Never attach importance to anything earthly and passing. Instead, take care for your spiritual union with God.
(Elder Amphilochios (Makris) )
Lettre de saint Paul Apôtre aux Philippiens 4,4-9.
Frères, soyez toujours joyeux dans le Seigneur ; je le répète : soyez joyeux.
Que votre modération soit connue de tous les hommes : le Seigneur est proche.
Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute circonstance faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâce.
Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées dans le Christ Jésus.
Au reste, frères, que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui est de bonne renommée, s'il est quelque vertu et s'il est quelque louange, que ce soit là l'objet de vos pensées ;
ce que vous avez appris et reçu, ce que vous m'avez entendu dire et vu faire à moi-même, pratiquez-le, et le Dieu de paix sera avec vous.
Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 18,1-5.
En ce temps-là, les disciples s'approchèrent de Jésus, et lui dirent : Qui donc est le plus grand dans le royaume des cieux ?
Alors ayant fait venir un enfant, il le plaça au milieu d'eux
et dit : Je vous le dis, en vérité, si vous ne changez et ne devenez comme les enfants, vous n'entrerez point dans le royaume des cieux.
Celui donc qui se fera humble comme ce petit enfant est le plus grand dans le royaume des cieux.
Et celui qui reçoit en mon nom un enfant comme celui-ci, c'est moi qu'il reçoit.
J'aime les pécheurs, mais ils détestent leurs œuvres, et ne les méprise pas pour leurs fautes, sinon vous serez tentés par la même chose. Souvenez-vous que vous partagez la nature terrestre d'Adam et que vous êtes vêtu de ses infirmité
(+ St. Isaac le syrien +)
Love sinners, but hate their works, and do not despise them for their faults, lest you be tempted by the same. Remember that you share the earthly nature of Adam and that you are clothed with his infirmity
+ St. Isaac the Syrian +
(staretz Amphilochios (Makris))
Du sein de l'Hadès cria Jonas: / À la fosse rachète ma vie! / Et nous mêmes, nous clamons: / Aie pitié de nous, Sauveur tout-puissant.
Par le rayonnement de tes vertus / et par l'éclat des témoignages resplendissants, / tu illumines l'entière création, / Ami intime du Soleil levant qu'est le Christ.
D'une stérile, en sa vieillesse, tu es né; / aussi, par tes prières, Bienheureux, / renouvelle par la beauté du repentir / mon être vieillissant dans le péché.
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit
Chandelier de la Lumière sans déclin, / divin Prophète, par tes prières viens rallumer / la lampe éteinte de mon cœur / et fais que j'aie part à la divine clarté.
Maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amen
Comme pluie sur le regain / le Verbe est descendu en ton sein: / Vierge toute-sainte, supplie-le / d'assécher les flots de mes immenses forfaits.
« Autant que je le peux, je conseille aux âmes la pratique de la main tendue, de la main tendue à Dieu pour recevoir.
Ce n'est pas que je veuille exclure l'effort de la volonté personnelle, ou la continuité et la vigilance qui l'assurent.
Mais je crois que tout en nous se fait par la main de Dieu et qu'il est désireux qu'on le sache.
Toute vertu, toute pureté, toute fidélité nous vient de Lui.
Et peut-être la persévérance en nous de certaines racines d'impatience ou de spontanéité rapide n'est-elle permise de notre Dieu qu'afin que nous soyons réduits à nous replier vers Lui, et à lui demander, humblement, filialement, ce qu'il ne nous donne pas de conquérir...
Je rappelle volontiers aux âmes contemplatives, avec la parole de saint Paul :
-qui spiritu Dei aguntur ii sunt filii Dei (1), la prière que nous adressons au Seigneur présent, un instant avant la communion :
-Fac me tuis semper inhaerere mandatis et a te numquam separari permittas (2).
Nous sollicitons ainsi de Lui, non pas seulement de n'être pas séparés de Lui dans l'éternité, - mais encore la grâce de n'être jamais séparés de Lui, en aucun instant ni aucune œuvre de la vie présente.
Il n'y a rien au monde que Lui. Nous n'avons rien à regarder ici-bas que Lui.
Ne nous laissons distraire ni divertir par quoi que ce soit au monde ; cela est possible. Dieu est esprit :
-Il est si souple, si pur, si fluide, qu'Il peut se répandre sur tous les instants de notre vie, comme un parfum ; pourquoi ne serions-nous pas sans cesse attentifs à Celui qui ne s'éloigne jamais ? »
1. tous ceux qui sont menés par l’Esprit de Dieu, ceux-là sont fils de Dieu. (Rm 8, 14) - 2. faites moi demeurer toujours attaché à Vos commandements, et ne permettez pas que je sois jamais séparé de Vous. (Ordo Missae, Agnus Dei).
