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1 mai 2017 1 01 /05 /mai /2017 21:08

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Today: St Athanasius the Patriarch of Alexandria, 

St. Marutha of Takrit +649

“Let them know that the Lord came not to make a display, but to heal and teach those who were suffering. For the way for one aiming at display would be, just to appear, and to dazzle the beholders; but for one seeking to heal and teach the way is, not simply to sojourn here, but to give himself to the aid of those in want…”

"Que eles saibam que o Senhor não veio para fazer uma demonstração, mas para curar e ensinar os que estavam sofrendo. Pois o caminho para um visando a exibição seria, apenas para aparecer, e para deslumbrar os beholders; Mas para um que procura curar e ensinar o caminho é, não simplesmente morar aqui, mas dar-se a socorro daqueles que querem ... "

(Saint Athanasius, On The Incarnation)

 

 

Aucun texte alternatif disponible.

“Devils take great delight in fullness, and drunkenness and bodily comfort. Fasting possesses great power and it works glorious things. To fast is to banquet with angels.”

"Os demônios têm grande prazer na plenitude, e embriaguez e conforto corporal. Jejum possui grande poder e funciona coisas gloriosas. Jejuar é banquetear com anjos. "

(St. Athanasius the Great)

Deuxième lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 4,5-14.

Mes frères, ce n'est pas nous-mêmes que nous prêchons, mais le Christ Jésus notre Seigneur. Quant à nous, nous sommes vos serviteurs en considération de Jésus. 
Car Dieu, qui a dit : Que la lumière brille du sein des ténèbres, c'est lui qui a fait luire sa clarté dans nos cœurs, pour que nous fassions briller la connaissance de la gloire de Dieu, laquelle resplendit sur la face du Christ. 
Mais nous portons ce trésor dans des vases de terre, afin qu'il paraisse que cette souveraine puissance de l'Evangile vient de Dieu et non pas de nous. 
Nous sommes opprimés de toute manière, mais non écrasés ; dans la détresse, mais non dans le désespoir ; 
persécutés, mais non délaissés ; abattus, mais non perdus ; 
portant toujours avec nous dans notre corps la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre corps. 
Car nous qui vivons, nous sommes sans cesse livrés à la mort à cause de Jésus, afin que la vie de Jésus soit aussi manifestée dans notre chair mortelle. 
Ainsi la mort agit en nous, et la vie en vous. 
Animés du même Esprit de foi, selon ce qui est écrit : " J'ai cru, c'est pourquoi j'ai parlé, " nous aussi nous croyons, et c'est pourquoi nous parlons, 
sachant que celui qui a ressuscité le Seigneur Jésus, nous ressuscitera aussi avec Jésus, et nous présentera à lui avec vous. 

 


Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 10,23-28.

En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples : Quand on vous persécutera dans une ville, fuyez dans une autre. Je vous le dis en vérité, vous n'aurez pas achevé de parcourir les villes d'Israël, que le Fils de l'homme sera venu. 
Il n'y a pas de disciple au-dessus du maître, ni de serviteur au-dessus de son seigneur. 
Il suffit au disciple d'être comme son maître, et au serviteur comme son seigneur. S'ils ont appelé le maître de maison Béelzéboul, combien plus les gens de la maison ! 
Ne les craignez donc point : car il n'y a rien de caché qui ne doive se découvrir, rien de secret qui ne doive être connu. 
Ce que je vous dis dans les ténèbres, dites-le au grand jour, et ce que vous entendez à l'oreille, publiez-le sur les toits. 
Ne craignez pas ceux qui tuent le corps, mais ne peuvent tuer l'âme ; craignez plutôt celui qui peut perdre l'âme et le corps dans la géhenne. 

 

Aucun texte alternatif disponible.


Aphraate

(?-v. 345), moine et évêque près de Mossoul 
Les Exposés, n° 21 (trad. SC 359, p. 835s) 

 

« Le serviteur n'est pas plus grand que son maître » (Jn 15,20)

 

Jésus a été persécuté comme les justes [de l'Ancien Testament] ont été persécutés, afin que soient consolés les persécutés d'aujourd'hui, eux qui sont persécutés à cause de Jésus persécuté.

Car il nous a écrit et nous a lui-même rendu cœur :

-« S'ils m'ont persécuté, ils vous persécuteront vous aussi. Puisqu'ils vous persécutent, c'est que vous n'êtes pas du monde, comme moi je n'en suis pas »

(Jn 15,19-20 ;17,14).

Auparavant en effet, il nous avait écrit :

-« Vos pères vous livreront, vos frères et vos parents, tout le monde vous prendra en haine à cause de mon nom ».

Il nous a encore enseigné : « Lorsqu'ils vous feront comparaître devant les chefs, devant les magistrats et devant les rois qui tiennent le monde, ne vous creusez pas la tête auparavant pour ce que vous devrez dire, comment vous pourrez répondre : c'est moi qui vous donnerai une bouche et une sagesse telle que vos adversaires ne pourront vous vaincre, car ce n'est pas vous qui parlerez, mais l'Esprit de votre Père, lui, parlera pour vous ». 

C'est cet Esprit qui a parlé par la bouche de Jacob à Ésaü son persécuteur ; l'Esprit de sagesse qui a parlé devant Pharaon par la bouche de Joseph persécuté ;

l'Esprit qui a parlé par la bouche de Moïse en tous les miracles qu'il a fait au pays d'Égypte... ;

l'Esprit qui chantait par la bouche de David persécuté, c'est par lui qu'il chantait pour soulager du mauvais esprit Saül son persécuteur ;

l'Esprit qui avait revêtu Élie, avec lequel il a réprimandé Jézabel et Achab son persécuteur... ;

l'Esprit qui a réconforté Jérémie, et il s'est tenu debout, audacieusement, pour réprimander Sédécias ;

l'Esprit qui a gardé Daniel et ses frères au pays de Babylone ; ce même Esprit qui a sauvegardé Mardochée et Esther dans le pays de leur captivité. 

Écoute, mon ami, les noms des martyrs, des confesseurs et des persécutés : Abel, Jacob, Joseph, Moïse, Josué, Jephté, Samson, Gédéon et Baraq, David, Samuel, Ezechias, Élie, Elisée, Michée, Jérémie, Daniel, Ananias et ses frères, Judas Maccabée et ses frères...

Mais le martyre de Jésus a été le plus grand et le meilleur : il a surpassé en tribulation et en confession tous ceux d'autrefois et tous ceux à venir.

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SAINT(S) DU JOUR:

 

 

SAINT ATHANASE 
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Docteur de l'Église 
(296-375) 



 

A

thanase, né vers 295, connut dans son enfance les dernières persécutions. Il était sans doute déjà diacre de l'évêque Alexandre d'Alexandrie lorsqu'il écrivit le « Contra gentes et de incarnatione Verbi » qui est à la fois une apologie contre les païens et un exposé des motifs de l'Incarnation. Diacre, il accompagna au concile de Nicée (325) son évêque auquel il succéda en juin 328.

 

Énergique, intelligent et instruit, il visita entièrement tout son diocèse fort agité par les hérétiques ariens et mélétiens. Après avoir deux fois refusé à l'empereur Constantin de recevoir Arius, il dut se disculper des accusations des mélétiens à Nicomédie (332) et à Césarée de Palestine (333). Refusant une troisième fois de réconcilier Arius, Athanase fut cité à comparaître devant le concile de Tyr (335) d'où, n'ayant trouvé que des ennemis, il s'enfuit à Constantinople pour plaider sa cause devant l'Empereur qui le condamna à l'exil.

 

Pendant qu'Athanase, déposé par le concile de Tyr, était en exil à Trêves, les troubles étaient si forts à Alexandrie qu'on n'osa pas lui nommer un successeur. Après la mort de Constantin Ier (22 mai 337), Constantin II le rendit à son diocèse (17 juin 337) où il arriva le 23 novembre 337. Les ariens élurent Grégoire de Cappadoce qui, avec l'appui du préfet d'Égypte, s'empara des églises d'Alexandrie qu'Athanase dut quitter (mars 339).

 

Réfugié à Rome, il fut réhabilité par un concile réuni sous le pape Jules Ier mais il dut attendre la mort de son compétiteur et l'amnistie de l'empereur Constance pour rentrer dans son diocèse (21 octobre 346). Constance reprit les hostilités contre Athanase qui fut de nouveau chassé d'Alexandrie (356) et dut se réfugier dans la campagne égyptienne jusqu'à la mort de l'Empereur dont le successeur, Julien, rappela immédiatement les exilés (361).

 

Rentré le 21 février 362, Athanase fut encore condamné à l'exil le 23 octobre 362 mais Julien ayant été tué dans la guerre contre les Perses (26 juin 363), son successeur, Jovien, vrai catholique, le rappela. Jovien mourut accidentellement (février 364) et son successeur, Valens, arien, chassa de nouveau Athanase d'Alexandrie le 5 octobre 365 où il l'autorisera à revenir le 1er février 366. Athanase mourut dans la nuit du 2 au 3 mai 373.

 

Pour approfondir, lire la Catéchèse du Pape émérite de l'Eglise de Rome Sa Sainteté Benoît XVI :

>>> Saint Athanase

 

 

Santo Atanásio

Queridos irmãos e irmãs!

Continuando a nossa retrospectiva dos grandes Mestres da Igreja antiga, queremos dirigir hoje a nossa atenção a Santo Atanásio de Alexandria. Este autêntico protagonista da tradição cristã, poucos anos depois da sua morte, foi celebrado como "a coluna da Igreja" pelo grande teólogo e Bispo de Constantinopla Gregório Nazianzeno (Discursos 21, 26), e foi sempre considerado como um modelo de ortodoxia, tanto no Oriente como no Ocidente. Portanto, não foi por acaso que Gian Lorenzo Bernini colocou uma sua estátua entre a dos quatro santos Doutores da Igreja oriental e ocidental juntamente com Ambrósio, João Crisóstomo e Agostinho que na maravilhosa abside da Basílica vaticana circundam a Cátedra de São Pedro.

Atanásio foi sem dúvida um dos Padres da Igreja antiga mais importantes e venerados. Mas sobretudo este grande santo é o apaixonado teólogo da encarnação do Logos, o Verbo de Deus, que como diz o prólogo do quarto Evangelho "se fez carne e veio habitar entre nós" (Jo 1, 14).

Precisamente por este motivo Atanásio foi também o mais importante e tenaz adversário da heresia ariana, que então ameaçava a fé em Cristo, reduzido a uma criatura "intermediária" entre Deus e o homem, segundo uma tendência recorrente na história e que vemos concretizada de diversas formas também hoje. Nascido provavelmente em Alexandria, no Egipto, por volta do ano 300, Atanásio recebeu uma boa educação antes de se tornar diácono e secretário do Bispo da metrópole egípcia, Alexandre. Estreito colaborador do seu Bispo, o jovem eclesiástico participou com ele no Concílio de Niceia, o primeiro de carácter ecuménico, convocado pelo imperador Constantino em Maio de 325 para garantir a unidade da Igreja. Os Padres nicenos puderam assim enfrentar várias questões, e principalmente o grave problema causado alguns anos antes pela pregação do presbítero alexandrino Ário.

Ele, com a sua teoria, ameaçava a fé autêntica em Cristo, declarando que o Logos não era verdadeiro Deus, mas um Deus criado, um ser "intermediário" entre Deus e o homem e assim o verdadeiro Deus permanecia sempre inacessível para nós. Os Bispos reunidos em Niceia responderam preparando e fixando o "Símbolo de fé" que, completado mais tarde pelo primeiro Concílio de Constantinopla, permaneceu na tradição das diversas confissões cristãs e na liturgia como o Credo niceno-constantinopolitano. Neste texto fundamental que expressa a fé da Igreja indivisa, e que recitamos também hoje, todos os domingos, na Celebração eucarística encontra-se a palavra grega homooúsios, em latim consubstantialis: ele pretende indicar que o Filho, o logos, é "da mesma substância do Pai, é Deus de Deus, é a sua substância, e assim é posta em realce a plena divindade do Filho, que tinha sido negada pelos arianos.

Tendo falecido o Bispo Alexandre, Atanásio tornou-se, em 328, seu sucessor como Bispo de Alexandria, e logo depois demonstrou-se decidido a recusar qualquer compromisso em relação às teorias arianas condenadas pelo Concílio niceno. A sua intransigência, tenaz e por vezes muito dura, mesmo se necessária, contra quantos se tinham oposto à sua eleição episcopal e sobretudo contra os adversários do Símbolo niceno, atraiu a implacável hostilidade dos arianos e dos filo-arianos. Apesar do inequívoco êxito do Concílio, que tinha afirmado com clareza que o Filho é da mesma substância do Pai, pouco depois destas ideias erradas voltaram a prevalecer nesta situação até Ário foi reabilitado e foram defendidas por motivos políticos pelo próprio imperador Constantino e depois pelo seu filho Constâncio II. Ele, aliás, que não se interessava tanto pela verdade teológica como pela unidade do Império e dos seus problemas políticos, pretendia politizar a fé, tornando-a mais acessível segundo a sua opinião a todos os seus súbditos no Império.

A crise ariana, que se pensava estar resolvida em Niceia, continuou por decénios, com vicissitudes difíceis e divisões dolorosas na Igreja. E por cinco vezes durante um trinténio, entre 336 e 366 Atanásio foi obrigado a abandonar a sua cidade, transcorrendo 17 anos no exílio e sofrendo pela fé. Mas durante as suas forçadas ausências de Alexandria, o Bispo teve a oportunidade de defender e difundir no Ocidente, primeiro em Trier e depois em Roma, a fé nicena e também os ideais do monaquismo, abraçados no Egipto pelo grande eremita Antão com uma opção de vida à qual Atanásio sempre esteve próximo. Santo Antão, com a sua força espiritual, era a pessoa mais importante na defesa da fé de Santo Atanásio. Insediado de novo e definitivamente na sua sede, o Bispo de Alexandria pôde dedicar-se à pacificação religiosa e à reorganização das comunidades cristãs. Faleceu a 2 de Maio de 373, dia em que celebramos a sua memória litúrgica.

A obra doutrinal mais famosa do santo Bispo alexandrino é o tratado Sobre a encarnação do Verbo, o Logos divino que se fez carne tornando-se como nós para a nossa salvação. Atanásio diz nesta obra, com uma afirmação que se tornou justamente célebre, que o Verbo de Deus "se fez homem para que nos tornássemos Deus; ele fez-se visível no corpo para que tivéssemos uma ideia do Pai invisível, e ele próprio suportou a violência dos homens para que nós herdássemos a incorruptibilidade" (54, 3). De facto, com a sua ressurreição o Senhor fez desaparecer a morte como se fosse "palha no fogo" (8, 4). A ideia fundamental de toda a luta teológica de Santo Atanásio era precisamente a de que Deus é acessível. Não é um Deus secundário, é o Deus verdadeiro, e através da nossa comunhão com Cristo podemos unir-nos realmente a Deus. Ele tornou-se realmente "Deus connosco".

Entre as obras deste grande Padre da Igreja que em boa parte permanecem ligadas às vicissitudes da crise ariana recordamos depois as quatro cartas que ele enviou ao amigo Serapião, Bispo de Thmuis, sobre a divindade do Espírito Santo, que foi afirmada com determinação, e cerca de trinta cartas "festivas", dirigidas no início de cada ano às Igrejas e aos mosteiros do Egipto para indicar a data da festa de Páscoa, mas sobretudo para garantir os vínculos entre os fiéis, fortalecendo a sua fé e preparando-os para essa grande solenidade.

Por fim Atanásio é também autor de textos meditativos sobre os Salmos, depois muito difundidos e sobretudo de uma obra que constitui o best seller da antiga literatura cristã: a Vida de Antão, isto é, a biografia do abade Santo Antão, escrita pouco depois da morte deste santo, precisamente enquanto o Bispo de Alexandria, exilado, vivia com os monges do deserto egípcio. Atanásio foi amigo do grande eremita, a ponto que recebeu uma das duas peles de ovelha deixadas por Antão como sua herança, juntamente com a capa que o próprio Bispo de Alexandria lhe tinha oferecido. Tendo-se tornado depressa muito popular, traduzida quase imediatamente em latim por duas vezes e depois em diversas línguas orientais, a biografia exemplar desta figura querida à tradição contribuiu muito para a difusão do monaquismo, no Oriente e no Ocidente.

Não por acaso a literatura deste texto, em Trier, está no centro de uma emocionante narração da conversão de dois funcionários imperiais, que Agostinho coloca nas Confissões (VIII, 6, 15) como premissa da sua própria conversão. De resto, o próprio Atanásio mostra ter uma consciência clara da influência que a figura exemplar de Antão podia ter sobre o povo cristão. De facto escreve na conclusão desta obra: "Que fosse conhecido em toda a parte, por todos admirado e desejado, até por quantos não o tinham visto, é um sinal da sua virtude e da sua alma amiga de Deus. De facto, Antão não é conhecido pelos escritos nem por uma sabedoria profana nem por qualquer capacidade, mas só pela sua piedade em relação a Deus. E ninguém poderia negar que isto é um dom de Deus. De facto, como se teria ouvido falar na Espanha e na Gália, em Roma e em África deste homem, que vivia retirado entre os montes, se o não tivesse dado a conhecer em toda a parte o próprio Deus, como ele faz com quantos lhe pertencem, e como tinha anunciado a Antão desde o princípio? E também se estes agem no segredo e desejam permanecer escondidos, o Senhor mostra-os a todos como um lampadário, para que quantos ouvem falar deles saibam que é possível seguir os mandamentos e se sintam encorajados a percorrer o caminhoda virtude" (Vida de Antão 93, 5-6).

Sim, irmãos e irmãs! Temos tantos motivos de gratidão para com Santo Atanásio. A sua vida, como a de Antão e de muitos outros santos, mostra-nos que "quem caminha para Deus não se afasta dos homens, antes, pelo contrário, torna-se-lhes verdadeiramente vizinhos" (Deus caritas est, 42).

 

St. Athanasius

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the Patriarch of Alexandria

Mor Athanasius was born in AD 295 to wealthy Christian parents. He studied Greek Mythology and Theology. He lived some years with St. Antony in the deserts spending time in prayers and meditation. He has also written the biography of the saint. St. Antony had given him a sheep skin and a blanket he had used. He was ordained a deacon in AD 319 by Patriarch Alexander and he served him as his secretary. Later generations came to know about his life and works from his own letters, from the orations of Gregory of Nazianzus (Oration 21) and a descriptive Coptic book. Gregory of Nazianzus has described him as ‘The Pillar of the Church’.

He was also known by the term ‘Father of Orthodox Faith’ The famous work ‘On the Incarnation of God’ written by him at the age of twenty is a strong reply to the heresy of Arius. The manuscript of this book is preserved in a Library in Jerusalem. Arius, an old priest in Alexandria, taught that Jesus was not fully divine but he was only similar to God and was created at the beginning of creation. His claim was that the Father and the Son were made of like essence or being but not the same essence or being. These ideas were conveyed through melodious songs which attracted many people who took his side.To put an end to the dissidence in the Church, Emperor Constantine employed bishop Osios (of Corduba, Spain) but it was in vain. In AD 325 the Ecumenical Council held in Nicaea put Arius on trial and denounced him. The council confirmed the error of his teaching. The primary opponent was deacon Athanasius who worked as the secretary of Patriarch Alexander in this council. The Patriarch's speeches highlighted the talents and fame of the deacon. The bulls/decrees and articles of the Patriarch clearly carry a mark of his scholarship. Upon the demise of Patriarch Alexander in AD 328, Athanasius who was only thirty three at that time ascended the throne. The history of Christianity in the fourth century is mainly the history of Mor Athanasius. There were many allegations against him and he was banished five times. There were even attempts on his life. Once the Arius faction severed the arm of a dead man to be presented as a proof that it was the right arm of Episcopo Arsanios who was murdered by Athanasius. Their allegations were proved baseless when Arsanius himself was presented before them. In AD 335 the Synod at Tyre excommunicated him. Two years later (on 23 November AD 337) he returned to the diocese. Again in AD 339, a synod with the connivance of Eusebius, the bishop of Nicomedia, banished him. He was given sanctuary by Mor Yulios, the bishop of Rome. The Synod convened at Rome in AD 341 exonerated him from all the alleged crimes. The Serdica synod in AD 343 re-established him in his ecclesiastical rights and declared him as the lawful Patriarch of Alexandria. His episcopate lasted for forty five years till AD 373. Of these he had spent seventeen years in hiding, in deserts and in foreign countries. In spite of all the trials he succeeded in transferring true faith to the next generation.

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St. Marutha of Takrit +649

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Mor Marutha of Tagrit

(Syriac: ܡܪܘܬܐ ܕܬܓܪܝܬ‎),

was a theologian and the Maphrian of the East of the Syriac Orthodox Church, from 628 until his death in 649.

Mor Marutha de Tagrit(Syriac: ܡܪܘܬܐ ܕܬܓܪܝܬ),Foi um teólogo e o Maphrian do Oriente da Igreja Ortodoxa Siríaca, de 628 até sua morte em 649.

Mor Marutha was born in Sharsak, a village in Bethnehudra in Mosul around A.D. 569 His father was the village chief, a religious person & very affluent. After his primary education he joined ‘Sardas’ Monastery, where he obtained his priestly ordination. He later moved to Mor Sakkai Monastery to pursue theological studies as well as the study of Greek & Syriac.

He spent 10 years there under malphono Theodorus & studied scholarly books of Mor Gregorios Thevologus. Mor Marutha who was a seeker of knowledge became the disciple of Thoma, the blind in Urhoy (Edessa) & attained dexterity in composition of literary works & calligraphy from Shem’vun Shubdia & Mor Aaho. He became a teacher of Theology & interpretation of the books of the Prelates in the church in Mor Mathai monastery.

In A.D. 628 he was ordained Maphrian of Tigris by Mor Athanasius I Gammolo. Initially, 12 dioceses were under him, but when people of Urhoy migrated to Persia at the time of war three more dioceses (Azarbaijan, Kursan, & Afganistan) were added.

Mor Marutha constructed churches & established monasteries. He also wrote books. The litany used while blessing the water for Epiphany, the biography of Mor Ahudema, bishop of Tigris (+575), interpretation of The Gospel, The Holy Qurbono Thakso, speeches for some feasts are examples. It is recorded in the writings of Bar Sleebi (+1171) that the Nineveh Fast, (3 Day Lent) was put into force by Mor Marutha.

Mor Marutha passed away in 649AD at age 80 after having served the Syriac Orthodox Church for twenty years. His remains were interred in the church which he had constructed.

