Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
18 novembre 2018 7 18 /11 /novembre /2018 08:22

POUR AIDER LA MISSION EN

FRANCE ET AILLEURS, C'EST

SIMPLE...

Il faut impérativement:

*PENSER A VOUS ACQUITTER DU "DENIER DU CULTE",

*CONFIER AU MONASTÈRE LA CÉLÉBRATION DE

VOS MESSES POUR LES VIVANTS ET LES DÉFUNTS DE

VOS FAMILLES,...

Tout don est déductible de votre revenu imposable

à raison de 66 °/° de son montant.(Libellez vos Chèques Bancaires

  l'ordre de : Métropolie E S O F)

MERCI,

SANS VOTRE AIDE LA MÉTROPOLIE (L'Archidiocèse de l'Eglise

Syro-Orthodoxe  Francophone Mar Thoma ) NE POURRA PAS SURVIVRE. 

Adresse: 

Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,

Brévilly

61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58

ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)

Courriel:asstradsyrfr@laposte.net 

_____________________________________________________

DES PASTEURS QUI N'ONT PAS

SOIN DES ÂMES

Il en est quelques-uns qui, en préférant dans leur affection les avantages de la terre, aux brebis elles-mêmes, perdent justement le nom de pasteur; car celui qui ne conduit pas ses brebis par un sentiment d'amour, mais pour un gain terrestre, n'est pas un pasteur, c'est un mercenaire.

Le mercenaire, en effet, est celui qui tient la place du pasteur, mais ne cherche pas l'intérêt des âmes, ne soupire qu'après les richesses de la terre, et se complaît dans les prérogatives de sa dignité.[...]

Ce n'est, du reste, que dans les temps d'épreuve qu'on peut distinguer parfaitement le pasteur du mercenaire; dans les temps de paix, le mercenaire veille ordinairement à la garde du troupeau comme le véritable pasteur : mais lorsque le loup survient, il découvre les vrais motifs qui inspiraient cette vigilance.

Le loup vient encore fondre sur les brebis toutes les fois qu'un homme injuste ou ravisseur opprime les fidèles et les humbles.

Or, celui qui n'avait que l'extérieur du pas-leur et ne l'était pas en effet, laisse les brebis et s'enfuit à son approche, parce que le danger qu'il redoute pour lui le rend incapable de résister à l'injustice; et il s'enfuit non pas en changeant de lieu, mais en privant ses brebis de son appui.

A la vue des dangers que court son troupeau, le mercenaire n'est enflammé d'aucun sentiment de zèle; et il supporte avec indifférence les maux qui viennent fondre sur ses brebis, parce qu'il n'est préoccupé que de ses intérêts personnels.

« Le mercenaire s'enfuit, » etc. L'unique raison pour laquelle le mercenaire s'enfuit, c'est qu'il est mercenaire; et voici le sens de ces paroles : 
-Celui qui dirige les brebis non par un sentiment d'amour, mais en vue d'un gain sordide, ne peut supporter le danger qui menace les brebis, et il redoute de l'affronter, parce qu'il craint de perdre ce qu'il aime.

Saint Grégoire le Grand, Commentaire de l’Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 10,11-16.
-----------------------------------

PASTORES QUE NÃO SE

IMPORTAM PARA ALMAS

Há alguns que, preferindo em seu afeto as vantagens da terra, às próprias ovelhas, perdem o nome de pastor; pois aquele que não conduz suas ovelhas por um sentimento de amor, mas por um ganho terreno, não é um pastor, ele é um mercenário.

O mercenário, na verdade, é aquele que toma o lugar do pastor, mas não busca o interesse das almas, suspirou após as riquezas da terra, e deleita nas prerrogativas de dignidade. [... ]

Além disso, é somente em tempos de provação que podemos distinguir perfeitamente o pastor do mercenário; em tempo de paz, o mercenário normalmente garante o pastoreio como o verdadeiro pastor: mas quando o lobo vem, ele descobre os verdadeiros motivos que inspiraram essa vigilância.