Dom Delatte (1848-1937), in "Dom Delatte, Abbé de Solesmes", par Dom Augustin Savaton (1878-1965), abbé de Saint-Paul de Wisques, Éditions d'Histoire et d'Art, Plon, 1954.
SAINT(S) DU JOUR:
Sainte Marcelle

Lorsque les troupes des barbares goths marchèrent sur Rome en 410, tous s’enfuirent mais elle, âgée de 85 ans resta.
Les soldats d’Alaric la battirent et elle mourut de ses blessures.
Saints Martyrs et Anargyres Cyr et Jean, et les Saintes Martyres Athanasie et ses filles: Théodote, Théoctiste et Eudoxie
Ensemble ils ont du glaive connu le tranchant,
ensemble font miracles, depuis, Cyr et Jean.
Sous le glaive, de même, une excellente mère
meurt avec ses trois filles pour le Dieu et Père.
Dans la main des bourreaux le fer dut raccourcir,
le trente et un janvier, les martyrs Jean et Cyr.
Par leurs saintes prières, ô notre Dieu, aie pitié de nous et sauve-nous. Amen.
Tropaire, t. 5
Tu nous as donné comme invincible rempart * les miracles de tes saints Martyrs: * par leurs prières, ô Christ notre Dieu, * ruine les complots des païens, * affermis le règne de la foi, * dans ton unique bonté et ton amour pour les hommes.
Kondakion, t. 3
De la divine grâce ayant reçu * le don des miracles, saints Martyrs, * vous faites sans cesse merveille en retranchant nos passions * par votre opération invisible, * Cyr et Jean, vous les thaumaturges, les médecins célestes.
Ikos
Vous étant vous-mêmes offerts à votre Dieu, * généreux et saints Martyrs, * vous avez souffert toute l'épreuve des tourments * et pour lui subi la mort de tout cœur; * après votre fin vous faites jaillir * les divines grâces pour tous ceux * qu'atteignent les diverses maladies * et qu'affligent de nombreux maux; * hélas! je suis l'un de ceux-là, * le premier, malheureux que je suis! * en mon âme et mon corps je souffre de cruelles plaies * et dans ma foi je vous crie: * guérissez-moi, vous les thaumaturges, les médecins célestes.
Exapostilaire (t. 2)
Elite des Anargyres, divins astres de l'univers, * en champions de la vérité vous avez paru, saints Martyrs; * ayant reçu de Dieu la compassion, * t vous traitez mystérieusemenceux qui souffrent en leur âme et leur corps; * aussi nous glorifions votre mémoire porteuse de clarté, * illustres théophores et thaumaturges Cyr et Jean.
(t. 3)
Thaumaturges resplendissants, * guérissez les maladies de nos âmes et de nos corps, * vous qui avez reçu du Seigneur, * Cyr et Jean, la grâce d'opérer des guérisons.
They are counted among the Unmercenary Physicians. Cyrus was a physician living in
John was a soldier from
They heard of the arrest of a Christian lady named Athanasia and her daughters Theoctista and Eudoxia. Concerned that the tender maidens might renounce Christ under torture, the two monks sought them out to encourage them in their confession of the Faith. They themselves were captured, and the governor decided to have them tortured in front of the women, assuming that this would break their spirit. Instead, Cyrus and John bore their sufferings so patiently and boldly that the women were only strengthened in their resolve. Seeing that he had failed, the governor had all five of them beheaded. Their bodies were placed in the
In the fifth century the relics of Sts Cyrus and John were enshrined in a church at Aboukir near
Saint Cyr était un pieux Chrétien d'Alexandrie, qui exerçait la profession de médecin et guérissait en même temps beaucoup d'âmes en les conduisant au Christ. Il disait à ceux qui venaient le trouver: «Si vous voulez ne pas tomber malades, gardez-vous du péché. Car la maladie est le plus souvent une conséquence du péché». Loin de se fier à la science médicale et aux remèdes, il guérissait les corps par la prière et ramenait à la vie les âmes égarées dans l'idolâtrie en leur prêchant la parole de Dieu. Constatant les succès qu'il remportait, des païens le dénoncèrent au gouverneur de la ville, homme dur et cruel, qui avait été chargé par l'empereur Dioclétien de pourchasser les Chrétiens (vers 303). Sur le point d'être arrêté, Cyr réussit à s'enfuir et parvint jusqu'aux confins de l'Arabie, où il devint moine et acquit une grande renommée par les nombreuses guérisons qu'il accomplissait avec le seul signe de la Croix.
