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25 avril 2015 6 25 /04 /avril /2015 05:48
LES NOMS DU CHRIST-JESUS

LES NOMS DU CHRIST-JÉSUS

Yéchoua (le nom hébreu de Jésus) vient de la racine hébraïque de la racine : " Yacha" qui signifie : droiture, justice, probité, intégrité.Yéchoua signifie: secours, délivrance, salut, triomphe, aide, sauvetage, assistance, affranchissement, victoire, bonheur, félicité... et tout cela vient de "Yé" ou de "Ya" donc de IHWH, le Seigneur Tout Puissant !

Un nom hébreu représente la nature de la personne qui le porte. Donc Jésus est venu nous sauver toi et moi, c'est-à-dire il est venu nous secourir, délivrer, sauver, faire triompher, aider, assister, affranchir, donner la victoire, donner le bonheur et la félicité.
Jésus dit dans Jean 10:10 :"... je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles l'aient en abondance".

"L'Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu'il m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres... pour guérir ceux qui ont le coeur brisé... pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés..." (Luc 4:18,19), (Isaïe 61:1).

"Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable. "(1 Jean 3:8).

"Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres." (Jean 12: 46).

"Si quelqu'un entend mes paroles et ne les garde point, ce n'est pas moi qui le juge; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde."(Jean 12: 46)

"Et moi, quand j'aurai été élevé de la terre, j'attirerai tous les hommes à moi."(Jean 12:32)

“Celui qui m'a vu a vu le Père” (Jean 14:9)

“Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.”(Jean 14:6).

LES NOMS DE JESUS

Consolateur (1 Jean 2:1)
Admirable (Is.9:6)
Père du siècle à venir (Is.9:6)
Emmanuel (Dieu avec nous) (Is.7:14)
Tout-Puissant (Apocalypse. 1:8; Mat. 28:18)
Alpha et Omega (Apocalypse 1:8; 22:13)
Amen (Apocalypse 3:14)
Apôtre de notre Profession (Heb. 3:1)
Victime expiatoire pour nos péchés (1 Jean 2:2)
Auteur de Vie (Actes 3:15)
Auteur de notre Foi (Heb. 12:2)
Auteur de notre Salut (Heb. 2:10)
Commencement et fin (Apoc. 22:13)
Bienheureux et seul Souverain (1 Tim. 6:15)
Pain de Dieu (Jean 6:33)
Pain de Vie (Jean 6:35; 6:48)
La pierre principale (Actes 4:11; 1 Pierre 2:7)
Pierre angulaire (Eph. 2:20)
Souverain Berger (1 Pierre 5:4)
Christ (1 Jean 2:22)
Créateur (Jean 1:3)
Libérateur (Rom. 11:26)
La vie éternelle (1 Jean 1:2; 5:20)
Le zèle de l'Eternel des Armées (Is. 9:6)
La Porte (Jean 10:9)
Fidèle et Véritable (Apocalypse 19:11)
Fidèle témoin (Apocalypse 1:5; 3:14)
Principe de la création de Dieu (Apocalypse 3:14)
Le premier et le dernier (Apocalypse. 1:17; 2:8; 22:13)
Premier-né des morts (Apocalypse 1:5)
Prince des rois de la terre (Apocalypse 1:5)
Dieu (Jean 1:1; 20:28; Heb. 1:8; Rom. 9:5; 2 Pierre 1:1;1 Jean 5:20; etc.)
Le Bon Pasteur (Jean 10:11,14)
Le grand Berger (Heb. 13:20)
Grand Souverain Sacrificateur (Heb. 4:14)
Chef suprême de l'Eglise (Eph. 1:22; 4:15; 5:23)
Héritier de toutes choses (Heb. 1:2)
Souverain Sacrificateur (Heb. 2:17)
Le Saint, le Véritable (Apocalypse 3:7)
Le Saint et le Juste (Actes 3:14)
Espérance (1 Tim. 1:1)
L'espérance de la gloire (Col. 1:27)
Puissant Sauveur (Luc 1:69)
Je Suis (Jean 8:58)
Image de Dieu (2 Cor. 4:4)
Roi Eternel (1 Tim. 1:17)
Roi d'Israel (Jean 1:49)
Roi des Juifs (Mt. 27:11)
Roi des rois (1 Tim 6:15; Apocalypse 19:16; Apocalypse 15:3)
L'Agneau (Apocalypse 13:8)
Agneau de Dieu (Jean 1:29)
L'agneau sans tache (1 Pierre 1:19)
Dernier Adam (1 Cor. 15:45)
La Vie (Jean 14:6; Col. 3:4)
Lumière du monde (Jean 8:12)
Lion de la tribu de Judah (Apocalypse 5:5)
Le Vivant (Apocalypse 1:18)
La pierre vivante (1 Pierre 2:4)
Seigneur et Sauveur (2 Pierre 2:20)
Seigneur de tous (Actes 10:36)
Seigneur de Gloire (1 Cor. 2:8)
Seigneur des seigneurs (Apocalypse 19:16)
L'Eternel [YHWH] notre Justice (Jer. 23:6)
Homme céleste (1 Cor. 15:48)
Médiateur de la Nouvelle Alliance (Heb. 9:15)
Dieu puissant (Isa. 9:5)
L'Etoile brillante du matin (Apocalypse 22:16)
Le rejeton et la postérité de David (Apocalypse 22:16)
Fils unique de Dieu (Jean 1:18; 1 Jean 4:9)
Grand Dieu et Sauveur (Tite 2:13)
Notre sanctification (1 Cor. 1:30)
Notre Epoux (2 Cor. 11:2)
Notre Protection (2 Thess. 3:3)
Notre Rédemption (1 Cor. 1:30)
Notre Justice (1 Cor. 1:30)
Notre Pâque qui a été immolé (1 Cor. 5:7)
Puissance de Dieu (1 Cor. 1:24)
Précieuse Pierre angulaire (1 Pierre 2:6)
Prince de la Paix (Isa. 9:6)
Prophète (Actes 3:22)
Résurrection et Vie (Jean 11:25)
Germe juste (Jer. 23:5)
Le Juste (Actes 7:52; 1 Jean 2:1)
Le Rocher (1 Cor. 10:4)
Rejeton de David (Apocalypse 5:5; 22:16)
Sauveur (Eph. 5:23; Tite 1:4; 3:6; 2 Pierre 2:20)
Fils de David (Luc 18:39)
Fils de Dieu (Jean 1:49; Heb. 4:14)
Fils de l'homme (Mt. 8:20)
Fils du Très-Haut (Luc. 1:32)
L'Auteur du salut éternel pour ceux qui lui obéissent (Heb. 5:9)
Le seul Médiateur (1 Tim. 2:5)
La pierre rejetée (Actes 4:11)
Le vrai Pain (Jean 6:32)
La vrai Lumière (Jean 1:9)
Le vrai Cep (Jean 15:1)
La Vérité (Jean 1:14; 14:6)
Le Chemin (Jean 14:6)
La Sagesse de Dieu (1 Cor. 1:24)
Conseiller (Isa. 9:6)
Le Verbe (Jean 1:1)
Le Verbe de Dieu (Apocalypse 19:13)