O lobo ainda está derretendo nas ovelhas toda vez que um homem injusto ou arrebatador oprime os fiéis e os humildes.

Ora, o que teve o exterior da sua não-e não estava em vigor, abandona as ovelhas e foge para sua abordagem, porque o perigo que ele teme por ele o faz incapaz de resistir a injustiça; e ele fugiu não mudando de lugar, mas privando suas ovelhas de seu apoio.

À vista dos perigos de seu rebanho, o mercenário está inflamado sem sentimento de zelo; e tolera com indiferença os males que se fundem em suas ovelhas, porque se preocupa apenas com seus interesses pessoais.

"O mercenário foge" etc. A única razão pela qual o mercenário foge é que ele é mercenário; e aqui está o significado dessas palavras:
-Ele que leva as ovelhas não por um sentimento de amor, mas por lucro desonesto, pode suportar o perigo para as ovelhas, e ele teme que enfrentá-lo, porque ele teme perder o que ele gosta.

São Gregório Magno, Comentário sobre o Evangelho de Jesus Cristo segundo São João 10,11-16.
------------------------------

PASTORS WHO DO NOT CARE

FOR SOULS

There are some who, preferring in their affection the advantages of the earth, to the sheep themselves, lose the name of pastor; for he who does not lead his sheep by a feeling of love, but for an earthly gain, is not a pastor, he is a mercenary.

The mercenary, in fact, is the one who takes the place of the pastor, but does not seek the interest of souls, only sighs after the riches of the earth, and delights in the prerogatives of his dignity. ]

It is, moreover, only in times of trial that we can perfectly distinguish the pastor of the mercenary; In times of peace, the mercenary usually keeps watch over the flock like the true shepherd: but when the wolf comes, he discovers the true motives that inspired this vigilance.

The wolf is still melting on the sheep every time an unjust or ravishing man oppresses the faithful and the humble.

Now, he who had only the outside of the pas-them and was not in fact, leaves the sheep and fled at his approach, because the danger he fears for him makes him unable to resist to injustice; and he fled not by changing places, but by depriving his sheep of his support.

At the sight of the dangers of his flock, the mercenary is inflamed with no sentiment of zeal; and he tolerates with indifference the evils that melt on his sheep, because he is preoccupied only with his personal interests.

"The mercenary flees," etc. The only reason the mercenary flees is that he is mercenary; and here is the meaning of these words:
He who directs the sheep not by a feeling of love, but in view of a sordid gain, can not bear the danger which threatens the sheep, and he dreads to face it, because he fears to lose what 'he likes.

Saint Gregory the Great, Commentary on the Gospel of Jesus Christ according to Saint John 10,11-16.
-----------------------------------------------

الرعي التي لا تهتم بالنباتات

هناك بعض الذين ، مفضلين في مصلحتهم مزايا الأرض ، إلى الأغنام أنفسهم ، تفقد اسم القس. لأنه لا يقود غنمه بشعور من المحبة ، ولكن من أجل كسب أرضي ، فهو ليس قساً ، بل هو مرتزق.

المرتزقة، في الواقع، هو الذي يأخذ مكان القس، ولكن لا يسعى لمصلحة النفوس، تنهد بعد ثروات الأرض، ويتمرد في صلاحيات الكرامة. [... ]

وعلاوة على ذلك ، فإنه في أوقات المحاكمة فقط يمكننا التمييز بشكل كامل مع راعي المرتزقة ؛ في أوقات السلم ، عادة ما يراقب المرتزق الرعية مثل الراعي الحقيقي: ولكن عندما يأتي الذئب ، يكتشف الدوافع الحقيقية التي ألهمت هذا اليقظة.

لا يزال الذئب يذوب على الخراف في كل مرة يظلم فيها رجل ظالم أو ساحر المؤمنين والمتواضعين.