La réputation de Cyr parvint alors jusqu'à Jean, soldat d'illustre naissance originaire d'Edesse (Mésopotamie), qui décida alors d'abandonner l'armée terrestre pour entrer dans la milice du Roi céleste. Renonçant à toute richesse et gloire de ce monde, il se rendit à Jérusalem, puis retrouva Cyr en Egypte où il devint son disciple et collaborateur, tant dans la pratique des vertus que dans les Miracles. Comme la persécution s'étendait, ils apprirent que le gouverneur Syrianos, avait fait arrêter une chrétienne de Canope, Athanasie, et ses trois filles: Théoctiste, Théodote et Eudoxie, âgées respectivement de quinze ans, treize ans et onze ans. Les Saints, craignant que la faiblesse de la nature féminine et le jeune âge des trois fillettes ne les fassent renier le Christ devant la torture, décidèrent de se rendre à Canope pour les encourager. Ils parvinrent à se glisser dans la prison, mais furent découverts et conduits sans retard devant Syrianos. Celui-ci, pensant que le spectacle de leurs tourments allait faire fléchir les quatre femmes, décida de soumettre Cyr et Jean à la torture devant elles. Mais les deux athlètes restaient inébranlables et communiquèrent aux Saintes Martyres leur mâle bravoure, si bien qu'elles endurèrent elles aussi la torture sans fléchir. Le gouverneur donna alors l'ordre de les décapiter, et tous marchèrent ensemble d'un pas assuré vers le lieu de l'exécution. Des Chrétiens vinrent recueillir leurs corps et les déposèrent dans l'église de Saint-Marc à Alexandrie.
Au Ve siècle, Saint Cyrille d'Alexandrie (9 juin), voulant faire disparaître le culte idolâtre d'Isis à Menouhli (Aboukir), y fit transférer les reliques de Saints Cyr et Jean1. Les miracles et les guérisons se multiplièrent, et ce sanctuaire devint un des plus grands lieux de pèlerinage du monde chrétien. Au VIIe siècle, Saint Sophrone de Jérusalem fut guéri d'une maladie des yeux par une apparition des deux Saints: Cyr lui guérit un oeil avec le signe de la Croix, et peu après Jean lui rendit complètement la vue en lui baisant l'autre oeil. En signe de reconnaissance, saint Sophrone écrivit une longue relation de leurs Miracles. Saints Cyr et Jean sont toujours invoqués efficacement par les Chrétiens Orthodoxes parmi les Saints Anargyres
http://calendrier.egliseorthodoxe.com/…/stsjanv…/janv31.html
SIGNEZ LA PETITION POUR LA LIBERATION DES DEUX EVÊQUES QUIDNAPES EN SYRIE /PETITION ON THE ABDUCTION OF THE TWO HIERARCHS OF ALEPPO SYRIAToujours aucune nouvelle d'eux....Nous espérons...
Le 22 avril 2013, Mgr Yohanna (Jean) Ibrahim, archevêque syriaque orthodoxe d’Alep, et Mgr Boulos (Paul) Yazigi, archevêque grec orthodoxe de la même ville, étaient enlevés à l’ouest d’Alep en Syrie. Les deux évêques s’étaient rendus en voiture,fraternellement, avec un chauffeur, dans cette région pour tenter de négocier la libération de deux prêtres enlevés en février précédent : le Père Michel Kayyal (catholique arménien) le le Père Maher Mahfouz (grec-orthodoxe). C’est l’un des enlèvements les plus étranges en période de guerre puisqu’il n’y a eu aucune revendication. Même les médias ne s’intéressent pas beaucoup à cette affaire, jugée peu sulfureuse et surtout incompréhensible. Pour cette raison, le site Internet grec Pemptousia met en ligne une pétition (en anglais) pour la libération de deux hiérarques. Pour la signer,pétition relayée en France par Orthodoxie.com et nous-même cliquez ICI !
Merci.
N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et
fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"
ou terroristesen tous genres !
Prions sans relâche pour que le
Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...
Let us not forget the bishops, priests and faithful
Christians held by "Islamists" or terrorists of all
kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.
Pray for their release ...

Croix de Jésus, armure des chrétiens, / tu donnes aux rois victoire et tu renverses les démons: / à ceux qui se prosternent devant toi / donne ta protection et la grande miséricorde.
Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amîn
Tous ceux qui d'un cœur ardent / se prosternent pieusement / devant le croix et les souffrances de ton Fils, / fais qu'ils deviennent, ô Mère de Dieu, / les citoyens du Paradis / et les héritiers de la gloire des cieux.
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Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/
maliath taibootho/ full of grace/
moran a'amekh - the Lord is with thee/
mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/
wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/
O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/
yoldath aloho/ Mother of God/
saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/
nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./
Amîn
Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.
