recherche le Père.

·         24 Dieu est esprit, et ceux qui l’adorent, c’est en esprit et vérité qu’ils doivent l’adorer. »

·         25 La femme lui dit : « Je sais qu’il vient, le Messie, celui qu’on appelle Christ. Quand il viendra, c’est lui qui nous fera connaître toutes choses. »

·         26 Jésus lui dit : « Je le suis, moi qui te parle. »

·         27 À ce moment-là, ses disciples arrivèrent ; ils étaient surpris de le voir parler avec une femme. Pourtant, aucun ne lui dit : « Que cherches-tu ? » ou bien : « Pourquoi parles-tu avec elle ? »

·         28 La femme, laissant là sa cruche, revint à la ville et dit aux gens :

·         29 « Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait. Ne serait-il pas le Christ ? »

·         30 Ils sortirent de la ville, et ils se dirigeaient vers lui.

·         31 Entre-temps, les disciples l’appelaient : « Rabbi, viens manger. »

·         32 Mais il répondit : « Pour moi, j’ai de quoi manger : c’est une nourriture que vous ne connaissez pas. »

·         33 Les disciples se disaient entre eux : « Quelqu’un lui aurait-il apporté à manger ? »

·         34 Jésus leur dit : « Ma nourriture, c’est de faire la volonté de Celui qui m’a envoyé et d’accomplir son œuvre.

·         35 Ne dites-vous pas : “Encore quatre mois et ce sera la moisson” ? Et moi, je vous dis : Levez les yeux et regardez les champs déjà dorés pour la moisson. Dès maintenant,

·         36 le moissonneur reçoit son salaire : il récolte du fruit pour la vie éternelle, si bien que le semeur se réjouit en même temps que le moissonneur.

·         37 Il est bien vrai, le dicton : “L’un sème, l’autre moissonne.”

·         38 Je vous ai envoyés moissonner ce qui ne vous a coûté aucun effort ; d’autres ont fait l’effort, et vous en avez bénéficié. »

·         39 Beaucoup de Samaritains de cette ville crurent en Jésus, à cause de la parole de la femme qui rendait ce témoignage : « Il m’a dit tout ce que j’ai fait. »

·         40 Lorsqu’ils arrivèrent auprès de lui, ils l’invitèrent à demeurer chez eux. Il y demeura deux jours.

·         41 Ils furent encore beaucoup plus nombreux à croire à cause de sa parole à lui,

·         42 et ils disaient à la femme : « Ce n’est plus à cause de ce que tu nous as dit que nous croyons : nous-mêmes, nous l’avons entendu, et nous savons que c’est vraiment lui le Sauveur du monde. »

o     

 

 

Samedi 2 JANVIER 2016. Lectures du jour, lectures pour demain dimanche. ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR:
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1 janvier 2016 5 01 /01 /janvier /2016 06:26
Dear friends. Aloho M'Barek. May this new year be for you and your friends bathed in the light of Christ our Redeemer, "Rising Sun who comes to visit us!" Remember, in your prayers, our Christian brothers around the world suffer all sorts of indignities and vigorously testify of Christ and the Gospel of Love, Truth, Justice and Peace, sometimes up the supreme witness of Martyr ... May they teach us by their heroic fidelity!Again: Happy and Holy Year to you and all those you love: Peace, health, strength and serenity! You are in our prayers, thank you to remember us in your own. Aloho m'barekh (God bless you)! Your fraternally devoted and faithful in the Lord. + Mor Philipose -Mariam, Metropolitan  A WORD OF ST John Chrysostom FOR THE NEW YEAR:   "The year will be happy for you, not when you drink to be drunk on the first day, but when and the first and each of the other days you will do what is in accordance with God. The day may be good or bad, not its essence because one day is not differentiated in any way another day, but because of our diligence or laziness. If you have worked well when the day is good, but if you have sinned the day is bad and painful. If you're going to think that way and have yourself so as to perform the prayers and works of charity, then the whole year will be happy for you; if you start to neglect virtue for yourself and wait for your spiritual happiness in the early months of the day of days, so you will not have anything good. "

Dear friends. Aloho M'Barek. May this new year be for you and your friends bathed in the light of Christ our Redeemer, "Rising Sun who comes to visit us!" Remember, in your prayers, our Christian brothers around the world suffer all sorts of indignities and vigorously testify of Christ and the Gospel of Love, Truth, Justice and Peace, sometimes up the supreme witness of Martyr ... May they teach us by their heroic fidelity!Again: Happy and Holy Year to you and all those you love: Peace, health, strength and serenity! You are in our prayers, thank you to remember us in your own. Aloho m'barekh (God bless you)! Your fraternally devoted and faithful in the Lord. + Mor Philipose -Mariam, Metropolitan A WORD OF ST John Chrysostom FOR THE NEW YEAR: "The year will be happy for you, not when you drink to be drunk on the first day, but when and the first and each of the other days you will do what is in accordance with God. The day may be good or bad, not its essence because one day is not differentiated in any way another day, but because of our diligence or laziness. If you have worked well when the day is good, but if you have sinned the day is bad and painful. If you're going to think that way and have yourself so as to perform the prayers and works of charity, then the whole year will be happy for you; if you start to neglect virtue for yourself and wait for your spiritual happiness in the early months of the day of days, so you will not have anything good. "

 

Chers amis. Aloho m'barekh.
Que cette année nouvelle soit pour vous et vos amis toute baignée de la lumière du Christ notre Rédempteur, "Soleil levant qui vient nous visiter" !

N'oubliez pas, dans vos prières, nos frères Chrétiens qui, partout dans le monde subissent toutes sortes d'affronts et témoignent vigoureusement  du Christ et de l'Evangile d'Amour, de Vérité, de Justice et de Paix, parfois jusqu'au témoignage suprême du Martyr...
Puissent-ils nous enseigner par leur fidélité héroïque !


Encore une fois : Bonne et Sainte année à vous et à tous ceux que vous aimez :
Paix, santé, force et sérénité !

« Que le Seigneur vous bénisse et vous garde! 

Que le Seigneur fasse briller sur vous son visage, et qu’il vous fasse grâce! 

Que le Seigneur tourne vers vous son visage, et qu’il vous apporte la paix! »
(Nb VI, 24-26)
« Que la grâce de notre Seigneur Jésus Christ, l’amour de Dieu et la communion du Saint Esprit soient avec vous tous. Amen. »
(2 Co XIII, 13)

 Puisse la sérénité tout au long de cette année 2016, règner dans votre coeur ! Heureux ceux qui laissent la lumière du Christ les éclairer pour faire des choix ou pour prendre les décisions dans leurs vies et agir en conséquence...


Vous êtes dans nos prières, merci de ne pas nous oublier dans les vôtres.
Aloho m’barekh (Dieu vous bénisse) !


Votre fraternellement et fidèlement dévoué en Notre-Seigneur.


+Mor Philipose-Mariam, métropolite

 

UN MOT DE SAINT JEAN CHRYSOSTOME POUR LE NOUVEL AN :

« L'année sera heureuse pour toi non pas quand tu boiras jusqu'à en être ivre le premier jour, mais lorsque et le premier et chacun des autres jours tu vas faire ce qui est conforme à Dieu. 


La journée peut-être bonne ou mauvaise non pas par son essence car un jour ne se différencie en rien d'un autre jour, mais du fait de notre assiduité ou de la paresse. 


Si tu as œuvré le bien, alors la journée sera bonne, en revanche si tu as péché la journée sera mauvaise et pénible. 


Si tu vas raisonner de cette façon et disposer de toi-même de façon à effectuer les prières et les œuvres de charité, alors toute l'année sera heureuse pour toi; 
si tu commences à négliger la vertu par toi-même et attendre ton bonheur spirituel dès le début des mois et du compte des jours, alors tu n'auras rien de bon.»

 

 

1er Janvier 2016. Fête de la circoncision de Notre Seigneur (Lectionnaire accordé au Calendrier de l'Eglise Orthodoxe-Malankare)

Nouvel An (le 1er Janvier)

La circoncision de Notre Seigneur, en la fête de saint Basile et de saint Grégoire.