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Published by Eglise Syriaque-Orthodoxe Antiochienne - dans CATECHISME et CATECHESE
24 avril 2015 5 24 /04 /avril /2015 14:24
Un seul pain, un seul corps (St Augustin)

Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église
Sermon 227, 4e pour le jour de Pâques ; aux nouveaux baptisés, sur le sacrement

Devenir un seul pain, un seul corps


Ce pain que vous voyez sur l'autel, consacré par la parole de Dieu, c'est le corps du Christ.

Ce calice consacré par la parole de Dieu, ou plutôt ce qu'il contient, c'est le sang du Christ.

Dans ces éléments, le Seigneur a voulu transmettre à notre vénération, à notre amour, son corps et son sang qu'il a répandu pour la rémission de nos péchés.

Si vous les avez reçus avec de bonnes dispositions, vous êtes ce que vous avez reçu.

L'apôtre Paul déclare :

-« Tous, nous ne sommes qu'un seul pain, un seul corps » (1Co 10,17)...


Ce pain vous rappelle combien vous devez aimer l'unité.

Ce pain a-t-il été fait d'un seul grain ?

N'y avait-il pas d'abord un grand nombre de grains de froment ?

Avant de prendre la forme du pain, ils étaient séparés.

C'est l'eau qui les a unis après qu'ils aient été broyés ; si le froment n'est pas d'abord moulu et s'il n'est pas imbibé d'eau, on ne peut pas lui donner la forme d'un pain.

De même, vous avez été comme broyés par l'humiliation des jeûnes et l'exorcisme des scrutins, puis l'eau du baptême est venue vous imprégner pour que vous puissiez prendre la forme du pain.

Mais on ne peut pas faire de pain sans feu.

Par quoi le feu est-il représenté ici ?

Par le saint chrême, car l'huile qui alimente notre feu, c'est le sacrement de l'Esprit Saint...; le jour de la Pentecôte, l'Esprit Saint s'est révélé sous la forme de langues de feu...

L'Esprit Saint vient donc ici comme le feu après l'eau, et vous devenez ce pain qui est le corps du Christ.

Ce sacrement est donc comme un symbole de l'unité.

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Published by Eglise Syriaque-Orthodoxe Antiochienne - dans Pères de l'Eglise
24 avril 2015 5 24 /04 /avril /2015 08:46
Vendredi 24 Avril 2015 Eléments pour méditation :

Livre de la Sagesse 5,1-5.

Les justes se tiendront en grande assurance en face de ceux qui les ont persécutés, et qui méprisaient leurs labeurs.
A cette vue, ils seront agités d'une horrible épouvante, ils seront dans la stupeur devant la révélation du salut.
Ils se diront, pleins de regret, et gémissant dans le serrement de leur cœur : " Voilà donc celui qui était autrefois l'objet de nos moqueries, et le but de nos outrages !
Insensés, nous regardions sa vie comme une folie et sa fin comme un opprobre.
Comment est-il compté parmi les enfants de Dieu, et sa part est-elle parmi les saints ?"


Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 15,1-7.

En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples : "Je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron.
Tout sarment qui, en moi, ne porte pas de fruit, il le retranche ; et tout sarment qui porte du fruit, il l'émonde, afin qu'il en porte davantage.
Déjà, vous êtes purs, à cause de la parole que je vous ai annoncée.
Demeurez en moi, et moi en vous. Comme le sarment ne peut de lui-même porter du fruit, s'il ne demeure uni à la vigne, ainsi vous ne le pouvez non plus, si vous ne demeurez en moi.
Je suis la vigne, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi, et en qui je demeure, porte beaucoup de fruits : car, séparés de moi, vous ne pouvez rien faire.
Si quelqu'un ne demeure pas en moi, il est jeté dehors, comme le sarment, et il sèche ; puis on ramasse ces sarments, on les jette au feu et ils brûlent.
Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, vous demanderez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. "

Vendredi 24 Avril 2015 Eléments pour méditation :

Par le Saint [Padre] Pio de Pietrelcina (1887-1968), capucin
Ep 3, 579 ; CE 54 (trad. Une Pensée, Mediaspaul 1991, p. 95)

Porter du fruit, débarrassé des soucis du monde


Avance avec simplicité sur les voies du Seigneur, et ne te fais pas de souci.

Déteste tes défauts, oui, mais tranquillement, sans agitation, ni inquiétude.

Il faut user de patience à leur égard et en tirer profit grâce à une sainte humilité.

Faute de patience, tes imperfections, au lieu de disparaître, ne feront que croître.

Car il n'y a rien qui renforce tant nos défauts que l'inquiétude et l'obsession de s'en débarrasser.

Cultive ta vigne d'un commun accord avec Jésus.

A toi revient la tâche d'enlever les pierres et d'arracher les ronces.

A Jésus, celle de semer, planter, cultiver et arroser. Mais même dans ton travail, c'est encore lui qui agit. Car sans le Christ, tu ne pourrais rien faire.


Vendredi 24 Avril 2015 Eléments pour méditation :

LA NEUVAINE POUR LA France :

Méditation du Père Patrick Faure

Posté le 24 avril 2015

L’unité divine de la France

L’esprit français a besoin de théorie, de transcendance et d’absolu, parce qu’il est en son fond un esprit de clarté rationnelle et d’élévation religieuse.

Pour cette raison, l’unité à laquelle aspirent les français a toujours une dimension théorique, transcendante et absolue, autant dire divine. Cette unité supérieure est à recevoir d’en-haut, d’au-delà des régimes politiques monarchiques impériaux ou républicains dont la France a pu se doter pendant sa longue histoire. Cette unité supérieure vient d’au-delà des représentations multiples de la collectivité.