Biography adapted from 'Martyrs, Saints and Prelates of the Syriac Orthodox Church'

Oh Mor Marutha! Plead for us all especially the persecuted Christians of the East! Amen.

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Saint Boris

BORIS 2 MAI

(Premier roi de Bulgarie/ + 907)

 

Boris était le fils du khan ou souverain des Bulgares, il succéda à son père en 852. De part leur position géographique, les Bulgares devaient lutter à la fois contre l’occident germanique et contre l’orient byzantin que leur jeune force menaçait.

 

A l’instar de ses sœurs, Boris voulait devenir chrétien mais il désirait contrôler son église. Il s’adressa d’abord au pape par l’intermédiaire de Louis le Germanique, puis au patriarche de Constantinople par l’intermédiaire de l’empereur Michel III. Personne ne voulait lui promettre une église autocéphale, mais encore moins Rome que Byzance. En 864 Boris fut baptisé en secret par des prêtres orientaux, l’empereur fut son parrain, mais une partie de la noblesse bulgare se révolta. Ce n’est qu’en 870 qu’il obtint la reconnaissance de l’autonomie de son Eglise par le patriarche de Constantinople, peu après les disciples de Cyrille et Méthode mirent la langue bulgare par écrit.

 Le roi Boris abdiqua en 889 et se fit moine, mais son  fils et successeur Vladimir tenta une restauration du culte païen, amenant Boris à revenir au pouvoir une première fois en 893, puis une seconde fois en 895 pour aider son fils Siméon à vaincre les Magyars. Il reprit enfin  sa vie monastique et mourut en 907

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Boris era o filho do filho ou soubano de Bulgares, ele sucumbiu em seu pai em 852. De parte sua posição geográfica, os Bulgares de encontro lutter à esquerda contra o oeste germanique e contra o oriente byzantin que seu jovem força menaçait.


A l'instar de ses sœurs, Boris é uma pessoa de confiança. Il dirige-se ao ponto do intermediário de Louis le Germanique, depois ao patriarca de Constantinopla pelo intermediário do imperador Michel III. Personne ne voulait lui promettre une église autocéphale, mais encore moins de Rome que Byzance. En 864 Boris fut baptisé en secret par des prêtres orientaux, l'empereur fut son parrain, mais une partie de la noblesse bulgare se révolta. Ce n'est qu'en 870 que obtint o reconhecimento da autonomia de filho Eglise par le patriarche de Constantinople, peu après les disciples de Cyrille et Méthode mirent la langue bulgare par écrit.

Le roi Boris abdiqua en 889 e se encaixa moine, mais filho e sucessor Vladimir tenta uma restauração do culto paíen, amenant Boris à revenir au pouvoir une première fois en 893, puis une seconde fois en 895 para aider son fils Siméon à vaincre les Magiares. Il reprit enfin sa vie monastique et mourut en 907

Urgence élections,
 Prière pour la France:

Je vous propose la prière suivante pour notre Pays:


Seigneur Jésus, Ô Christ notre Dieu, Vous qui êtes venu, non pour juger le monde, mais pour le sauver; Vous qui êtes monté librement sur la Croix pour tous les humains;
Vous qui, dans Votre amour ineffable et Vôtre indicible compassion, veillez au bien et au libre salut de chacun;
Vous qui êtes invisiblement présent dans ce monde qui Vous appartient et dans notre pays par le Corps de Votre sainte Eglise, acceptez les prières de supplication et de louange que nous Vous adressons pour notre patrie la France, justement mais cruellement éprouvée.


Seigneur Jésus Christ notre Dieu, par les prières et la protection de Votre Mère toute pure et immaculée, du saint archange Michel, Protecteur de la France, des saints de notre pays, en particulier de notre mère parmi les saints Marie Madeleine "Egale-aux-apôtres" dont les reliques sanctifient notre sol, de son disciple saint Maximin, de saint Lazare Votre ami, des saints Jean Cassien et Victor de Marseille, Martin de Tours, Irénée de Lyon, Hilaire de Poitiers, Germain d’Auxerre, Germain de Paris; de saint Cloud, sainte Geneviève et sainte Radegonde et de tous les saints moines et moniales de notre pays; des saints et victorieux martyrs Pothin et Blandine de Lyon et de tous les saints martyrs de France :

Eclairez, inspirez, convertissez et sauvez notre patrie la France, ceux qui la gouvernent ainsi que chacun des membres de son peuple.


A nous qui Vous supplions dans la vraie Foi, accordez la grâce du non-jugement, la conscience libre, la force du saint Esprit pour témoigner de Votre vérité dans la paix qui vient de Vous.


Accordez-nous la grâce de voir nos propres fautes et d’accueillir Votre pardon.


Donnez-nous de Vous glorifier et de Vous célébrer pour la bienveillance que Vous manifestez à notre pays, à ceux qui le gouvernent et à tout son peuple.


Inspirez-nous de Vous célébrer en premier lieu pour la révélation que Vous avez donnée de Vous-même à nos Pères par la prédications de ces aînés dans la Foi qui sont venu d'Orient pour ensemencer notre terre de l'Evangile de vérité, d'amour et de paix et à ceux qui, en conséquence peuvent en ces jours, sur cette même terre bénie de France, vous confesser avec Votre Père coéternel et Votre très saint, bon et vivifiant Esprit, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles : Amîn!

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Saint Michael and the Dragon in an initial Q by an Unkown master German, Würzburg, about 1240-50:

Urgence élections :
 Prière pour la France à saint Michel
 
Saint Michel, grand Prince de la milice céleste, établi par la Providence divine le protecteur spécial de la France, souvenez-vous que vous l’avez faite grande entre toutes les nations, que vous l’avez établie sentinelle de la foi et soldat de Dieu dans le monde. Glorieux Archange, vous que nos rois ont autrefois proclamé patron de la France, protégez-nous contre tous nos ennemis ; nous vous conjurons de nous placer tous sous votre impénétrable protection. Protégez toujours l’Eglise et la France ! Obtenez-lui un prompt et sincère retour à l’antique foi, source de sa force et de sa grandeur. Éclairez les incrédules, rassurez les timides, fortifiez les faibles, encouragez les bons, secourez-nous tous et rendez-nous meilleurs et plus chrétiens. Amîn.

En-tête

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Mor Philipose-Mariam, 

Aujourd'hui, mardi 2 mai, nous prions pour les relations étrangères de la France avec les pays en développement.
 
Dans les 10 premières puissances mondiales, la France a depuis très longtemps entretenu de multiples relations avec les autres peuples et nations de la terre.

Peu de pays dans le monde n’ont pas connu une présence officielle de représentants de la France sous une forme ou sous une autre, la plus marquée et récente étant celle de la colonisation pendant des décennies au XXème siècle.

La France a un siège permanent au conseil de sécurité de l’ONU, et est membre actif de nombreuses organisations régionales ou internationales. Son rayonnement culturel, son poids militaire et son commerce international sont conséquents et elle investit environ 8 milliards d’euros d’aide au développement.
 
Ces versets m’interpellent : Et maintenant, rois, conduisez-vous avec sagesse! Juges de la terre, recevez instruction! Servez l'Eternel avec crainte, Et réjouissez-vous avec tremblement. (Psaume 2:10-11).
 
Prions donc pour les sujets suivants au sujet des relations avec les pays en développement, que la France :

- soit un exemple et joue un rôle moteur dans la lutte contre la corruption et les injustices ;

- veille à un cadre juste pour le commerce international, notamment pour que ce qu’elle importe des pays pauvres soit acheté à un prix équitable ;

- tienne ses engagements dans la lutte contre la pauvreté notamment dans le cadre des ODD et du ‘Fonds vert’ de la COP21 ;

- ait une diplomatie de paix et de respect des peuples, même si parfois des opérations de sécurité sont menées ;

- défende la liberté religieuse dans une laïcité respectueuse ;

- assume sa part de responsabilité vis-à-vis de peuples qui ont souffert lors de périodes historiques compliquées.

Patrick Guiborat
Directeur Général du SEL

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Ils se livreront à Marie corps et âme

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Dieu veut donc révéler et découvrir Marie, le chef-d'œuvre de ses mains, dans ces derniers temps. Elle est l'aurore qui précède et découvre Jésus-Christ, le Soleil de justice ; elle doit être connue et révélée, afin que Jésus-Christ le soit. Étant la voie par laquelle Jésus-Christ est venu à nous la première fois, elle le sera encore lorsqu'il viendra la seconde fois, mais pas de la même manière.

Marie doit éclater, plus que jamais, en miséricorde, en force et en grâce dans ces derniers temps. Dieu veut que sa sainte Mère soit à présent plus connue, plus aimée, plus honorée que jamais elle n’a été : ce qui se produira sans doute, si les enfants de Marie entrent, avec la grâce et la lumière du Saint-Esprit, dans la pratique intérieure et parfaite que je leur montrerai plus tard ; (…) ils découvriront les miséricordes dont elle dispose et à quel point ils ont besoin de son aide.

Ils feront appel à elle pour tous leurs besoins comme à leur avocate et médiatrice préférée auprès de Jésus-Christ ; ils sauront qu'elle est le moyen le plus assuré, le plus aisé, le plus court et le plus parfait pour aller à Jésus-Christ, et ils se livreront à elle corps et âme, sans partage, pour être à Jésus-Christ de même. (1)

(Saint Louis Marie Grignion de Montfort - Traité de la vraie Dévotion, Extraits § 50 à 55.
(1) Pour une meilleure compréhension des textes de l'auteur, nous avons choisi de réécrire en français du XXIe siècle certaines tournures de l'auteur. Ses écrits datent du XVIIIe siècle et sont parfois difficiles pour les lecteurs d'aujourd'hui; ces réécritures respectent complètement le sens de ce qu'a voulu dire l'auteur.)

« Ô Mère très douce, vous m'appelez et me dites :

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Si quelqu'un est petit, qu'il vienne à moi. Les enfants ont toujours sur les lèvres le nom de leur mère, et ils l'appellent à chaque danger, frayeur ou difficulté. Ô très douce Mère, ô Mère très aimante, vous désirez que, pareil au petit enfant, je vous appelle toujours, que j'aie sans cesse recours à vous... Permettez donc que je vous invoque continuellement et vous dise : Ô ma Mère, Mère très aimable ! Ce nom me console entièrement, m'attendrit, me rappelle l'obligation que j'ai de vous aimer. Ce nom me porte à me confier à vous. Ma Mère, c'est ainsi que je vous appelle et veux vous appeler toujours. Après Dieu, vous êtes mon espérance, mon refuge, mon amour en cette vallée de larmes. Ô ma douce Reine et Mère, ravissez les cœurs de vos enfants par l'amour que vous leur témoignez. Ravissez également, je vous en prie, mon pauvre cœur qui désire tellement vous aimer. [...] Je veux vous aimer, ô très douce Mère, mais je crains, en même temps, de ne pas bien vous aimer, car j'entends dire que l'amour rend les amants semblables aux personnes aimées... Or, je me vois si dissemblable de vous ! Serait-ce donc un signe que je ne vous aime pas ? Vous êtes si pure, et moi si impur ! Si humble, et moi si orgueilleux ! Si sainte, et moi si unique ! Mais puisque vous m'aimez, rendez-moi semblable à vous ; c'est là ce que vous devez faire, ô Marie. Vous avez la puissance de changer les cœurs, prenez donc le mien et transformez-le. Montrez au monde combien est grand votre pouvoir en faveur de ceux que vous aimez ! Sanctifiez-moi et faites que je sois votre digne fils. » (cf. St Alphonse)

P. Gabriel de Ste Marie-Madeleine O.C.D

Shlom lekh bthoolto MariamHail, O Virgin  Mary/ 

  maliath taiboothofull of grace
  
moran a'amekh  - the Lord is with thee
  
mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women
 
 wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus
  
O qadeeshto Mariam/ Holy Mary
  
yoldath aloho Mother of God
  
saloy hlofain hatoyehpray for us sinners
  
nosho wabsho'ath mawtan.now and at the hour of our death.
 
 Amîn 

 

Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

 

 

jesus_pecheurs Isaac Fanous.jpg:

PRIERE POUR LES VOCATIONS:

Père, faites se lever parmi les chrétiens 
de nombreuses et saintes vocations au sacerdoce, 
qui maintiennent la foi vivante 
et gardent une mémoire pleine de gratitude de Votre Fils Jésus, 
par la prédication de sa parole 
et l'administration des sacrements, 
par lesquels Vous renouvelez continuellement vos fidèles dans la Grâce du Saint Esprit. 

Donnez-nous de saints ministres de Votre autel, 
qui soient des célébrants attentifs et fervents de l'eucharistie, 
sacrement du don suprême du Christ pour la rédemption du monde, sacrement de la pérennité de Sa présence comme "l'Emmanuel", Dieu présent au milieu et pour le salut de Son Peuple. 

Appelez des ministres de Votre miséricorde, 
qui dispensent la joie de Votre pardon 
par le sacrement de la réconciliation. 

Père, puisse notre Église Syro-Orthodoxe francophone accueillir avec joie 
les nombreuses inspirations de l'Esprit de Votre Fils 
et, qu'en étant docile à ses enseignements, 
elle prenne soin des vocations au ministère sacerdotal 
et à la vie consacrée. 

Soutenez nos Pères dans la Foi, nos Métropolites,les évêques, les prêtres, les diacres, 
les personnes consacrées et tous les baptisés dans le Christ, à l'intérieur et à l'extérieur de notre Tradition Syro-Orthodoxe 
afin qu'ils accomplissent fidèlement leur mission 
au service de l'Évangile. 

Nous Vous le demandons par le Christ notre Seigneur, Votre Fils bien-aimé qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles sans fin.

Amîn. 

Ô Marie, Mère de Miséricorde et Reine des apôtres, priez pour nous ! 

__________

 

 

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ORAÇÃO PELAS VOCAÇÕES:

Tree of Life #Jesus #Disciples #Coptic Icon:
Pai, deixe repousar entre os cristãos
numerosas e santas vocações ao sacerdócio,
que mantenham viva a fé
e manter uma memória cheia de gratidão Seu Filho Jesus,
pela pregação de sua palavra
e administrar os sacramentos,
pelo qual você renovar continuamente os vossos fiéis na graça do Espírito Santo.

Dê-nos santos ministros do vosso altar,
que estão celebrantes atentos e entusiastas da Eucaristia,
sacramento do dom supremo de Cristo para a redenção do mundo, o sacramento da sustentabilidade da sua presença como "Emmanuel", Deus presente entre e para a salvação de Seu povo.

Chamar ministros de sua mercê,
que fornecem a alegria de Seu perdão
através do Sacramento de reconciliação.

Pai, que nossa Igreja siro-ortodoxo falando alegremente boas-vindas
as numerosas inspirações do Espírito de Seu Filho
e, que sendo obedientes a seus ensinamentos,
ela cuida das vocações ao ministério sacerdotal
e à vida consagrada.

Apoiar nossos pais na fé, nossos metropolitanas, bispos, sacerdotes, diáconos,
pessoas consagradas e todos os baptizados em Cristo, dentro e fora da nossa tradição siro-ortodoxo
de modo que eles fielmente cumprir a sua missão
o serviço do Evangelho.

Você Nós vos pedimos por Cristo, nosso Senhor, Seu amado Filho, que vive e reina contigo eo Espírito Santo para todo o sempre.
Amin.

Modern Coptic Madonna:

Ó Maria, Mãe de Misericórdia e Rainha dos Apóstolos, rogai por nós!

SIGNEZ LA PETITION POUR LA LIBERATION DES DEUX EVÊQUES QUIDNAPES EN SYRIE /PETITION ON THE ABDUCTION OF THE TWO HIERARCHS OF ALEPPO SYRIAToujours aucune nouvelle d'eux....Nous espérons... 

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*Rappel des faits:

Le 22 avril 2013, Mgr Yohanna (Jean) Ibrahim, archevêque syriaque orthodoxe d’Alep, et Mgr Boulos (Paul) Yazigi, archevêque grec orthodoxe de la même ville, étaient enlevés à l’ouest d’Alep en Syrie. Les deux évêques s’étaient rendus en voiture,fraternellement, avec un chauffeur, dans cette région pour tenter de négocier la libération de deux prêtres enlevés en février précédent : le Père Michel Kayyal (catholique arménien) le le Père Maher Mahfouz (grec-orthodoxe). C’est l’un des enlèvements les plus étranges en période de guerre puisqu’il n’y a eu aucune revendication. Même les médias ne s’intéressent pas beaucoup à cette affaire, jugée peu sulfureuse et surtout incompréhensible. Pour cette raison, le site Internet grec Pemptousia met en ligne une pétition (en anglais) pour la libération de deux hiérarques. Pour la signer,pétition relayée en France par Orthodoxie.com et nous-même  cliquez ICI !

Merci.

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N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et

 

fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"

 

ou terroristesen tous genres !

 

Prions sans relâche pour que le

 

Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...

 

  

Let us not forget the bishops, priests and faithful

 

Christians held by "Islamists" or terrorists of all

 

kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.

 

Pray for their release ...

Image of the Saviour Not Made by Hand: a traditional Orthodox iconography in the interpretation of Simon Ushakov (1658).:

L’image contient peut-être : 4 personnes N'oublions-pas dans nos prières le repos de l'âme de Son Eminence Joseph Mar Koorilose (Valiya Metropolitan de la MISC) qui fut "Juridical advisor" de notre Métroplie Syro-Orthodoxe Francophone de 2003 à 2011, puis, en 2005, choisit par le "Conseil de l'Eglise" comme "Métropolite Majeur".

N'oublions-pas de prier pour lui et l'Eglise de Thozhiyur , tous les vendredis soir en particulier puisque, sur son ordre, en signe d'union, nous devons offrir une prière avec encens en l'honneur de Saint Georges, titulaire de sa Cathédrale. 

A real story about the intercession of St. Mary for the sinners :

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-It was almost 5 A .M. when Bishop Jacob woke up and was putting on his clothes and getting ready for the Liturgy. He was used to wear his robe made of sackcloth as austerity. While he was putting it on , he noticed that it got old and after he prayed the Holy Liturgy he asked one of his disciples to buy a sackcloth sack. He brought it to him and the Bishop was thinking of what will he do. He was not taught knitting and doesn't know how to make a robe from these sacks, and kept thinking a lot. The Bishop had a strong relationship with our Lady St. Virgin Mary , so he asked her to help him , and while he was saying that , Virgin Mary appeared to him and took the sacks and started to knit them like dressmakers. When She was done , She blessed him and ascended in a glorious scene. The Bishop thought that he was dreaming but when he looked , he found the sackcloth robe, and he was very happy and praised the Virgin Mary. After several months a sinner came to the Bishop and confessed with his sins. However, the Bishop saw that he had many sins , so he gave him a law of repentance before he accepted him into the church. The man went sad and while he was asleep , Virgin Mary appeared to him and said " Why are you sad ?"
The thief :- " I went to the Bishop and he told me that my sins are big and he gave me a law of repentance and it is very hard for me "
Virgin Mary :- " Don't be sad, go to him tomorrow and tell him that I sent you.
The thief :- "He won't believe me or accept me"
Virgin Mary :- "He will , just go "
The thief :- " He will ask for a proof. ""
Here Virgin Mary smiled and said "Tell him your dressmaker is telling you to be merciful and kind to the sinners "
The thief woke up happy and went early to the Bishop and told him "Virgin Mary appeared to me and told me to say to your Grace that your dressmaker is telling you to be merciful and kind to sinners. "
The Bishop heard these words and surprised. He kissed the man and lived all his life merciful and kind to the sinners.
May your blessings St. Virgin Mary be with us all. Amen

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Mois,mai,mois de Marie,mère,espérance,refuge,pureté,humilité,sainteté,enfant,coeur

Je crois en l'Église Une... (A.S. Khomiakov 9/12)
 
VIII – L'Église et ses Mystères

Ayant confessé sa foi en la Divinité Tri-hypostatique [Dieu tri-Personnel; ndt], l'Église confesse sa foi en elle-même, parce qu'elle se reconnaît instrument et réceptacle de la grâce divine et qu'elle tient ses oeuvres pour oeuvres de Dieu, non pour oeuvres des individus qui la constituent visiblement. Dans cette confession elle montre que la connaissance de son essence et de son être constitue également un don de la grâce, don qui lui vient d'En Haut et n'est accessible qu'à la foi, et non à la raison.

Car quel besoin aurais-je de dire : "Je crois", si je savais déjà? La foi n'est-elle pas la conviction des choses invisibles? Mais l'Église visible n'est pas la société visible des Chrétiens, elle est l'Esprit de Dieu et la grâce des Sacrements qui vivent dans cette société. Dès lors, l'Église visible même n'est visible qu'au croyant, car pour le non-croyant le Sacrement n'est qu'un rite et l'Église qu'une société. Le croyant, lui, a beau ne voir l'Église par les yeux du corps et de la raison que dans ses manifestations extérieures, il la reconnaît pourtant par l'Esprit dans les Sacrements, la prière et les oeuvres qui plaisent à Dieu. Aussi ne la confond-il pas avec la société de ceux qui portent le nom de chrétiens, car ce ne sont pas tous ceux qui disent "Seigneur, Seigneur", qui appartiennent effectivement à la race choisie et à la postérité d'Abraham. Mais, par la foi, le vrai Chrétien sait que l'Église Une, Sainte, Catholique et Apostolique ne disparaîtra jamais de la face de la terre jusqu'au Jugement Dernier de toute la Création; il sait que, sur terre, elle demeure invisible aux yeux de la chair et à l'esprit qui n'a qu'une sagesse charnelle, invisible au sein de la société visible des chrétiens, - tout comme, dans l'Église d'outre-tombe, elle demeure visible aux yeux de la foi, mais invisible aux yeux du corps. Par la foi, le Chrétien sait aussi que l'Église sur la terre, bien qu'invisible, revêt toujours une forme visible; qu'il n'y a pas eu, qu'il n'a pu y avoir et qu'il n'y aura pas d'époque où seraient défigurés les Sacrements, tarie la sainteté, corrompue la doctrine; et que nul n'est Chrétien s'il ne peut dire où, dès le temps même des Apôtres, se sont accomplis et continuent à s'administrer les saints Sacrements, où la doctrine a été et demeure sauvegardée, où les prières ont été adressées au Trône de la Grâce et ne cessent de l'être. La sainte Église confesse et croit que jamais les brebis n'ont été privées de leur Divin Pasteur et que l'Église n'a jamais pu ni se tromper par manque d'intelligence - car en elle vit l'intelligence de Dieu - ni se soumettre à des doctrines erronées par manque de courage - car en elle vit la force de l'Esprit de Dieu.