Saint Qurbana

o    1ère épître de St Jean 3: 13 à 18 :

  • 13 Ne soyez pas étonnés, frères, si le monde a de la haine contre vous.
  • 14 Nous, nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons nos frères. Celui qui n’aime pas demeure dans la mort.
  • 15 Quiconque a de la haine contre son frère est un meurtrier, et vous savez que pas un meurtrier n’a la vie éternelle demeurant en lui.
  • 16 Voici comment nous avons reconnu l’amour : lui, Jésus, a donné sa vie pour nous. Nous aussi, nous devons donner notre vie pour nos frères.
  • 17 Celui qui a de quoi vivre en ce monde, s’il voit son frère dans le besoin sans faire preuve de compassion, comment l’amour de Dieu pourrait-il demeurer en lui ?
  • 18 Petits enfants, n’aimons pas en paroles ni par des discours, mais par des actes et en vérité.

o     

o    Epître aux Romains 2: 28 :

  • 28 Ce n’est pas ce qui est visible qui fait le Juif, ce n’est pas la marque visible dans la chair qui fait la circoncision ;

o    3: 8 :

o    08 Faut-il dire : « Faisons le mal pour qu’il en sorte du bien », comme certains nous accusent injurieusement de le dire ? Ceux-là méritent leur condamnation.

o     

o    Evangile de Notre-Seigneur Jésus-Christ selon Saint Jean 15: 5 -19 :

  • 05 Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là porte beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire.
  • 06 Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est, comme le sarment, jeté dehors, et il se dessèche. Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent.
  • 07 Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous.
  • 08 Ce qui fait la gloire de mon Père, c’est que vous portiez beaucoup de fruit et que vous soyez pour moi des disciples.
  • 09 Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Demeurez dans mon amour.
  • 10 Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme moi, j’ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour.
  • 11 Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite.
  • 12 Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés.
  • 13 Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime.
  • 14 Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande.
  • 15 Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaître.
  • 16 Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis et établis, afin que vous alliez, que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure. Alors, tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera.
  • 17 Voici ce que je vous commande : c’est de vous aimer les uns les autres.
  • 18 Si le monde a de la haine contre vous, sachez qu’il en a eu d’abord contre moi.
  • 19 Si vous apparteniez au monde, le monde aimerait ce qui est à lui. Mais vous n’appartenez pas au monde, puisque je vous ai choisis en vous prenant dans le monde ; voilà pourquoi le monde a de la haine contre vous.

o     

 

1er Janvier 2016. Fête de la circoncision de Notre Seigneur (Lectionnaire accordé au Calendrier de l'Eglise Orthodoxe-Malankare)

Par Saint Théophane le reclus.


Circoncision selon la chair de Notre Seigneur Jésus Christ

 

Colossiens 2:8-12 et Luc 2:20-21, 40-52

 

Puisque le Nouvel An est le début de l'époque de l'année, nous devons rassembler dans notre âme ces pensées, sentiments et dispositions qui dirigeront nos affaires tout au long de l'année d'une manière chrétienne.

Nous trouverons ceci au moment où nous aurons à l'esprit ce que le Jour de l'An est dans la vie spirituelle.

Dans la vie spirituelle, le Jour de l'An, c'est quand celui qui a vécu avec négligence devient zélé pour le salut et pour plaire à Dieu.

Quand on prend cette résolution, alors tout est reconstruit à nouveau à la fois intérieurement et extérieurement, sur de nouveaux commencements, les anciens meurent et tout est nouveau.

Si vous avez ce sentiment, renouvelez-le, sinon, acquerrez-le et pour vous ce sera le Jour de l'An.

Une célébration digne de la fête de la Circoncision du Seigneur et de la commémoration de Saint Basile le Grand y sont également liées.

L'essence de ce changement dont nous avons parlé est que la personne commence à partir de ce moment à vivre uniquement pour Dieu, pour son salut; alors qu'auparavant elle vivait exclusivement pour elle-même, pour la préparation de la destruction d'elle-même.

Maintenant, elle abandonne ses anciennes habitudes, tous les conforts et tous ce en quoi elle se plaisait, elle éradique les passions et les dispositions lascives et entreprend des œuvres de stricte abnégation.

Un tel changement représente précisément ce que, selon l'Apôtre, la circoncision du cœur doit être.

La célébration de la circoncision du Seigneur nous le rappelle et nous oblige à le faire, tandis que Saint-Basile le Grand nous fournit un exemple à suivre.

Donc, tous les thèmes qui fourmille dans notre conscience le jour du Nouvel An se réunissent en un seul, notre renouveau intérieur à travers la circoncision du cœur.

Si cela plaît au Seigneur de donner à quelqu'un cet état d'esprit au Jour de l'An, c'est-à-dire, non seulement de penser de telle manière, mais aussi d'incarner tout cela dans sa vie-il célèbrera le Jour de l'An de la manière chrétienne la plus parfaite , et se préparera à passer toute l'année en chrétien.

Le Jour de l'An suivant Nouvel il lui suffira de renouveler et d'animer ce qu'il a maintenant entrepris.

(Version française Claude Lopez-Ginisty d'après St Theophan the Recluse Thoughts for each Day of the Year St Herman of Alaska, Platina, CA USA 2010 +)


Sans changement Vous assumâtes notre humaine condition humaine +, étant Dieu par nature, Seigneur compatissant*;  pour accomplir le précepte de la Loi,

Vous avez voulu subir la circoncision de la chair * afin de dissiper les ténèbres et d'arracher le voile où s'enveloppent nos passions.

 Gloire à Votre immense bonté+,  gloire à Votre miséricorde, ô Verbe de Dieu, * gloire à l'ineffable tendresse qui Vous fit descendre jusqu'à nous. 
===


En sa chair Il est circoncis+, Celui qui accomplit la Loi comme enfant de huit jours*; le Créateur des siècles est enveloppé  dans Ses langes de mortel,

 et Le voici nourri de lait +, le Dieu qui maintient l'univers par Sa toute-puissance * et le dirige selon Sa volonté.

Par l'Abbé Duquesne (1732-1791) 
L'évangile médité, 12ème Méditation 
 

« Le huitième jour ou l'enfant devait être circoncis étant arrivé ... »
 

"Le huitième jour ou l'enfant devait être circoncis étant arrivé ... "

ces paroles nous rappellent la brièveté, l'incertitude, l'emploi et la fin du temps. 

     La brièveté du temps. La plus longue suite de jours, lorsqu'ils sont écoulés, n'est plus rien. Qu'est-ce que l'année qui vient de finir ? Qu'est-ce que tout le temps que nous avons vécu ? Qu'est-ce que tout le temps qu'a duré le monde ? tout cela est passé; et dans un temps passé, un siècle, un an, huit jours, un jour, sont la même chose. Le temps à venir n'est pas d'une autre nature : l'année qui commence, le temps qui nous restera à vivre, tout celui que doit durer le monde, passera, et quand il sera passé, il ne sera plus rien ; mais l'éternité ne passe point. Ô insensés que nous sommes de nous attacher aux biens du temps qui sont si peu durables, et de ne pas soupirer après les biens éternels ! 

     L'incertitude du temps. Combien y en a t-il eu de tout âge, de toute condition, de toute complexion, qui ont vu commencer l'année dernière et qui ne l'ont pas vu finir ! Il en sera de même de celle-ci : peut-être serons-nous du nombre de ceux qui n'en verront pas la fin ; nous n'y avons pas un jour, un moment d'assuré. Commençons la donc comme si elle devait être la dernière pour nous. 

     L'emploi du temps. La manière dont nous aurons employé le temps décidera de notre sort dans l'éternité. Examinons comment nous avons employé l'année qui vient de s'écouler. Si nous ne sommes pas tombés dans les plus grands désordres, remercions-en Dieu ; mais au moins, avouons-le, quelle lâcheté au service du Seigneur, quelle dissipation dans la prière, quelle négligence dans l'usage des sacrements, que de défauts dans toutes nos actions ! Combien de fautes que nous aurions pu éviter, de bonnes œuvres que nous aurions pu faire, d'occasions de pratiquer la vertu d'exercer la charité, la patience, le zèle, l'humilité, la mortification que nous avons perdues ! Pleurons amèrement de si grandes pertes, et demandons-en pardon à Dieu. Voici une nouvelle année qu'il nous donne pour les réparer. Ah ! s'il l'accordait aux âmes réprouvées, s'il l'accordait même aux âmes du purgatoire, comment l'emploieraient-elles ? 