الآن ، الذي كان لديه فقط خارج من pas-them ولم يكن في الواقع ، يترك الأغنام وهرب من نهجه ، لأن الخطر الذي يخشاه عليه يجعله غير قادر على مقاومة للظلم. ولم يهرب عن طريق تغيير الأماكن ، ولكن من خلال حرمانه من الأغنام من دعمه.

عند رؤية مخاطر رعيته ، يلتهب المرتزق دون أي شعور بالغيرة ؛ ويتسامح مع اللامبالاة بالشرور التي تذوب على خرافه ، لأنه مشغول فقط بمصالحه الشخصية.

"المرتزقة تفر" ، إلخ. السبب الوحيد للهروب من المرتزقة هو أنه مرتزق وهنا معنى هذه الكلمات:
من يوجّه الخراف لا بشعور من المحبة ، لكن في ضوء مكسب خسيس ، لا يستطيع أن يتحمل الخطر الذي يهدد الخراف ، ويخشى مواجهته ، لأنه يخشى أن يخسر ما 'يحب.

القديس غريغوريوس العظيم ، تعليق على إنجيل يسوع المسيح وفقا للقديس يوحنا 10،11-16

 

Dimanche de l’Annonciation à Zacharie (jour des parents).

En ce dimanche est commémorée l'annonce de la naissance de Jean le Baptiste par l'Archange Gabriel à Zacharie.