La France a besoin d’une figure humaine qui l’unisse au-delà de ses clivages partisans et qui incarne une autorité incontestée qui la protège et qui l’élève. Les rois ont incarné la figure du père. Les Assemblées Nationales ont incarné la figure des fils. Au génie français d’inventer aujourd’hui la personnalité morale et spirituelle qui incarnera l’unité de la France au-dessus des tensions entre ses différents courants.

La foi chrétienne donne un indice par la voix de l’apôtre saint Paul : « par-dessus tout qu’il y ait l’amour », l’amour de Dieu, la charité. Les trois saintes patronnes de la France peuvent être invoquées pour faire advenir cet amour sauveur dans les déchirures qui lacèrent notre pays : par la Vierge Marie la pureté d’intention et de conception des lois, par sainte Jeanne d’Arc l’assurance et l’audace face à l’avenir, par sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la sainte-Face, la force de la fidélité aux grands désirs et au pardon des pécheurs. Car seul l’amour ouvert à la transcendance et au dépassement de soi peut faire comprendre et accepter que la vérité impose des limites à la liberté, que la vraie fraternité n’est pas compatible avec le libéralisme blasphématoire, que véritable engagement dans la vie familiale, sociale ou politique, oblige à sacrifier certaines attentes ou certaines ambitions, que la vraie protection des plus faibles doit être un principe régulateur des besoins des plus forts. Et il y a tant d’autres jougs que le véritable amour allège pour édifier la vie commune.

Les chrétiens d’Orient et d’Afrique sont victimes de la violence islamiste. En France, récemment frappée par cette violence, les chrétiens doivent en outre supporter le laïcisme public et voyant. Plutôt que de se replier sur leurs douleurs bon nombre d’entre eux se laissent guider par l’Esprit-Saint qui les pousse à réagir en témoignant de leur foi en la résurrection et en évangélisant leur environnement proche.

Mais pour aller encore plus loin, l’amour de charité « qui fait la vérité pour conduire à la lumière » doit susciter aussi d’autres chrétiens qui aideront les musulmans de France à comprendre et à formuler par eux-mêmes les liens qui existent entre l’Islam et les extrémismes qu’il produit. Ce faisant, un grand pas sera certainement accompli dans le dialogue espéré par le concile Vatican II. Et la conscience aujourd’hui ravivée des racines chrétiennes de l’Europe, et de la France en particulier, permettra d’affirmer alors d’autant plus clairement que notre vie nationale doit réintégrer son patrimoine historique et son héritage explicitement chrétien si elle veut construire l’unité à laquelle elle aspire.

Car la religion judéo-chrétienne a en propre le sens de l’histoire que Dieu a écrite avec les Nations baptisées dans l’Esprit du Christ. « A la prière des petits enfants, la Vierge Marie va sauver la France » avait répondu Marthe Robin au père Finet qui désespérait de l’avenir en 1947, il y a moins de 70 ans. Plutôt que de spéculer sur la disparition consommée, en cours, ou annoncée de la France traditionnelle, il vaut mieux que celles et ceux qui ont un cœur d’enfants continuent de prier humblement notre sainte patronne principale pour qu’elle les assiste dans les voies difficiles où nous sommes aujourd’hui, mis au défi de réinventer les ressorts de la fraternité nationale et de remplir une nouvelle page de notre histoire qui n’est jamais écrite à l’avance. Au lieu d’absolutiser la liberté en pensant qu’elle peut tout se permettre, il vaut mieux l’investir dans les vrais projets qui rassemblent en y intégrant toutes les dimensions croyantes et pensantes de l’esprit français. Pour cela il faut un amour désintéressé que la plupart de nos concitoyens sont prêts à entendre pourvu qu’il y ait des personnes suffisamment inspirées pour le leur témoigner. Acte d’espérance.

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Père Patrick Faure

Le Père Patrick Faure est curé de la paroisse Saint-Eugène Sainte-Cécile, Paris. Exégète Théologien enseignant à la Faculté Notre-Dame (Ecole Cathédrale – Collège des Bernardins), il est également Directeur du Centre Chrétien D’Etudes Juives (Ecole Cathédrale – Collège des Bernardins)

Vendredi 24 Avril 2015 Eléments pour méditation :

LES NOMS DU CHRIST-JESUS

Yéchoua (le nom hébreu de Jésus) vient de la racine hébraïque de la racine : " Yacha" qui signifie : droiture, justice, probité, intégrité.Yéchoua signifie: secours, délivrance, salut, triomphe, aide, sauvetage, assistance, affranchissement, victoire, bonheur, félicité... et tout cela vient de "Yé" ou de "Ya" donc de IHWH, le Seigneur Tout Puissant !

Un nom hébreu représente la nature de la personne qui le porte. Donc Jésus est venu nous sauver toi et moi, c'est-à-dire il est venu nous secourir, délivrer, sauver, faire triompher, aider, assister, affranchir, donner la victoire, donner le bonheur et la félicité.
Jésus dit dans Jean 10:10 :"... je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles l'aient en abondance".

"L'Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu'il m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres... pour guérir ceux qui ont le coeur brisé... pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés..." (Luc 4:18,19), (Isaïe 61:1).

"Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable. "(1 Jean 3:8).

"Je suis venu comme une lumière dans le monde, afin que quiconque croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres." (Jean 12: 46).

"Si quelqu'un entend mes paroles et ne les garde point, ce n'est pas moi qui le juge; car je suis venu non pour juger le monde, mais pour sauver le monde."(Jean 12: 46)

"Et moi, quand j'aurai été élevé de la terre, j'attirerai tous les hommes à moi."(Jean 12:32)

“Celui qui m'a vu a vu le Père” (Jean 14:9)

“Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.”(Jean 14:6).