     La fin du temps. A la fin du temps, il ne reste plus rien des peines et des plaisir qu'on a eus dans le temps. Le pénitent et le voluptueux, parvenus à leur dernière heure, se trouve égaux, en ce que les mortifications de l'un et les délices de l'autre sont également évanouies : il ne leur reste que leurs œuvres, c'est à dire leurs mérites ou leurs démérites. Quel regret pour l'un, quelle consolation pour l'autre ! Quelle satisfaction ne ressentirions-nous pas nous-mêmes aujourd'hui, si nous avions passé l'année dernière dans la sainteté et dans la ferveur ! Il ne nous resterait rien de la peine que nous aurions prise ; et que nous reste t-il des plaisirs qui nous ont détournés de Dieu ? Regrettons un temps si précieux et si mal employé. Remercions Dieu de ce qu'il nous a conservés jusqu'à ce moment et de ce que la fin du temps n'est pas encore venu pour nous ; mais songeons que nous y touchons. Quels seront alors nos sentiments ? Ce que nous voudrions avoir fait alors ne dépendra plus de nous ; mais il en dépend maintenant : soyons donc prudent et profitons d'un avis qui sera peut-être le dernier que nous recevrons.

Faith Holland night celebration light fireworks

Au concile d’Ephèse, les Pères l’acclamèrent Théotokos, parce que, en elle, le Verbe prit chair et le Fils de Dieu habita parmi les hommes, lui, le prince de la paix, à qui a été donné le nom au dessus de tout nom.

Au concile d’Ephèse, les Pères l’acclamèrent Théotokos, parce que, en elle, le Verbe prit chair et le Fils de Dieu habita parmi les hommes, lui, le prince de la paix, à qui a été donné le nom au dessus de tout nom.

C'est de sa propre substance que Marie a enfanté son fils

Les Pères de l’Eglise, avant même le premier concile de Nicée (325), ont utilisé l’expression Théotokos (Mère de Dieu) à propos de la Vierge Marie, comme le souligne la Commission internationale anglicane - catholique romaine (ARCIC):

« Pour la défense de l'humanité vraie du Christ et contre le docétisme (hérésie qui ne croit pas à l’incarnation et pour qui Jésus n’est donc pas vrai homme), l'Église ancienne a souligné que Jésus est né de Marie. Il n'avait pas simplement « apparence » humaine ; il n'est pas descendu du ciel dans un « corps céleste » et, pour sa naissance, il n'est pas simplement « passé à travers » sa mère.

Au contraire, c'est de sa propre substance que Marie a enfanté son fils. Pour Ignace d'Antioche († 110 env.) et Tertullien († 225 env.), Jésus est pleinement homme parce que « vraiment né » de Marie. (...).Celui qui est né de Marie est le Fils éternel de Dieu. Les Pères d'Orient et d'Occident -- comme Justin († 150 env.) ou Irénée († 202 env.) (...) -- ont exposé cet enseignement dans les termes d'Isaïe 7, 14 : Marie accomplit la vision du prophète et donne naissance à "Dieu avec nous". (...) Le titre de Marie Theotókos était invoqué pour sauvegarder la doctrine de l'unité de la personne du Christ. »  

 
L’équipe de Marie de Nazareth
1er Janvier 2016. Fête de la circoncision de Notre Seigneur (Lectionnaire accordé au Calendrier de l'Eglise Orthodoxe-Malankare)

« Ayons la confiance des tout petits ! Maman m'aime et elle sait ce qu'il me faut. Elle est si bonne et si puissante. Le tout petit compte, non pas sur lui, mais sur sa maman. Je suis un misérable, un faible... Maman m'aime et elle est toute-puissante. Appuyé sur elle, j'ai la prétention de devenir un grand saint, non pas moi, mais elle en moi. Comment ? Elle m'a aimé jusqu'à livrer son Jésus, et je n'en espérerais pas la sainteté, une grande sainteté ? Dans le Tout qu'elle m'a donné, elle me promet le « moins ». « Elle » n'a pas épargné son propre Fils..., comment avec lui ne nous donnera-t-elle pas toute chose (Rom. VIII, 32) ? Si Dieu et Marie nous ont donné « la vie », à fortiori nous donneront-ils le « vêtement » et la « nourriture ». J'attends tout de ma Mère, non parce que je le mérite, mais parce qu'elle m'aime, et son amour participe à l'efficacité de l'amour divin ; elle réalisera en moi la sainteté si je me livre à elle.

Je vous donne donc le paquet de ma misère, et transformez-moi à la gloire de Dieu. Sortez-moi de mon égoïsme et apprenez-moi à aimer votre divin Fils. Je ne mérite que le courroux de la justice, mais je me perds en vous qui avez trouvé grâce devant Dieu, pour vous et pour tous les petits que vous portez en vous.

Désormais, ô ma Mère, je n'aurai plus de souci. Un tout petit n'en a pas, sa maman pourvoit à tout pour lui, au fur et à mesure. Je déposerai dans votre Cœur tout ce qui se présentera, et je n'aurai d'autre souci que de vous aimer. Vous vous chargerez de moi et des miens. Votre amour m'en assure et me suffit. Vous savez mieux que nous ce qu'il nous faut. - O Marie, j'ai foi, une foi éperdue en votre amour maternel... Je ne veux avoir d'autre désir que de vous aimer et de vous faire aimer, d'autre intention de prières que de vous louer et demander que votre règne arrive. »

R.P. Gabriel Jacquier (1906-1942), La vie mariale (16)

Programme de ces prochaines semaines au

Monastère Syriaque de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Miséricorde:

Program in the coming weeks

Syriac Monastery of the Blessed Virgin Mary, Mother of Mercy:

"Each breath we take is a gift. Each moment of life is a grace." - Thomas Merton
 



 

*1er Janvier:

, 10h30, Quadisha Qurbana (Offrande de la Ste Messe) pour placer la nouvelle année sous la Protection de de la Mère de Miséricorde. Repas fraternel et reception des fidèles de 15h à 18h . Soupé à 19h suivit de Soutoro (Office des Complies).

*January 1st:

, 10:30 Qurbana Qadisha (the Holy Mass Offering) to place the New Year under the protection of the Mother of Mercy. Fraternal meal and reception of the faithful from 15h to 18h. Supper at 19h followed by Soutoro (Office of Compline).

 

*Dimanche 3 Janvier:

 Solennité de l'Epiphanie-Théopanie

(Le Dimanche le plus proche du 6 Janvier puisque le jour même n'est pas chômé)

10h30, Quadisha Qurban (Offrande de la Ste Messe), Grande bénédiction de l'eau.Repas fraternel. De 15h à 18h et plus, réception des fidèles. Soupé à 19h suivit de Soutoro (Office des Complies)

* Sunday, January 3: Solemnity of the Epiphany-Epiphany

(The Sunday closest to January 6 as the same day is not busy)

10:30 Quadisha Qurban (Offering of the Holy Mass), Great Blessing of Brotherlyeau.Repas. From 15h to 18h and, reception of the faithful. Supper at 19h followed by Soutoro (Office of Compline)

NOËL AU MONASTÈRE SYRIAQUE DANS LA QUIÉTUDE D'UNE CAMPAGNE NORMANDE , POURQUOI PAS ? CHRISTMAS AT MONASTERY SYRIAC IN THE TRANQUILITY OF NORMAN CAMPAIGN, WHY NOT?

Inscriptions:


Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,

Brévilly

61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58

ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonées)

Adresse courriels: asstradsyrfr@laposte.net


 

 

 

*l'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise

Orthodoxe-Orientale

 

Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité

des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien

et la paix du monde.

 

Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil 

des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles , 

nous n'exigeons aucun fixe.