PLACE FONDAMENTALE DE MARIE DANS LA SPIRITUALITE CHRETIENNE
Marie est fondamentale, enseigne St Ignace d'Antioche, parce qu'elle a donné au Verbe de Dieu
un vrai corps par lequel le Verve incarné:Jésus
est « réellement », né, persécuté,
crucifié, ressuscité.
Au 2° siècle, les opposants au christianisme ridiculisaient l'affirmation qu'un Dieu se soit fait homme, et de plus, crucifié. Les premiers chrétiens ont du affronter cette mentalité.
A l'intérieur même de l'Eglise, se développent les hérésies pour réduire le scandale de l'Incarnation et de l'abaissement de Dieu :
Ce n'est qu'une réalité spirituelle, disent les gnostiques,
Tout ce qui est abaissement n'est qu'une apparence, disent les docètes.
Pour d'autres, il n'y a plus du tout d'abaissement de Dieu, Jésus est un homme, lors du baptême l'Esprit de Dieu vient en lui et sur la croix, Dieu l'abandonne, il meurt simplement en homme, ce n'est pas Dieu qui assume le refus et la mort, en pardonnant.
La crise docète
Le paradoxe chrétien de l'humanisation de Dieu, le Verbe s'est fait chair, ne fut pas acceptée de ceux qui étaient préoccupés de sauvegarder la transcendance de Dieu et qui regardaient la création avec pessimisme: tout ce qui est indigne de Dieu est un scandale insupportable, c'est une promiscuité dont il faut protéger Dieu à tout prix. Ils furent appelés "Docètes", du verbe grec dokein = apparaître, parce qu'ils inventèrent la doctrine selon laquelle le Christ n'aurait pas vraiment assumé notre condition mortelle, mais seulement son apparence.
La réponse d'Ignace
Saint Ignace d'Antioche devine le point faible et aussi la gravité du courant docète. La transcendance de Dieu n'est pas entamée par l'incarnation, parce que la création, et en particulier la création humaine est une bonne chose dès lors qu'elle vient de Dieu. Non seulement, mais c'est à travers elle que Dieu se révèle, nous atteint et nous sauve. Le salut professé par l'Église n'est pas en effet une révélation désincarnée des mystères célestes, comme les Docètes le pensaient, mais elle comporte des faits historiques et concrets et des actions vraies et humaines du Christ, Dieu incarné par Marie. En autres termes : Jésus n'était pas un homme-ombre, un fantôme ni avant ni après la résurrection.
Dans ce contexte, Ignace ne manque pas d'ironie quand il dit aux Docètes: "Si c'est une apparence tout ce qui a été fait par le Seigneur, moi aussi je suis en apparence enchaîné" (A Smyrne 4,2). Au-delà de l'ironie, Ignace confirme les faits et les événements historiques qui ont scandé l'histoire terrestre du Christ depuis sa conception virginale et sa naissance.
Marie la Mère vierge: garantie du Salut dans le Christ
« Soyez donc sourds quand on vous parle d'autre chose que de Jésus-Christ, de la race de David, [fils] de Marie, qui est véritablement né, qui a mangé et qui a bu, qui a été véritablement persécuté sous Ponce Pilate, qui a été véritablement crucifié, et est mort, aux regards du ciel, de la terre et des enfers, qui est aussi véritablement ressuscité d'entre les morts. C'est son Père qui l'a ressuscité... »
(Saint Ignace d'Antioche, Lettre aux Tralliens, IX[1])
Descendant de David, l'important n'est pas tellement David, mais la réalité de l'humanité du Christ qui n'est pas une apparition, un fantôme, un esprit.
Ignace n'utilise pas un titre pour dire Marie, il dit simplement "Marie" parce que ce qui l'intéresse c'est Marie en tant qu'être humain qui a existé dans l'histoire.
Marie est fondamentale parce qu'elle a donné à Jésus un vrai corps par lequel Jésus est « réellement », né, persécuté, crucifié, ressuscité.
Dans le texte cité ci-dessus, saint Ignace répète quatre fois l'adverbe "véritablement " :
- La réalité historique du Christ est le vrai salut ;
- La vraie maternité de Marie ou la naissance biologique du Seigneur de Marie sont la garantie de l'incarnation du fils de Dieu et ensuite la garantie du Salut;
- Evidemment la naissance biologique du Christ est la garantie de salut si le Christ est vraiment le Fils de Dieu fait homme. Ainsi notre divinisation peut avoir lieu.
S'explique aussi sa fermeté doctrinale vis-à-vis de la conception virginale:
« Fils de Dieu selon la volonté et la puissance de Dieu, issu vraiment d'une Vierge »
(Saint Ignace d'Antioche, Lettre à Smyrne 1: SC 10, 132).