LES NOMS DE JESUS

Consolateur (1 Jean 2:1)
Admirable (Is.9:6)
Père du siècle à venir (Is.9:6)
Emmanuel (Dieu avec nous) (Is.7:14)
Tout-Puissant (Apocalypse. 1:8; Mat. 28:18)
Alpha et Omega (Apocalypse 1:8; 22:13)
Amen (Apocalypse 3:14)
Apôtre de notre Profession (Heb. 3:1)
Victime expiatoire pour nos péchés (1 Jean 2:2)
Auteur de Vie (Actes 3:15)
Auteur de notre Foi (Heb. 12:2)
Auteur de notre Salut (Heb. 2:10)
Commencement et fin (Apoc. 22:13)
Bienheureux et seul Souverain (1 Tim. 6:15)
Pain de Dieu (Jean 6:33)
Pain de Vie (Jean 6:35; 6:48)
La pierre principale (Actes 4:11; 1 Pierre 2:7)
Pierre angulaire (Eph. 2:20)
Souverain Berger (1 Pierre 5:4)
Christ (1 Jean 2:22)
Créateur (Jean 1:3)
Libérateur (Rom. 11:26)
La vie éternelle (1 Jean 1:2; 5:20)
Le zèle de l'Eternel des Armées (Is. 9:6)
La Porte (Jean 10:9)
Fidèle et Véritable (Apocalypse 19:11)
Fidèle témoin (Apocalypse 1:5; 3:14)
Principe de la création de Dieu (Apocalypse 3:14)
Le premier et le dernier (Apocalypse. 1:17; 2:8; 22:13)
Premier-né des morts (Apocalypse 1:5)
Prince des rois de la terre (Apocalypse 1:5)
Dieu (Jean 1:1; 20:28; Heb. 1:8; Rom. 9:5; 2 Pierre 1:1;1 Jean 5:20; etc.)
Le Bon Pasteur (Jean 10:11,14)
Le grand Berger (Heb. 13:20)
Grand Souverain Sacrificateur (Heb. 4:14)
Chef suprême de l'Eglise (Eph. 1:22; 4:15; 5:23)
Héritier de toutes choses (Heb. 1:2)
Souverain Sacrificateur (Heb. 2:17)
Le Saint, le Véritable (Apocalypse 3:7)
Le Saint et le Juste (Actes 3:14)
Espérance (1 Tim. 1:1)
L'espérance de la gloire (Col. 1:27)
Puissant Sauveur (Luc 1:69)
Je Suis (Jean 8:58)
Image de Dieu (2 Cor. 4:4)
Roi Eternel (1 Tim. 1:17)
Roi d'Israel (Jean 1:49)
Roi des Juifs (Mt. 27:11)
Roi des rois (1 Tim 6:15; Apocalypse 19:16; Apocalypse 15:3)
L'Agneau (Apocalypse 13:8)
Agneau de Dieu (Jean 1:29)
L'agneau sans tache (1 Pierre 1:19)
Dernier Adam (1 Cor. 15:45)
La Vie (Jean 14:6; Col. 3:4)
Lumière du monde (Jean 8:12)
Lion de la tribu de Judah (Apocalypse 5:5)
Le Vivant (Apocalypse 1:18)
La pierre vivante (1 Pierre 2:4)
Seigneur et Sauveur (2 Pierre 2:20)
Seigneur de tous (Actes 10:36)
Seigneur de Gloire (1 Cor. 2:8)
Seigneur des seigneurs (Apocalypse 19:16)
L'Eternel [YHWH] notre Justice (Jer. 23:6)
Homme céleste (1 Cor. 15:48)
Médiateur de la Nouvelle Alliance (Heb. 9:15)
Dieu puissant (Isa. 9:5)
L'Etoile brillante du matin (Apocalypse 22:16)
Le rejeton et la postérité de David (Apocalypse 22:16)
Fils unique de Dieu (Jean 1:18; 1 Jean 4:9)
Grand Dieu et Sauveur (Tite 2:13)
Notre sanctification (1 Cor. 1:30)
Notre Epoux (2 Cor. 11:2)
Notre Protection (2 Thess. 3:3)
Notre Rédemption (1 Cor. 1:30)
Notre Justice (1 Cor. 1:30)
Notre Pâque qui a été immolé (1 Cor. 5:7)
Puissance de Dieu (1 Cor. 1:24)
Précieuse Pierre angulaire (1 Pierre 2:6)
Prince de la Paix (Isa. 9:6)
Prophète (Actes 3:22)
Résurrection et Vie (Jean 11:25)
Germe juste (Jer. 23:5)
Le Juste (Actes 7:52; 1 Jean 2:1)
Le Rocher (1 Cor. 10:4)
Rejeton de David (Apocalypse 5:5; 22:16)
Sauveur (Eph. 5:23; Tite 1:4; 3:6; 2 Pierre 2:20)
Fils de David (Luc 18:39)
Fils de Dieu (Jean 1:49; Heb. 4:14)
Fils de l'homme (Mt. 8:20)
Fils du Très-Haut (Luc. 1:32)
L'Auteur du salut éternel pour ceux qui lui obéissent (Heb. 5:9)
Le seul Médiateur (1 Tim. 2:5)
La pierre rejetée (Actes 4:11)
Le vrai Pain (Jean 6:32)
La vrai Lumière (Jean 1:9)
Le vrai Cep (Jean 15:1)
La Vérité (Jean 1:14; 14:6)
Le Chemin (Jean 14:6)
La Sagesse de Dieu (1 Cor. 1:24)
Conseiller (Isa. 9:6)
Le Verbe (Jean 1:1)
Le Verbe de Dieu (Apocalypse 19:13)

Vendredi 24 Avril 2015 Eléments pour méditation :

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 6,52-59.

En ce temps-là, les Juifs se querellaient entre eux : « Comment celui-là peut-il nous donner sa chair à manger ? »
Jésus leur dit alors : « Amen, amen, je vous le dis : si vous ne mangez pas la chair du Fils de l’homme, et si vous ne buvez pas son sang, vous n’avez pas la vie en vous.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle ; et moi, je le ressusciterai au dernier jour.
En effet, ma chair est la vraie nourriture, et mon sang est la vraie boisson.
Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi, et moi, je demeure en lui.
De même que le Père, qui est vivant, m’a envoyé, et que moi je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi.
Tel est le pain qui est descendu du ciel : il n’est pas comme celui que les pères ont mangé. Eux, ils sont morts ; celui qui mange ce pain vivra éternellement. »
Voilà ce que Jésus a dit, alors qu’il enseignait à la synagogue de Capharnaüm.

Vendredi 24 Avril 2015 Eléments pour méditation :

Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église
Sermon 227, 4e pour le jour de Pâques ; aux nouveaux baptisés, sur le sacrement

Devenir un seul pain, un seul corps


Ce pain que vous voyez sur l'autel, consacré par la parole de Dieu, c'est le corps du Christ.