Les offrandes sont libres et non 

obligatoires

Toute offrande fait cependant l'objet d'une 

déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre 

revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F 

 
NOËL AU MONASTÈRE SYRIAQUE DANS LA QUIÉTUDE D'UNE CAMPAGNE NORMANDE , POURQUOI PAS ? CHRISTMAS AT MONASTERY SYRIAC IN THE TRANQUILITY OF NORMAN CAMPAIGN, WHY NOT?
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31 décembre 2015 4 31 /12 /décembre /2015 06:01
“Human life is but of brief duration. ‘All flesh is grass, and all the goodliness thereof is as the flower of the field. The grass withers, the flower fades; but the word of our God shall stand forever’ (Isa. 40:6). Let us hold fast to the commandment that abides, and despise the unreality that passes away.” (St Basil the Great) / " la vie humaine est de courte durée. " toute chair est comme l'herbe, et toute la piété est comme la fleur des champs. L'herbe sèche, la fleur se fane ; mais la parole de notre Dieu demeurera à jamais " (Isa. 40:6). Laissez-nous nous en tenir au commandement qui respecte la vie qui demeure et méprise ce qui passe " (St Basile le grand)

“Human life is but of brief duration. ‘All flesh is grass, and all the goodliness thereof is as the flower of the field. The grass withers, the flower fades; but the word of our God shall stand forever’ (Isa. 40:6). Let us hold fast to the commandment that abides, and despise the unreality that passes away.” (St Basil the Great) / " la vie humaine est de courte durée. " toute chair est comme l'herbe, et toute la piété est comme la fleur des champs. L'herbe sèche, la fleur se fane ; mais la parole de notre Dieu demeurera à jamais " (Isa. 40:6). Laissez-nous nous en tenir au commandement qui respecte la vie qui demeure et méprise ce qui passe " (St Basile le grand)

Lettre de saint Paul Apôtre à Tite 3,4-7.

Fils bien-aimé, voici manifestée la bonté de Dieu notre Sauveur, et son amour des hommes,
il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous faisions, mais selon sa miséricorde, par le bain de la régénération et en nous renouvelant par le Saint-Esprit,
qu'il a répandu sur nous largement par Jésus-Christ notre Sauveur,
afin que, justifiés par sa grâce, nous devenions héritiers de la vie éternelle selon notre espérance.


Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 2,15-20.

En ce temps-là, les bergers se disaient entre eux : Passons donc jusqu'à Bethléem ; voyons cette chose qui est arrivée et que le Seigneur nous a fait connaître.
Ils s'y rendirent en toute hâte, et trouvèrent Marie, Joseph et le nouveau-né couché dans la crèche.
Après avoir vu, ils firent connaître ce qui leur avait été dit au sujet de cet enfant.
Et tous ceux qui les entendirent furent dans l'admiration de ce que leur avaient dit les bergers.
Quant à Marie, elle conservait avec soin toutes ces choses, les méditant dans son cœur.
Et les bergers s'en retournèrent, glorifiant et louant Dieu de tout ce qu'il avaient entendu et vu, selon ce qui leur avait été dit.

At the time of thanksgiving after receiving the Sacrament of Reconciliation (Confession)... Benevolent O Virgin, In joy, give us your Son ...    Au moment de l'actions de grâces après avoir reçu le sacrement du Pardon (Confession)... Ô Vierge Bienveillante, Dans la joie, donnes nous ton Fils...

At the time of thanksgiving after receiving the Sacrament of Reconciliation (Confession)... Benevolent O Virgin, In joy, give us your Son ... Au moment de l'actions de grâces après avoir reçu le sacrement du Pardon (Confession)... Ô Vierge Bienveillante, Dans la joie, donnes nous ton Fils...

Par le Père Emmanuel André

(1826 - 1903), o.s.b. 
Méditations pour tous les jours - Éd. Sainte-Madeleine, TÉQUI (cliquer) 


 

Action de grâces

 

Cette journée sera pour nous une journée d'action de grâces à Dieu. Il nous a donné des journées nombreuses, des années déjà nombreuses, et par-dessus tout des grâces innombrables. 

Tant de bienfaits de Dieu exigent de nous une reconnaissance profonde; pénétrons-nous donc des sentiments que doivent exciter en nous les grâces reçues en cette journée, en cette semaine, en cette année, en toutes nos années. 

Disons bien à Dieu avec le psaume : Quid retribuam? Dieu m'a tant donné, que lui rendrai-je? Je me dois à lui pour ce qu'il m'a créé; que lui rendrai-je donc pour ce qu'il m'a racheté? 

Notre dette envers Dieu est grande et très grande. Dieu seul en connaît, en mesure l'étendue. 

Mon Dieu, donnez-moi, s'il vous plaît, de vous remercier et de vous aimer.

 

+++

 

 

« L'année sera heureuse pour toi non pas quand tu boiras jusqu'à en être ivre le premier jour, mais lorsque et le premier

et chacun des autres jours tu vas faire ce qui est conforme à Dieu.

La journée peut être bonne ou mauvaise non pas par son essence car un jour ne se différencie en rien d'un autre jour,

mais du fait de notre assiduité ou de la paresse.

Si tu as œuvré le bien, alors la journée sera bonne, en revanche si tu as péché la journée sera mauvaise et pénible.

Si tu vas raisonner de cette façon et disposer de toi-même de façon à effectuer les prières et les œuvres de charité,

alors toute l'année sera heureuse pour toi; si tu commences à négliger la vertu par toi-même et attendre ton bonheur

spirituel dès le début des mois et du compte des jours, alors tu n'auras rien de bon.»

+++

Aujourd'hui nous fêtons en France Saint SYLVESTRE, pape de Rome († 335)

Mémoire des saints suivants:

Saints SABINIEN, 1er évêque de Sens et POTENTIEN, martyrs († 300)

COLOMBE, vierge martyre à Sens († 273)

FESTUS, évêque de Valence († Ve s.)

MÉLANlE la Jeune, moniale à Jérusalem (383-438)

 

ISRAËL, prêtre au Dorat († 1014)

 

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«La brièveté du temps.

La plus longue suite des jours, lorsqu'ils sont écoulés, n'est plus rien. Qu'est-ce que l'année qui vient de finir ? Qu'est-ce que tout le temps que nous avons vécu ?... Qu'est-ce que tout le temps qu'a duré le monde ? Tout cela est passé, et dans un temps passé, un siècle, un an, huit jours, un jour, sont la même chose. Le temps à venir n'est pas d'une autre nature. L'année qui commence, le temps qui nous restera à vivre, tout celui que doit durer le monde, passera, et quand il sera passé, il ne sera plus rien ; mais l’Éternité ne passe point. O insensés que nous sommes de nous attacher aux biens du temps qui sont si peu durables, et de ne pas soupirer pour les biens spirituels.

L'incertitude du temps.

Combien y en a-t-il eu de tout âge, de toute condition, de toute complexion, qui ont vu commencer l'année dernière, et qui ne l'ont pas vu finir ? Il en sera de même de celle-ci ; peut-être serons-nous du nombre de ceux qui n'en verront pas la fin ; nous n'y avons pas un jour, un moment d'assuré. Commençons-la donc comme si elle devait être la dernière pour nous.

L'emploi du temps.

La manière dont nous aurons employé le temps décidera de notre sort dans l’Éternité. Examinons comment nous avons employé l'année qui vient de s'écouler. Si nous ne sommes pas tombés dans les plus grands désordres, remercions-en Dieu ; mais au moins, avouons-le, quelle lâcheté au service du Seigneur, quelle dissipation dans la prière, quelle négligence dans l'usage des Sacrements, que de défauts dans toutes nos actions ! Combien de fautes que nous aurions pu éviter, de bonnes œuvres que nous aurions pu faire, d'occasions de pratiquer la vertu, d'exercer la charité, la patience, le zèle, l'humilité, la mortification que nous avons perdues ! Pleurons amèrement de si grandes pertes, et demandons-en pardon à Dieu. Voici une nouvelle année qu'il nous donne pour les réparer : ah ! s'il l'accordait aux âmes réprouvées, s'il l'accordait même aux âmes du Purgatoire, comment l'emploieraient-elles ?

La fin du temps.