La Vierge divinement enceinte et enceinte de Dieu est donc la garantie qu'il est vraiment le Fils de Dieu et nous a ensuite vraiment sauvés et c'est-à-dire divinisé. La conception virginale signifie en effet que Jésus préexiste à sa naissance selon la chair.
Il y a, au sujet de tout ce qui a été dit jusqu'à présent, un texte qu'on pourrait définir comme un fragment d'hymne liturgique, et qui fait une synthèse théologique de tous les aspects de la réalité historique-salvatrice du Seigneur:
« Il n'y a qu'un seul médecin,
charnel et spirituel,
engendré et inengendré,
venu en chair, Dieu
en la mort vie véritable,
[né] de Marie et [né] de Dieu,
d'abord passible et maintenant impassible,
Jésus-Christ notre Seigneur. »
(Saint Ignace d'Antioche, Lettre aux Ephésiens VII,2[2])
Dans la succession de ses actions, de l'Incarnation et jusqu'au-delà de la Résurrection, il est "de Dieu", et il reste "de Marie". Marie est une présence immanente dans le mystère qui sauve parce qu'elle est la source de l'élément humain avec lequel Dieu sauve l'homme. Ignace professe une communion mystérieuse entre Dieu et Marie en vue du Christ, il suggère une idée presque sponsale.
([1] Texte français de Th Camelot, SC 10, Cerf 1968, p.119
[2] Texte français de Th. Camelot, SC 10, Cerf 1968, p.75-77
Source : http://www.mariedenazareth.com/)
Témoignage:Noël en Irak sous la menace islamiste...
C’est un mélange subtil de joie collective, de célébrations religieuses, de grandes fêtes et d’une inquiétude qui noircit l’avenir incertain de centaines de milliers de personnes. Retour sur dix jours dans le Kurdistan irakien.
Après un transit par la Turquie, je suis arrivé à Erbil, capitale du Kurdistan irakien, dans la nuit du 23 au 24 décembre 2016. Dans ce gouvernorat, les chrétiens vivent principalement à Ankawa, dans la banlieue d’Erbil. Ankawa est à l’origine un de ces nombreux villages chrétiens qui jalonnent le nord de l’Irak, à proximité des grandes villes ou dans des zones plus reculées dans les montagnes. De quelques milliers d’âmes au début de la guerre américaine de 2003, Ankawa a rapidement grossi, en accueillant les déplacés chrétiens par différentes vagues. Après ceux fuyant les violences confessionnelles de Bagdad et du sud de l’Irak dans les années 2000, l’arrivée des chrétiens ayant échappé à l’organisation de l’État islamique en 2014, a probablement marqué le tournant le plus significatif dans l’esprit des populations locales. Aujourd’hui, près de 100 000 chrétiens vivent ici, dont plusieurs dizaines de milliers de déplacés. Une partie seulement a pu trouver un hébergement ailleurs que dans les camps de réfugiés.
La messe de Noël
À mon arrivée, la principale question qui se posait dans la ville était celle de savoir à quelle messe chacun comptait aller. Entre celles du soir, celles de minuit, et les différentes du matin, le choix était vaste. Le lendemain, chacun racontait la sienne, non sans rappeler que tel ou tel prêtre y était présent.

Dans les jours qui suivent, la tradition veut que les familles se rendent visite les unes les autres, afin de se souhaiter un joyeux Noël, une coutume qui perdure d’ailleurs au sein des différentes diasporas en Europe, aux États-Unis ou en Australie. Les proches et amis ont ainsi défilé tout au long des jours suivants pour nous présenter leurs vœux, lorsque nous-mêmes n’étions pas en visite chez d’autres. La chaleur humaine est palpable, une sensation oubliée dans les sociétés individualistes. Le sentiment de solitude est quasiment inexistant ici, même lorsqu’une partie de ses proches a émigré.
Une ambiance festive
Le soir, les gens vont plutôt dans les clubs, sortes de grands restaurants où l’on passe toute la soirée en mangeant les mazzas et en sirotant son arak, ou n’importe quel autre alcool, en famille ou entre amis. Depuis quelques années, une entreprise locale organise également un grand festival entre Noël et le Nouvel an. Une semaine durant, chaque festivalier peut librement y aller, assister à différents concerts, participer à des loteries, boire et manger à sa guise. Une ambiance incroyablement festive, où un parfum de liberté côtoie les vapeurs des sandwicheries, au point qu’il serait difficile d’imaginer que l’organisation de l’État islamique n’est qu’à une heure de route.