Ce calice consacré par la parole de Dieu, ou plutôt ce qu'il contient, c'est le sang du Christ.

Dans ces éléments, le Seigneur a voulu transmettre à notre vénération, à notre amour, son corps et son sang qu'il a répandu pour la rémission de nos péchés.

Si vous les avez reçus avec de bonnes dispositions, vous êtes ce que vous avez reçu.

L'apôtre Paul déclare :

-« Tous, nous ne sommes qu'un seul pain, un seul corps » (1Co 10,17)...


Ce pain vous rappelle combien vous devez aimer l'unité.

Ce pain a-t-il été fait d'un seul grain ?

N'y avait-il pas d'abord un grand nombre de grains de froment ?

Avant de prendre la forme du pain, ils étaient séparés.

C'est l'eau qui les a unis après qu'ils aient été broyés ; si le froment n'est pas d'abord moulu et s'il n'est pas imbibé d'eau, on ne peut pas lui donner la forme d'un pain.

De même, vous avez été comme broyés par l'humiliation des jeûnes et l'exorcisme des scrutins, puis l'eau du baptême est venue vous imprégner pour que vous puissiez prendre la forme du pain.

Mais on ne peut pas faire de pain sans feu.

Par quoi le feu est-il représenté ici ?

Par le saint chrême, car l'huile qui alimente notre feu, c'est le sacrement de l'Esprit Saint...; le jour de la Pentecôte, l'Esprit Saint s'est révélé sous la forme de langues de feu...

L'Esprit Saint vient donc ici comme le feu après l'eau, et vous devenez ce pain qui est le corps du Christ.

Ce sacrement est donc comme un symbole de l'unité.

Vendredi 24 Avril 2015 Eléments pour méditation :

Méditation du Père Lazarus-Mariam

"WISDOM."

Wisdom is from God .

It is the echo of Gods silent thoughts.

The movement of His will.

Wisdom comes from God , and if excepted leads us back to God.

He alone is the only true wisdom is a passing world,

The "One" , who came as teacher of the nations.

He created the nations and us ,

And yet so often we close our hearts to what He is trying to teach us.

In us, the work of His hands ,

In us shaped and moulded by His hands,

He pours the fullness of Himself ,

The "Word " that raises us up to teach us the poor ones the Heavenly

mysteries.

To those who truly love Him and come seeking Him Alone ,

They have nothing to fear because perfect love casts out all fear.

All will be well ,

When Holy God is the foundation of our life , and source of our actions

all will eternally be well.

Gods comes seeking us to see if any man comes seeking Him ,

To such a man from His own heart God sowes seeds of grace in him.

Seeds that will in Gods time flower and bear fruit ,

And then we will see what such a man has truly become.

While God gives us time we must empty the heart of all sin , pride , bitterness and love of self.

For in such a heart God can not pour His grace.

Be patient and in silence wait for God to come and pass by you ,

When He comes He will teach you the hidden , sacred things.

Keep Gods commandments ,

A divided heart can not be the resting place of Wisdom.

Pray always and constantly for a spirit of wisdom and humility ;

Be carefully not to set yourself up to such a great height you fall a very long way.

All you have to do is keep it simple ,

Yes very simple to learn to live with God ,

Empty the heart of everything apart from love ,

Then wisdom can grow in it.

Father Lazarus-Mariam

Vendredi 24 Avril 2015 Eléments pour méditation :
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24 avril 2015 5 24 /04 /avril /2015 07:42
La PMA devient-elle criminelle ?

Naguère, je pensais bêtement qu’en suivant la grossesse et accouchant une femme de 56 ans, j’avais établi une sorte de record national.

Je garde un souvenir tellement précis de cette personne amenée par sa fille, elle-même mère de trois enfants, pour avoir un traitement d’un supposé « fibrome ». J’avais à cette époque acheté le premier échographe du Pas-de-Calais, un Hewlett-Packard dont le coût exorbitant et l’usage avaient suscité des critiques en partie venant de la Sécurité Sociale et de confrères estimant bien inutiles les échographies ; lesquelles sont maintenant généralisées à la quasi-totalité des spécialités médicales.

Il s’agissait d’une veuve issue du milieu paysan : l’annonce d’une grossesse de quatre mois et demi à l’échographie a littéralement sidéré tout le monde, moi le premier. Je me trouvais face à un problème de pathologie obstétricale majeur appelé « grossesse tardive » ayant une signification grave : danger pour la mère et son enfant.

Grâce à Dieu, la famille fit front et ne se posa guère le problème de l’avortement. Tout se passa très bien. Cette femme accoucha sans difficultés d’une petite fille en très bonne santé. La question est que cette femme mourut trois années plus tard d’une leucémie qui n’avait d’ailleurs rien à voir avec la grossesse. C’est sa fille qui s’occupa alors de cet enfant privé à la fois de père et de mère.

Sans entrer dans les complications obstétrico-médicales d’une grossesse de cette nature, je me dis que le cas d’Annegret Raunik enceinte de quadruplés à l’âge de 65 ans grâce à la fécondation in vitro (FIV) est absolument effroyable. Car cette personne « pour faire plaisir à sa benjamine de neuf ans » s’est laissée tenter par une véritable folie sur le plan médical et sur le plan moral. Cette femme se met en danger mortel, elle-même et les enfants qu’elle porte.

Il existe en France des lois concernant la PMA. La FIV est interdite hors des couples après la ménopause, après 40 ans, et limitée à cinq tentatives. Un livre intitulé Le chiffre de la vie écrit par Grégory Benichou raconte que ce dernier est allé voir dans une officine de PMA. Il explique qu’une algérienne s’étant fait avorter cinq fois en France à Marseille, car dans son pays l’IVG est interdite, avait fini par se retrouver stérile de par ce fait. Elle était venue onze fois dans la même ville pour des FIV (effectuées sur le compte du contribuable). C’est « l’acharnement procréatif » dénoncé par le Pr. Mattéi quand il était ministre de la santé. Ceci au nom d’un « droit à l’enfant », notion juridique qui n’existe nulle part.

Mais dans le cas précis de Mme Raunik il est probable que cette femme a été en Belgique pour avoir recours à la FIV. Pour l’argent, ce que l’on appelait après- guerre « ce vaillant petit peuple belge » est devenu d’un laxisme moral effroyable et unique au monde permettant aussi l’euthanasie des enfants.