A la fin du temps il ne reste plus rien des peines et des plaisirs que l'on a eus dans le temps. Le pénitent et le voluptueux parvenus à leur dernière heure se trouvent égaux, en ce que les mortifications de l'un et les délices de l'autre sont également évanouies ; il ne leur reste que leurs œuvres ; c'est-à-dire, leurs mérites ou leurs démérites. Quels regrets pour l'un ! Quelle consolation pour l'autre ! Quelle satisfaction ne ressentirions-nous pas nous-mêmes aujourd'hui si nous avions passé l'année dernière dans la sainteté et dans la ferveur ! Il ne nous resterait rien de la peine que nous aurions prise ; et que nous reste-t-il des plaisirs qui nous ont détournés de Dieu ? Regrettons un temps si précieux et si mal employé. Remercions Dieu de ce qu'il nous a conservés jusqu'à ce moment, et de ce que la fin du temps n'est pas encore venue pour nous : mais songeons que nous y touchons. Quels seront alors nos sentiments ? Ce que nous voudrions avoir fait alors ne dépendra plus de nous, mais il en dépend maintenant. Soyons donc prudents, et profitons d'un avis qui sera peut-être lui-même le dernier que nous recevrons. »

P. Bonaventure Giraudeau s.j. (1697-1774), L’Évangile médité Tome I (Chap. XII, Troisième Point : Du premier jour de l'an), Revu et corrigé par M. l'Abbé L. Duquesne, Nouvelle édition, Tournay, Chez J. Casterman Aîné, 1826.

 

 

 



 

"Imagination, devotion, perseverance, together with divine grace, will assure your success." -H.I.M Haile Selassie I. " L'imagination, le dévouement, la persévérance, de concert avec la grâce divine, assurera votre succès." - H.I.M Haile Selassie I.

"Imagination, devotion, perseverance, together with divine grace, will assure your success." -H.I.M Haile Selassie I. " L'imagination, le dévouement, la persévérance, de concert avec la grâce divine, assurera votre succès." - H.I.M Haile Selassie I.

EN VRAC...POUR VOTRE

 

REFLEXION PERSONNELLE:

 

 

 

 

FIDELITE HEROIQUE A LA PRATIQUE RELIGIEUSE 

 

Circulent ces jours derniers,sur les réseaux sociaux, quelques photos impressionnantes d’un groupe de chrétiens catholiques en train de suivre , imperturbables, la messe dans une église inondée.

messe inondée 1

 

Ces images ont été prises il y a quelques jours dans la chapelle de San Isidro Labrador de Pampanga, aux Philippines.

Ces gens aux catholiques et aux Chrétiens du monde entier.

Quoiqu'il en soit des menaces et des intempéries, le typhon Nona ne leur fait pas peur ! "Dieu premier servi" ! Ils vont à la messe en ce quatrième dimanche de l’Avent ! 

Un fait similaire se passa à Masantol, Pampanga, où la foi des Philippins  brilla malgré les menaces  naturellement inquétantes et parfois destructrices de la nature.

Ansi, des milliers de personnes de villages côtiers de Pampanga et Bulacan passé rent Noël dans des abris après le débordement des fleuves et des pluies torrentielles sur la région de Luzon, mais ils demeureèrent fermes dans la Foi et , avant toute chose, mirent au centre de leur vie leur "religare", la vertu de religion, comprenant cette parole de l'Aboun d'bashmayo (Le Notre Père): "Donnez nous aujourd'hui notre Pain Substantiel", le seul nénéssaire, cette grâce divine sans laquelle rien ne nous suffit jamais puisque notre coeur est fait pour Dieu seul et ne saurait être comblé que par Sa présence, Sa compagnie...

 

 

messe inondée 2

 

 

 

messe inondée 4

 

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UN LIVRE SUR LA SAINTE FAMILLE:

C’est la Sainte famille ; modèle de foi, d’espérance et de tendresse que l’Église catholique célèbre chaque année entre Noël et le jour de l’An.

Le cycle liturgique de Noël évoque cette famille en retenant certains passages des évangiles de Matthieu et Luc. Ces textes, que l’on appelle « récits de l’enfance », précédent la vie publique de Jésus et peuvent être considérés comme un protévangile (cf. Walter Kasper, La Miséricorde. Notion fondamentale de l’Évangile, Éditions des Béatitudes, 2015, p. 67-68). Je reviendrai dans un prochain blogue sur ce livre qui a marqué le pape François. Revenons à la Sainte Famille.

Une vie ordinaire

J’ai montré dans mon nouveau livre, Jésus raconté par ses proches, comment cette jeune famille menait une vie très simple à Nazareth, accomplissant avec amour les petites choses du quotidien. Leur existence ordinaire était cachée en Dieu. Les gens du village ne pouvaient se douter que cet enfant était le Messie attendu, le Fils de Dieu. Ses parents accueillaient ce mystère dans la foi, sans tout comprendre, coopérant d’une manière unique au grand mystère de la Rédemption.

Marie et Joseph ont donné à Jésus tout ce qu’il fallait pour qu’il grandisse en sagesse et en grâce. Marie veillait à la sanctification du foyer : transmission des valeurs bibliques, préparation des fêtes et des plats traditionnels, création d’une atmosphère d’amour, accueil des cousins de Jésus. Elle faisait de sa maison un petit temple.

Jésus demeurait soumis, docile, curieux ; il désirait apprendre. Tout jeune, quand il ne jouait pas au jardin avec ses cousins, il aimait venir dans l’atelier du charpentier. Joseph lui montrait comment manier les outils. Marie les regardait avec ce sourire bien à elle. Elle retenait tous ces moments dans son cœur pour les transformer en action de grâce. Sa prière toute simple se nourrissait à même sa vie quotidienne. Lire la suite sur le blogue de Jacques Gauthier

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Assyrian Restaurants Bombed in Qamishli, Syria


(Source:Assyrian International News Agency)
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Assyrian Restaurants Bombed in Qamishli, Syria


2015-12-30 23:19 GMT

 

One of the three Assyrian restaurant in Qamishli, Syria which were bombed today.Qamishli, Syria (AINA) -- Three explosions targeted Assyrian businesses in Qamishli, Syria today. The first was at the Miami restaurant and the second at the Gabriel restaurant, both owned by Assyrians. The restaurants are in an Assyrian neighborhood and commercial district in the center of the city. The explosions at Miami and Gabriel restaurants occurred within minutes of each other.

A third attack targeted the Youth Restaurant, in the western part of Qamishli, which is also owned by Assyrians.

 

Related: Attacks on Assyrians in Syria By ISIS and Other Muslim Groups

 

According to a spokesman from the Assyrian Democratic Organization, ten people were killed in the three blasts and dozens were injured.

No one has claimed responsibility for the attacks.

Au moins 16 personnes ont été tuées et 30 blessées mercredi soir dans des attentats contre trois restaurants de Kameshli, une ville du nord-est de la Syrie, selon un bilan fourni par une ONG, l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

Ces actions ont été revendiquées par l'organisation jihadiste État islamique (EI). «Des dizaines de morts et de blessés dans les attentats à la bombe commis par les combattants de l'État islamique dans diverses parties de Kameshli», a affirmé l'agence de presse Amaq, proche de l'EI.

Au moins l'une des explosions a été provoquée par un attentat suicide, a précisé à l'AFP à Beyrouth le directeur de l'OSDH, Rami Abdel Rahman.

Selon un correspondant de l'AFP à Kameshli, ville proche des frontières de la Turquie et de l'Irak, trois restaurants connus, bondés au moment des explosions, ont été visés. L'établissement où un kamikaze s'est fait exploser est situé dans le quartier chrétien.

 

DERNIÈRE MINUTE:

Selon un bilan provisoire, le triple attentat de Qamislo a fait 16 victimes et 25 blessés.
Prions pour les familles...
Des hommes, des femmes et des enfants morts par la folie humaine

 

 

 

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En la fête des Saints Innocents, on cherche des hommes !
 