Croyant en la parole de la Promesse de Dieu, qui a appelé tous ceux qui suivent la doctrine du Christ amis du Christ et Ses frères, en Lui fils adoptifs de Dieu, la sainte Église confesse les voies par lesquelles il plaît à Dieu de conduire l'humanité déchue et morte à une restauration de l'unité dans l'Esprit de Grâce et de Vie. C'est pourquoi, ayant fait mémoire des prophètes qui représentent l'époque de l'Ancien Testament, elle confesse les Sacrements par lesquels, dans l'Église du Nouveau Testament, Dieu envoie Sa Grâce aux hommes, et elle confesse spécialement le Sacrement du Baptême pour la rémission des péchés, comme contenant en lui le principe de tous les autres; car c'est par le Baptême seul que l'homme entre dans l'unité de l'Église, qui garde les autres Sacrements.

Confessant un seul Baptême pour la rémission des péchés, comme un Sacrement ordonné par le Christ Lui-même pour accéder à l'Église du Nouveau Testament, l'Église ne juge pas ceux qui ne sont pas entrés en communion avec elle par le Baptême, car elle ne connaît et ne juge qu'elle-même. Dieu seul connaît l'endurcissement du coeur, et Il juge les faiblesses de la raison selon la vérité et la miséricorde. Beaucoup ont été sauvés et ont eu part à l'héritage sans avoir reçu le Sacrement du Baptême d'eau, car il n'a été établi que pour l'Église du Nouveau Testament. Quiconque le rejette, rejette toute l'Église et l'Esprit de Dieu Qui vit en elle; mais il n'a pas été ordonné depuis toujours à l'humanité, ni prescrit à l'Église de l'Ancien Testament. Si quelqu'un dit, en effet, que la circoncision a été le Baptême de l'Ancien Testament, il refuse alors le Baptême aux femmes - car pour elles il n'y avait pas de circoncision; et que dira-t-il des patriarches, d'Adam à Abraham, qui n'ont pas reçu le sceau de la circoncision? Et, en tout cas, ne reconnaît-il pas qu 'en dehors de l'Église du Nouveau Testament le sacrement de Baptême n'a pas été d'obligation? S'il dit que c'est pour l'Église de l'Ancien Testament que le Christ a reçu le Baptême, alors qui mettra une limite à la miséricorde de Dieu, Qui a pris sur Lui les péchés du monde? Le Baptême est d'obligation; car lui seul est la porte de l'Eglise du Nouveau Testament, et c'est seulement dans le Baptême que l'homme manifeste son assentiment à l'oeuvre rédemptrice de la Grâce. Aussi n'est-il sauvé que dans le seul Baptême.

En outre, nous savons que, tout en confessant un seul Baptême comme principe de tous les Sacrements, nous ne rejetons pas pour autant les autres; car, en croyant à l'Église, nous confessons, d'un commun accord avec elle, 7 Sacrements [*] à savoir le Baptême, l'Eucharistie, l'Imposition des Mains (Saints Ordres, Ordination), la Chrismation, le Mariage, la Confession, l'Onction des Malades. Il y a encore bien d'autres Sacrements; car toute oeuvre accomplie dans la foi, l'espérance et la charité, est inspirée à l'homme par l'Esprit de Dieu et invoque la Grâce invisible de Dieu. Mais les 7 Sacrements ne sont pas, en réalité, l'oeuvre d'un seul individu digne de la faveur de Dieu, mais l'oeuvre de toute l'Église dans un seul individu, tout indigne qu'il puisse être.

[* catégorisation pédagogique, pas dogmatique; ndt]

Concernant le Sacrement de l'Eucharistie, la sainte Église enseigne qu'en lui s'opère véritablement le changement du pain et du vin en le Corps et le Sang du Christ. Elle ne rejette pas le mot de "transsubstantiation"; mais elle ne lui assigne pas ce sens matériel qui lui est assigné par les docteurs des Églises qui se sont séparées. Le changement du pain et du vin en le Corps et le Sang du Christ est accompli dans l'Église et pour l'Église. Celui qui reçoit les saintes Espèces avec foi, ou qui les adore avec foi, ou qui y pense avec foi, c'est en toute réalité qu'il reçoit le Corps et le Sang du Christ, les adore, et y pense. Celui qui les reçoit indignement, celui-là rejette en toute réalité le Corps et le Sang du Christ; en tout cas, c'est le Corps et le Sang du Christ qui, dans la foi ou l'absence de foi, sanctifient ou condamnent. Mais ce Sacrement s'opère dans l'Église, il n'est ni pour le monde extérieur, ni pour le feu, ni pour l'animal sans raison, ni pour la corruption, ni pour l'homme qui n'a pas entendu la loi du Christ. Dans l'Église elle-même (nous parlons de l'Église visible), pour les élus et pour les réprouvés, la sainte Eucharistie n'est pas simple mémorial du mystère de la Rédemption, ni présence de dons spirituels dans le pain et le vin, ni simple réception spirituelle du Corps et du Sang du Christ, mais c'est Son Corps et Son Sang véritables. Ce n'est pas en esprit seul qu'il a plu au Christ de s'unir au croyant, mais bien par le Corps et le Sang, afin que l'union soit complète, qu'elle soit non seulement spirituelle, mais aussi corporelle. Sont également contraires à l'Église et les explications insensées sur la relation du saint Sacrement aux éléments et aux créatures irrationnelles (alors que le Sacrement a été établi seulement pour l'Église), et l'orgueil spirituel qui méprise le corps et le sang et qui rejette l'union corporelle au Christ. Ce n'est pas sans corps que nous ressusciterons, et nul esprit à part l'Esprit de Dieu, ne peut être dit totalement incorporel. Celui qui méprise le corps pèche par orgueil de l'esprit.

Sur le sacrement de l'Ordination, la sainte Église enseigne que par lui la grâce qui opère les Sacrements se transmet par voie de succession depuis les Apôtres et le Christ lui-même : non pas comme si nul Sacrement ne pouvait être opéré autrement que par l'Ordination (car tout Chrétien peut par le baptême ouvrir la porte de l'Église à un enfant, à un Juif, à un païen), mais en ce que l'Ordination contient en elle toute la plénitude de la Grâce que le Christ donne à son Église. Et l'Église elle-même, en communiquant à ses membres la plénitude des dons spirituels, a fixé, en vertu de la liberté qu'elle a reçue de Dieu, des différences de degré dans l'Ordination. Autre est le don pour le prêtre qui opère tous les Sacrements excepté l'Ordination, autre le don pour l'évêque qui accomplit l'Ordination; et au-dessus du don de l'épiscopat il n'y a absolument rien. Le Sacrement donne à celui qui le reçoit cette grande importance : tout indigne puisse-t'il être, son action désormais, lorsqu'il accomplit son ministère sacramentel, ne procède nécessairement plus de lui-même, mais de toute l'Église, c'est-à-dire du Christ Qui vit en elle. Si l'Ordination cessait, tous les Sacrements cesseraient de même, sauf le Baptême; et l'humanité serait arrachée à la Grâce : car alors l'Église elle-même témoignerait que le Christ l'a abandonnée.

Sur le Sacrement de Chrismation [Confirmation par le Chrême], l'Église enseigne qu'en lui le Chrétien reçoit les dons du Saint-Esprit, Qui confirme sa foi et sa sainteté intérieure. Et ce Sacrement est opéré, selon la volonté de la sainte Église, non pas par les seuls évêques, mais aussi par les prêtres, encore que le Chrême lui-même ne puisse être consacré que par un évêque.

Sur le Sacrement de Mariage, la sainte Église enseigne que la grâce de Dieu, qui bénit la succession des générations dans l'existence temporelle de l'humanité et la sainte union de l'homme et de la femme pour l'organisation de la famille, cette grâce est un don sacramentel qui impose à ceux qui le reçoivent une éminente obligation d'amour mutuel et une sainteté spirituelle, par lesquels ce qui autrement serait pécheur et matériel se revêt de justice et de pureté. Aussi les Apôtres, ces grands docteurs de l'Église, reconnaissent-ils le Sacrement de Mariage même chez les païens; car, alors qu'ils interdisent le concubinage, ils confirment le mariage entre païens et Chrétiens, en disant que l'homme est sanctifié par la femme croyante, et la femme par l'homme croyant (1 Cor. 7, 14). Ces paroles de l'Apôtre ne signifient pas que l'incroyant soit sauvé par son union au croyant, mais que le mariage est sanctifié : car ce n'est pas l'être humain qui est sanctifié, mais bien le mari ou la femme. L'être humain n'est pas sauvé par un autre être humain, mais mari ou femme sont sanctifiés en relation au mariage lui-même. Ainsi le mariage n'est pas impur, même chez les idolâtres; mais ils ne connaissent pas la grâce de Dieu qui leur a été donnée. La sainte Église, par ses ministres ordonnés, reconnaît et bénit l'union de l'homme et de la femme, union bénie de Dieu. Aussi le Mariage n'est-il pas un simple rite, mais un véritable Sacrement. Et il reçoit son achèvement dans la sainte Église, car c'est en elle seule que toute chose sainte s'accomplit en sa plénitude.

Sur le sacrement de Confession [ou de Pénitence], la sainte Église enseigne que sans lui l'esprit humain ne peut être purifié de l'esclavage du péché et de l'orgueil pécheur; qu'il ne peut pas lui-même absoudre ses propres péchés (car nous ne sommes maîtres que de nous accuser, non de nous justifier); et que seule l'Église a pouvoir de justifier, car en elle vit la plénitude de l'Esprit du Christ. Nous savons que le premier-né au Royaume des Cieux, après le Sauveur, est entré dans le sanctuaire de Dieu en s'accusant lui-même, c'est-à-dire par le sacrement de Confession; il dit en effet "car nous recevons selon nos oeuvres", et il reçut l'absolution de Celui Qui seul peut absoudre et Qui absout par la bouche de Son Église.

Sur le sacrement d'Onction avec de l'huile consacrée, c'est-à-dire d'Onction des Malades, la sainte Église enseigne qu'en lui s'opère la bénédiction de tout le combat (2 Tim. 4,7) que l'homme a enduré durant sa vie sur terre, de toute la route qu'il a parcourue dans la foi et l'humilité; et que dans l'Onction des Malades s'exprime le Jugement même de Dieu sur le composé terrestre de l'homme, le guérissant lorsque tous les remèdes sont impuissants, ou bien permettant à la mort de ruiner ce corps corruptible, désormais inutile à l'Église terrestre, ou les voies mystérieuses de Dieu.

"L'Église est Une"
par Alexei Stepanovich Khomiakov (1804-1860)

(Source: St Materne)

Baptised into Christ

Everyone keeps saying that we are baptised into a faith. That makes things easy when we are considering if we can recognise the baptism of the Catholic Church. They clearly believe some things that are different, therefore they have a different set of teachings, and therefore they must baptise people into a different faith than our Coptic Orthodox one. Yes? No? So, we can’t receive their baptism? Yes? No?

It would be easy if this was what Orthodoxy taught. It would makes things both very clear and very complicated. If we could decide whether someone had been baptised into the Church by considering what they believed then that should make everything much more straightforward. Yes? No? Actually, it is another one of those perspectives in things that looks really traditional and simple. But when I look out over a congregation I can be very sure that most of the people gathered there, maybe even all the people, hold an inaccurate understanding of at least one aspect of the Orthodox Faith. Some of the people in front of me might have a very distorted understanding of Orthodoxy. Yet when everyone comes forward for communion they are not required to take a theology test before receiving Christ in the Holy Mysteries.

That doesn’t mean that right belief is of little importance. Indeed, I am convinced that having a wrong understanding of the Christian Faith causes problems in our experience and growth into the spiritual life. But it seems to me, when we think about it, that teaching and encouraging a right understanding of the faith is the responsibility of the bishops and priests in the Church in the first place, and a poor knowledge and experience of the riches of Orthodoxy is not usually the fault of the laity, but of those with the ministry of teaching. Indeed, when we realise that the Church is made of many people from very diverse backgrounds, educational levels, spiritual experience and understanding, it is not a surprise that our churches have to face the lack of a proper patristic understanding and knowledge of the faith in many places. This is why, to a great extent, non-Orthodox teachings and practices have become so attractive and problematic.

What am I saying? It is that even in our own community, we do not make theological accuracy the most important, or even a very significant, standard by which we determine if someone might participate in the sacraments. So, if we wish to adopt the view, which looks serious and Orthodox, that we cannot accept the baptism of Catholics because they do not believe as we do, then we would need to adopt just such as strict a view towards our own congregations. And even within our Coptic Orthodox Church there are priests who disagree on serious matters, and even bishops who hold opinions on theological matters which cannot be easily reconciled with Orthodoxy and with other of our. bishops.

What we have not done in our Orthodox community, is to insist that a difference of theological views and understandings immediately means that one or other of those who disagree must have ceased to be a member of the Church. Those Orthodox, in other places, who have adopted such a view, and it is not Traditional at all, have ended up splintering into smaller and smaller groups, becoming more and more sectarian, as even the tiniest theological difference becomes a cause for further schism.

There are priests in our own Church, let alone laity, who will disagree with some of the things that I write, and I will disagree with them. But our disagreement does not ever lead me to suggest that others are not part of the Orthodox Church. Yet the strict and not Traditional view, that because Catholics have some different teachings, they must be baptising into a different faith requires just such an attitude. And if we want to apply it to Catholics we must apply it to ourselves. And if we did, then we would find the Coptic Orthodox Church shattered into contradictory groups, each claiming to be the true Church.

Our faith is not a matter of accepting certain propositions about Christ. Such a view is in fact not very different from many Protestant groups. It is indeed in Protestantism that the idea that we are baptised into a faith has some meaning and expression. I have friends who were baptised as an infant in the Anglican Church, and were then baptised again when they joined an Evangelical Church. To a great extent this was because what is called baptism in the Evangelical groups is not a sacrament at all, but a means of a mature convert showing that they have accepted the Christian faith themselves and have asked Jesus to save them. I went though such an experience myself as a teenager with no thought at all that baptism should be a sacrament in which God performed something for us by the Holy Spirit. On the contrary, we were doing something for God, witnessing to our beliefs in front of other people. This might be commendable, but it is not baptism in any Apostolic sense, and it requires primarily a commitment to a set of values and teachings. There are even those who are baptised many times in modern Evangelical and Pentecostal groups because it is a way of making a personal statement and it is not a sacrament at all.

I remember passing one local Evangelical Church which has a poster outside saying, in paraphrase,  “If you believe that Jesus died for your sins then you are saved”.  This sounds great, but it entirely denies the union with God by the indwelling Holy Spirit which is the heart and purpose of the Christian life. It makes Christianity a matter of believing things about God instead. If we are not careful then the language being used by some of being baptised into a faith is no better than that advertised outside this local church, and is certainly not Orthodoxy.

What beliefs are we being baptised into in such a view? If we were tested on them, what would be the pass mark? How would our children and youth pass? Or those without a detailed theological education? This is not Orthodoxy. This is not how our own Coptic Orthodox community has acted over the last 1500 years or more.

In fact we are not baptised into a faith but into Christ. As St Paul says, Or don’t you know that all of us who were baptised into Christ Jesus were baptised into his death? And it is Christ who acts in the sacraments by the Holy Spirit. They are his gift to mankind, not activities that belong to a society or club, and which restricts them to those who meet certain membership criteria. From the earliest times the Church accepted the baptism of man groups that certainly taught error. These included even the Arians, those who did not believe that the Word of God was truly God. Our Coptic Orthodox Church accepted the baptism of the Chalcedonians, even when the controversy with them was at his height and we were facing persecution from the Imperial power. The Coptic Orthodox Church even accepted the baptism celebrated by the Church of the East, sometimes called the Nestorians. Nor was this a very long time ago, but this was the constant practice of our Church from the earliest times until the 19th century.

There was no sense that anyone was baptised into a faith. Rather, those who are truly baptised, are baptised into Christ. And to be baptised into Christ has never meant the same as holding onto an exact set of statements about Christ and God. Indeed, when St Cyril of Jerusalem was teaching those who were to be prepared for baptism, there were a great many things he didn’t teach them until AFTER they had been baptised. It was IMPOSSIBLE for them to be baptised into a faith, if we mean a list of things that are to be believed, because they had not been taught it all, and much of what the Church believed was kept secret from those who had not been baptised.

Much of what the Church teaches is still a mystery to many laity, and even priests, how can this mean that we baptise anyone into a faith? We do not. When we baptise someone, and last week I was reminded of the words of our baptismal service because I was blessed to baptise both a tiny baby on Sunday morning, and then an adult convert later in the day, we do not ask very much of the person being baptised at all. We ask them to renounce Satan, and to confess Christ, and then to accept a very short reference to the Holy Trinity and the resurrection of mankind, and the Church. Our baptism is not into a faith, but into Christ, in the name of the Holy Trinity, and for membership in the Church, the Body of Christ.

What is required of those being baptised into Christ is some measure of faith in Christ, not the acceptance of a set of doctrines, however important those also are. Nor does this mean that the Church in the past, or in the present, should accept any washing with water that is called a baptism. I have already spoken about my own Evangelical baptism, which had meaning, but since it absolutely was not a sacrament, and no one, including myself, believed it was a sacrament, it cannot be called the sacrament of baptism. Nor did the Christian group I belonged to have any connection with any expression of Apostolic Christianity. In such circumstances it seems entirely reasonable, and in agreement with the practices of our Fathers over 1500 years, that a baptism that was performed by a group with no connection to Apostolic Christianity, and with no recognition of baptism as a sacrament, should not be recognised as a sacrament, and so a true sacramental baptism into Orthodoxy should be required.

But the situation with Catholics, or Eastern Orthodox, is very different. And it is not different as a matter of my personal opinion, but as a matter of the practice of our Church from the 4th century to the 19th century. The question which our Fathers asked, was not, does this group have exactly the same faith as us, since clearly groups outside of our communion did not have exactly the same faith. But did this or that group intend to practice the sacrament and unite the one being baptised with Christ, and did the group have a Trinitarian faith, even if it were defective, and did the group preserve the episcopate and the priesthood. On this basis, for all of the centuries since Chalcedon, the Coptic Orthodox Church has not baptised or even chrismated Chacledonians, even though their teaching about Christ was considered heresy. Even priests and bishops were received in their rank. They were, essentially, considered as being also the Church, in some sense, and being Christians who held to error rather than those who did not have a Christian faith at all.

The only reason that relations with the Catholic became difficult, and we began to baptise those in Egypt who wished to become Orthodox, was because they unreasonably began to conduct hostile missionary activities towards the Coptic Orthodox minority, and then established a Catholic Church in Egypt. The response was to treat them as non-Christian. But it was a new approach, entirely out of keeping with 1400 years of unbroken Tradition, and introducing a new idea, even a Protestant idea, that we are baptised into a particular faith and not into Christ.

It is problematic to introduce St Samuel the Confessor as one who would object to receiving the baptism of Catholics. On the contrary, he was appalled that one of the worst of Chalcedonian bishops dared to start baptising Coptic Orthodox. St Samuel considered the baptism of Chalcedonians, even when their persecution was fiercest, to be blasphemy. He would never support those demanding the baptism of Catholics. He would insist that such views failed to express the real meaning of baptism. It is not a badge of membership in the Coptic Orthodox Church, but is the means of union with Christ in his own Body.

Within the Body of Christ there is no exact agreement between all. This does not prevent our experiencing union in Christ. There is no requirement for a certain theological education. The theologian is one who knows how to pray, not someone who knows a lot of things about God. There is even the possibility, as history shows us, of those who have been truly baptised into Christ, falling into separation from each other, or holding wrong teachings in some respect. But this does not, and has never, prevented Christ acting for the salvation of souls in his own sacraments by the Holy Spirit.

We are not baptised into a faith, and therefore we cannot deny the baptism of Catholics because we have some controversy remaining between us. There were much greater disagreements in the past, and our great Fathers – St Dioscorus, St Timothy and St Severus – all refused to consider baptising Chalcedonians. St Samuel the Confessor would not agree with those denying the baptism of Catholics – this was never his practice. There is no practical difference between the Catholic Church, with its errors, and the Chalcedonian community of which they are a part, and which was ALWAYS received without baptism or chrismation. We are baptised into Christ if we are baptised at all, and our Fathers teach us that Catholics certainly are.

(Source: http://www.stgeorgeministry.com/?p=1154 / Abouna Peter Farrington  )

 

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LA PRIÈRE, les forces du ciel à la disposition de l'homme … 

Soyons intimement convaincus de l'efficacité de la prière et servons-nous de ce moyen que Dieu a mis à notre disposition pour obtenir tout ce dont nous avons besoin.

Sainte Madeleine de Pazzi avait coutume de dire que Dieu est tellement satisfait quand nous lui demandons des grâces qu'il nous en remercie en quelque sorte ; parce qu'il semble alors que nous lui donnons le moyen de nous combler de biens et de contenter son désir bienfaisant. " Soyons persuadés que lorsque nous demandons des grâces à Dieu il nous donne toujours plus que nous ne demandons." (jac. 1) Ainsi parle l'Apôtre saint Jacques pour apprendre que Dieu n'est pas comme les hommes avare de ses biens. Les hommes, quelque riches, quelque pieux et libéraux qu'ils soient, quand ils font des aumônes, donnent presque toujours moins qu'on leur demande, parce que leurs richesses, quelque grandes qu'elles soient, sont néanmoins des richesses finies ; ainsi plus ils donnent, moins il leur reste... Mais Dieu, lorsqu'on le prie, donne à pleines mains, parce que ses richesses sont infinies ; plus il donne, plus il reste à donner.

Quelles que soient les difficultés de la vie, nous ne devons donc perdre courage, puisque nous pouvons dire avec saint Paul que tout nous est possible avec l'aide de la prière. (Phil. IV)

La prière est toute puissante, dit Théodoret ; seule elle peut tout obtenir.Saint Bonaventure soutient qu'elle nous procure tous les biens."  Saint Bernard ne craint pas d'avancer que la prière est plus puissante que le Tout Puis­sant lui-même, qu'elle désarme celui qui est invincible."

Saint Jean Chrysostôme dit que la prière est une arme avec laquelle nous pouvons triompher de tous les efforts du démon, un moyen de défense qui nous préserve de tous les dangers, un port assuré qui nous met à l'abri de toutes les tempêtes, un trésor où nous trouvons tous les biens réunis.

La prière, dit saint Laurent Justinien, apaise le courroux de Dieu qui s'empresse de pardonner celui qui le prie ; elle nous obtient toutes les grâces que nous désirons ; elle nous met au-dessus de toutes les forces de nos ennemis ; en un mot, elle change les hommes d'aveugles en clairvoyants, de faibles en forts, de pécheurs en saints."