Saint Qurbana

    • II Pierre 1: 1-15 :
  • 01 SYMEON PIERRE, serviteur et apôtre de Jésus Christ, à ceux qui ont reçu en partage une foi d’aussi grand prix que la nôtre, par la justice de notre Dieu et Sauveur Jésus Christ.
  • 02 Que la grâce et la paix vous soient accordées en abondance par la vraie connaissance de Dieu et de Jésus notre Seigneur.
  • 03 Sa puissance divine nous a fait don de tout ce qui permet de vivre avec piété, grâce à la vraie connaissance de celui qui nous a appelés par la gloire et la force qui lui appartiennent.
  • 04 De la sorte nous sont accordés les dons promis, si précieux et si grands, pour que, par eux, vous deveniez participants de la nature divine, et que vous échappiez à la dégradation produite dans le monde par la convoitise.
  • 05 Et pour ces motifs, faites tous vos efforts pour joindre à votre foi la vertu, à la vertu la connaissance de Dieu,
  • 06 à la connaissance de Dieu la maîtrise de soi, à la maîtrise de soi la persévérance, à la persévérance la piété,
  • 07 à la piété la fraternité, à la fraternité l’amour.
  • 08 Si vous avez tout cela en abondance, vous n’êtes pas inactifs ni stériles pour la vraie connaissance de notre Seigneur Jésus Christ.
  • 09 Mais celui qui en est dépourvu est myope au point d’être aveugle : il oublie qu’il a été purifié de ses péchés d’autrefois.
  • 10 C’est pourquoi, frères, redoublez d’efforts pour confirmer l’appel et le choix dont vous avez bénéficié ; en agissant de la sorte, vous ne risquez pas de tomber.
  • 11 C’est ainsi que vous sera généreusement accordée l’entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ.
  • 12 Voilà pourquoi je tiendrai toujours à vous remettre cela en mémoire, bien que vous le sachiez et que vous soyez affermis dans la vérité qui est déjà là.
  • 13 Et il me paraît juste, tant que je suis ici-bas, de vous tenir éveillés par ces rappels,
  • 14 car je sais que bientôt je partirai d’ici-bas, comme notre Seigneur Jésus Christ me l’a fait savoir.
  • 15 Mais je redoublerai d’efforts pour qu’après mon départ vous puissiez en toute occasion faire mémoire de cela.
    •  
    • Ephésiens 5: 21 :
    • 21 Par respect pour le Christ, soyez soumis les uns aux autres ;
    • 6: 4 :
    • 04 Et vous, les parents, ne poussez pas vos enfants à la colère, mais élevez-les en leur donnant une éducation et des avertissements inspirés par le Seigneur.
    • Saint Luc 1: 5 – 25 :
  • 05 Il y avait, au temps d’Hérode le Grand, roi de Judée, un prêtre du groupe d’Abia, nommé Zacharie. Sa femme aussi était descendante d’Aaron ; elle s’appelait Élisabeth.
  • 06 Ils étaient l’un et l’autre des justes devant Dieu : ils suivaient tous les commandements et les préceptes du Seigneur de façon irréprochable.
  • 07 Ils n’avaient pas d’enfant, car Élisabeth était stérile et, de plus, ils étaient l’un et l’autre avancés en âge.
  • 08 Or, tandis que Zacharie, durant la période attribuée aux prêtres de son groupe, assurait le service du culte devant Dieu,
  • 09 il fut désigné par le sort, suivant l’usage des prêtres, pour aller offrir l’encens dans le sanctuaire du Seigneur.
  • 10 Toute la multitude du peuple était en prière au dehors, à l’heure de l’offrande de l’encens.
  • 11 L’ange du Seigneur lui apparut, debout à droite de l’autel de l’encens.
  • 12 À sa vue, Zacharie fut bouleversé et la crainte le saisit.
  • 13 L’ange lui dit : « Sois sans crainte, Zacharie, car ta supplication a été exaucée : ta femme Élisabeth mettra au monde pour toi un fils, et tu lui donneras le nom de Jean.
  • 14 Tu seras dans la joie et l’allégresse, et beaucoup se réjouiront de sa naissance,
  • 15 car il sera grand devant le Seigneur. Il ne boira pas de vin ni de boisson forte, et il sera rempli d’Esprit Saint dès le ventre de sa mère ;
  • 16 il fera revenir de nombreux fils d’Israël au Seigneur leur Dieu ;
  • 17 il marchera devant, en présence du Seigneur, avec l’esprit et la puissance du prophète Élie, pour faire revenir le cœur des pères vers leurs enfants, ramener les rebelles à la sagesse des justes, et préparer au Seigneur un peuple bien disposé. »
  • 18 Alors Zacharie dit à l’ange : « Comment vais-je savoir que cela arrivera ? Moi, en effet, je suis un vieillard et ma femme est avancée en âge. »
  • 19 L’ange lui répondit : « Je suis Gabriel et je me tiens en présence de Dieu. J’ai été envoyé pour te parler et pour t’annoncer cette bonne nouvelle.
  • 20 Mais voici que tu seras réduit au silence et, jusqu’au jour où cela se réalisera, tu ne pourras plus parler, parce que tu n’as pas cru à mes paroles ; celles-ci s’accompliront en leur temps. »
  • 21 Le peuple attendait Zacharie et s’étonnait qu’il s’attarde dans le sanctuaire.
  • 22 Quand il sortit, il ne pouvait pas leur parler, et ils comprirent que, dans le sanctuaire, il avait eu une vision. Il leur faisait des signes et restait muet.
  • 23 Lorsqu’il eut achevé son temps de service liturgique, il repartit chez lui.
  • 24 Quelque temps plus tard, sa femme Élisabeth conçut un enfant. Pendant cinq mois, elle garda le secret. Elle se disait :
  • 25 « Voilà ce que le Seigneur a fait pour moi, en ces jours où il a posé son regard pour effacer ce qui était ma honte devant les hommes. »
    •  

Dimanche 18 Novembre au Monastère, 10h30, Messe pour la France

-+-

LE CHEMIN DU BONHEUR , par

 

St Nectaire d'Egine 2:

 

LE SAINT BAPTÊME

Vous tous qui avez été baptisés en Christ, vous avez revêtu le Christ (Ga 3,27)

Que de vérités dans ces paroles de l'Apôtre Paul !

Les baptisés en Christ ont quitté la tunique du vieil homme, entachée de passions et de mauvais désirs et ils ont revêtu celle de l'homme nouveau, autrement dit le Christ lui-même qui maintenant vit au plus intérieur de leur cœur.