Cette démarche à cet âge est criminelle dans la mesure où la complication majeure de ces fécondations artificielles est le risque d’anomalies génétiques et de prématurités aboutissant à la mort des enfants. Sans parler du danger majeur créé pour la mère dans le cadre d’une grossesse dite « multiple » de quadruplés. Mais aussi du fait que cette femme s’est mis « en fraude » vis-à-vis de la législation française selon un avis duConseil Constitutionnel de mai 2013.

L’Europe, au lieu de s’occuper de la composition des pots de confiture et des mélanges de vins pour faire du rosé, serait bien inspirée de s’occuper des criminels qui se livrent à de telles pratiques mortifères.

Dr Jean-Pierre Dickès pour "M-P-I"

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24 avril 2015 5 24 /04 /avril /2015 07:32
Sainte Anne : De Jérusalem à Auray, par Anne Brassié

Conférence d’Anne Brassié, femme de lettres, suite à la réédition de son livre, Sainte Anne : De Jérusalem à Auray, devant les membres de l' association « Terre et Famille » : Pour adhérer à l’association : terreetfamille@gmail.com

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24 avril 2015 5 24 /04 /avril /2015 07:24
"Les lépreux avec qui je vis sont des anges"

Les lépreux, des anges ? C'est la vérité. Pour Luis Mari Uribe, prêtre franciscain de Gernika, qui a quitté l'Espagne il y a 35 ans pour vivre en Corée du Sud avec les malades de la lèpre, ces derniers sont des anges. Et les Coréens pauvres qui soutiennent financièrement la léproserie sont, quant à eux, des gens de très bonne volonté. « Je puis témoigner de la générosité des Coréens envers ces malades laissés-pour-compte, de celle de leur famille et de la société, et pas seulement des chrétiens », proclame-t-il.

Pour ce prêtre, l'évangélisation dans les zones rurales de Corée constitue un défi : « Dans la vie des campagnes, de ceux qui continuent à travailler la terre, l'Église est peu présente. Les habitants des campagnes n'ont que peu de contacts avec elle ». Il ajoute : « Les paroisses sont dans les villes et les bourgs, qui représentent le centre d'un territoire rural. À partir de ces centres paroissiaux, on atteint la campagne moyennant de petites chapelles ou stations missionnaires desservies par le curé et des religieuses », ajoute-t-il.

Quoi qu'il en soit, l’Église est bien reconnue et appréciée pour son œuvre de justice sociale. Son engagement en faveur des pauvres et de tous ceux qui, socialement, professionnellement et politiquement, ont souffert de la violence dans les temps maintenant révolus du régime dictatorial, a attiré beaucoup de gens dans les églises, tandis que le nombre des baptêmes a augmenté. « Aujourd'hui encore, de toutes les religions en vigueur dans le pays, c'est l'Église catholique qui augmente le plus en nombre », affirme-t-il.

Pas de mondanités spirituelles

Récemment, le pape François a reçu les évêques coréens en visite ad limina et les a exhortés : « Continuez à aller de l'avant. Pas de mondanités spirituelles, pas d'un catholicisme facile, pas de zèle, pas de bien-être religieux. Amour de Jésus-Christ, amour de la Croix de Jésus-Christ, amour de votre histoire, qui est une histoire de persécution et de martyre ». Les paroles du Pape représentent un défi pour l'Eglise coréenne : « Cet engagement nous coûte à nous tous. Aux évêques, prêtres, religieux et laïcs. À nous qui sommes privilégiés, dans le bien-être, peut-être même dans la mondanité évoquée par le Pape ».
Cette idée est développée aussi par la Coréenne Clara Jin Hong, qui confie à Aleteia que « l’Église de Corée du Sud était représentée par le slogan de "Corée dynamique". Ce merveilleux pays asiatique a des côtés moins attrayants. L'idéologie du "super développement" exclut la compassion, la charité, la miséricorde, la proximité… générant une mentalité basée sur une concurrence sans fin ».


Qu'est-ce que la lèpre ?

Selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), la lèpre est une maladie chronique, guérissable, causée par le bacille Mycobacterium leprae. Ce bacille se multiplie très lentement et la période d’incubation de la maladie est d’environ cinq ans. Les symptômes peuvent n’apparaître qu’au bout de 20 ans.

La maladie touche principalement la peau, les nerfs périphériques, la muqueuse des voies respiratoires supérieures ainsi que les yeux. La lèpre n’est pas très contagieuse. Elle est transmise par des gouttelettes d’origine buccale ou nasale, lors de contacts étroits et fréquents avec un sujet infecté et non traité.

Un diagnostic précoce associé à un traitement par polychimiothérapie (PCT) restent les éléments-clés pour éliminer la maladie en tant que problème de santé publique. Faute de traitement, la lèpre peut entraîner des lésions progressives et permanentes de la peau, des nerfs, des membres et des yeux.

Selon les chiffres officiels provenant de 115 pays, 182 000 personnes, résidant principalement en Asie et en Afrique, étaient infectées à la fin de l'année 2012 et, la même année, environ 232 857 cas ont été notifiés.

Adapté de l'espagnol par Élisabeth de Lavigne pour "ALETEIA

Légende photo : Le père Uribe à côté d'une petite fille

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24 avril 2015 5 24 /04 /avril /2015 07:07
« "Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement" (St Colomban)

Par Saint Colomban (563-615), moine, fondateur de monastères
Instruction 13, 1-2 ; PL 80, 254 (trad. Orval ; cf bréviaire 21e merc.)

« Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement »

Frères bien-aimés, si votre âme a soif de la source divine dont je vais vous parler, attisez cette soif et ne l'éteignez pas.

Buvez, mais ne soyez pas rassasiés.

Car la source vivante nous appelle et la fontaine de vie nous dit :

-« Que celui qui a soif vienne à moi et qu'il boive » (Jn 7,37)...


Voyez d'où jaillit cette source : elle vient du lieu d'où est descendu le Pain, car le Pain et la source sont un — le Fils unique, notre Dieu, Jésus Christ le Seigneur, dont nous devons toujours avoir soif.

Même si nous le mangeons et le dévorons par notre amour, notre désir nous donne encore soif de lui.