La prière est une puissance qui commande à Dieu lui-même ; elle triomphe du Tout-Puissant, dit Tertulien : La prière bien faite domine le cœur de Dieu ; c'est lui-même qui, dans sa bonté paternelle, a établi cet ordre de chose admirable où l'amour des enfants enchaîne la justice du père. Dieu nous a fourni des armes contre lui ;  heureux celui qui sait s'en servir. " Le Christ, dit saint Nil, tressaille de joie quand on lui fait violence.

Nous voyons-nous dans les ténèbres, ignorant l'avenir, ou­blieux du passé ? Cherchons-nous à connaître ce qui nous serait le plus utile à l'heure présente ? Tournons-nous vers Dieu ; la prière attirera sur nous la lumière d'en haut ; elle éclairera nos doutes ; elle dissipera les ténèbres de notre esprit et nous donnera le calme et la sagesse qui assureront le succès de nos démarches. "Seigneur, disait le Prophète, faites-moi connaître la Voie où je dois marcher; car j'ai élevé mon âme vers vous." (Ps. 142)  Tout le secret de la vie est dans cette prière : connaî­tre sa route, c'est-à-dire, connaître ce qu'on doit croire ici-bas, ce qu'on doit espérer et pratiquer, ce qu'on doit faire pour que cette vie soit comme l'antichambre du ciel, voilà bien l'homme tout entier.  (Eccl. XII)

Mais Dieu seul peut ainsi éclairer la vie, la pénétrer de ces vives clartés qui montrent le vrai chemin, parce que Dieu est la lumière indéfectible qui sait tout et que rien ne peut obscurcir. Et quand on se rapproche de Dieu on voit clairement ce qu'il faut croire ce qu'il faut faire. (Ps. 33).

Sommes-nous dans la peine, dans la douleur ? Ne perdons pas courage ; ayons confiance en la protection et la miséricorde de Dieu. Il nous appelle à lui, il nous tend les bras, il nous offre son secours, il veut nous consoler, essuyer nos larmes, nous aider à porter le fardeau de nos misères, venez à moi vous tous qui êtes affligés et je vous soulagerai " (math. XI).

Dans les moments d'angoisse, rien ne soulage le cœur comme une prière bien faite. Une main invisible alors sèche nos larmes ; chacune de nos paroles, chaque mouvement de notre cœur semble monter vers les cieux et retomber sur nous comme un vent léger qui dissipe les nuages, comme une rosée qui ranime la plante des­séchée ; le calme revient, l'amertume s'adoucit, la sérénité de la conscience fait ouvrir ce cœur qui allait se fermer à la joie. " La prière, dit saint Jean Chrysostôme, est le refuge des âmes tristes, le fondement de la joie, la source d'un perpétuel bonheur. "Elle est, dit saint Nil, un talisman contre la tristesse et le décourage­ment. " Ces paroles ne sont que le commentaire de cette parole de l'Apôtre : "Si quelqu'un de nous est triste, qu'il prie " (jac. v)Qu'il prie avec son âme, avec sou cœur ; qu'il prie avec amour, avec confiance ; qu'il se jette comme un enfant bien-aimé entre les mains de Dieu et jamais sa confiance ne sera trompée.

Lacordaire, ayant un jour à définir la prière, le fit en termes magnifiques : la prière, dit-il, est l'acte tout puissant qui met les forces du ciel à la disposition de l'homme. Quelle belle pen­sée ! C'est parce qu'elle est vraie que Jésus, le vaincu divin, ne peut s'empêcher de confesser sa défaite : " Demandez, dit-il et vous recevrez ; frappez et l'on vous ouvrira ; tout ce que vous demanderez à mon Père en mon nom, il vous le donnera. " Que d'exemples nous avons de cette vérité dans nos saints Livres !

Voyez Moïse ; le Seigneur veut exterminer Israël, ce peuple idolâtre, qui, oublieux de tant de bienfaits, s'est mis à adorer le veau d'or. Moïse n'a pas encore ouvert la bouche, il n'a pas encore dit une seule parole, mais son âme va prier et c'est assez pour que la colère divine soit désarmée. Dieu ne peut plus sévir. " Laisse-moi, dit-il à Moïse, afin que mon courroux s'enflamme et que je les détruise. " Mais Moïse ne renonce pas à son dessein et Israël est épargné. Ainsi donc la seule approche de la prière suffit pour sauver ces âmes.

Voyez Agar. Elle est partie désespérée, folle de douleur, abandonnant son fils sous un palmier où il meurt de faim et de soif. Elle n'a plus que cette pensée : ''Au moins je ne verrai point mourir mon enfant. " Mais bientôt elle n'y tient plus, elle se met à sangloter, elle pleure, " elle envoie, dit Mgr Bougaud, je ne sais quel cri. " Et à l'instant même, un ange apparaît qui lui montre une source d'eau vive. C'est la vie ! C'est le salut ! Et à quoi sont-ils dus ? A la puissance que possède sur le cœur de Dieu la prière.

Cela est encore plus frappant dans l'Évangile. Voyez le cen­turion dont le serviteur va mourir et qui demande à Jésus de le sauver. " J'irai, répond le Maître, et je le guérirai. " (math. VIII) Voilà Jaïre qui vient de perdre sa fille unique, à douze ans, l'âge de tous les charmes et de toutes les espérances " Ne crains rien, lui répond Jésus, aie la foi et elle sera sauvée. " Et l'en­fant est rendue à son père. (Luc VIII) Voilà un homme qui se jette à ses genoux et lui demande la guérison de son fils possédé du démon. Jésus de suite délivre le petit. (math,xvn) — Et le jeune homme de Naïm ! Sa mère, elle ne va pas se prosterner aux pieds du Sauveur ; elle ne le voit même pas ; aveuglée par ses larmes, absorbée par sa douleur, elle suit le cercueil de son fils ; mais Jésus l'aperçoit ; cette douleur silencieuse l'émeut ; il ne peut voir plus longtemps souffrir cette femme. " Ne pleure pas," lui dit-il. Puis de sa voix toute puissante, s'adressant au mort: "Jeune homme, dit-il, je vous le commande, levez-vous, et le jeune homme se lève, l'enfant est rendu à sa mère (Luc, 7).

Comme les saints ont bien prouvé cette efficacité de la prière ! Voyez sainte Catherine de Sienne, l'admirable fille de saint Do­minique ; elle convertit tant d'égarés par ses supplications que le Pape, saint Grégoire XI est obligé de lui adjoindre quatre con­fesseurs qu'elle tient incessamment occupés au tribunal de la pénitence. Voyez sainte Thérèse ; il a été dit d'elle que, par ses oraisons, elle avait ramené autant d'âmes à Dieu que saint Fran­çois Xavier par ses prédications et ses miracles.

Allons donc dans nos prières trouver le vrai consolateur, l'ami souverain qui connaît le mieux les routes de l'âme pour y faire pénétrer la vie et la confiance. Disons-lui : " Seigneur, répandez, la joie dans mon âme, parce que j'ai élevé mon cœur vers vous.(Ps. 85). "Au jour de la tribulation, j'ai cherché le Seigneur et je n'ai point été déçu dans mes espérances ; mon âme a refusé les consolations de la terre et j'ai trouvé la joie. (Ps. 76).

La porte du cœur de Jésus est toujours ouverte à toutes les heures du jour et de la nuit ; il est toujours prêt à entendre nos supplications avec la plus grande bonté. Non content de cela, il nous invite, il nous sollicite, il nous presse, il va même jusqu'à nous menacer pour nous déterminer à aller à lui. Jamais il ne se rebute de nos importunités et des ennuyeux récits que nous lui faisons de nos misères et de nos besoins ; on n'a jamais ouï dire que personne se soit retiré mécontent d'auprès de lui ; chacun, au contraire, y a trouvé la consolation et le secours qu'il cherchait.

Prier, c'est donc détacher de la terre nos pensées, nos senti­ments, nos affections, et élever notre esprit, notre cœur, notre volonté, tout notre être jusqu'au trône du Très Haut, notre Créateur et notre Maître, notre bienfaiteur et notre Père.

La prière est le premier moyen de sanctification que nous a donné le Père Céleste, celui qui nous fait obtenir tous les autres ; c'est en elle que tous les saints ont placé la meilleure espérance du salut.

Quelle douce satisfaction de savoir que nous pouvons beau­coup auprès de Dieu. Lorsqu'un homme jouit de la confiance d'un de ses semblables haut placé, ses amis le flattent, en lui disant : " Heureux mortel, vous n'avez qu'à demander pour obtenir. "

Eh bien ! Nous sommes tous de ces heureux mortels ; nous avons nos entrées libres, non pas chez un ministre ou chez un roi de la terre, mais chez le Roi des rois pour y recevoir des secours pour tous nos besoins temporels et la promesse d'un, trône glorieux dans l'éternité.

Extrait de : La Prière - Olivier Elzéar Mathieu. Archevêque de Régina   (1925)

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Ces chrétiens irakiens et syriens à qui l’on barre le chemin de la France

En charge de l’accueil des chrétiens d’Irak et de Syrie en France, le préfet Jean-Jacques Brot a dénoncé, sur l’antenne de la radio locale RCF Vendée, une baisse drastique du nombre de visas de réfugiés délivrés aux chrétiens d’Orient en raison « d’empêchements bureaucratiques ou idéologiques de la part de certains fonctionnaires français ».

Jean-Jacques Brot, préfet hors-cadre, a été nommé le 9 mars 2015, coordinateur de l’accueil d’une partie des réfugiés syriens et irakiens.

Aleteia : En quoi consiste votre mission ?
Jean-Jacques Brot : J’ai été mandaté il y a plus de deux ans pour m’occuper de deux catégories de réfugiés. Je précise bien de « réfugiés » et non de migrants dont on ne connaît pas le statut. L’une de ces catégories concerne des familles qui sont actuellement sous la protection de l’ONU et du Haut Commissariat des Nations Unies aux réfugiés (HCR) dans des camps en Jordanie, au Liban et en Turquie. Le HCR propose à la France un certain nombre de ces familles à l’Office français des réfugiés et apatrides (OFPRA) qui les accepte sur le territoire français après auditions. Beaucoup sont refusées car soit elles ne veulent pas vraiment venir en France soit elles manifestent un prosélytisme islamiste soit parce qu’elles ne sont pas victimes d’une vulnérabilité. Nous appelons cela de la réinstallation dont l’accord date de février 2008 entre la France et le HCR. L’objectif est d’accueillir en 2016/2017, 10 375 personnes. Avant mon arrivée, 500 Syriens étaient arrivés par ce procédé, ensuite 780 lors de ma première année et actuellement 2600.
L’autre catégorie de réfugiés dont je m’occupe est celle de familles, irakiennes uniquement, persécutées pour leurs confessions religieuses. En d’autres termes, les chrétiens et les yézidis. Lors de l’invasion de la plaine de Ninive par Daesh à l’été 2014, le gouvernement français avait choisi le système de visas pour asile. C’est un procédé qui a fonctionné cahin-caha car, à mon grand désespoir, j’ai constaté entre 2015 et 2016 une baisse de 40% du nombre de visas délivrés à ces minorités religieuses persécutées. La réalité est que, contrairement à ce que l’on peut entendre depuis des mois, l’accueil des chrétiens d’Orient est faible.

Quelles en sont les causes ?
Nous constatons un enchaînement d’empêchements bureaucratiques ou idéologiques. Il y a objectivement un certain nombre de fonctionnaires, dont je ne citerais pas les noms qui, par leurs écrits, leurs actes ou leur lenteur, expriment leurs convictions.
Autre raison : le manque de moyens des consulats de France à Erbil, Ankara ou Beyrouth. Il a fallu attendre l’arrivée de Jean-Marc Ayrault comme ministre des Affaires étrangères pour que six postes budgétaires soient créés et que les instructions des visas pour asile des chrétiens et des yézidis reprennent. Des retards considérables se sont accumulés malgré mes protestations par écrit et oral à tous les cabinets ministériels concernés. Tout cela sans émouvoir le monde politique ni ecclésiastique.

Les chrétiens d’Orient eux-mêmes se demandent pourquoi leur cause n’avance pas alors que la politique migratoire de la France est plutôt généreuse…
Une des raisons qui explique ce système à deux vitesses est à trouver dans les prises de position de certains patriarches qui, dans des voitures et hôtels de luxe quand ils sont en France, appellent les chrétiens d’Orient à ne pas fuir leur pays. Cela peut se comprendre pour ceux qui n’ont pas été torturés et violés mais le discours de ces patriarches est catastrophique. Ils alimentent ceux des fonctionnaires qui, en France en particulier, font passer leurs convictions avant le sauvetage de ces familles vulnérables. Ils se saisissent de ces discours pour en tirer argument à refuser des visas.

Tandis que les pouvoirs publics en France ont trouvé rapidement des logements en région pour accueillir les migrants de Calais par exemple…
Je pense qu’à l’occasion du débat présidentiel et de la préparation de la rénovation du modèle administratif qui devrait s’en suivre, il serait bon de remettre tous les systèmes d’accueil dans une cohérence. Il y a un amalgame entre migrants de Calais, ces « réfugiés » économiques, les demandeurs d’asile et les réfugiés. Il existe même une dérive sémantique qui englobe tout le monde sous le titre de « réfugié ». Ce sont pourtant des choses distinctes sur lesquels il serait bon d’avoir un langage de vérité. Rappelons par exemple que sur les 80 000 demandeurs d’asile du dispositif général par an en France seuls 35% sont admis mais cela veut dire que 55 à 60 000 déboutés du droit d’asile ne sont pas reconduits à la frontière et qui s’ajoutent aux 200 000 immigrants qui arrivent par an en France. Les Français ont le droit de connaître ces chiffres ! Je demande l’augmentation du nombre de réfugiés et l’inconditionnalité de l’accueil, à proportion de la vulnérabilité, mais à condition qu’on n’écarte pas ceux qui ont le droit d’être considérés comme des réfugiés : les chrétiens et les yézidis d’Irak. Quand mes collègues préfets trouvaient à la hâte des logements pour des groupes de « calaisiens », évidemment cela pesait sur la demande de logements pour d’autres catégories. Plusieurs dispositifs sont entrés en concurrence et mériteraient d’être aplanis afin que plus de réfugiés puissent venir en France mais à la condition que l’on reconduise à la frontière les déboutés du droit d’asile. Mais la priorité politique semble inverse, les migrants ont d’abord été accueillis puis les demandeurs d’asile, et enfin « mes » réfugiés chrétiens.

(Source ALETEIA / Propos recueillis par Thomas Cauchebrais.)

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 Santé. Les généralistes ont obtenu une hausse de deux euros du prix des consultations. Un début qui reste très insuffisant, estiment les représentants de la profession.

Le tarif d'une visite chez votre généraliste va augmenter à compter du 1er mai. Les médecins ont obtenu de l'Assurance maladie une augmentation de deux euros des consultations, qui passeront de 23 à 25 euros.

Pour les enfants de moins de six ans, le tarif sera par ailleurs réévalué à 30 euros. D'autres augmentations doivent suivre au cours des prochains mois, notamment l'avis ponctuel de spécialiste, qui grimpera progressivement de 46 à 48 puis à 50 euros.

“Ce n'est pas avec une pièce de deux euros qu'on changera la vie des généralistes”

Obtenue après cinq mois de lutte acharnée, cette revalorisation ne satisfait pas vraiment les professionnels de santé, qui estiment qu'il faudrait faire grimper beaucoup plus les tarifs pour résoudre les nombreux problèmes de la médecine française, qui voit le nombre de généralistes diminuer chaque année.

“Tous les voyants sont au rouge, les déserts médicaux s'étendent et ce n'est pas avec une pièce de deux euros qu'on changera la vie des généralistes”, martèle Jean-Paul Hamon, président de la FMF, syndicat de médecins généralistes et spécialistes.

Selon lui, il faudrait a minima faire passer le prix de la consultation à 40 euros, “dans la moyenne des pays européens”.

 

source

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INVITATION(S):

Pélerinage islamo-chrétien à Chartres samedi 13 mai 10h-20h

 

De: GAICF <gaicf.asso@gmail.com>

 
Chers Amis,
 
Comme les années précédentes, je vous informe que nous organisons, au titre du GAIC (Groupe d'Amitié Islamo-Chrétienne), un pèlerinage entre chrétiens et musulmans le 13 mai prochain à Chartres.
 
Nous vous prions de trouver ci-joint le dépliant donnant les indications relatives à cette démarche.
 
Je reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
 
Bien cordialement,
 
Hubert de Chergé
06 70 72 50 80
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Où nous trouver ?

Paroisse NORD-OUEST et Nord-Est

(N-D de Miséricorde):
 

NORMANDIE :

  CHANDAI (61):

* Le Sanctuaire Marial de la

Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde

DSC01238

(Fresque de la Mère de Dieu entourée des Apôtres, mur Est  du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)

 
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde
Brévilly
61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58 

 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

DSC01245-copie-2

(Fresque des Sts Pères Interieur droit du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)

 
Messe journalières en semaine à 10h30

 

Tous les dimanches, Messe à 10h30 et permanence constante de prêtres  pour CATÉCHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .

(Liturgie de St Jacques dite "d'Antioche-Jérusalem") 

Tel: 02.33.24.79.58 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

DSC01246-copie-1

(Fresque des Sts Pères Interieur gauche du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)

 

* Relais Paroissial St Michel

S/ Mme H MARIE, 43 Rue de la Marne

14000 CAEN.Tel: 02.33.24.79.58

 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

 

 

Le 30 de chaque mois, Permanence pastorale de 8h30 à 19h (Sur R.D.V) chez Mme Henriette Marie, 43, Rue de la Marne à CAEN. Tel 06.33.98.52.54 . (Possibilité de rencontrer un prêtre pour Catéchisme, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) . 

 

NANTES:

*Groupe de prières et "relais paroissial" St Charbel

18h, Messe le 2ème jeudi de chaque mois et permanence régulière d'un prêtre Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) de 9h à 17h (06.48.84.94.89 ).

 

ANGOULÊME (Jauldes):

*Paroisse N-D de Toutes Grâces/St Ubald

MAISON NOTRE-DAME
LE BOURG
16560 JAULDES.

Tel:05.45.37.35.13
* Messe les 2èmes et  4èmes Dimanches de Chaque mois à 10h30 suivies d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.

* Possibilité de prendre Rendez-vous avec le prêtre la semaine suivant le 2éme dimanche du mois ainsi que pour les visites aux malades et à domicile.

Permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .

PERIGUEUX (La Chapelle Faucher):

*Paroisse Notre-Dame de la Très Sainte Trinité

Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front
ERMITAGE ST COLOMBAN
*
Puyroudier (Rte d'Agonac)
24530
 LA CHAPELLE FAUCHER.

Tel:05.45.37.35.13

 * Messe le 4ème samedi de Chaque mois à 10h30 et permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISMES, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .

 

LOURDES:

*"Relais paroissial St Gregorios de Parumala"

 * Messse  le 5ème dimanche du mois ( en fonction des besoins des fidèles) à 10h30

20 Rte de Pau

 

 

CAMEROUN:

Pour obtenir les adresses du Monastère de YAOUNDE,

des paroisses et "relais paroissiaux de Doula, Yaoundé, Elig Nkouma, Mimboman, Bertoua, Monabo, veuillez les demander au Monastère Métropolitain: 

 

Monastère Syriaque N-D de Miséricorde
Brévilly
61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58 

 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

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Aucun texte alternatif disponible.

"Christ est Ressuscité, en vérité, Il est vraiment Ressuscité" Alléluia, Alléluia !

Rejetons les œuvres de ténèbres et vivons dans l'amour de Dieu, Source de notre vie et l'amour du prochain...

PROGRAMME LITURGIQUE

 

(mis à jour ) pour Avril :

 

 

HEUREUSE FÊTES DE PÂQUES !

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-PARIS: 

Prochaine permanence pastorale du Vendredi 5 Mai de 15h à 20h au Samedi 6 Mai de 8h à 12h.

 

Le Samedi 6 MAI

RAMASSAGE DES FIDÈLES de Paris et sa région pour le WE du Pèlerinage du Mois de Marie à Notre-Dame de Miséricorde, en Normandie, au Monastère  à 15h au point de rendez-nous habituel .

 

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NORMANDIE:

-CAEN: Une permanence pastorale sera assurée par le Père Isaac du 29 Avril au soir au 1 Mai au matin (prenez Rdv avec lui 07 87 11 06 03 par sms).

-LISIEUX (Coquainvillier) , le 22 Avril (En raison de la Semaine Sainte) *

-AU MONASTÈRE DE CHANDAI :
DIMANCHE 7 Mai, PÈLERINAGE du "Mois de Marie" à N-D de MISÉRICORDE et aux Sts du Kérala.*

JEUDI 25 Mai ASCENSION de Notre Seigneur.Procession des Rogations suivies de la Quadisha Qurbana (Ste Messe)*.

 

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Du 7 au 15 Mai, Pèlerinage Marial du "Mois de Marie".

Voici un rappel des Sanctuaires qui seront visités :
-Dimanche 7 Mai: Notre-Dame de Miséricorde(Messe à 10h30),
-Lundi 8:Notre-Dame de L’Épine , 
-Mardi 9: Notre-Dame de Houppach (Masevaux) et Saint Ubald (Thann/St Ubald est invoqué contre toutes influences malfaisantes).Messe à 17h à Houpach,
-Mercredi 10: Notre-Dame de Neubois (Messe à 10h) et Le Mont Sainte Odile("Route des vins"), 
-Jeudi 11: Notre-Dame de Thierenbach ("Route des vins"), 
-Vendredi 12,en chemin, Sanctuaire du Saint Enfant Jésus (Diocèse d'Autun), 
- Le 13, Notre-Dame d'Espis (Moissac.Messe à 15h), 
-Le 14 Notre-Dame de Toutes-Grâces et St Ubald (Vénération de la relique de Saint Ubald est invoqué contre toutes influences malfaisantes/Fête Patronale de notre Paroisse des Charentes)

_____________________________

 

"Confie-toi au médecin et il opérera les yeux de ton âme et de ton cœur. 

Qui est ce médecin ?

C'est Dieu, qui guérit et vivifie par son Verbe et sa Sagesse."

(St Théophile D'Antioche)

_____________________________

 

 

NANTES :Jeudi 18 MAI, Messe à 18h (Réception des fidèles de 9h à 17h )

ANGOULÊME (JAULDES ):
Dimanches 23 Avril  *

PÉRIGUEUX (LA CHAPELLE FAUCHER ) :
Samedi 22  *. . .