Car la phrase vous avez revêtu n'a plus aucun rapport avec les vêtements que nous portons.

Il est question ici d'une autre réalité ; d'une réalité bien plus profonde ; de quelque chose de plus essentiel et que plus rien ne peut vous arracher.

Par l'affirmation de notre foi et le baptême nous recevons réellement pour vêture le Christ et nous devenons les vrais enfants de Dieu, les demeures de l'Esprit Saint, les temples du Très-Haut.

Nous sommes appelés à la sainteté, à la perfection et à la divinisation par la grâce qui nous est ainsi conférée.

Nous voici donc libres de toute corruption puisque revêtus d'incorruptibilité. Dépouillés désormais de l'homme du péché, nous sommes en retour revêtus de l'homme de la justice et de la grâce.

Nous avons chassé la mort en recouvrant la vie éternelle.

Au fait : sommes-nous réellement conscients de l'engagement que nous avons pris devant Dieu lors de notre baptême ?

Avons-nous compris qu'il nous incombe désormais de nous comporter en fils authentiques de Dieu et en véritables frères de Notre Sauveur ?

Comprenons-nous bien que notre premier devoir consiste à faire concorder notre propre volonté avec celle de Dieu lui-même ; qu'il nous faut nous libérer du péché ; qu'il est impératif pour nous de nous adonner à la charité avec toutes nos forces, de toute notre âme et de tout notre cœur; qu'il est de notre devoir de louer et adorer Dieu et de garder notre regard tourner avec la plus grande impatience vers cet instant où nous serons définitivement unis à lui?

Avons-nous fait notre cette pensée que notre cœur ne peut désormais que déborder d'authentique amour afin qu'il ne perde jamais de vue le prochain ?

Enfin, sommes-nous convaincus que notre unique vocation est d'acquérir la sainteté et la perfection ; que nous sommes des icônes vivantes de Dieu, des enfants et des héritiers de son Royaume, le Royaume des cieux ?

C'est pour toutes ces raisons qu'il n'y a de cesse à notre lutte spirituelle afin que nous soyons dignes de l'appel que Dieu nous a adressé en vue de nous éviter de subir un jour l'affront d'être désavoué à cause de nos actes.

Oui, mes frères, ayons à cœur de remporter victorieusement le bon combat en usant de zèle et d'abnégation.

Marchons avec audace, sans négligence, sans crainte, sans buter sans cesse devant les épreuves : 
Dieu est avec nous ; il est notre aide et notre soutien ; il nous fortifie et nous conforte sur le difficile chemin de la vertu.
-----------------------------------------------

O CAMINHO DA FELICIDADE, por

 

St Nectaire d'Aegina 2:

 

O BAPTISMO DE SAINT

Todos vocês que foram batizados em Cristo, vocês vestiram Cristo (Ga 3,27)

Que verdades nestas palavras do apóstolo Paulo!

Os batizados em Cristo deixaram a túnica do velho, contaminada com paixões e maus desejos, e vestiram a do novo homem, em outras palavras, o próprio Cristo que agora vive no íntimo do coração.

Porque a frase que você colocou não tem nada a ver com as roupas que vestimos.

Essa é outra realidade; uma realidade muito mais profunda; algo mais essencial e que nada pode te arrancar.

Pela afirmação de nossa fé e batismo nós realmente recebemos para vestir Cristo e nos tornamos os verdadeiros filhos de Deus, as moradas do Espírito Santo, os templos do Altíssimo.

Somos chamados à santidade, perfeição e deificação através da graça que nos é conferida.

Estamos, portanto, livres de toda corrupção, uma vez que estão revestidos de incorruptibilidade. Agora despojado do homem do pecado, estamos de volta vestidos com o homem de justiça e graça.

Nós perseguimos a morte recuperando a vida eterna.

A propósito: estamos realmente conscientes do compromisso que assumimos perante Deus em nosso batismo?