 
 
 
 
bébé jésus
 
« Voilà la réflexion que je me suis faite, après avoir lu ce matin comme chaque prêtre catholique à l’Office des Lectures ce passage de l’Homélie de St Quodvultdeus (nom significatif!): «Un petit enfant vient de naître:c’est le grand Roi. (…) Quand les mages annoncent la naissance du Roi, Hérode est pris d’inquiétude; pour ne pas perdre son trône, il veut le tuer, alors que, s’il avait cru en lui, il aurait été ici-bas en sécurité, et dans la vraie vie, il aurait régné sans fin. Pourquoi as-tu peur, Hérode, en apprenant la naissance du Roi? Il ne vient pas pour te détrôner, mais pour triompher du diable. Et comme tu ne comprends pas cela, tu es inquiet et tu entres en fureur; et afin de perdre le seul enfant que tu cherches, tu es assez cruel pour en faire mourir un si grand nombre.»
 
 
Étais-tu un homme, Hérode, pour agir de la sorte? Étais-tu un homme, pour t’en prendre à l’Enfant Dieu, et afin de l’atteindre plus sûrement, de t’en prendre à tous ces petits innocents qui n’ont eu que le défaut d’avoir l’âge de Celui qui te faisait si peur? Quel homme en effet, d’une force et d’un courage tels qu’un tout petit venant au monde suffit à te rendre inquiet et en fureur!
 
Malheureusement, rien de nouveau sous le soleil. Aujourd’hui, on cherche des hommes, du genre masculin. On les cherche partout, et souvent en vain, dans le monde politique, certes, où ils sont absents depuis des décennies, mais aussi parfois dans la Sainte Église et dans nos familles.
 
De qui avez-vous donc peur, vous qui dirigez successivement notre pays, en laissant tuer chaque années ces foules innombrables de petits innocents dans le ventre de leur mère, et qui aujourd’hui cherchez à atteindre les vieillards pour leur offrir une soit-disant ‘heureuse mort’ (euthanasie)?
euthanasie
 
Vous, les Hérodes d’aujourd’hui, de quoi, de qui avez-vous donc peur? Votre pouvoir est-il si chancelant qu’il vous faille l’asseoir sur tant de cadavres de faibles et d’innocents?
 
Oui, nous cherchons des hommes dignes de ce nom, qui nous gouvernent en ne travaillant qu’à chercher le bien commun, celui de la vie étant le premier et le plus essentiel à promouvoir et à défendre. Mais de qui a-t-on peur aujourd’hui?
 
 
On s’inquiète, à juste titre, du respect de l’étranger et de l’exclu, et l’on appelle les fidèles à voter en conséquence, mais sans rappeler dans le même temps, ou si timidement, que le premier exclu est l’enfant dans le sein de sa mère ou le vieillard dépendant dans son lit d’hôpital et que cela, avant toute autre considération, doit orienter le devoir électoral d’un catholique.
 
Nous cherchons des hommes qui, sans crainte du martyr, c’est-à-dire du témoignage, enseignent à notre monde avec force que la vie est sacrée, qu’elle nous est donnée de Dieu et qu’en aucun cas on ne peut y porter atteinte. Il y a eu un homme, un vrai, qui était une femme, pour le clamer au monde il y a quelques années.
 
 
 
Mardi 29 DÉCEMBRE 2015. ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR:
 
 
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C’était un petit bout de femme, mais d’une force Mère Thérésa! Elle disait à Oslo en recevant le prix Nobel de la paix: «Le plus grand destructeur de la paix, aujourd’hui, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître.Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu’est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres?
 
 
 
L’Écriture déclare elle-même:‘Même si une mère peut oublier son enfant, moi, je ne vous oublierai pas. Je vous ai gardés dans la paume de ma main.’ Même si une mère pouvait oublier… Mais aujourd’hui on tue des millions d’enfants à naître. Et nous ne disons rien. On lit dans les journaux le nombre de ceux-ci ou de ceux-là qui sont tués, de tout ce qui est détruit, mais personne ne parle des millions de petits êtres qui ont été conçus avec la même vie que vous et moi, avec la vie de Dieu.
 
 
Mardi 29 DÉCEMBRE 2015. ELÉMENTS POUR MÉDITER, RÉFLÉCHIR, PRIER ET MIEUX AGIR:
 
 
Et nous ne disons rien. Nous l’admettons pour nous conformer aux vues des pays qui ontlégalisé l’avortement. Ces nations sont les plus pauvres. Elles ont peur des petits, elles ont peur de l’enfant à naître et cet enfant doit mourir; parce qu’elles ne veulent pas nourrir un enfant de plus, élever un enfant de plus, l’enfant doit mourir. (…)
 
 
C’est pourquoi, aujourd’hui, en présence de Sa Majesté et devant vous tous qui venez de pays différents, je vous le demande: prions tous d’avoir le courage de défendre l’enfant à naître et de donner à l’enfant la possibilité d’aimer et d’être aimé. Et je pense qu’ainsi – avec la grâce de Dieu – nous pourrons apporter la paix dans le monde.»
 
 
Enfin, nous cherchons des hommes au confessionnal.
 
 
Je parlais récemment avec un confrère de la grâce que faisait le St Père au monde, enl’Année sainte de la Miséricorde, de donner à tous les prêtres la faculté d’absoudre le péché grave de l’avortement et de relever de l’excommunication qu’il fait encourir ipso facto. Mais tous deux nous faisions la même constatation: nous n’avons jamais eu d’hommes venant s’accuser ce cette faute en Confession. Et pourtant!!!
 
Où sont-ils donc ces hommes lâches, qui souvent sont les coupables, plus que ces femmes qui contraintes et sans liberté, commettent un acte, qui certes est grave, mais dont elles ne sauraient porter la culpabilité, ayant déjà à porter toute leur vie le traumatisme qu’il engendre.
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Mais ces hommes, pères, maris, compagnons, ont-ils seulement conscience de ce qu’ils infligent à leur fille, épouse, compagne?
 
Ont-ils conscience de l’acte abominable qu’ils commettent? Du moins, s’ils en prennent conscience, qu’ils sachent que le Père des Miséricordes les attend à son tribunal d’amour qui est celui de la Confession et que les prêtres, ministres de cette divine Miséricorde, seront toujours là pour les aider à redevenir des hommes, en acceptant tout simplement de se reconnaître à nouveau enfants aimés de Dieu.
 
En ce jour, que les Saints Innocents, si petits et si faibles, aident les hommes à redevenir des hommes. C’est le souhait d’un prêtre pour la nouvelle Année civile. »
 
 
Source: "Le Salon Beige" . Texte de M. l’abbé François-Marie Blaïn du Poët, prêtre du diocèse d’Orléans, ordonné en 1993, pour les lecteurs du Salon Beige
 
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La fondatrice de l’antenne Femen au Brésil:

"j’ai été trahie par le féminisme".

Elle milite désormais pour la Vie !

 

ex-femen Sara Giromin

 

Sara Fernanda Giromin, connue sous le nom de Sara Winter, est la fondatrice de l’antenne Femen au Brésil. Trois ans après avoir été l’une des figures médiatiques du féminisme dans ce pays, elle change de camp, passe du côté pro-vie et publie un livre incendiaire intitulé ¡Perra, no! Siete veces fui traicionada por el feminismo (Salope, non! Sept fois j’ai été trahie par le féminisme) dans lequel elle dénonce le mouvement Femen qui l’a forcée à consommer des drogues, à avoir des relations sexuelles avec des étrangers, et même à être violée par une lesbienne.

 

 

livre ex-Femen vs féminisme

 

Ce changement d’attitude envers l’avortement et le féminisme a commencé pour Sara Giromin en octobre dernier, quand elle a reconnu son regret d’avoir avorté son premier bébé. Elle assure qu’avec la naissance de son second enfant, elle a ouvert les yeux concernant le droit à la vie.

Sara Giromin prie les femmes qui envisagent un avortement d’y réfléchir à deux fois.

«Je me repens d’avoir avorté et maintenant je demande pardon« , explique Sara Giromin, qui raconte : « depuis la naissance de mon bébé, il y a un mois, ma vie a pris un nouveau sens. Je vous écris pendant qu’il dort paisiblement sur mes genoux. C’est la meilleure sensation au monde « .