Prochaine permanence pastorale pour l’EST DE FRANCE,l ALSACE-LORAINNE, la SUISSE :

-Mercredi 10: Notre-Dame de Neubois (Messe à 10h) , repas fraternel et réception des fidèles.

 

 

 

 

*MESSES À 10H 30
-----------------------------------------------------
Nota bene :

Les "permanences pastorales" sont prévues pour vous assurer la proximité des sacrements
(Messes, Confessions, Onction des malades ), catéchisme, entretiens et accompagnements spirituels , prières de délivrance ( voir d'exorcismes ) ou de guérison intérieure . 
(RÉCEPTION SUR RDV) en fonction de la région où vous vivez

______________________________________________

Où trouver en France un Prêtre exorciste Orthodoxe Oriental ?

Cliquez sur ce lien:

_____________________________________________________

______________________________________________

NOS PELERINAGES :

+++

Pèlerinage Marial du "Mois de Marie".

 

Du 7 au 15 Mai. 

 

En chemin avec Notre-Dame et St Ubald, des

 

Sanctuaires d'Alsace au Sud-Ouest.

 

Programme et inscription, cliquez ci dessous:

 

MAI, PÈLERINAGE MARIAL DU "MOIS DE MARIE" DE L'ALSACE AU SUD-OUEST. / DU 7 AU 15 MAI / INSCRIVEZ-VOUS VITE !

 

Basilique Notre-Dame de l'Epine.JPG

 

+++

 

PELERINAGE DU CENTENAIRE A FATIMA

 

Du 7 au 16 Octobre 2017

 

Programme et inscription, cliquez ci dessous:

 

 

Afficher l'image d'origine

 

Pèlerinage Syriaque des "Chrétiens Francophones de St

Thomas" à FATIMA

 

+++

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PROCHAIN STAGE D'ICONOGRAPHIE AU MONASTERE SYRIAQUE: 

L’ICÔNE COPTE,

du 9 au 17 JUILLET 2017

1459883 592234677515191 662124102 n

Cliquer ci-dessous:

STAGE D'ICONOGRAPHIE : L’ICÔNE COPTE, PROCHAIN STAGE AU MONASTÈRE  DU 9 AU 17 JUILLET 2017

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"L'avenir est dans la paix, il n'y a pas d'avenir sans paix"

(SS Ignatius Aprem II)

Note:

Eglise locale fondée grâce à l'élan missionnaire de l'Eglise

Syrienne Orthodoxe des Indes (Malankare), notre Eglise

Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise Orthodoxe-

Orientale.

Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité
des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien
et la paix du monde.
¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…

Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil
des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles ,
nous n'exigeons aucun fixe.
Les offrandes sont libres et non
obligatoires.
Toute offrande fait cependant l'objet d'une
déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre
revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F "

Pour l' Aumônerie Syro-Orthodoxe Francophone des Africains vivant en France, contacter les Responsables: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89 ), Métropolite et Soeur Marie-Andre M'Bezele, Moniale ( 06.17.51.25.73).

Icon of The Last Supper. Jesus and St. John.:

CONFIER DES INTENTIONS DE

 

PRIÈRE AU MONASTÈRE , C'EST

 

SIMPLE...

 

Le Moine ne rompe pas la solidarité profonde qui doit unir entre eux les frères

 

humains… Ils se conforment aux sentiments du Christ Tête de l'Eglise, le

 

"premier né d'une multitude de frères" et  à Son amour pour tous les hommes…

 

A  travers les prières monastiques, c’est toute l’Eglise qui prie et intercède pour

 

l’humanité.

 

Le savez-vous ? Chacun de vous, dans le secret de son existence, participe à cet

 

immense courant de prière souterraine qui irrigue le monde…

 

Si vous le souhaitez, vous pouvez nous confier une

 

intention de prière en l'envoyant à l'adresse

 

suivante:

Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,

Brévilly

61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58

ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)

 

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/    maliath taibootho/ full of grace/    moran a'amekh  - the Lord is with thee/    mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/    wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/    O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/    yoldath aloho/  Mother of God/    saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/    nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./    Amîn   Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

 

 

 Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 6,30-35.

En ce temps-là, la foule dit à Jésus : « Quel signe vas-tu accomplir pour que nous puissions le voir, et te croire ? Quelle œuvre vas-tu faire ? 
Au désert, nos pères ont mangé la manne ; comme dit l’Écriture : ‘Il leur a donné à manger le pain venu du ciel.’ » 
Jésus leur répondit : « Amen, amen, je vous le dis : ce n’est pas Moïse qui vous a donné le pain venu du ciel ; c’est mon Père qui vous donne le vrai pain venu du ciel. 
Car le pain de Dieu, c’est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde. » 
Ils lui dirent alors : « Seigneur, donne-nous toujours de ce pain-là. » 
Jésus leur répondit : « Moi, je suis le pain de la vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim ; celui qui croit en moi n’aura jamais soif. »

 

Par Pierre le Vénérable

(1092-1156), abbé de Cluny 
Sermon sur la louange du saint sépulcre (trad. Sr Isabelle de la Source, Lire la Bible, Mediaspaul 2000, t. 6, p. 58 

 

« À la recherche de Jésus »

 

Écoutez, tous les peuples ; écoutez, nations répandues sur la surface de la terre ; prêtez l'oreille, tribus et races diverses (cf Ap 7,9), vous tous qui vous croyiez abandonnés et vous pensiez jusqu'à présent méprisables ; prêtez l'oreille et réjouissez-vous : votre Créateur ne vous a pas oubliés.

Il n'a pas voulu laisser plus longtemps sa colère retenir ses miséricordes ; maintenant il veut sauver dans sa bonté non seulement le petit nombre des juifs, mais encore votre multitude innombrable.

Écoutez le saint prophète Isaïe... :

-« En ce jour-là, la racine de Jessé sera dressée comme un signe pour les peuples » (11,10)... 

Comme l'a attesté Jésus lui-même, il est celui que

« Dieu, le Père, a marqué de son sceau »,

pour qu'il soit un signe.

Mais un signe pour quoi ?

Pour qu'exalté en haut de l'étendard de la croix, tel le serpent de bronze élevé au milieu du camp (Nb 21), il tourne vers lui les regards non seulement du peuple juif, mais de l'univers entier, et qu'il attire à lui par sa mort sur la croix le cœur de tous les hommes.

Il leur apprendrait ainsi à mettre en lui toute leur espérance. En guérissant toutes leurs faiblesses, en pardonnant tous leurs péchés, en ouvrant à tous le Royaume des cieux fermé depuis si longtemps, il leur montrerait qu'il est bien

« celui qui devait être envoyé..., celui qu'attendaient les nations »

(Gn 49,10 Vulg.).

Ce signe, il l'a dressé lui-même pour les peuples afin de

« réunir les exilés d'Israël et de rassembler des quatre vents les dispersés de Juda »

(Is 11,12).

 

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30 avril 2017 7 30 /04 /avril /2017 20:37

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Today the spring exhales its fragrance of eclectic flowers * and the new creation exults with joy, * Today the Lord breaks the closed doors * and breaks the bolts of doubt by His presence * Thomas the Apostle, in a The act of faith confesses it. You are indeed my Lord and my God!

Aujourd'hui le printemps exhale son parfum de fleurs ecloses * et la création nouvelle exulte d'allégresse, *aujourd'hui le Seigneur enfonce les portes closes * et brise les verrous du doute par Sa présence;* Thomas l'Apôtre, dans un acte de foi le confesse *Tu es en vérité mon Seigneur et mon Dieu !

Hoje primavera adiante sua fragrância das flores em flor * e a nova criação exulta de alegria, o Senhor hoje * pias * portas fechadas e quebrar as travas da dúvida pela sua presença; * Thomas Apóstolo, em uma ato de fé confessar * Você é o meu Senhor e meu Deus!

 

Lundi, 1 mai 2017

This  May 1st Churches of the Syrian Orthodox Tradition commemorates two saints :

*St. John of Kfone

(Mor Yuhannon de-kfone).

Mor Yuhannon was a native of Athens, et disciple of "Mor Awgin". He evangelized Tur Abdin from late 4th century to early 5th century. He is believed to be buried in the village of kfone. There is a Church dedicated to his honour in the Syriac Aramean village of Mzizah (Dogancay, modern Turkey).

*St.Qawme

Mar Kauma stands as a luminous star in the heavenly abode of the saints and prophets.

His austere lifestyle and his coherence in faith for God earned him the title of "angel of the earth."

The word "Kauma" means "standing in an upright position". The saint was indeed meditating standing on a tree and his arms in a cross; Hence comes the name of 'Kauma'.

He spent forty-five years of his life in solitude, with little food to support his life.

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L’image contient peut-être : plante et fleur

 

Mar Kauma se tient comme une étoile lumineuse, dans la demeure céleste des Saints et des Prophètes.

Son mode de vie austère et sa cohérence dans la foi pour Dieu lui ont mérité  le titre de «ange de la terre».

Le mot «Kauma» signifie «debout dans une position érigée». Le saint  méditait en effet debout sur un arbre et les bras en une croix; de là lui vient le nom de 'Kauma'.

Il passa quarante-cinq ans de sa vie dans la solitude, se suffisant de peu de nourriture pour soutenir sa vie.

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Mar Kauma se destaca como uma estrela brilhante na morada celestial de santos e profetas.

Seu estilo de vida austero e coerência na fé para que Deus lhe rendeu o título de "Earth Angel".

A palavra "Kauma" significa "pé na posição vertical." O santo meditado efeito de pé sobre um veio e os braços em cruz; daí o seu nome 'Kauma.

Ele passou quarenta e cinco anos de sua vida na solidão, é suficiente para pouco alimento para sustentar a sua vida.

Aucun texte alternatif disponible.

"Strive to enter the shrine within you and you will see the shrine of heaven for the one is the same as the other and a single entrance permits you to see both. The ladder leading to that Kingdom is hidden within you, that is, within your soul: cleanse yourself from sin and there you will find the steps by which to ascend".

Saint Isaac the Syrian
(640-700)

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Lettre de saint Paul Apôtre aux Colossiens 3,14-15.17.23-24.

Mes frères : ayez la charité, qui est le lien de la perfection. 
Et que la paix du Christ, à laquelle vous avez été appelés de manière à former un seul corps, règne dans vos cœurs ; soyez reconnaissants. 
En quoi que ce soit que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant par lui des actions de grâces à Dieu le Père. 
Quoi que vous fassiez, faites-le de bon cœur, comme pour le Seigneur, et non pas pour des hommes, 
sachant que vous recevrez du Seigneur pour récompense l'héritage céleste. Servez le Seigneur Jésus-Christ. 

 


Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 13,54-58.

En ce temps-là, étant venu dans son pays, Jésus les instruisait dans leurs synagogues, de sorte qu'ils étaient dans l'admiration et disaient : "D'où viennent à celui-ci cette sagesse et ces miracles ? 
N'est-ce pas le fils du charpentier ? Sa mère ne s'appelle-t-elle pas Marie, et ses frères Jacques, Joseph, Simon et Judas ? 
Et ses sœurs, ne sont-elles pas toutes chez nous ? D'où lui vient donc tout cela' ? " 
Et il était pour eux une pierre d'achoppement. Mais Jésus leur dit : " Un prophète n'est sans honneur que dans sa patrie et dans sa maison. " 
Et il ne fit pas là beaucoup de miracles à cause de leur incrédulité. 

 



Par Saint Hilaire

(v. 315-367), évêque de Poitiers et docteur de l'Église 
La Trinité, 12, 52-53 (trad. DDB 1981, p.150) 

 

« ' N'est-il pas le fils du charpentier ? '...
Il ne fit pas beaucoup de miracles en cet endroit,
à cause de leur manque de foi »

 

Aussi longtemps que je jouirai du souffle de vie que tu m'as accordé, Père saint, Dieu tout-puissant, je te proclamerai Dieu éternel, mais aussi Père éternel.

Jamais je ne m'établirai juge de ta toute-puissance et de tes mystères ; jamais je ne ferai passer ma connaissance limitée avant la notion vraie de ton infini ; jamais je n'affirmerai que tu as existé autrefois sans ta Sagesse, ta Puissance et ton Verbe, Dieu, l'Unique Engendré, mon Seigneur Jésus Christ.

Car même si le langage humain est faible et imparfait lorsqu'il parle de toi, il ne rétrécira pas mon esprit au point de réduire ma foi au silence, faute de mots capables d'exprimer le mystère de ton être...

Déjà dans les réalités de la nature, il y a bien des choses dont nous ne connaissons pas la cause, sans pourtant en ignorer les effets.

Et, lorsque de par notre nature, nous ne savons que dire de ces choses, notre foi se teinte d'adoration.

Si je contemple

*le mouvement des étoiles...,

*le flux et le reflux de la mer...,

*la puissance cachée dans la plus petite semence...,

mon ignorance m'aide à te contempler, car si je ne comprends pas cette nature qui est à mon service, je discerne ta bonté, du fait même qu'elle est là pour me servir.

Moi-même, je perçois que je ne me connais pas, mais je t'admire d'autant plus...

Tu m'as donné la raison et la vie et mes sens d'homme qui me causent tant de joies, mais je n'arrive pas à comprendre quel a été mon commencement d'homme. 

C'est donc en ne connaissant pas ce qui m'entoure, que je saisis ce que tu es ; et en percevant ce que tu es, je t'adore.

C'est pourquoi, lorsqu'il s'agit de tes mystères, ne pas les comprendre n'amoindrit pas ma foi en ta toute-puissance...

La naissance de ton Fils éternel dépasse la notion même d'éternité, elle est antérieure aux temps éternels.

Avant tout ce qui existe, il est le Fils sorti de toi, Dieu Père ; il est vrai Dieu...

Jamais tu n'as existé sans lui...

Tu es le Père éternel de ton Unique Engendré, avant les temps éternels.

 

Aucun texte alternatif disponible.

Chers amis. Voici nos prochains R.D.V :

 

-Aujourd'hui, Premier Mai, Messe à 10h30 au Monastère en l'honneur de "Saint Joseph Artisan" et de Mar Kauma à l'intercession desquels nous confierons les prochaines élections présidentielles et le soutien des classes sociales laborieuses, ouvrières et pauvres.

C'est, en Occident, l'entrée traditionnelle dans le "Mois de Marie" qui se situe ici au milieu du printemps alors qu'en Syrie (Par exemple), il est plutôt célébré en Février.

Ce mois de Marie coïncide, selon les régions, à la période où la nature se réveille du repos de l'hivers,où les arbres poussent de nouvelles feuilles et fleurissent...

   
PARIS :Prochaine permanence pastorale du Vendredi 5 Mai de 15h à 20h, visites aux fidèles le Samedi 6 Mai de 8h à 12h.
1 Rue Dolent (Métro Glacière)

Le Samedi 6 MAI
RAMASSAGE DES FIDÈLES de Paris et sa région pour le WE du 7 MAI (Pèlerinage du Mois de Marie à Notre-Dame de Miséricorde*) en Normandie, au Monastère à 15h au point de rendez-nous habituel .
---------------------------------
Du 7 au 15 Mai, Pèlerinage Marial du "Mois de Marie». D’Alsace en Charente avec St Ubald. (Invoqué contre toutes influences malfaisantes) 
------------------------------

Votre fidèlement en Notre-Seigneur.

Que ce « mois de Marie » soit pour chacun synonyme d’un renouveau dans l’Esprit Saint.Voici ce que l'évêque de Fréjus-Toulon disait de "La pudeur de Saint Joseph" au sactuaire de Cotignac en 2013:

"Notre monde est "voyeuriste".

Tout doit se montrer, et tout se dire en permanence.

Le succès des téléréalités, le règne de l’’extimité’, lorsqu’on affiche son intimité et ses états d’âme sur les réseaux sociaux…

Au contraire, Joseph nous offre le témoignage de la pudeur.

Une pudeur faite de silence, de réserve naturelle et de recueillement.

Joseph préserve l’intimité de son fils adoptif, Jésus.

Il respecte l’altérité de Marie son épouse, dans le mystère de sa conception virginale et de sa maternité divine.

Cette pudeur de Joseph n’est ni la honte qui exprime un dégoût de soi, ni la pudibonderie, ni la pruderie qui affecte une réserve hautaine.

La pudeur de Joseph est la garantie du mystère qui éclot en lui, le mystère de sa propre élection.

Elle est la mortification des sens, l’antidote de la vanité, la source de sa chasteté, le repli de sa prière.

Il y a quelque chose dans la Sainte Famille qui ne sera jamais pleinement connaissable et maîtrisable.

Une part de secret qui réclame un effacement, et dans lequel se nichent, et la liberté de Dieu qui appelle, et la liberté de la réponse :

-l’amen de Jésus et le fiat de Marie."

En ce mois de Mai consacré à Marie qui fut toute entière "écoute de la Parole" et "disponible à la Grâce du Saint Esprit", en ce mois de Mai lors duquel nous célébrerons l'Ascension de Notre-Seigneur, lors duquel nous nous préparerons à la Pentecôte, laissons le Christ, Divin Médecin, se pencher sur nos infirmités spirituelles et sur nos plaies pour nous guérir:

"Confie-toi au médecin et il opérera les yeux de ton âme et de ton cœur. 

Qui est ce médecin ?

C'est Dieu, qui guérit et vivifie par son Verbe et sa Sagesse."

(St Théophile D'Antioche)

Pour terminer, Seigneur Jésus, nous nous tournons vers Vous.

Ô Christ, notre Chef, Ô Christ notre Roi!

Par Votre résurrection glorieuse Vous êtes devenu notre espérance.

La mort, la violence et l’abandon n’ont pas eu le dernier mot.

Même si Vous restez invisible nous pouvons Vous accueillir, Ô Verbe, Parole du Père, par l'Ecriture et la Tradition Apostolique, nous pouvons Vous accueillir et , à l'exemple de Marie et de Joseph, vous rejoindre par la contemplation et dans notre prière. C'est en elle que nous trouvons la lumière et la force par l'Esprit vivificateur que Vous nous envoyez pour Vous  servir en chaque personne que nous rencontrons, en particulier en ceux qui souffrent.

À tous Vous promettez, Seigneur, la joie de Dieu pour toujours.

 

A bientôt, chers amis, aux pieds de Notre-Dame, dimanche prochain, en son Sanctuaire de Chandai.

Votre fidèlement dévoué.

 

Aloho m’barekh (Dieu vous bénisse) !


+Mor Philipose, métropolite

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Queridos amigos. Aqui é o nosso próximo compromisso:

-Hoje, Dia de maio, a am Missa Mosteiro 10:30 em honra de "São José Operário" e Mar Kauma intercessão quem confiamos as próximas eleições presidenciais e apoio das classes trabalhadoras, trabalhadores e pobres.
É no Ocidente, a entrada tradicional no "Mês de Maria", que é aqui no meio da primavera, enquanto na Síria (por exemplo), é bastante comemorado em fevereiro.
Este mês de Mary coincide, por região, para o período em que a natureza acorda o resto do inverno, quando as árvores crescem folhas novas e flores ...

PARIS: permanência pastoral seguida de sexta-feira 5 de maio das 15h às 20h, visita a 6ª fiel Sábado, Maio das 8h às 12h.
1 Rue Dolent (refrigerador de metro)
No sabado, 6 de maio
PICK de fiéis de Paris e sua região para o fim de semana de 7 de Maio (mês de Maria Peregrinação a Nossa Senhora da Misericórdia *) na Normandia, o Mosteiro às 15h nos aguardam ponto habitual.
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De 7 a 15 de maio, Marian Peregrinação do "Mês de Maria". D'Alsace em Charente com St ubald. (Chamado contra todas as más influências)
------------------------------
Seu fielmente no Senhor.
Que este "mês de Maria" é sinônimo de cada um de uma renovação no Espírito Saint.Voici que Fréjus-Toulon Bishop disse de "A modéstia de São José" em sactuaire Cotignac em 2013:
"Nosso mundo é" voyeur".

Tudo tem que mostrar e dizer tudo permanentemente.

O sucesso dos reality shows, o reinado do 'extimacy' ao exibir sua privacidade e seus sentimentos em redes sociais ...

Em vez disso, Joseph nos oferece o testemunho de modéstia.

A modéstia feita de silêncio, reserva natural e meditação.

Joseph preserva a privacidade de seu filho adotivo, Jesus.

Ele respeita a alteridade de sua esposa Maria no mistério de sua concepção virginal e sua maternidade divina.

Esta modéstia de Joseph não é nem vergonha que expressa uma auto-aversão ou puritanismo nem pudor, que afeta uma reserva altiva.

A modéstia de Joseph é a garantia de mistério que floresce em ele, o mistério de sua própria eleição.

Ela é a mortificação dos sentidos, o antídoto para a vaidade, a fonte de sua castidade, o declínio de sua oração.

Há algo na Sagrada Família que nunca será totalmente cognoscível e controlável.

Parte do segredo que exige uma exclusão, em que se aninham, ea liberdade de Deus que chama ea liberdade da resposta:

-O Amen de Jesus e fiat de Maria. "

Neste mês de Maio dedicada a Maria era que toda a "ouvir a palavra" e "disponível para a Graça do Espírito Santo", no mês de Maio, durante o qual nós celebramos a Ascensão de Nosso Senhor, em que preparar para o Pentecostes, deixe Cristo, Divino Médico, olhar para as nossas enfermidades espirituais e nossas feridas para curar-nos:
"Confie o médico e ele vai operar os olhos de sua alma e seu coração.
Quem é esse médico?
É Deus que cura e dá vida através da Sua Palavra e Sua Sabedoria ".
(St Teófilo De Antioquia)
Finalmente, Senhor Jesus, nos voltamos para Você.
O Cristo nossa Cabeça, ó Cristo nosso Rei!
Por sua gloriosa ressurreição se tornou a nossa esperança.
Morte, violência e abandono não tiveram a última palavra.
Mesmo se você ficar invisível podemos acomodá-lo, O Verbo, a Palavra do Pai, através da Escritura e da Tradição apostólica, podemos acomodá-lo e, seguindo o exemplo de Maria e José, chega-se através da contemplação e na nossa oração. Nela encontramos a luz ea força do Espírito que dá vida que você envie-nos a servi-lo em cada pessoa que encontramos, especialmente aqueles que sofrem.
Para tudo o que prometo, Senhor, a alegria de Deus para sempre.

Em breve, queridos amigos, aos pés de Nossa Senhora, no domingo, no seu santuário Chandai.
Seu dedicado fielmente.

Aloho m'barekh (Deus te abençoe)!