Daesh, l’acronyme arabe de l’organisation, est effectivement sur toutes les lèvres. On se moque souvent d’eux, comme pour dédramatiser la guerre, mais personne n’a oublié cette nuit d’août 2014, quand les colonnes terroristes se sont approchées d’Erbil et que tous les habitants d’Ankawa ont fait leurs valises, prêts à tout abandonner pour ne pas subir le sort des chrétiens de Mossoul. Cet épisode a provoqué le départ de quelques milliers d’irakiens toutes confessions et ethnies confondues, las de se sentir menacés par le terrorisme et l’obscurantisme. Autour de chaque thé, chaque café, chaque arak partagé, les discussions mènent inexorablement à la même question : partir ou rester ? Pour la quasi-totalité des chrétiens, rester serait leur choix idéal. Mais tous, à différents degrés, redoutent un avenir où leur présence deviendrait indésirable. De plus d’un million d’habitants en 2003, la population chrétienne a été divisée par quatre ou cinq en une décennie d’émigration.

Plus que la peur, c’est finalement la lassitude qui domine, comme une ombre pesante à un cadre idyllique. La lassitude des guerres, de l’embargo des années 1990, des assassinats et des ingérences étrangères. Un ami résume parfaitement la situation : « On est heureux ici, il n’y a pas d’endroit aussi agréable à vivre dans le monde… Mais on ignore ce qui va surgir demain. »(Source: ALETEIA)
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DANS L'EST: L'église Saint-Martin pillée et vandalisée
Dire des paroissiens qu’ils sont choqués, c’est peu dire. Ils se déclarent tout simplement « consternés ». Les faits remontent à dimanche dernier lorsque, au petit matin, Jean-Yves Guetz, sacristain de l’église St-Martin, a découvert qu’un vitrail du chœur avait été brisé pour ouvrir l’accès à des malfaiteurs. Lesquels ont ensuite éventré un tabernacle en marbre posté sur l’autel, en ont descellé le contenu, un coffre-fort, et l’ont emporté.
Le tout s’est passé à 00 h 05 précises, comme en attestent les images recueillies par la caméra postée sur le pont à l’arrière de l’édifice. On y voit en effet trois hommes grimper sur le toit de la sacristie, mitoyenne à l’église, puis accéder sans difficulté à la base du vitrail.
« De là, néanmoins, ils ont dû probablement utiliser une corde pour descendre à l’intérieur sur 5 m de hauteur », constate le maire Christophe Choserot. « Comme en attestent les traces de pas sur les murs. » Une fois leur forfait commis, ils sont simplement sortis par une porte latérale qui s’ouvre de l’intérieur. En ayant pris soin auparavant de secouer un second tabernacle de bois pour vérifier qu’il était vide.
Une enquête est bien sûr ouverte, la police scientifique a procédé au relevé des empreintes, et une entreprise a été dépêchée pour obstruer momentanément le vitrail brisé. La restauration seule de cette pièce est chiffrée à 7.500€, sans parler des graves dégâts occasionnés au tabernacle, et le vol à proprement parler. Le coffre contenait en effet deux ciboires et une centaine d’hosties.
« Et ça, c’est très grave ! », s’insurge le père Daniel Baron, curé de la paroisse St-Jean Bosco, dont dépendent les églises St-Fiacre et St-Mansuy à Nancy, en plus de St-Martin à Maxéville. « Il s’agit d’hosties consacrées ! C’est en cela que c’est une profanation. S’il ne s’agissait que d’un simple vol, pourquoi ne pas prendre aussi les chandeliers sur l’autel par exemple, qui ont plus de valeur que nos ciboires ? »
Ces derniers, datant de la construction de l’église en 1888, n’ont en effet nulle autre valeur qu’historique. « Non, moi je suis certain que ce sont les hosties qu’ils visaient. »
L’émotion des paroissiens s’est de fait cristallisée autour de ces hosties, symbole du corps du Christ, et du sacrilège ainsi infligé à l’édifice. Les catholiques considèrent d’ailleurs l’église inutilisable aussi longtemps que ne sera pas pratiqué un « rite pénitentiel de réparation » programmé dimanche 29 à 11h, suivi d’une messe. Celle de St-Fiacre, prévue à la même heure, est annulée au profit de St-Martin.
Lysiane GANOUSSE
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-agglomeration/2017/01/28/ce-sont-les-hosties-qu-ils-voulaient
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Une femme enceinte ne doit pas fumer : cela nuirait au, heu, à la chose non vivante qui croît en elle
Depuis que Laurence Rossignol a dit
"une femme qui avorte n’est pas une femme qui interrompt une vie"
Je suis perdu... Le principe de non-contradiction n'est pas le fort de la gauche... Mais cela, on le sait depuis que l'arrêt brutal de la grossesse a été renommé "interruption". Les mots n'ont plus de sens.