Comme l'eau d'une source, buvons-le sans cesse avec un immense amour, buvons-le avec toute notre avidité, et délectons-nous de sa douce saveur.

Car le Seigneur est doux et il est bon.

Que nous le mangions ou que nous le buvions, nous aurons toujours faim et soif de lui, car il est pour nous une nourriture et une boisson absolument inépuisables...

En effet il est la fontaine des assoiffés et non celle des satisfaits. Les assoiffés, qu'ailleurs il déclare bienheureux (Mt 5,6), il les invite : ceux qui n'en ont jamais assez de boire, mais qui ont d'autant plus soif qu'ils ont bu.


Frères, « la source de la sagesse, la Parole de Dieu dans les hauteurs » (Si 1,5), désirons-la, cherchons-la, aimons-la ; en elle sont cachés, comme dit l'apôtre Paul, « tous les trésors de la sagesse et de la science » (Col 2,3)...

Si tu as soif, bois à la source de vie ; si tu as faim, mange le Pain de vie.

Heureux ceux qui ont faim de ce Pain et soif de cette source !...

Que c'est bon, ce que l'on peut continuellement goûter sans cesser de le désirer !

Le roi prophète David le dit :

« Goûtez et voyez comme est bon le Seigneur » (Ps 33,9).

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24 avril 2015 5 24 /04 /avril /2015 07:04
AUTOUR DU « DIMANCHE DE St THOMAS »

L’ancienne liturgie latine l’appelait « in albis » (les nouveaux baptisés changeaient leur vêtement blanc pour leur costume ordinaire) ou « Quasimodo » (« Comme des enfants nouveau-nés » : les catéchumènes deviennent les « néophytes ») : ce dimanche clôt le cycle baptismal au sens strict.

Les nouveaux disciples sont « envoyés » dans le monde pour témoigner.

Pendant la quarantaine qui suit Pâques, l’Écriture dénombre onze apparitions du Christ ressuscité.

En ce dimanche, il est fait mémoire de celles du premier jour et celle du huitième, particulièrement importante, puisqu’elle atteste la résurrection corporelle du Sauveur.

Des milliers et des milliers de personnes, au cours de 20 siècles, ont cru et croient à ce fait, sur la base de l’expérience de Thomas, des apôtres et des saintes femmes.

L’Église repose sur la parole de Dieu ainsi que sur la parole des témoins :

« Mon Seigneur et mon Dieu ! » – c’est ce que nous disons, à notre tour, au moment de communier au Corps très pur et au Sang très précieux de Dieu fait Homme.

Les douleurs du corps et de l’âme, les grandes plaies de l’humanité, sont assumées par le Verbe incarné : Il s’est fait le Sujet suprême de nos joies et de nos peines, de notre mort et de notre vie.

Il souffre en chaque souffrant.

En palpant la souffrance d’autrui, c’est Jésus que nous rencontrons.

Au cours des siècles, des millions de croyants se sont dévoués à des frères souffrants, à commencer par ceux qui rendaient visite aux captifs promis au supplice de l’arène.

Ces croyants, comme le montre la vie des saints de tous les temps, avaient la conscience d’avoir rendez-vous avec le Christ dans la souffrance des malades, des prisonniers, des vieillards. L’extraordinaire créativité de l’Église dans l’Histoire en matière de charité active – de saint Basile le Grand à Vincent de Paul – soutenu par un témoignage continu – de saint Jean Chrysostome à Mère Teresa -, l’œuvre sociale des monastères dans tous les pays où résonna l’Évangile, prolonge la découverte que fait en ce jour le saint apôtre et évangéliste Thomas :

il touche du doigt la souffrance humaine de Dieu, la plaie corporelle si souvent symptôme d’une déchirure de l’âme.

Pensons également aux innombrables médecins, infirmières et soignants de toutes catégories, sœurs de charité qui ne croient pas encore, qui, sans le savoir, touchent du doigt la présence du Christ – nombre d’entre eux sont croyants.

Le message de ce dimanche était que, dans sa souffrance, nous rencontrons, non seulement le Christ, mais la personne même d’autrui.

Où as-tu mal ? Où es-tu ?

Dis-moi où tu as mal, c’est là que tu es vivant.

La blessure au côté du Christ prouvait sa vie.

Un cadavre n’a plus mal.

J’ai rendez-vous avec autrui là où il saigne, au lieu le plus sensible de son être, lieu de vérité, point de communion :

la compassion est un contact de personne à personne, extraordinaire ouverture des cœurs, carrefour en forme de croix où l’on peut rejoindre autrui, le comprendre, peut-être, en tout cas l’aimer.

La compassion est union, corps à corps, âme à âme, tendresse, épousailles d’autrui, comme le montre la belle légende de saint Julien l’Hospitalier…

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24 avril 2015 5 24 /04 /avril /2015 07:01
(Lu dans « Sagesse Orthodoxe »)

(Lu dans « Sagesse Orthodoxe »)

La libre existence -

« L’existence objective de l’Homme n’est pas contingente : comment aurait-il pu ne pas exister, lui en qui la divine Trinité révèle tout son amour ? – lui qui de toute éternité est voulu par Dieu. Pourtant, son être ne dépend d’aucune nécessité, à plus forte raison d’aucune fatalité : l’existence de l’Homme est produite dans la liberté absolue de l’amour divin, elle n’est le produit d’aucune cause. L’agir divin lui-même n’est pas déterminé par une cause. En ce sens la création ne s’explique pas : elle est l’objet de la glorification émerveillée des anges et des hommes ; mais elle ne répond pas à la question ‘pourquoi ?’. Elle ne dépend d’aucune loi: ‘La relation entre nous et Dieu Trinité est une relation d’amour, non déterminée par une loi’ (P. Dumitru Stàniloae). Elle n’a sa ‘raison (logos) d’être’ que dans le Logos du Père, ‘logique’ divine, inexplicable et incompréhensible qui est celle de l’amour et de la liberté ; ‘logique’ de la Trinité qui est vie et amour en toute plénitude. La création de l’Homme est ‘un acte exceptionnel de Dieu’ (Christos Yannaras). Aussi faut-il, pour que le vouloir divin soit en plénitude manifesté, que la liberté humaine accepte son propre être et sa propre existence. Paradoxalement, la liberté n’est conditionnée que par la liberté. Toute la ‘vie en Christ’ (saint Nicolas Cabasilas) n’est peut-être pas autre chose que l’acceptation en toute liberté du don divin de l’existence humaine : la grâce de recevoir de Dieu sa propre humanité, de vouloir ce que Dieu veut en devenant Homme […] S’accepter comme homme en toute liberté et en tout amour est la vie de fils.