+ Mor Philipose, Metropolitan

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Prière pour demander l'humilité en toutes circonstances:

(Mgr Merry del Val)

V. O Jésus, doux et humble de cœur,
R. Rendez mon cœur semblable au vôtre.

De ma volonté propre, délivrez-moi, Seigneur
Du désir d’être estimé,
Du désir d’être affectionné,
Du désir d’être recherché,
Du désir d’être honoré,
Du désir d’être loué,
Du désir d’être préféré,
Du désir d’être consulté,
Du désir d’être approuvé,
Du désir d’être compris,
Du désir d’être visité,
De la crainte d’être humilié,
De la crainte d’être méprisé,
De la crainte d’être rebuté,
De la crainte d’être calomnié,
De la crainte d’être oublié,
De la crainte d’être raillé,
De la crainte d’être soupçonné,
De la crainte d’être injurié,
De la crainte d’être abandonné,
De la crainte d’être refusé,

Que d’autres soient plus aimés que moi, Accordez-moi, Seigneur, de le désirer
Que d’autres soient plus estimés que moi,
Que d’autres grandissent dans l’opinion et que je diminue,
Que d’autres soient loués et que je sois oublié,
Que d’autres soient employés et que je sois mis de côté,
Que d’autres soient préférés en tout,
Que d’autres soient plus saints que moi,
Pourvu que je le sois autant que je puis l’être,

D’être inconnu et pauvre, Seigneur, je veux me réjouir,
D’être dépourvu des perfections naturelles du corps et de l’esprit,
Qu’on ne pense pas à moi,
Qu’on m’occupe aux emplois les plus bas,
Qu’on ne daigne même pas se servir de moi,
Qu’on ne me demande jamais mon avis,
Qu’on me laisse à la dernière place,
Qu’on ne me fasse jamais de compliment,
Qu’on me blâme à temps et à contretemps,

V. Bienheureux ceux qui souffrent persécution pour la justice,
R. Car le Royaume des Cieux est à eux.

Prions
Mon Dieu, je ne suis que cendre et poussière.

Réprimez les mouvements d’orgueil qui s’élèvent dans mon âme. Apprenez-moi à me mépriser moi-même, vous qui résistez aux superbes et qui donnez votre grâce aux humbles.

Par Jésus, doux et humble de Cœur... Amîn.

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In the Syriac Orthodox Church monks are men who dedicate their lives to prayer and live in communities of monasteries. They remain celibate as well as exercise a life of penance and obedience and self control.

___

Dans la Tradition  de l'Eglise Syriaque Orthodoxe  ,les moines sont des hommes qui  consacrent toute leur vie à la prière et vivent dans des communautés monastiques.

Ils restent célibataires et s'exercent à  la pénitence , à  l'obéissance et  au contrôle de soi.

___

Na tradição da Igreja Ortodoxa Síria, os monges são homens que dedicam suas vidas à oração e vivendo em comunidades monásticas.

Eles permanecem único e exercer ao arrependimento, obediência e auto-controle.

SAINT(S DU JOUR:

Lundi, 1 mai 2017

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St. John of Kfone

(Mor Yuhannon de-kfone).

Mor Yuhannon was a native of Athens, et disciple of "Mor Awgin". He evangelized Tur Abdin from late 4th century to early 5th century. He is believed to be buried in the village of kfone. There is a Church dedicated to his honour in the Syriac Aramean village of Mzizah (Dogancay, modern Turkey).

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St.Qawme

Mar Kauma stands as a luminous star in the heavenly abode of the saints and prophets.

His austere lifestyle and his coherence in faith for God earned him the title of "angel of the earth."

The word "Kauma" means "standing in an upright position". The saint was indeed meditating standing on a tree and his arms in a cross; Hence comes the name of 'Kauma'.

He spent forty-five years of his life in solitude, with little food to support his life.

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Saint-Jean de Kfone

(Mor-Yuhannon de kfone).

Mor Yuhannon était originaire d'Athènes, et disciple de  Mor Awgin . Il évangélisa le Tur Abdin de la fin du 4ème siècle au début du 5ème siècle.

Il est soupçonné d'être enterré dans le village de kfone.

Il y a une église dédiée à son honneur dans le village  Syriaque Araméen de "Mzizah" (Dogancay, Turquie moderne).

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Mar Kauma se tient comme une étoile lumineuse, dans la demeure céleste des Saints et des Prophètes.

Son mode de vie austère et sa cohérence dans la foi pour Dieu lui ont mérité  le titre de «ange de la terre».

Le mot «Kauma» signifie «debout dans une position érigée». Le saint  méditait en effet debout sur un arbre et les bras en une croix; de là lui vient le nom de 'Kauma'.

Il passa quarante-cinq ans de sa vie dans la solitude, se suffisant de peu de nourriture pour soutenir sa vie.

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St. John Kfone
(Mor-Yuhannon de kfone).
Mor Yuhannon foi de Atenas, e discípulo de Mor Awgin. Ele evangelizou a Tur Abdin no final do século 4º ao início

do século 5º.
Assumimos que está enterrado na aldeia de kfone.
Há uma igreja dedicada a sua honra na aldeia siríaco aramaico para "Mzizah" (Dogancay, Turquia moderna).

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Mar Kauma

se destaca como uma estrela brilhante na morada celestial de santos e profetas.

Seu estilo de vida austero e coerência na fé para que Deus lhe rendeu o título de "Earth Angel".

A palavra "Kauma" significa "pé na posição vertical." O santo meditado efeito de pé sobre um veio e os braços em cruz; daí o seu nome 'Kauma.

Ele passou quarenta e cinco anos de sua vida na solidão, é suficiente para pouco alimento para sustentar a sua vida.

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SAINT JOSEPH, Artisan,

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Époux de la Très Sainte Vierge Marie


Saint Joseph descendait de la race royale de David. On croit généralement qu'en vue de la mission sublime que le Ciel lui destinait, il fut sanctifié avant sa naissance. Nul ne peut douter que Joseph ne fût préparé à son sublime ministère, quand la Providence, qui dirige tous les événements, unit son sort à celui de Marie. 

L'Évangile est très sobre de détails sur saint Joseph, et on y voit tout résumé en ces mots: "Il était juste." Mais que ces mots couvrent de merveilles, puisque les docteurs s'accordent à dire que saint Joseph tient le premier rang après Marie parmi tous les Saints!

Son père l'éleva, d'après la tradition, dans l'état modeste de charpentier; il pouvait avoir, selon de sérieux auteurs, une cinquantaine d'années, et il avait gardé une chasteté parfaite, lorsque la Volonté de Dieu lui confia la Très Sainte Vierge. Cette union, belle devant les anges, dit saint Jérôme, devait sauvegarder l'honneur de Marie devant les hommes. 

Dieu voulut que le mystère de l'Annonciation demeurât quelques temps caché à saint Joseph, afin de nous donner, dans le trouble qui plus tard s'empara de lui, lorsqu'il s'aperçut de la grossesse de Marie, une preuve de la virginité de la Mère et de la conception miraculeuse du Fils. L'avertissement d'un ange dissipa toutes ses craintes. 

Qui dira ce que Joseph, depuis lors, montra de respect, de vénération, de tendresse pour Celle qui bientôt allait donner au monde le Sauveur? Combien Joseph fut utile à Marie dans le voyage de Bethléem! Combien plus encore il Lui fut utile dans la fuite en Égypte! Joseph se montra pour la Mère de Dieu l'ami fidèle, le gardien vigilant, le protecteur dévoué. 

Imaginons-nous les progrès en vertu que dut faire saint Joseph, vivant dans la compagnie de Jésus et de Marie. Quel délicieux intérieur! Quelle sainte maison que cette modeste demeure! Que de mystères dans cette vie cachée où un Dieu travaille sous la direction d'un homme, où un homme se sanctifie sous l'influence d'un Dieu visible à ses yeux et devenu son Fils adoptif! Après la plus heureuse des vies, Joseph eut la plus heureuse des morts, car il rendit son dernier soupir entre les bras de Jésus et de Marie. 

Il est permis de croire, après saint François de Sales qui l'affirme, que saint Joseph est dès maintenant au Ciel en corps et en âme, avec Jésus et Marie. C'est à bon droit que saint Joseph porte le titre glorieux de Patron de l'Église universelle, et que son nom, dans la dévotion chrétienne, est devenu inséparable des noms de Jésus et de Marie. 

On l'invoque aussi comme Patron de la bonne mort.

(Source Evangelizo)

SAINT BRIEUC

évêque en Bretagne ( † 502)

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D'origine irlandaise, Saint Brieuc fut converti par Saint Germain d'Auxerre, lors d'une de ses missions en Angleterre (cf. 31 juillet). Il suivit son père spirituel sur le continent et fut ordonné Prêtre ; puis il retourna dans son pays pour y convertir ses parents et y fonder un Monastère. Chassé par une invasion des Pictes et des Saxons, il passa en Bretagne Armorique avec une centaine de Chrétiens et, grâce au don d'un riche seigneur, il érigea un Monastère puis, un peu plus à l'est, une église sur l'emplacement de laquelle se constitua la ville qui porte actuellement son nom. Il mourut en paix vers 502.

Tropaire
Bâtisseur de l’Eglise, colonne de l’Orthodoxie, nous te magnifions, saint père Brieg, toi que l’Esprit-Saint vint couronner d’une flamme à l’instar des apôtres. Illuminateur du Penthièvre, des moines le modèle, des pasteurs l’ornement, tu fis germer la foi et la piété parmi les infidèles. Par tes prières, fais germer dans nos cœurs une foi sans crainte, une piété sans détours, un amour sans faille pour le salut de nos âmes.
http://orthodoxievco.net/ecrits/vies/synaxair/mai/brieuc.pdf*

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SAINT SIGISMOND,

roi des Burgondes ( † 524)

Rien n’est plus admirable que ce choix de moyens dont se sert la Providence pour opérer la sanctification des élus. Nous l’allons voir dans la vie de Saint Sigismond.
Saint Sigismond était fils de Gondebaud, roi des burgondes qui était arien. Converti de l’arianisme à la foi orthodoxe grâce à l’influence de Saint Avit de Vienne ( Fêté le 5 Février), Saint Sigismond montra dès son élévation au trône de Bourgogne ( 516) un grand souci pour la vie de l’Eglise Orthodoxe.
Dès 513, le roi Gondebaud son père l’avait associé au trône et l’avait fait couronner à Genève. Il fut alors nommé Patrice de l’Empire dans les Gaules, dignité que conféraient aux princes burgondes les empereurs d’Orient dont ils se glorifiaient d’être les mandataires.
Il réunit des conciles contre les ariens et restaura le monastère de Saint Maurice d’Agaune. En fait, il y fonda véritablement l’abbaye actuelle qui n’était jusqu’alors ( 516) qu’un lieu où vivaient de saints ermites dans des cellules séparées.
En 517, il fit convoquer par son zèle le Concile d’Epaone présidé par Saint Avit. Il tenta de purger son royaume des poisons du vice et de l’hérésie.
Malgré sa piété, Saint Sigismond gardait néanmoins la grossièreté et l’impulsivité des mœurs barbares. Après le mort de sa première épouse, il s’était remarié. L’inimitié était grande entre son fils Sigeric et sa nouvelle épouse. Un jour de fête, le fils reprocha à sa marâtre de porter les vêtements de sa mère défunte. Celle-ci fut transportée de fureur et se mit à exciter Sigismond par des paroles insidieuses. Elle prétendit que Sigeric voulait tuer son père et s’emparer du royaume.
A cause de cette accusation calomnieuse de complot, le roi fit étrangler son fils en sa présence. Il tomba dans le piège de son épouse manœuvrée par le Malin. Mais à peine le crime fut-il commis, qu’il se précipita en pleurs sur le cadavre et alla se retirer à Agaune ( actuellement Monastère de Saint Maurice) pour tenter d’expier son péché par une sévère pénitence. La tradition rapporte qu’un vieillard lui dit alors: “C’est sur toi que tu dois pleurer maintenant, toi qui par suite d’un perfide conseil, es devenu un cruel parricide; celui que tu as fait périr innocent n’a pas besoin qu’on le pleure. “
Le roi passa de longs jours dans les larmes et les jeûnes pour implorer de Dieu son pardon. Il demanda au Seigneur que Celui-ci lui envoie son châtiment dans cette vie terrestre. C’est pendant ce séjour au monastère d’Agaune qu’il y fit instituer la Laus perennis, louange perpétuelle inspirée de la tradition des Acémètes de Saint Marcel de Constantinople. Profitant de l’affaiblissement du royaume burgonde, les princes francs du nord lui déclarèrent la guerre. Vaincu, le roi Sigismond s’enfuit et resta en un lieu alors appelé Verrosa ( actuel Verrosaz) où il vêcut en ermite dans une grotte.
Il s’était fait couper les cheveux et portait l’habit de moine. Quelques burgondes vinrent le trouver et lui conseillèrent de se retirer au monastère d’Agaune, mais c’était un piège par lequel on le livrait à ses ennemis. Il fut capturé alors qu’il cherchait à atteindre Saint-Maurice et il fut conduit en Gaule et jeté dans un puits près d’Orléans ( France), avec sa femme et ses enfants qui étaient déjà prisonniers de Clodomir, un de ses plus farouches ennemis ( 1er Mai 524).
Dieu, à la demande suppliante du saint, punit son crime par la révolte de ses sujets, mais il glorifia son repentir en illustrant son tombeau par des miracles et il reçut le titre de saint comme le saint roi et prophète David pénitent.
Le corps du saint séjourna trois ans dans ce puits. Souventes fois, on y vit une lampe miraculeusement allumée. Le peuple accourut à ce lieu pour vénérer le saint roi. On y bâtit peu à peu une chapelle, et des maisons s’élevèrent autour de ce sanctuaire, formant un village que l’on appela le Puits de Saint Sigismond ou simplement Saint Sigismond. Ce village existe encore dans l'Orléanais. Le puits du saint s'y trouve et l'on vient encore y puiser de l'eau pour la guérison du corps et de l'âme. Une relique du saint est aussi présente dans ce lieu, chose rare à notre époque...
Mais c’est à Saint Maurice en Valais que le saint devint célèbre. Son corps ayant été transféré à Agaune ( actuel Saint-Maurice en Valais), puis en partie à Prague ( son chef), il fut vénéré comme un martyr et des miracles nombreux s’accomplirent auprès de son tombeau. Saint Grégoire de Tours qui est mort en 595, donc 71 ans après Saint Sigismond, rapporte déjà dans son livre des martyrs et des confesseurs que les fidèles étaient guéris de la fièvre par l’intercession de Saint Sigismond. Il faut noter qu'en ces temps reculés, on appelait fièvres toutes sortes de maladies. Il guérissait également les hernies par son intercession.

Une antique prière éditée avec les œuvres de Saint Grégoire de Tours témoigne de la puissance de son intercession pour les pieux fidèles atteints de fièvres...

“ C’est par un pur don Seigneur,
qu’au nom de Ton élu Sigismond,
par la communion au corps et au sang
de Jésus-Christ Ton fils,
Tu chasseras de Ton serviteur N... que voici,
les frissons et l’ardeur des fièvres
et que Tu daigneras
lui rendre sa santé première.

Amen!”

Version Française C.L.-G. d'après d'anciennes vitae du saint.
Acathiste à notre père parmi les Saints, Sigismond roi de Burgondie 
http://acathistes-et-offices-orthodoxes.blogspot.fr/…/acath…

 

Shlom lekh bthoolto MariamHail, O Virgin  Mary/ 

  maliath taiboothofull of grace
  
moran a'amekh  - the Lord is with thee
  
mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women
 
 wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus
  
O qadeeshto Mariam/ Holy Mary
  
yoldath aloho Mother of God
  
saloy hlofain hatoyehpray for us sinners
  
nosho wabsho'ath mawtan.now and at the hour of our death.
 
 Amîn 

 

Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

 

 

jesus_pecheurs Isaac Fanous.jpg:

PRIERE POUR LES VOCATIONS:

Père, faites se lever parmi les chrétiens 
de nombreuses et saintes vocations au sacerdoce, 
qui maintiennent la foi vivante 
et gardent une mémoire pleine de gratitude de Votre Fils Jésus, 
par la prédication de sa parole 
et l'administration des sacrements, 
par lesquels Vous renouvelez continuellement vos fidèles dans la Grâce du Saint Esprit. 

Donnez-nous de saints ministres de Votre autel, 
qui soient des célébrants attentifs et fervents de l'eucharistie, 
sacrement du don suprême du Christ pour la rédemption du monde, sacrement de la pérennité de Sa présence comme "l'Emmanuel", Dieu présent au milieu et pour le salut de Son Peuple. 

Appelez des ministres de Votre miséricorde, 
qui dispensent la joie de Votre pardon 
par le sacrement de la réconciliation. 

Père, puisse notre Église Syro-Orthodoxe francophone accueillir avec joie 
les nombreuses inspirations de l'Esprit de Votre Fils 
et, qu'en étant docile à ses enseignements, 
elle prenne soin des vocations au ministère sacerdotal 
et à la vie consacrée. 

Soutenez nos Pères dans la Foi, nos Métropolites,les évêques, les prêtres, les diacres, 
les personnes consacrées et tous les baptisés dans le Christ, à l'intérieur et à l'extérieur de notre Tradition Syro-Orthodoxe 
afin qu'ils accomplissent fidèlement leur mission 
au service de l'Évangile. 

Nous Vous le demandons par le Christ notre Seigneur, Votre Fils bien-aimé qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles sans fin.

Amîn. 

Ô Marie, Mère de Miséricorde et Reine des apôtres, priez pour nous ! 

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ORAÇÃO PELAS VOCAÇÕES:

Tree of Life #Jesus #Disciples #Coptic Icon:
Pai, deixe repousar entre os cristãos
numerosas e santas vocações ao sacerdócio,
que mantenham viva a fé
e manter uma memória cheia de gratidão Seu Filho Jesus,
pela pregação de sua palavra
e administrar os sacramentos,
pelo qual você renovar continuamente os vossos fiéis na graça do Espírito Santo.

Dê-nos santos ministros do vosso altar,
que estão celebrantes atentos e entusiastas da Eucaristia,
sacramento do dom supremo de Cristo para a redenção do mundo, o sacramento da sustentabilidade da sua presença como "Emmanuel", Deus presente entre e para a salvação de Seu povo.

Chamar ministros de sua mercê,
que fornecem a alegria de Seu perdão
através do Sacramento de reconciliação.

Pai, que nossa Igreja siro-ortodoxo falando alegremente boas-vindas
as numerosas inspirações do Espírito de Seu Filho
e, que sendo obedientes a seus ensinamentos,
ela cuida das vocações ao ministério sacerdotal
e à vida consagrada.

Apoiar nossos pais na fé, nossos metropolitanas, bispos, sacerdotes, diáconos,
pessoas consagradas e todos os baptizados em Cristo, dentro e fora da nossa tradição siro-ortodoxo
de modo que eles fielmente cumprir a sua missão
o serviço do Evangelho.

Você Nós vos pedimos por Cristo, nosso Senhor, Seu amado Filho, que vive e reina contigo eo Espírito Santo para todo o sempre.
Amin.

Modern Coptic Madonna:

Ó Maria, Mãe de Misericórdia e Rainha dos Apóstolos, rogai por nós!

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Messe à la Chapelle du Monastère Syriaque de Yaoundé (Cameroun)

« La Fête de Saint Joseph, de Joseph l'Ouvrier... La Fête de l'Artisan, du Père nourricier de Jésus, le Fils de l'Artisan, à qui, comme à Marie sa propre Mère, il était soumis.

St_Joseph_artisan_5ba.jpg

Après Jésus et Marie, il n'est pas de plus Saint que Joseph. Et ce Saint par excellence, c'est un ouvrier, un artisan, un peineur, qui travaille et gagne sa vie à la sueur de son front. Or à ce travail pénible, à ce labeur écrasant, le péché a condamné les hommes : personne, qui que ce soit, n'a reçu le privilège de se croiser les bras, ou de tourner les pouces. L'ordre fut formel : « C'est à la sueur de ton visage que tu mangeras ton pain, jusqu'à ce que tu retournes à la terre, dont tu as été tiré : car tu es poussière et tu retourneras en poussière ». Le travail apparaît ici comme un châtiment. Hélas ! A certaines heures de l'existence, aujourd'hui peut-être, plus que jamais, ne le ressent-il pas ?

Mais n'oublions-nous pas trop, que ce même travail est une grâce singulière qui, en devenant notre pénitence, nous purifie, nous sanctifie et nous rapproche de ce Dieu qui nous y condamnait ?

Le travail nous ennoblit. Tout paresseux est un voleur, un parasite qui suce le sang d'autrui. Ce n'est plus qu'un figuier, celui qu'a maudit Jésus-Christ.

Au contraire, qui travaille en cherchant Dieu, c'est-à-dire qui peine au labeur quotidien, mais avec foi, simplicité, diligence, constance et bonne humeur, en esprit de pénitence et de componction, dans le désir de plaire à Dieu seul, en accomplissant son devoir d'état, expression parfaite de la volonté divine sur lui, celui-là est vraiment le disciple de Jésus, Fils de l'Artisan Joseph : il est à l'atelier où, dans l'obscurité de la plus humble des échoppes, ce dernier, sous le regard du Seigneur du ciel et de la terre, le Saint Ouvrier nous apprenait le secret du bonheur, comment on honore le Créateur en lui prêtant nos mains, comment on s'honore soi-même en gagnant sa vie et celle des autres à la sueur de son visage.

Chaque matin, en invoquant Saint Joseph Ouvrier, reprenons notre tâche, si dure soit-elle, manœuvrons l'instrument de travail que chacun possède : tous ont leur rabots divers, au foyer ou ailleurs ; la plume elle-même n'en est pas le moins lourd. Courage !... A l'atelier de Saint Joseph, nous avons, tous, à nous former... »

Dom Eugène Vandeur (1875-1967)

Urgence élections,
 Prière pour la France:

Je vous propose la prière suivante pour notre Pays:


Seigneur Jésus, Ô Christ notre Dieu, Vous qui êtes venu, non pour juger le monde, mais pour le sauver; Vous qui êtes monté librement sur la Croix pour tous les humains;
Vous qui, dans Votre amour ineffable et Vôtre indicible compassion, veillez au bien et au libre salut de chacun;
Vous qui êtes invisiblement présent dans ce monde qui Vous appartient et dans notre pays par le Corps de Votre sainte Eglise, acceptez les prières de supplication et de louange que nous Vous adressons pour notre patrie la France, justement mais cruellement éprouvée.