Rappelons aussi que la France a ratifié la Convention Internationale des Droit de l’enfant en apportant une réserve d’application sur l’article 6, qui garantit à l’enfant un droit à la vie, précisément pour rappeler que cet article ne préjudicie pas à la loi sur l’IVG :
Article 6 : Les Etats parties reconnaissent que tout enfant a un droit inhérent à la vie. Les Etats parties assurent dans toute la mesure possible la survie et le développement de l'enfant.
Réserve de l’Etat français : 1 - Le Gouvernement de la République déclare que la présente Convention, notamment l'article 6, ne saurait être interprétée comme faisant obstacle à l'application des dispositions de la législation française relative à l'interruption volontaire de grossesse.
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Il y a quelques jours, j’ai évoqué cette loi qui, selon tous les défenseurs des enfants, était un outil indispensable pour lutter contre la maltraitance des enfants (voir article précédent).
L’article 222 du projet de loi « égalité et citoyenneté », introduisait dans la définition de l’autorité parentale l’interdiction d’avoir recours aux « violences corporelles » envers les enfants. Il proscrivait ainsi symboliquement les gifles et les fessées. Inscrite dans le Code civil, la disposition n’était assortie d’aucune sanction, mais avait une vocation pédagogique.
La semaine dernière, le Conseil Constitutionnel l’a considéré comme un « cavalier » législatif, c’est-à-dire sans rapport avec l’objet principal de la loi. Autrement dit, la loi est rejetée pour une question de forme. Le Conseil constitutionnel avait été saisi sur ce point par soixante sénateurs de l’opposition. On pourrait donc considérer qu’ils revendiquent ainsi le droit de frapper les enfants.
Selon les défenseurs des enfants, la décision du Conseil constitutionnel est « incompréhensible et pas éthique ». Ainsi, l’une des plus hautes institutions de l’Etat refuse l’idée qu’il faut interdire les violences sur les enfants, alors qu’elles sont interdites sur les adultes et les animaux.
La France reste donc montrée du doigt comme restant le pays où les châtiments corporels infligés aux enfants ne sont pas punis.
JCC
(Source : Conseil Constitutionnel) Via:http://actu-droitsenfant.over-blog.com/)
Suisse : Les mariages religieux avec des mineurs sont en hausse
Des représentants de la communauté musulmane ou chrétienne qui font fi du droit suisse en mariant des mineurs: le Service contre le mariage forcé s’inquiète de ces pratiques.
L’an dernier, il a eu connaissance de 21 mariages religieux avec des jeunes filles âgées de 14 ans à 17 ans, à Berne, à Zurich ou à Soleure, relatait hier la NZZ am Sonntag .
Dans la majeure partie des cas, il s’agissait d’adolescentes originaires de Syrie, d’Afghanistan, d’Irak, d’Erythrée, de Somalie, du Kosovo et de Macédoine.
«La tendance est en hausse. Elle s’explique par les nouvelles vagues d’immigration. C’est un nouveau défi», affirme Anu Sivaganesan, responsable du Service contre le mariage forcé, qui est actif dans toute la Suisse.
Selon cette dernière, il y a beaucoup plus de cas que ceux qui sont déclarés à son service: les victimes n’osent pas se manifester par loyauté envers leur famille ou par peur. «En Suisse romande aussi le phénomène existe, c’est certain.
Pascal Gemperli, président de l’Union vaudoise des associations musulmanes, dit ne pas avoir eu connaissance de cas, sans en exclure la probabilité. «Nous les condamnons fermement.»
La solution? «Le problème est que n’importe qui peut s’autoproclamer imam et célébrer ces unions. Si la communauté musulmane était mieux structurée, en étant reconnue officiellement, nous pourrions recenser tous les imams et établir un cahier des charges clair. Une formation d’imam aiderait aussi.» (24 heures)
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Églises : pourquoi les cloches ne sonnent-elles plus ?
Les cloches dans nos campagnes ont parfois perdu de leur sonnant. Elles font pourtant partie du « patrimoine sonore », un patrimoine protégé au titre « historique et culturel de la nation », et « la Commission supérieure des Monuments historiques lui prête une attention toute particulière », explique la Société française de campanologie (SFC) sur son site. La SFC a publié, samedi 28 janvier, une étude sur 250 paroisses à l’occasion de la 14e Semaine du son sous le patronage de l’Unesco .