Elle demande aux femmes qui sont «désespérées et pensent avorter de bien réfléchir à cette question » et ajoute « cela me donne beaucoup de peine de l’avoir fait. Je ne veux pas la même chose pour vous ».

Sara Fernanda Giromin raconte dans son livre que le collectif féministe est une «secte» qui utilise les femmes comme des objets, favorise le lesbianisme et cache la pédophilie dans les rangs.

Elle prévient également que «les femmes qui sont impliquées dans ce mouvement sont de la matière au pire sens du mot. Elles sont des objets qui favorisent la haine contre la religion chrétienne, la haine contre les hommes et la haine contre l’équilibre des familles « .

Elle indique également qu’elle a été forcée de renoncer à son hétérosexualité, afin d’y être respectée. « Les femmes lesbiennes et bisexuelles ont beaucoup plus de voix et de respect au sein du mouvement, de sorte que, dans la recherche de la reconnaissance de mon combat, j’ai détruit ma condition sexuelle« , déplore l’ex-Femen.

Sara Giromin a annoncé qu’elle verserait un pourcentage des bénéfices provenant de la vente de son livre à des causes pro-vie et a même commencé à donner des conférences contre le féminisme, l’idéologie du genre et le marxisme culturel.


(Source M.P.I)

 

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On the occasion of the New Year and Christmas holidays, with the blessings of His Holiness Karekin II, Supreme Patriarch and Catholicos of All Armenians; the Mother See of Holy Etchmiadzin has transferred one hundred thousand US dollars to the Armenian Diocese of Damascus for the Armenian schools in Syria.

 
À l'occasion de la nouvelle année et des vacances de Noël, avec la bénédiction de sa sainteté karékine II, Patriarche Suprême et catholicos de tous les Arméniens ; le Saint-siège d'etchmiadzin a transféré cent mille dollars américains au Diocèse Arménien de Damas pour l'aide des écoles arméniennes en Syrie.

 

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INVITATIONS:

 

 

 
 
INVITATION
Paris, conférence-témoignage, Espace Bernanos, 6 janvier, 19h

 

"Vous aviez dit que j'étais perdu..."


Madame, Monsieur,
Chers amis,

Trois destins, trois souffrances, une même espérance, celle qui a toujours le dernier mot quand on se croit perdu... Je recevrai le 6 janvier à l'Espace Bernanos trois personnalités atteintes dans leur âme et leur chair, qui ont livré dans un livre le témoignage de leur épreuve : l'une a failli mourir, l'autre a failli voir sa femme mourir, la dernière a failli ne pas pouvoir adopter un enfant qui aurait dû mourir : 

Samuel Pruvot (Peau rouge, Journal de guerre d'un grand malade), 
Bernard Noirot-Nérin (Vous aviez dit que j'allais mourir), 
Clotilde Noël (Tombée du nid). 

Comment vivre l'épreuve de la maladie, de la dépendance, de l'abandon ? A travers ces trois témoignages, qui peuvent rejoindre des expériences plus personnelles, nous découvrons la puissance du renouveau dans le dialogue du coeur et de l'âme. Trois belles histoires de vie à méditer dans le temps de Noël.

Je serai heureux de vous retrouver à l'Espace Bernanos à l'occasion de cette soirée exceptionnelle.

 

François Billot de Lochner
Président de la Fondation de Service politique


 
Espace Georges-Bernanos, 4 rue du Havre Paris IXe
MERCREDI 6 JANVIER 2015, 19h-21h (entrée libre, PAF conseillée 5 €)

Pour en savoir plus : 
Soirée du 6 janvier : "Vous aviez dit que j'étais perdu..."


INVITEZ VOS AMIS !

 
 
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INVITATION
Paris, conférence-témoignage, Espace Bernanos, 6 janvier, 19h

 

"Vous aviez dit que j'étais perdu..."


Madame, Monsieur,
Chers amis,

Trois destins, trois souffrances, une même espérance, celle qui a toujours le dernier mot quand on se croit perdu... Je recevrai le 6 janvier à l'Espace Bernanos trois personnalités atteintes dans leur âme et leur chair, qui ont livré dans un livre le témoignage de leur épreuve : l'une a failli mourir, l'autre a failli voir sa femme mourir, la dernière a failli ne pas pouvoir adopter un enfant qui aurait dû mourir : 

Samuel Pruvot (Peau rouge, Journal de guerre d'un grand malade), 
Bernard Noirot-Nérin (Vous aviez dit que j'allais mourir), 
Clotilde Noël (Tombée du nid). 

Comment vivre l'épreuve de la maladie, de la dépendance, de l'abandon ? A travers ces trois témoignages, qui peuvent rejoindre des expériences plus personnelles, nous découvrons la puissance du renouveau dans le dialogue du coeur et de l'âme. Trois belles histoires de vie à méditer dans le temps de Noël.

Je serai heureux de vous retrouver à l'Espace Bernanos à l'occasion de cette soirée exceptionnelle.

 

François Billot de Lochner
Président de la Fondation de Service politique


 
Espace Georges-Bernanos, 4 rue du Havre Paris IXe
MERCREDI 6 JANVIER 2015, 19h-21h (entrée libre, PAF conseillée 5 €)

Pour en savoir plus : 
Soirée du 6 janvier : "Vous aviez dit que j'étais perdu..."


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What, my friends, do we think love is if not fire? And what is sin if not rust? Hence it is said that 'many sins are forgiven her because she has loved much' (Lk. 7:47). This means she has completely burned away the rust of sin because she is mightily aflame with the fire of love. The more the heart of a sinner is consumed by the fire of love, the more fully is the rust of sin consumed. (+ St. Gregory the Great +) Quoi, mes amis, qu'est-ce que  l'amour s'il  n'est pas de feu ? Et qu'est-ce que le péché si ce n'est pas une rouille ? D'où il est dit que "ses nombreux péchés lui ont été pardonnés parce qu' elle a beaucoup aimé" (Luc. 7:47). Cela signifie qu'elle a complètement brûlé la rouille du péché, parce qu'elle est embrasé du feu de l'amour. Plus le cœur d'un pécheur est  embrasé par le feu de l'amour,  plus  la rouille du péché sera pleinement consumé. (+ St. Grégoire le grand +)

What, my friends, do we think love is if not fire? And what is sin if not rust? Hence it is said that 'many sins are forgiven her because she has loved much' (Lk. 7:47). This means she has completely burned away the rust of sin because she is mightily aflame with the fire of love. The more the heart of a sinner is consumed by the fire of love, the more fully is the rust of sin consumed. (+ St. Gregory the Great +) Quoi, mes amis, qu'est-ce que l'amour s'il n'est pas de feu ? Et qu'est-ce que le péché si ce n'est pas une rouille ? D'où il est dit que "ses nombreux péchés lui ont été pardonnés parce qu' elle a beaucoup aimé" (Luc. 7:47). Cela signifie qu'elle a complètement brûlé la rouille du péché, parce qu'elle est embrasé du feu de l'amour. Plus le cœur d'un pécheur est embrasé par le feu de l'amour, plus la rouille du péché sera pleinement consumé. (+ St. Grégoire le grand +)

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 1,1-18.

Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu.
Il était au commencement auprès de Dieu.
C’est par lui que tout est venu à l’existence, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui.
En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ;
la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée.
Il y eut un homme envoyé par Dieu ; son nom était Jean.
Il est venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière, afin que tous croient par lui.
Cet homme n’était pas la Lumière, mais il était là pour rendre témoignage à la Lumière.
Le Verbe était la vraie Lumière, qui éclaire tout homme en venant dans le monde.
Il était dans le monde, et le monde était venu par lui à l’existence, mais le monde ne l’a pas reconnu.
Il est venu chez lui, et les siens ne l’ont pas reçu.
Mais à tous ceux qui l’ont reçu, il a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu, eux qui croient en son nom.
Ils ne sont pas nés du sang, ni d’une volonté charnelle, ni d’une volonté d’homme : ils sont nés de Dieu.
Et le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire, la gloire qu’il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité.
Jean le Baptiste lui rend témoignage en proclamant : « C’est de lui que j’ai dit : Celui qui vient derrière moi est passé devant moi, car avant moi il était. »
Tous nous avons eu part à sa plénitude, nous avons reçu grâce après grâce ;
car la Loi fut donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ.
Dieu, personne ne l’a jamais vu ; le Fils unique, lui qui est Dieu, lui qui est dans le sein du Père, c’est lui qui l’a fait connaître.