Seigneur Jésus Christ notre Dieu, par les prières et la protection de Votre Mère toute pure et immaculée, du saint archange Michel, Protecteur de la France, des saints de notre pays, en particulier de notre mère parmi les saints Marie Madeleine "Egale-aux-apôtres" dont les reliques sanctifient notre sol, de son disciple saint Maximin, de saint Lazare Votre ami, des saints Jean Cassien et Victor de Marseille, Martin de Tours, Irénée de Lyon, Hilaire de Poitiers, Germain d’Auxerre, Germain de Paris; de saint Cloud, sainte Geneviève et sainte Radegonde et de tous les saints moines et moniales de notre pays; des saints et victorieux martyrs Pothin et Blandine de Lyon et de tous les saints martyrs de France :

Eclairez, inspirez, convertissez et sauvez notre patrie la France, ceux qui la gouvernent ainsi que chacun des membres de son peuple.


A nous qui Vous supplions dans la vraie Foi, accordez la grâce du non-jugement, la conscience libre, la force du saint Esprit pour témoigner de Votre vérité dans la paix qui vient de Vous.


Accordez-nous la grâce de voir nos propres fautes et d’accueillir Votre pardon.


Donnez-nous de Vous glorifier et de Vous célébrer pour la bienveillance que Vous manifestez à notre pays, à ceux qui le gouvernent et à tout son peuple.


Inspirez-nous de Vous célébrer en premier lieu pour la révélation que Vous avez donnée de Vous-même à nos Pères par la prédications de ces aînés dans la Foi qui sont venu d'Orient pour ensemencer notre terre de l'Evangile de vérité, d'amour et de paix et à ceux qui, en conséquence peuvent en ces jours, sur cette même terre bénie de France, vous confesser avec Votre Père coéternel et Votre très saint, bon et vivifiant Esprit, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles : Amîn!

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Saint Michael and the Dragon in an initial Q by an Unkown master German, Würzburg, about 1240-50:

Urgence élections :
 Prière pour la France à saint Michel
 
Saint Michel, grand Prince de la milice céleste, établi par la Providence divine le protecteur spécial de la France, souvenez-vous que vous l’avez faite grande entre toutes les nations, que vous l’avez établie sentinelle de la foi et soldat de Dieu dans le monde. Glorieux Archange, vous que nos rois ont autrefois proclamé patron de la France, protégez-nous contre tous nos ennemis ; nous vous conjurons de nous placer tous sous votre impénétrable protection. Protégez toujours l’Eglise et la France ! Obtenez-lui un prompt et sincère retour à l’antique foi, source de sa force et de sa grandeur. Éclairez les incrédules, rassurez les timides, fortifiez les faibles, encouragez les bons, secourez-nous tous et rendez-nous meilleurs et plus chrétiens. Amîn.

En-tête

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Mor Philipose-Mariam, 

Aujourd'hui, lundi 1er mai, nous prions et jeûnons pour bénir les Juifs de France et d’Israël.

Lisons ces quelques versets pour introduire ce sujet de prière : 

"Mais si quelques-unes des branches ont été retranchées, et si toi, qui étais un olivier sauvage, tu as été enté à leur place, et rendu participant de la racine et de la graisse de l'olivier, 18ne te glorifie pas aux dépens de ces branches. Si tu te glorifies, sache que ce n'est pas toi qui portes la racine, mais que c'est la racine qui te porte. Tu diras donc: Les branches ont été retranchées, afin que moi je fusse enté. Cela est vrai; elles ont été retranchées pour cause d'incrédulité, et toi, tu subsistes par la foi. Ne t'abandonne pas à l'orgueil, mais crains; car si Dieu n'a pas épargné les branches naturelles, il ne t'épargnera pas non plus. Considère donc la bonté et la sévérité de Dieu: sévérité envers ceux qui sont tombés, et bonté de Dieu envers toi, si tu demeures ferme dans cette bonté; autrement, tu seras aussi retranché. Eux de même, s'ils ne persistent pas dans l'incrédulité, ils seront entés; car Dieu est puissant pour les enter de nouveau. Si toi, tu as été coupé de l'olivier naturellement sauvage, et enté contrairement à ta nature sur l'olivier franc, à plus forte raison eux seront-ils entés selon leur nature sur leur propre olivier." (Rm 11:17-24)

L’héritage qui est commun aux juifs et aux chrétiens va bien au-delà de la Terre d’Israël, c’est également un héritage spirituel.

Saul de Tarse, érudit juif du premier siècle ayant trouvé en Jésus le Messie tant attendu d’Israël, compara les prémices de ce qui allait devenir la religion chrétienne, à des branches d’olivier sauvage greffées sur un olivier franc. (Rm 11:24).

Nous avons pris l’habitude de voir deux religions distinctes, le judaïsme et le christianisme, là où l’apôtre Paul voyait un seul arbre. Sur cet arbre, les branches greffées de l’olivier sauvage participent à la même sève et reposent sur les mêmes racines. Pour Paul cet héritage constitue un devoir d’amour particulier des chrétiens envers Israël ; « Ils sont aimés à cause de leurs ancêtres ». (Rm 11:28)

L’apôtre va jusqu’à exhorter les chrétiens à ne pas se vanter aux dépens d’Israël, mais à se rappeler que ce ne sont pas eux les chrétiens qui portent la racine, mais que c’est la racine Israël qui les porte ! (Rm 11:18)

Glorieux mystère liant pour toujours la destinée d’Israël et de l’Église.

Aujourd'hui nous prions et nous jeûnons pour bénir les fils d'Abraham, co-héritiers avec nous de la révélation et de l’élection.

SI vous souhaitez accompagner votre prière d'un geste, je vous encourage à partager cet article : "Juifs de France, d’Israël et d’ailleurs… Les chrétiens vous aiment !".

Que le Seigneur vous bénisse,

Guillaume Anjou
Fondateur et directeur d'Info Chrétienne et auteur de la newsletter quotidienne Un Jour Une Prière

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Ecrite par le Fr. Juan Escollar (v.1700), cette Hymne est chantée aux Vêpres des Fêtes de St Joseph, les 19 mars et 1er mai.
Te, Joseph, celebrent agmina caelitum,
te cuncti resonent Christiadum chori,
qui, clarus meritis, junctus es inclitae,
casto foedere Virgini.

Que les chœurs célestes célèbrent ta gloire, ô Joseph !
Que les chants de tous les Chrétiens fassent résonner tes louanges !
Glorieux déjà par tes mérites, tu es uni
par une chaste alliance à l’auguste Vierge.


Almo cum tumidam germine conjugem
admirans dubio tangeris anxius,
afflatu superi Flaminis, Angelus
conceptum puerum docet.

Lorsque, en proie au doute et à l’anxiété,
tu t’étonnes de l’état où se trouve ton épouse,
un Ange vient t’apprendre que l’enfant qu’elle a conçu,
l’a été par l’opération de l’Esprit-Saint.


Tu natum Dominum stringis, ad exteras
Aegypti profugum tu sequeris plagas;
amissum Solymis quaeris et invenis,
miscens gaudia fletibus.

Le Seigneur est né, tu le presses dans tes bras ;
tu fuis avec lui vers les plages lointaines d’Égypte ;
tu le cherches à Jérusalem où tu l’as perdu, et tu le retrouves :
ainsi tes joies sont mêlées de larmes.


Electos reliquos mors pia consecrati
palmamque emeritos gloria suscipit;
tu vivens, Superis par, frueris Deo,
mira sorte beatior.

D’autres sont glorifiés après une sainte mort,
ceux qui ont mérité là palme sont reçus au sein de la gloire ;
mais toi, par une admirable destinée, égal aux Saints, plus heureux même,
tu jouis dès cette vie de la présence de Dieu.


Nobis, summa Trias, parce precantibus;
da Joseph meritis sidera scandere,
ut tandem liceat nos tibi perpetim
gratum promere canticum.

Trinité souveraine, exaucez nos prières, donnez-nous le pardon ;
que les mérites de Joseph nous aident à monter dans les cieux,
pour qu’il nous soit enfin donné de chanter à jamais
le cantique de la reconnaissance et de la félicité.

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DERNIERS JOURS POUR VOUS INSCRIRE au "Pèlerinage de Délivrance et de Guérison Intérieure"

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qui, du 7 au 15 Mai, nous conduira de Notre-Dame de Miséricorde aux Sanctuaires Mariaux d'Alsace jusqu'en Charente où, après avoir vénéré ses reliques en son Sanctuaire de Thann (Alsace), nous terminerons notre périple par son Sanctuaire en Charente.

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Voici un rappel des Sanctuaires qui seront visités :
-Dimanche 7 Mai: Notre-Dame de Miséricorde(Messe à 10h30),

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-Lundi 8:Notre-Dame de L’Épine , 
-Mardi 9: Notre-Dame de Houppach (Masevaux) et Saint Ubald (Thann/St Ubald est invoqué contre toutes influences malfaisantes).Messe à 17h à Houpach,

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-Mercredi 10: Notre-Dame de Neubois (Messe à 10h) et Le Mont Sainte Odile("Route des vins"), 
-Jeudi 11: Notre-Dame de Thierenbach ("Route des vins"), 

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-Vendredi 12,en chemin, Sanctuaire du Saint Enfant Jésus (Diocèse d'Autun), 
- Le 13, Notre-Dame d'Espis (Moissac.Messe à 15h), 
-Le 14 Notre-Dame de Toutes-Grâces et St Ubald (Vénération de la relique de Saint Ubald est invoqué contre toutes influences malfaisantes/Fête Patronale de notre Paroisse des Charentes)
(Clôture des inscriptions le 5 Mai/ Offrande estimée 300 euros.(Que personne ne se prive de cette démarche de Foi pour une raison matérielle. Que tous ceux qui le peuvent aident leurs frères et soeurs plus pauvres à effectuer ce pèlerinage. Merci)

Aucun texte alternatif disponible.
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Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)
courriel: asstradsyrfr@laposte.net

L’EXPÉRIENCE CORPORELLE DU CHRIST

Saint Thomas, suite… –

Le Christ bénit tous ceux qui, au cours des siècles et jusqu’à nos jours, le croient sur parole et croient sur parole ses apôtres et ses saints : « heureux ceux qui, sans voir, croient ! ». Il est dit que « la foi est une certitude de ce qu’on ne voit pas » (Hébreux 11, 1), et encore : « ce Jésus, vous l’aimez sans l’avoir vu » (1 Pierre, 1, 8). Toutefois, au cours des mêmes siècles et aujourd’hui encore, on peut dire : Heureux, ceux qui voient, qui entendent, qui touchent, qui goûtent, et qui croient ! Plusieurs paroles nous invitent à recevoir cette bénédiction-là. À la fin de la divine liturgie, nous chantons : « Nous avons vu la vraie lumière ! ». Le saint apôtre Paul atteste avoir vu le Seigneur (1 Corinthiens 9, 1). Le saint et premier martyr le diacre Étienne vit « le ciel ouvert et le Fils de l’homme » (Actes 7, 56). D’innombrables cas d’apparition du Christ depuis sa résurrection corporelle sont connus, non seulement pendant les quarante jours qui suivirent, mais également depuis son Ascension ou Exaltation.

L’expérience eucharistique

« Goûtez et voyez combien le Seigneur est bon ! », dit le prophète David dans le psaume que nous lisons pendant la communion (ps. 33, 9, repris dans la première épître de l’apôtre Pierre, 2, 3). Il est vrai que, souvent, « je mange et bois ma condamnation en ne discernant pas le corps et le sang de mon Christ et mon Dieu » (prière de saint Basile avant la communion) : malheureux ceux qui ne voient pas ou ne goûtent pas ! « … ô Verbe, donne-moi tes pieds pour que je les saisisse, pour que je les baise et que j’ose les baigner de mes larmes, à la place d’une myrrhe précieuse », nous enseigne à dire saint Siméon le Nouveau Théologien avant de communier ; et il ajoute : « je te rends grâces avec mon esprit et mon cœur, avec tous mes membres, avec mon âme et ma chair, je me prosterne devant toi… »

La communion au corps et au sang du Dieu Homme est par excellence l’expérience corporelle que nous pouvons faire de lui. Et, quand nos lèvres reçoivent la parcelle vivante de son corps ressuscité, nous disons, comme Thomas : « mon Seigneur et mon Dieu ! » Toute notre démarche eucharistique (jeûne, repentir, prière) tend à voir et à goûter le Seigneur fait chair. Le péché c’est de ne voir ni toucher…

Manger la Parole

Nous mangeons et buvons notre Dieu parce qu’Il s’est fait chair. La Parole, le Verbe, s’est fait corps et sang. Les Anciens le disent : la Parole se mange – « ouvre le bouche et mange !… Fils d’homme, mange le rouleau que voici !» (Ézéchiel 2, 8 et 3,1 ; cf. Isaïe 6, 7) ; « J’ai mis mes paroles dans ta bouche » (Isaïe 51, 16) ; « prends le livre et mange-le ! » (Apocalypse 10, 9). Apprendre par cœur, mémoriser la parole de Dieu, c’est manger et boire, s’alimenter corporellement. Le Christ le dit au désert : l’homme se nourrit non seulement de pain mais de toute parole sortie de la bouche du Seigneur. C’est pourquoi il est dit également que « l’homme vit de toute parole qui sort de la bouche de Dieu » (Matthieu 4, 4). Parce que l’homme se nourrit de la Parole, ses pensées et ses actes se modifient : « une joie envahit les cœurs qui gardent le trésor. Une force les emplit pour accomplir les gestes de la vie », écrit Bernard Frinking (La parole est tout près de toi, Apprendre l’Évangile pour apprendre à vivre, Bayard Éditions/Centurion, Paris, 1996) qui cite le grand et saint Moïse : « La Parole est tout près de toi. Elle est sur ta bouche et dans ton cœur et dans tes mains, pour la faire » (Deutéronome 30, 14, 70). Et l’ordonnance liturgique est faite pour qu’on assimile la Parole.

La tendresse

Bien souvent, nous touchons du doigt le Christ ; bien souvent, nous le voyons. Nous échangeons le baiser pascal : n’est-ce pas la chair du Christ ressuscité que nous vénérons ainsi ? Dieu est tendresse, nous dit la Parole (Deutéronome 1, 31 ; Marc 1, 41 ; 9, 36). Tendresse veut dire toucher. Par le contact avec autrui, nous touchons le Christ incorporé. Dans la plaie des malades, dans l’agonie des mourants, dans la sépulture de ceux qui reposent, nous touchons la blessure du Christ, sa croix et son sépulcre. Nous le touchons ressuscité en ses membres, dans la tendresse pour les enfants, dans l’amour conjugal où c’est la chair du Christ que tu épouses, dans les amis et les frères que l’on serre sur son cœur. Ce que vous faites au plus petit, c’est à moi que vous le faites, dit Dieu. Et le Seigneur, s’Il se laisse toucher et palper comme Il le fit pour Thomas, est également Celui qui nous touche, qui tire les larmes de repentir et de joie de notre cœur – ce corps du corps, selon un Ancien.

Le témoignage

L’exemple des saints nous fait toucher du doigt l’amour du Christ pour les hommes. D’innombrables saints et saintes rendent palpable la vérité, et démontrent par l’expérience qu’ils nous fournissent « combien le Seigneur est bon et doux ». Toutes chrétientés confondues, les chrétiens sont un comme Dieu est un, quand ils aiment comme Il aime et quand ils rendent sensible et corporellement accessible la vie du Christ incorporé. Le Christ est présent dans les saints par le saint Esprit, comme Il est présent dans l’oblation eucharistique, parce que les saints font de toute leur vie une eucharistie quotidienne. Le propre de la vie biblique est précisément l’incorporation de la Parole : et ceci est devenu possible parce que cette Parole s’est faite chair et parce qu’elle est passée de l’enfer à la vie absolue. Nous n’avons rien de mieux à faire pour le bien du monde et de la société civile que de rendre palpable en notre propre chair la chair transfigurée de Jésus Christ.

Je crois en l'Église Une... (A.S. Khomiakov 8/12)
 
VII – Le Credo

La Sainte Église confesse sa Foi par toute sa vie; par sa doctrine, qui est inspirée par le Saint Esprit; par ses Sacrements dans lesquels le Saint Esprit oeuvre; et par ses rites, qu'Il dirige. Et le Symbole de Nicée-Constantinople est particulièrement appelé sa Confession de Foi.

Dans le Symbole de Nicée-Constantinople est comprise la confession de la doctrine de l'Église; mais afin qu'on puisse savoir que l'espérance de l'Église est inséparable de sa doctrine, il confesse en même temps son espérance; car il y est dit "j'attend" et non pas simplement "je crois en" la vie à venir.

Le Symbole de Nicée-Constantinople, la confession pleine et entière de l'Église, dont elle ne permet pas d'omettre quoi que ce soit ni ne permet d'y ajouter quoi que ce soit, est comme suit : "Je crois en un seul Dieu, le Père Tout-puissant, Créateur du ciel et de la terre, et de tout ce qui est visible et invisible. Et en un seul Seigneur, Jésus-Christ, Fils unique de Dieu, engendré par le Père avant tous les siècles, Lumière de Lumière, vrai Dieu de vrai Dieu, engendré, non créé, consubstantiel au Père, et par Qui tout a été fait. Qui pour nous, hommes, et pour notre Salut, est descendu des cieux, S'est incarné du Saint Esprit et de la Vierge Marie, et S'est fait homme. Qui a été crucifié pour nous sous Ponce Pilate, a souffert et a été enseveli, Qui est ressuscité le troisième jour selon les Ecritures. Qui est monté aux cieux et siège à la droite du Père. Qui revient en gloire juger les vivants et les morts, et dont le règne n'aura pas de fin. Et en l'Esprit Saint, Seigneur, Qui donne la vie, Qui procède du Père, Qui, avec le Père et le Fils, est adoré et glorifié, Qui a parlé par les prophètes. En l'Église Une, Sainte, Catholique et Apostolique. Je confesse un seul Baptême pour la rémission des péchés. J'attends la résurrection des morts et la vie du siècle à venir. Amen."

Cette confession, tout comme toute la vie de l'Esprit, n'est compréhensible qu'à celui qui croit et qui est membre de l'Église. Elle contient en elle des mystères inaccessibles aux investigations de la raison et découverts seulement à Dieu même et à qui Dieu les découvre pour une connaissance non point extérieure et morte, mais vivante et intérieure. Elle contient en elle le mystère de l'Être divin, non seulement par rapport à Son action extérieure sur la Création, mais aussi par rapport à Son existence intérieure éternelle.
C'est pourquoi l'orgueil de la raison et de la domination illégale, qui s'est arrogé, en opposition à la décision de toute l'Église (exprimée au Concile d'Éphèse), le droit d'ajouter au Symbole de Nicée-Constantinople ses propres explications et un hypothèses humaines, cet orgueil est déjà en soi une infection contre la sainteté et l'inviolabilité de l'Église. Comme cet orgueil des Églises séparées, qui ont osé modifier le Symbole de toute l'Église sans l'accord de leurs frères, ne fut pas inspiré par l'Esprit d'amour et fut un crime contre Dieu et la sainte Église, de même leur sagesse aveugle, n'ayant pas compris les Mystères de Dieu, fut une altération de la foi. Car la foi ne se conserve pas là où l'amour s'est appauvri. C'est pourquoi l'addition des mots "filioque" ["et du Fils", en latin dans le texte; ndt] renferme une sorte de dogme imaginaire, ignoré de tous les écrivains agréables à Dieu, de tous les évêques ou successeurs des Apôtres aux premiers siècles de l'Église, un dogme que le Christ Sauveur n'a pas exprimé.
Comme le Christ l'a exprimé clairement, l'Église aussi n'a cessé de confesser et confesse clairement que le Saint-Esprit procède du Père car ce ne sont pas seulement les mystères extérieurs de Dieu, mais aussi les mystères intérieurs qui ont été révélés par le Christ et par l'Esprit de foi aux saints Apôtres et à la sainte Église. Lorsque Théodoret appela blasphémateurs tous ceux qui confessaient la procession du Saint-Esprit du Père et du Fils, l'Église, alors, qu'elle décelait ses multiples erreurs, approuva sur ce point son jugement par un silence éloquent (3).
L'Église ne nie pas que l'Esprit-Saint est envoyé non seulement par le Père, mais aussi par le Fils; l'Église ne nie pas que le Saint-Esprit Se communique à toute créature raisonnable non seulement à partir du Père, mais aussi par le Fils; mais l'Église rejette que l'Esprit-Saint tienne Son principe de procession au sein même de la divinité non du Père seul, mais encore du Fils. Celui qui a renié l'Esprit d'amour, qui s'est lui-même dépouillé des dons de la grâce, ne peut plus posséder la connaissance intérieure, c'est-à-dire la foi, mais il se limite à la connaissance extérieure : aussi ne peut-il plus connaître que l'extérieur, non les mystères intérieurs de Dieu. Les communautés chrétiennes qui se sont séparées de la sainte Église n'ont plus pu confesser (puisqu'elles ne pouvaient plus saisir par l'Esprit) la procession du Saint-Esprit au sein de la divinité à partir du Père seul; mais elles durent se contenter de confesser la mission extérieure de l'Esprit en toute créature, mission temporaire qui s'accomplit non seulement à partir du Père, mais aussi par le Fils. Elles ont gardé l'élément extérieur de la foi, mais ont perdu le sens intérieur et la grâce de Dieu non seulement dans leur confession de foi, et aussi dans leur vie même.

(3) Lorsque l'Église ne réfute pas un écrivain, son silence est très significatif. Mais lorsque l'Église ne rejette pas une accusation portée contre telle ou telle doctrine, son silence constitue une accusation formelle; car en ne rejetant pas cette accusation, elle la confirme de toute son autorité.

"L'Église est Une"
par Alexei Stepanovich Khomiakov (1804-1860)

(Source:St Materne)

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Madame Élisabeth, princesse et martyr

Le 10 mai, jour anniversaire de son exécution, plusieurs messes auront lieu en l’honneur d’Élisabeth de France, sœur de Louis XVI. La cause de béatification de ce personnage remarquable, mais peu connu, vient d’être relancée.