Le projet divin

« Il est incompréhensible pour la logique humaine que l’existence de l’Homme – et de toute créature – n’ait d’autre raison d’être que l’amour. Incompréhensible également que ce ‘projet’ pour sa créature – projet à la fois de création et de réalisation – ne soit pas pour elle une détermination absolue, et que cet ‘horizon’ (saint Jean Damascène) soit, bel et bien, liberté absolue. Dans le même sens le saint apôtre Paul dit que le Seigneur nous a ‘prévus conformes à l’image du Fils’ (Ro.8, 29). Le dessein, ou pronostique, prééternel du Père appelle l’obéissance libre, l’acceptation libre du projet d’humanité que le Père a pour nous – l’obéissance dans le même amour, ‘si nous nous ouvrons nous aussi à lui avec l’amour qui reçoit sa puissance de son amour’ (P. Dumitru Stàniloae). Le projet antérieur à tout temps qu’a Dieu pour la créature humaine n’est pas une prédétermination ou une prédestination. Il est une vocation prééternelle. L’amour véritable ne détermine pas. Pour approcher de la contemplation de ce mystère, comme pour nous approcher de tout mystère, particulièrement de celui de l’incompréhensibilité divine, il nous faut nous purifier d’une conception psychique de l’amour. L’amour divin est l’‘horizon’, le projet inconditionné et ‘inconditionnant’ selon lequel peut s’accomplir l’être créé, en fonction de l’acceptation libre du vouloir divin qui est appelé obéissance.

Dieu s’émerveille

« Un exemple de cela est donné, dans l’ordre particulier qui est celui de la vocation de la personne créée, par la vocation des prophètes et, après eux, par celle de la Mère de Dieu. ‘Proposition’ prééternelle, cet appel divin accepte – aspect de la kénose-abnégation divine – d’être lui-même conditionné par le consentement de sa créature. L’amour divin ne conditionne pas : c’est lui qui est en toute liberté crucifié à la liberté d’autrui. Le Dieu Amour se met à la merci de l’Homme non moins Amour. Librement, l’amour accepte la condition d’esclave (Ph.2, 7) et de ‘serviteur souffrant’ (Isaïe, 50) de l’aimé, attendant en toute patience (cf. : ‘Je suis à la porte et je frappe’, Apoc.3, 20) la réponse imprévisible. Dieu conjugue de façon antinomique d’une part son omniscience et sa patience qui ne préjugent pas, d’autre part sa toute-puissance (‘souveraineté’, plus exactement, si l’on veut traduire le sens de Pantocrator, qui signifie que Dieu gouverne tout, est le Maître de tout.) et le respect de la liberté créée, traitée par lui comme absolue. Et Il se met librement dans la situation d’être surpris par l’homme (cf. Mt.8, 10 et 15, 28), heureusement ou douloureusement surpris. Car, pour être une vraie liberté, celle de l’être humain doit être imprévisible : dans son abnégation-kénose, le Seigneur voile également son omniscience, afin d’être étonné par sa créature. » (Extrait de "La vision divine de l’homme", à paraître)

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24 avril 2015 5 24 /04 /avril /2015 06:54
Saint Georges, qui êtes-vous ?

Saint Georges, qui êtes-vous ?
Soldat, martyr, patron des cavaliers
(280-303)

Georges naquit à Lydda, en Palestine ; son éducation fut toute chrétienne. Il suivit la carrière des armes comme son père, et bientôt sa beauté, sa distinction, son courage, l'élevèrent à la dignité de tribun militaire dans la garde impériale.

Dioclétien ayant rallumé la persécution contre les chrétiens, l'indignation de Georges éclata en face même du tyran, devant lequel il exalta la grandeur du Dieu véritable et confondit l'impuissance des fausses divinités. Sa noble audace lui mérita le reproche d'ingratitude et des menaces de mort.

Georges profita de ses derniers jours de liberté pour distribuer ses biens aux pauvres et affranchir ses esclaves. Ainsi préparé aux combats du Christ, le tribun aborde l'empereur lui-même et plaide devant lui la cause des chrétiens.

- « Jeune homme, lui répond Dioclétien, songe à ton avenir ! »

- « Je suis chrétien, dit Georges, je n'ambitionne ni ne regrette rien dans ce monde ; rien ne saurait ébranler ma foi. »

Saint Georges, qui êtes-vous ?

Il est alors battu de verges, puis il subit l'affreux supplice de la roue, après lequel un ange descend du Ciel pour guérir ses blessures.

Quelques jours après, le martyr reparaît plein de vie en présence de l'empereur, qui le croyait mort ; il lui reproche de nouveau sa cruauté et l'engage à reconnaître le vrai Dieu.

Trois jours il est abandonné sur un lit de chaux vive ; on lui met ensuite des chaussures de fer rougies au feu, on lui fait avaler un poison très violent.

Georges, par la grâce de Dieu, subit toutes ces épreuves sans en ressentir aucun mal ; plusieurs païens même se convertissent à la vue de tant de merveilles.

Reconduit de nouveau dans sa prison, l'athlète invincible de la foi vit en songe Jésus-Christ descendre vers lui :

- « Georges, lui dit-il en lui présentant une couronne de pierres précieuses, voilà la récompense que je te réserve au Ciel ; ne crains rien, je combattrai avec toi demain, et tu remporteras sur le démon une victoire définitive. »

Saint Georges, qui êtes-vous ?

Le jour suivant, Dioclétien tâcha d'ébranler le martyr par des flatteries :

« Conduisez-moi devant vos dieux » dit Georges.

On l'y conduit, croyant qu'il va enfin sacrifier. Parvenu devant la statue d'Apollon, il fait le signe de la Croix et dit :

« Veux-tu que je te fasse des sacrifices comme à Dieu ? » La voix du démon répond :

Je ne suis pas Dieu ; il n'y a de Dieu que celui que tu prêches. » Et en même temps la statue tombe en poussière.

Le peuple s'enfuit épouvanté, et l'empereur vaincu, humilié et furieux, fait trancher la tête au martyr.

Saint Georges, qui êtes-vous ?
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