The best moments on earth are those during which we meditate upon heavenly things in general, when we recognize or defend the truth, that heavenly dweller and denizen. Only then do we truly live. ( St John of Kronstadt, "My Life in Christ")

The best moments on earth are those during which we meditate upon heavenly things in general, when we recognize or defend the truth, that heavenly dweller and denizen. Only then do we truly live. ( St John of Kronstadt, "My Life in Christ")

 Par Benoît XVI,

Pape Emérite de l'Eglise de Rome,le 31 décembre 2008 

 

Chers frères et sœurs !

 

L'année qui se termine et celle qui s'annonce à l'horizon sont placées toutes les deux sous le regard bénissant de la Très Sainte Mère de Dieu. [...]

 

Ce soir, tout nous invite donc à tourner le regard vers Celle qui « reçut le Verbe de Dieu à la fois dans son cœur et dans son corps, et présenta au monde la vie »

et qui précisément pour cela

...« est reconnue et honorée comme la véritable Mère de Dieu » (...).

Le Noël du Christ, que nous commémorons en ces jours, est entièrement parcouru par la lumière de Marie et, alors que dans la crèche nous nous arrêtons pour contempler l'Enfant, le regard ne peut que se tourner avec reconnaissance également vers la Mère, qui par son oui a rendu possible le don de la Rédemption.

Voilà pourquoi le temps de Noël contient en lui une profonde connotation mariale ; la naissance de Jésus, homme-Dieu et la maternité divine de Marie sont des réalités indissociables entre elles ; le mystère de Marie et le mystère du Fils unique de Dieu qui se fait homme, forment un unique mystère, l'un aidant à mieux comprendre l'autre. [...]

 

Ce soir, nous voulons placer entre les mains de la Mère céleste de Dieu notre hymne choral d'action de grâces au Seigneur pour les bienfaits qu'au cours des douze mois écoulés il nous a largement accordés.

Le premier sentiment, qui naît ce soir spontanément dans notre cœur, est précisément de louange et d'action de grâces à Celui qui nous fait don du temps, précieuse opportunité pour accomplir le bien ; nous y joignons la requête de pardon pour ne pas l'avoir peut-être toujours employé utilement.

Je suis content de partager cette action de grâces avec vous, chers frères et sœurs, qui représentez notre communauté diocésaine, à laquelle j'adresse mon salut cordial, en l'étendant à tous les habitants de Rome.

J'adresse un salut particulier au cardinal-vicaire et au maire, qui ont tous le deux commencé leurs missions différentes cette année - l'une spirituelle et religieuse, l'autre civile et administrative - au service de notre ville. Mon salut s'étend aux évêques auxiliaires, aux prêtres, aux personnes consacrées et aux nombreux fidèles laïcs ici rassemblés, ainsi qu'aux autorités présentes.

En venant au monde, le Verbe éternel du Père nous a révélé la proximité de Dieu et la vérité ultime sur l'homme et sur son destin éternel ; il est venu demeurer avec nous pour être notre soutien irremplaçable, en particulier dans les inévitables difficultés de chaque jour.

Et ce soir la Vierge elle-même nous rappelle quel grand don Jésus nous a fait avec sa naissance, quel trésor précieux constitue pour nous son Incarnation.

Dans son Noël, Jésus vient offrir sa Parole comme une lampe qui guide nos pas ; il vient s'offrir lui-même et nous devons savoir rendre raison de Lui, notre espérance certaine, dans notre existence quotidienne, conscients que

« le mystère de l'homme ne s'éclaire vraiment que dans le mystère du Verbe incarné »

(Gaudium et spes, n. 22).

 

Chers frères et sœurs, [...]

Même si apparaissent à l'horizon de nombreuses ombres sur notre avenir, nous ne devons pas avoir peur.

Notre grande espérance de croyants est la vie éternelle dans la communion du Christ et de toute la famille de Dieu.

Cette grande espérance nous donne la force d'affronter et de surmonter les difficultés de la vie dans ce monde.

La présence maternelle de Marie nous assure ce soir que Dieu ne nous abandonne jamais, si nous nous confions à Lui et si nous suivons ses enseignements.

Nous présentons donc à Marie, avec une affection et une confiance filiales, les attentes et les espérances, ainsi que les peurs et les difficultés qui habitent notre cœur, tandis que nous prenons congé de cette année et que nous nous apprêtons à accueillir la nouvelle année.

Que la Vierge Marie nous offre l'enfant couché dans la crèche comme notre espérance certaine.

Emplis de confiance, nous pourrons alors chanter en conclusion du >>> Te Deum :

« In te, Domine, speravi : non confundar in aeternum - Tu es Seigneur mon espérance, jamais je ne serai déçu ! ».

Oui Seigneur, en Toi nous plaçons notre espérance, aujourd'hui et à jamais ; Tu es notre espérance. Amen !

Programme de ces prochaines semaines au

Monastère Syriaque de la Bienheureuse Vierge Marie, Mère de Miséricorde:

Program in the coming weeks

Syriac Monastery of the Blessed Virgin Mary, Mother of Mercy:

"Each breath we take is a gift. Each moment of life is a grace." - Thomas Merton
 



*Le 31 Décembre:

19h, "réveillon de la Saint Sylvestre" suivit d'une veillée de prière dans la nuit du 31 au 1er.

* 31 December:

19h, "Eve New Year's Eve" followed by a prayer vigil on the night of 31 to 1.

 

*1er Janvier:

, 10h30, Quadisha Qurbana (Offrande de la Ste Messe) pour placer la nouvelle année sous la Protection de de la Mère de Miséricorde. Repas fraternel et reception des fidèles de 15h à 18h . Soupé à 19h suivit de Soutoro (Office des Complies).

*January 1st:

, 10:30 Qurbana Qadisha (the Holy Mass Offering) to place the New Year under the protection of the Mother of Mercy. Fraternal meal and reception of the faithful from 15h to 18h. Supper at 19h followed by Soutoro (Office of Compline).

 

*Dimanche 3 Janvier:

 Solennité de l'Epiphanie-Théopanie

(Le Dimanche le plus proche du 6 Janvier puisque le jour même n'est pas chômé)

10h30, Quadisha Qurban (Offrande de la Ste Messe), Grande bénédiction de l'eau.Repas fraternel. De 15h à 18h et plus, réception des fidèles. Soupé à 19h suivit de Soutoro (Office des Complies)

* Sunday, January 3: Solemnity of the Epiphany-Epiphany

(The Sunday closest to January 6 as the same day is not busy)

10:30 Quadisha Qurban (Offering of the Holy Mass), Great Blessing of Brotherlyeau.Repas. From 15h to 18h and, reception of the faithful. Supper at 19h followed by Soutoro (Office of Compline)

NOËL AU MONASTÈRE SYRIAQUE DANS LA QUIÉTUDE D'UNE CAMPAGNE NORMANDE , POURQUOI PAS ? CHRISTMAS AT MONASTERY SYRIAC IN THE TRANQUILITY OF NORMAN CAMPAIGN, WHY NOT?

Inscriptions:


Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,

Brévilly

61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58

ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonées)

Adresse courriels: asstradsyrfr@laposte.net


 

 

 

*l'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise

Orthodoxe-Orientale

 

Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité

des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien

et la paix du monde.

 

Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil 

des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles , 

nous n'exigeons aucun fixe.

Les offrandes sont libres et non 

obligatoires

Toute offrande fait cependant l'objet d'une 

déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre 

revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F 

 
NOËL AU MONASTÈRE SYRIAQUE DANS LA QUIÉTUDE D'UNE CAMPAGNE NORMANDE , POURQUOI PAS ? CHRISTMAS AT MONASTERY SYRIAC IN THE TRANQUILITY OF NORMAN CAMPAIGN, WHY NOT?
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