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Portrait de Madame Élisabeth, attribué à Louise Élisabeth Vigée Le Brun (1755-1842), visible au Petit Trianon (Versailles), dans le salon de Madame Élisabeth.
© Starus - Domaine Public

Sur son portrait peint par Élisabeth Vigée Le Brun, on reconnaît sans peine les traits des Bourbons. Élisabeth de France, dite Madame Élisabeth, dernière sœur de Louis XVI, naît à Versailles le 3 mai 1764 et grandit à la cour. Si elle est aujourd’hui l’objet d’une procédure en béatification, c’est, explique l’abbé Xavier Snoëk, curé de Ste-Élisabeth de Hongrie (3e) et postulateur de la cause, « qu’elle a très vite compris qu’elle ne se marierait pas et qu’elle n’était pas non plus appelée à la vie religieuse, et qu’elle a choisi, dès 1782, de se donner radicalement aux pauvres ». D’abord à la cour, discrètement, puis publiquement quand, après avoir reçu du roi le domaine de Montreuil, près de Versailles, elle y secourt pauvres et malades mettant en place un dispensaire informel. Une dévotion confirmée par Dominique Sabourdin Perrin, historienne : « Dévouée aux pauvres, elle le sera également à sa famille, quand, en 1792, elle est emprisonnée au Temple. Elle soigne, console et défend sa belle-sœur Marie-Antoinette, et ses nièces et neveux. Elle ira même jusqu’à prendre soin de Madame Tison, sa geôlière, qui l’avait pourtant dénoncée à plusieurs reprises. » Car Élisabeth de France a refusé de fuir afin de veiller sur sa famille. Elle sera guillotinée avec vingt-quatre autres prisonniers le 10 mai 1794, les soutenant de sa confiance en Dieu miséricordieux. « Elle n’a alors que 30 ans, mais une foi indéfectible en la vie éternelle, souligne l’abbé Xavier Snoëk. Elle s’inscrit parfaitement dans ces mouvements de spiritualité qui naissent en plein cœur de la Révolution. Elle-même a fondé, en 1790, une confrérie dédiée au Cœur immaculé de Marie, dont quelques-unes de ses dames de compagnie font partie. » C’est leurs témoignages écrits, transmis à travers les générations, qui serviront à appuyer sa cause, portée par l’archevêque de Paris, lieu de son exécution. Mais en quoi cette femme du XVIIIe siècle, issue de la famille royale, peut-elle être un exemple aujourd’hui ? « Madame Élisabeth a choisi d’assumer son célibat en le vivant comme un don de soi fait aux autres. Or ce qui guette parfois les célibataires non consacrés, c’est le repli sur soi. C’est en cela qu’elle est un beau modèle aujourd’hui. »

Priscilia de Selve

À venir

Plusieurs messes et une conférence sont organisées le 10 mai 2017, jour anniversaire de l’exécution d’Élisabeth de France. À Paris, une conférence animée par Dominique Sabourdin Perrin, historienne et docteur ès-lettres, aura lieu à Ste-Élisabeth de Hongrie (3e) à 19h, suivie d’une messe à 20h, célébrée par l’abbé Xavier Snoëk, postulateur de la cause. Une messe sera également célébrée à Versailles, en l’église St-Symphorien à 9h.

Source:Paris Notre-Dame

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"La monarchie, en France, n’a jamais été régime de la nostalgie et les règnes ne se ressemblent pas, et heureusement ! Elle s’adapte et se renouvelle pour répondre aux besoins de son temps. (...) La royauté restaurée serait celle qui convient au XXIe siècle. Un nouveau régime à écrire mais fidèle à la tradition, ne serait-ce que sur le point fondamental de l’hérédité."

Prince Louis de Bourbon, avril 2017. Entretien à Vexilla Galliae

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LE CARÊME DE L’ESPRIT

Deux carêmes –

Considérons que, de part et d’autre de Pâques sont deux quarantaines – deux cinquantaines même si on ajoute les jours de pré carême qui précèdent le Triode (le temps des Gésimes occidentales) et la dizaine qui suit l’Ascension. Ce sont deux versants de la Résurrection. Ou bien ce sont deux étapes tendant vers la glorieuse descente de l’Esprit, si l’on admet que celle-ci est le but suprême et l’enjeu de la Résurrection du Fils. Pentecôte voulant dire cinquantaine, on peut voir deux « pentecôtes », celle du Verbe et celle de l’Esprit.

Saint Jean Cassien

La 21ème conférence du grand saint orthodoxe du Sud de la France s’intitule « du repos de la Pentecôte ». Il y est fait mention du fait que, après la Résurrection du Messie, les pratiques ascétiques sont réduites. Il est vrai que, après le dimanche de Thomas, on ne renoue avec l’abstinence que progressivement, puisque l’on prend du poisson mercredi et vendredi, par exemple. On reste debout pour la prière, comme à Pâques : « nous ne courbons pas non plus les genoux pour la prière, en ces jours, parce que cette posture est un signe de pénitence » (21, 20), rapporte saint Cassien, qui cite Jésus (Matthieu 9, 15) : « les amis de l’époux peuvent-ils être dans le deuil, tant que l’époux est avec eux ? Mais  il viendra des jours où l’époux leur sera ôté, et alors ils jeûneront ». On ne parle pas de la confession des péchés, sauf faute grave, ni en général de repentir. Et l’on se salue constamment du « Christ est ressuscité ! » en échangeant le baiser pascal.

La vigilance

Saint Cassien recommande de rester sur ses gardes afin de ne pas retomber, sous prétexte de joie, dans ce qui nous asservissait avant d’entrer dans le Carême pascal. Bien souvent en effet, la Pâque étant passée, nous retournons à notre confort, à notre gourmandise, voire à notre gloutonnerie de naguère ! Que « les adoucissements consentis durant cette période profitent au bien du corps et de l’âme plutôt que de leur nuire », rapporte le Père de l’Église. Il s’agit « de ne point perdre, dans le repos et la sécurité de la Pentecôte » ce qui a été acquis « par le continuel labeur du carême ». Ainsi, gardons une certaine sobriété : « si les solennités qui viennent interrompre le cours ordinaire du temps ne changent rien à la continuité de notre abstinence, nous jouirons de fêtes spirituelles sans trêve, et, cessant de cette sorte toute œuvre servile, nous irons de nouvelle lune en nouvelle lune, et de sabbat en sabbat » (21, 23).

Deux périls

« Durant les quarante jours qui suivirent la Résurrection, le Seigneur mangeait avec ses disciples, et la joie de sa présence quotidienne ne leur permettait pas de jeûner » (21, 20). Le temps de Pentecôte est le carême de la joie parce qu’il est le carême de l’Esprit. Deux dangers menacent les chrétiens, dont celui que signale saint Cassien : régresser spirituellement au point où nous en étions avant le Carême de Pâques. Un autre péril est le fléchissement de la joie et de la ferveur ; l’affaiblissement de la soif de l’Esprit ! Nous pourrions oublier que la couronne de feu n’est pas encore descendue sur nous…

L’ascèse de la joie

Considérons l’ordre des offices liturgiques : nous voyons que le tropaire de la Résurrection est chanté constamment. L’ascèse de la joie consiste à maintenir comme une pression charismatique par la prière (« gloire à ta sainte résurrection, Seigneur, gloire à toi »), par le chant du tropaire, en nous saluant toujours par le « Christ est ressuscité », en continuant à nous pardonner mutuellement et « à dire frères même à ceux qui nous haïssent », à fleurir les tombes et les maisons, à tenir nos cierges allumés, à préparer des œufs de couleur jusqu’à l’Ascension, à cultiver un sourire intérieur et une dilatation de l’âme par la joie du Christ, et à féliciter sans cesse la Création ! Considérons comme un péché grave le relâchement de l’allégresse – le péché de tristesse ou de tiédeur… Prions ainsi les saints : « Réjouis-toi, Vierge Mère de Dieu, réjouis-toi ! » ; « réjouis-toi, saint Père et pontife Nicolas, réjouis-toi ! » ; « réjouissez-vous, tous les saints, réjouissez-vous ! » – car le Christ est ressuscité et Il est invisiblement présent au milieu de nous. La joie pascale introduit l’homme dans le mystère de l’Esprit.

(Source:"Sagesse Orthodoxe")

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La prière est la clef des trésors du ciel

 

Le besoin de prier naît avec nous et toujours il demeure en nous comme un merveilleux soutien au milieu des tristesses de notre vie. Celui qui connaît Dieu avec sa puissance suprême et sa bonté infinie et qui comprend sa faiblesse et son néant, ne peut s'empêcher à certains moments, surtout quand il est brisé par la tristesse, meurtri par la douleur ou menacé par le danger, de pousser un cri d'appel à la Toute-Puissance qui, seule, peut le secourir, et ce cri, c'est la prière. Ce cri de l'âme est un aveu de notre faiblesse et en même temps c'est une marque de notre confiance en notre Père céleste. Ce qui a fait dire justement que la prière "est l'aveu d'une indigence qui espère. "

Et Dieu, a toujours voulu que nous recourrions à sa libéralité. Il veut ne rien nous refuser mais à la condition que nous lui de­mandions tout. "Demandez et vous recevrez." (jean XVI) Demander pour recevoir, voilà la loi et, parmi les commandements que Dieu nous a donnés, il n'y en a pas de plus précis.

Cette loi de la prière date de l'origine du monde. Ouvrons l'Ancien Testament et nous verrons que le Saint Esprit s'y atta­che d'une manière toute particulière à nous faire comprendre que la prière est notre lumière dans le doute, notre force dans la fai­blesse, notre consolation dans la peine, notre soutien dans le péril et les maux de la vie, l'unique moyen de rendre à Dieu la gloire, les hommages et les actions de grâces qui lui sont dues à cause de ses infinies perfections et des bienfaits sans nombre qu'il ne cesse de répandre sur nous.

Les Livres Saints sont remplis des supplications des patriar­ches et des prophètes ; et les prières ferventes d'Abraham, de Moïse, de David et de tant d'autres saints personnages de l'An­cienne Loi sont un témoignage de la grande et antique loi de la prière.

David comprenait si bien la nécessité de la prière qu'il priait en tout temps, tantôt pour appeler Dieu à son secours contre les pièges de ses ennemis, tantôt pour le remercier des grâces qu'il lui accordait ou pour bénir son saint nom : "0 mon âme, s'écrie-t-il à chaque instant, bénis le Seigneur. "

C'est la prière qui fut la force de Moïse, la ressource de sa foi, le secret de son courage, l'unique défense que ce grand législa­teur présentait humblement à Dieu pour fléchir sa colère et ob­tenir le pardon de son peuple.

C'est la prière qui sauva Ninive de la haine que Jonas lui avait annoncée ; c'est elle qui délivra Béthulie des soldats d'Holo-pherne, Jérusalem des menaces de Sennachérib ; c'est elle qui donnait à Josué ses victoires, à Gédéon son indomptable éner­gie, à David son audace contre ce géant philistin qui insultait le peuple de Dieu et que le jeune pâtre terrassa de sa fronde.

Pendant la captivité de Babylone, c'est elle qui sauva Daniel de la fureur des lions, qui préserva les trois jeunes hébreux dans la fournaise ardente, qui justifia Suzanne accusée de crimes par des juges prévaricateurs etc…, toutes ces choses ne s'accompli­rent que par le secours de la prière.

Si de l'Ancien Testament nous passons au Nouveau, nous y trouverons des témoignages, encore plus expressifs et plus frap­pants, de la nécessité de la prière.Cette nécessité, Jésus nous l'insinue presqu'à chaque page de l'Évangile. En parcourant les villes et les bourgades de la Judée, il ne se lasse pas de redire à ses nombreux disciples et aux foules nombreuses qui venaient l'entendre. "Il faut toujours prier. " " C'est moi qui vous le dis, demandez et vous recevrez. " (Luc XI) " Si vous demandez quelque faveur à mon Père en mon nom, vous serez exaucé. "

Qu'il est consolant pour nous d'apprendre, au sein de notre indigence et de notre néant, que nous n'avons qu'à nous adresser à Dieu pour obtenir tout ce que nous demanderons. Et ce qui doit être le comble de notre bonheur, c'est que Dieu s'engage à se rendre à tous nos désirs justes et raisonnables sans exception ; "Demandez-moi ce que vous voudrez et je vous le donnerai." (marc VI)

De nous-mêmes, nous ne sommes que poussière, faiblesse et néant ; cependant nous avons des ennemis nombreux et puis­sants qui ne travaillent qu'à nous perdre. Si nous sommes livrés à nous-mêmes nous serons infailliblement perdus, notre perte est assurée ; nous n'avons d'autres ressources que de nous attirer la protection du ciel et cette protection, nous ne pouvons l'obte­nir que par la prière. C'est ce que le Divin Maître s'est attaché à nous faire comprendre au jardin des oliviers quand il dit à ses Apôtres : " Veillez et priez, afin que vous ne succombiez pas à la tentation; "c'est-à-dire, vous êtes faibles et l'ennemi est fort ; la prière vous est nécessaire afin de ne pas tomber entre ses mains.

Jésus savait quelle tâche gigantesque serait celle des Apôtres et, après les avoir quittés pour monter au ciel, il ne sera plus là pour les soutenir. Aussi au soir du Jeudi Saint, après l'institu­tion de la Sainte Eucharistie, il leur dit le moyen infaillible qu'il allait leur laisser pour obtenir la grâce, l'arme toute puis-saute avec laquelle ils vaincraient leurs ennemis ; et ce moyen, cette arme, c'est la prière : " En vérité, je vous le dis, tout ce que vous demanderez à mon Père en mon nom, il vous le donnera. "

Et Jésus ne n'est pas contenté de prêcher par ses paroles la nécessité de la prière, il le fit encore par ses admirables exemples. En présence du tombeau de Lazare, avant d'opérer sa résur­rection, Jésus-Christ lève les yeux en haut et fait monter vers le ciel le précieux encens de sa prière qui est favorablement accueil­lie de la part de son Père. " (jean XI)

Souvent fuyant les bruits du monde, il allait demander un abri au désert et à la solitude et là, dans un divin ravissement, que lui procurait son zèle incommensurable pour le salut des âmes, il prolongeait sa prière, parfois même il passait sa nuit en prière.

Les Apôtres, ces hommes à la foi naissante, étaient dans l'ad­miration d'entendre Jésus leur parler si souvent de la prière et surtout de le voir prier avec une si religieuse assuidité.

Une vie passée tout entière dans la prière ne pouvait se ter­miner que par la prière. Aussi attaché à la croix, élevé entre le ciel et la terre, sur le point de rendre le dernier soupir, Jésus-Christ n'ouvre la bouche que pour prier. Il prie d'abord pour les bour­reaux qui l'ont maltraité ; il demande à son Père de leur pardon­ner, il cherche à les excuser : " Père, pardonnez leurs car ils ne savent ce qu’ils font." (Luc, xxIII) Et sa dernière parole est adressée à son Père ; entre ses mains il remet sa belle âme.

Les Apôtres comprirent les enseignements de leur Divin Maî­tre et, au soir de l'Ascension, nous les voyons réunis dans le Cénacle avec la Très Sainte Vierge Marie, s'adonnant avec calme à la prière. (Act. 1, IV)

Les Apôtres comprirent cet enseignement. Aussi n'y a-t-il rien qu'ils recommandent avec plus de sollicitude que la prière, ni sur quoi ils reviennent et insistent plus souvent : "Soyez prudents et persévérez dans la prière, dit saint Pierre. Et saint Paul de dire : " Priez sans relâche, rendez grâces à Dieu en tou­tes choses ; car telle est la volonté de Dieu en Jésus-Christ par rapport à vous tous. " (1 tim. v)

Ce n'est pas seulement par leurs discours que les Apôtres exhor­taient les fidèles à la prière, mais ils les entraînaient encore par leurs touchants exemples ; car ils partageaient leurs temps entre la prière et les saintes fonctions de leur ministère. Et pour pou­voir s'appliquer eux-mêmes entièrement à la prière et à la prédica­tion de l'Evangile, ils élurent sept diacres pour les charger du soin des aumônes.

Les Apôtres, disait saint François de Sales, joignaient tou­jours la prière à la prédication. "Et de fait, s'ils convertirent le monde, ce n'est pas par la force des armes, ni par la puissance,. de l'or, ni par le prestige du savoir et de l'éloquence, c'est par quelque chose de bien plus merveilleux que tout cela, c'est par la prière, la souffrance et la prédication de l'Evangile. "

A l'exemple de Jésus-Christ et des Apôtres, l'Église a toujours cherché à faire comprendre à ses enfants que la prière est la clef des trésors du ciel.

Elle prie pour l'enfant afin que Dieu l'appelle dans sa miséri­corde aux enseignements de la foi et ouvre devant ses pas la voie de la piété et, plein des suaves parfums des préceptes de la loi sainte, il fasse la joie de l'Eglise et croisse de jour en jour en grâces et en vertu.

Elle prie pour le malade afin de lui obtenir la santé du corps, si telle est la volonté de Dieu, ou de le préparer au grand voyage de l'éternité, si Dieu juge à propos de l'appeler à Lui.

Elle prie sur la tombe comme sur le berceau. Revêtue des or­nements de deuil, elle prononce d'une voix plaintive, autour du cercueil, ces douloureuses lamentations : "N'entrez pas, Seigneur, en jugement avec votre serviteur, car personne ne saurait être purifié sans que vous lui accordiez la rémission des péchés ; ne l'accablez pas de votre sentence redoutable, mais secourez-le par votre sainte grâce afin qu'il évite la rigueur de vos jugements.

Extrait de : La Prière - Olivier Elzéar Mathieu. Archevêque de Régina   (1925)

Taizé : Le Patriarche Bartholomée a rendu visite à la communauté

Mardi 25 avril, le Patriarche œcuménique Bartholomée, patriarche de Constantinople, s’est rendu à Taizé au terme de sa visite pastorale en Suisse à Chambésy, Fribourg et Genève. Il est arrivé à midi pour participer à la prière commune, au terme de laquelle il s’est adressé aux frères, aux nombreux évêques et prêtres orthodoxes venus pour l’occasion, aux responsables des Églises locales et aux jeunes présents à Taizé.

Cinq articles ont été publiés suite à cette journée historique :

Rosa Mystica : Musique sacrée de culte marial germanique.
Public
 · Organisé par La Maison Soufie

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ROSA MYSTICA

Musique sacrée de culte marial dans l'Allemagne du XVIIe siècle
La Maison Soufie 
En partenariat avec L'Atelier du Sensible 

La musique allemande et autrichienne du XVIIe siècle, pleine de suaves harmonies, polyphonique, est un monde à part entière . La musique instrumentale de cette période, folle et rigoureuse, s'imprègne des traditions française et surtout italienne pour en faire un "style fantasque".
Dans la musique sacrée, catholiques et protestants, par delà leurs différences, utilisent la musique pour célébrer un Dieu de plus en plus humain et proche du croyant. Le culte de la Vierge Marie est aussi central dans les arts religieux de cette époque, aussi notre programme s'inspire d'un des noms de Marie, la rose mystique, la rose sans épine...

Chant: Aurélie Bouglé
Violon I: Sylvain Chen
Violon II: Alexis Chen
Alto: Kim Youn Young
Violoncelle: Victor Mériaux
Théorbe: Marie Breillat

Programme: 

Antienne

Heinrich Schmelzer (~1620-1680) : Lamento sopra la morte di Ferdinand III 

Sonate a 4, cordes et basse continue

Alberich Mazak (1609-1661) : Ave Maria

Chant, deux violons, basse continue

[Une pièce de théorbe (ou luth)seule]

Heinrich Schütz (1585- ~1660): Jesu nomen dulce SWV 308 in Kleine geistliche Konzerte

Chant et continuo 

Heinrich Schmelzer(~1620-1680), Sonata a 3, SPM 17

Antienne 2

Franz Tunder (1614-1667), Ach Herr lass deine lieben Engelein
Chant, consort et basse continue

Heinrich Ignaz Franz Biber (1644-1704), "Sonata X" Cruxifictus, Sonate del Rosario
Violon solo, continuo

Johann Christoph Bach (1642-1703) , Mein Freund ist mein (Ciaccona) in Hochzeitskantate Meine Freundin, du bist schön 

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Où nous trouver ?

Paroisse NORD-OUEST et Nord-Est

(N-D de Miséricorde):
 

NORMANDIE :

  CHANDAI (61):

* Le Sanctuaire Marial de la

Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde

DSC01238

(Fresque de la Mère de Dieu entourée des Apôtres, mur Est  du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)

 
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde
Brévilly
61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58 

 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

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(Fresque des Sts Pères Interieur droit du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)

 
Messe journalières en semaine à 10h30

 

Tous les dimanches, Messe à 10h30 et permanence constante de prêtres  pour CATÉCHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .

(Liturgie de St Jacques dite "d'Antioche-Jérusalem") 

Tel: 02.33.24.79.58 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

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(Fresque des Sts Pères Interieur gauche du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)

 

* Relais Paroissial St Michel

S/ Mme H MARIE, 43 Rue de la Marne

14000 CAEN.Tel: 02.33.24.79.58

 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

 

 

Le 30 de chaque mois, Permanence pastorale de 8h30 à 19h (Sur R.D.V) chez Mme Henriette Marie, 43, Rue de la Marne à CAEN. Tel 06.33.98.52.54 . (Possibilité de rencontrer un prêtre pour Catéchisme, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) . 

 

NANTES:

*Groupe de prières et "relais paroissial" St Charbel

18h, Messe le 2ème jeudi de chaque mois et permanence régulière d'un prêtre Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) de 9h à 17h (06.48.84.94.89 ).

 

ANGOULÊME (Jauldes):

*Paroisse N-D de Toutes Grâces/St Ubald

MAISON NOTRE-DAME
LE BOURG
16560 JAULDES.

Tel:05.45.37.35.13
* Messe les 2èmes et  4èmes Dimanches de Chaque mois à 10h30 suivies d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.

* Possibilité de prendre Rendez-vous avec le prêtre la semaine suivant le 2éme dimanche du mois ainsi que pour les visites aux malades et à domicile.

Permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .

PERIGUEUX (La Chapelle Faucher):

*Paroisse Notre-Dame de la Très Sainte Trinité

Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front
ERMITAGE ST COLOMBAN
*
Puyroudier (Rte d'Agonac)
24530
 LA CHAPELLE FAUCHER.

Tel:05.45.37.35.13

 * Messe le 4ème samedi de Chaque mois à 10h30 et permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISMES, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .

 

LOURDES:

*"Relais paroissial St Gregorios de Parumala"

 * Messse  le 5ème dimanche du mois ( en fonction des besoins des fidèles) à 10h30

20 Rte de Pau

 

 

CAMEROUN:

Pour obtenir les adresses du Monastère de YAOUNDE,

des paroisses et "relais paroissiaux de Doula, Yaoundé, Elig Nkouma, Mimboman, Bertoua, Monabo, veuillez les demander au Monastère Métropolitain: 

 

Monastère Syriaque N-D de Miséricorde
Brévilly
61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58 

 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

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