Et cette étude tente d’expliquer les causes du silence, partiel ou total, de nos clochers. Dans 10 % des cas, c’est la contrainte financière qui est avancée. Entretenir les cloches ou les électrifier pour pouvoir les sonner plus facilement coûte cher aux communes, si l’église a été construite avant 1905, ou aux diocèses, si le bâtiment est postérieur à 1905. (...)
La SFC souligne aussi que ce phénomène peut être le fait de « l’autocensure » des sonneurs de cloches qui ne veulent pas froisser les voisins de l’église.
D’après son étude, une église sur cinq ne sonne plus l’angélus le matin ou le week-end, normalement sonné trois fois par jour pour appeler les fidèles à la prière, et une église sur deux ne fait plus résonner ses cloches pendant les messes de la semaine.
La SFC dénonce aussi un appauvrissement du langage des cloches où glas, tocsin ou baptême deviennent interchangeables.
Selon Éric Sutter, président de la SFC, cité par Le Parisien : « Pour les habitants, même ceux qui ne sont pas croyants, la suppression des cloches, véritables archives sonores, c’est la mort du village, un peu comme quand on ferme le dernier bistrot. »
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Une journée pour les volontaires
Samedi 4 février, l'association organise une journée spéciale de formation pour tous ceux qui souhaitent partir en mission humanitaire au Proche-Orient et rejoindre nos équipes terrain.
Au Liban, en Jordanie, en Irak et en Syrie, les chrétiens d'Orient vous attendent. Préparez-vous à les rejoindre !
Nos intervenants répondront à toutes vos questions, inquiétudes, espérances...
Vous serez alors armés pour prendre LA décision et franchir le pas en tout connaissance de cause.
Envoyez-nous un mail pour vous inscrire: formationvolontaires@gmail.com
PRIERE D'UN ENFANT A SON ANGE GARDIEN:
Saint ange gardien, mon ange ! Je ne connais pas ton nom, mais je sais que tu veilles sur moi : le Seigneur Jésus a dit que les anges des enfants voient la face de Dieu !
Je te prie donc : en cette nuit et dans le jour qui va suivre, garde-moi de tout péché en pensée, en paroles ou en actes.
Rappelle-moi toujours combien le Seigneur est bon et combien Il m’aime. Fortifie en moi la foi en lui, l’espérance des biens qui viennent de lui, et un amour véritable pour lui et pour mon prochain.
Protège également, je t’en prie, mes parents N… et N…, mes frères et sœurs N…, et toute ma famille. Bénis nos voisins ; bénis nos amis et nos ennemis ; bénis mes maîtres, mes professeurs, mes camarades. Soutiens notre évêque N…, notre (nos) prêtre(s) P. N… et toute notre communauté. Protège à l’ombre de tes ailes les défunts de notre famille. Veille encore sur les créatures de Dieu, animaux et plantes, dont je suis responsable.
Saint ange de Dieu, mon ange gardien, que ta prière pour mon salut s’élève devant Dieu comme un encens parfumé ; que, par elle et par la prière de la Mère de Dieu, et celle de tous les saints, je connaisse la joie d’aimer le Seigneur de tout mon cœur et d’aimer ceux qu’Il aime comme Il les aime.
Car c’est Lui, Père, Fils et saint Esprit, qui est béni dans les siècles des siècles : Amîn !
Prière à Notre Dame des Émigrés
Très Sainte Vierge Marie, Vous qui accompagnez sur les routes du monde ceux qui s'expatrient pour chercher du travail et du pain, après avoir connu Vous-même l'exil, regardez avec bienveillance notre condition ; bénissant ceux qui nous reçoivent, veillez, nous Vous en prions, sur tous ceux que le besoin chasse de chez eux et que la fraternité des autres accueille en les associant à leurs propres sueurs dans les plus durs labeurs.
Soyez une aide aimante, Vous, secours des chrétiens, consolatrice des affligés, pour celui qui, contraint par le sort, éloigné de sa terre natale, vit au milieu d'angoissants soucis pour soi, pour les siens et n'a souvent personne près de lui pour comprendre pleinement sa peine, ranimer ses forces, relever avec la voix du sang son esprit abattu.
Faites, ô Marie, que, réconfortés par Votre miséricorde, secourus par Votre maternelle providence, défendus par Votre prière, les uns et les autres, nous les exilés et nos familles dans l'inquiétude, tous pareillement soutenus par la Foi, l'Espérance et l'Amour, nous marchions dans la crainte de Dieu et que, soumis à la divine Volonté, fidèles à Jésus-Christ et à son Église, nous jouissions des fruits de la Justice chrétienne et, méritions ainsi la paix dans le temps, et le parfait bonheur dans l'éternité. Ainsi soit-il.
Eugénio Pacelli, Pie XII, Pape de Rome, le 21 novembre 1953