Entendemos que agora cabe a nós nos comportarmos como autênticos filhos de Deus e verdadeiros irmãos de Nosso Salvador?

Vamos entender bem que nosso primeiro dever é reconciliar nossa vontade com a do próprio Deus; que devemos nos libertar do pecado; que é imperativo para nós entrar em caridade com toda nossa força, com toda nossa alma e com todo nosso coração; que é nosso dever louvar e adorar a Deus e manter nosso olhar girando com a maior impaciência para este momento em que estaremos definitivamente unidos a ele?

Fizemos pensar que o nosso coração só pode transbordar com amor autêntico para que nunca perca de vista o próximo?

Finalmente, estamos convencidos de que nossa única vocação é adquirir santidade e perfeição; que estamos vivendo ícones de Deus, filhos e herdeiros do Seu Reino, o Reino dos Céus?

É por todas essas razões que nunca cessamos nossa luta espiritual para que sejamos dignos do chamado que Deus nos dirigiu a fim de evitar que um dia sofressemos a afronta de sermos rejeitados. por causa de nossas ações.

Sim, meus irmãos, tenhamos o coração para vencer vitoriosamente o bom combate, usando zelo e abnegação.

Andemos com audácia, sem negligência, sem medo, sem parar incessantemente diante dos julgamentos:
Deus está conosco; ele é nossa ajuda e nosso apoio; ele nos fortalece e nos fortalece no difícil caminho da virtude.
-----------------------------------

THE PATH OF HAPPINESS, by St

 

Nectaire d'Aegina 2:

 

THE SAINT BAPTISM

All of you who have been baptized into Christ, you have clothed Christ (Ga 3,27)

What truths in these words of the Apostle Paul!

The baptized in Christ left the tunic of the old man, tainted with passions and bad desires, and they put on that of the new man, in other words, Christ himself who now lives in the innermost part of their heart.

Because the sentence you have put on has nothing to do with the clothes we wear.

This is another reality; a much deeper reality; something more essential and that nothing can tear you away.

By the affirmation of our faith and baptism we actually receive to clothe Christ and we become the true children of God, the abodes of the Holy Spirit, the temples of the Most High.

We are called to holiness, perfection, and deification through the grace that is thus bestowed upon us.

We are therefore free from all corruption since they are clothed with incorruptibility. Now stripped of the man of sin, we are in return clothed with the man of justice and grace.

We chased death by recovering eternal life.

By the way: are we really aware of the commitment we made before God at our baptism?

Have we understood that it is now incumbent on us to behave as authentic sons of God and true brothers of Our Savior?

Let us understand well that our first duty is to reconcile our own will with that of God himself; that we must free ourselves from sin; that it is imperative for us to indulge in charity with all our strength, with all our soul and with all our heart; that it is our duty to praise and adore God and to keep our gaze turning with the greatest impatience towards this moment when we will be definitely united to him?

Have we made this thought that our heart can only overflow with authentic love so that it never loses sight of the neighbor?

Finally, are we convinced that our only vocation is to acquire holiness and perfection; that we are living icons of God, children and heirs of His Kingdom, the Kingdom of Heaven?

It is for all these reasons that there is never ceasing our spiritual struggle so that we are worthy of the call that God addressed to us in order to avoid us one day to suffer the affront of being disavowed. because of our actions.

Yes, my brethren, let us have the heart to win victoriously the good fight by using zeal and self-denial.

Let us walk with audacity, without negligence, without fear, without stopping incessantly before the trials:
God is with us ; he is our help and our support; he strengthens us and strengthens us on the difficult path of virtue.
-------------------------------------------------------

الطريق من السعادة ، عن طريق سانت

 

Nectaire d'Aegina 2:

 

البابا

جميعكم الذين تم تعميدهم في المسيح ، قد ألبست المسيح (غ 3،27)

ما هي الحقائق في هذه الكلمات من الرسول بولس!

واعتمدتم بالمسيح قد غادروا سترة الرجل العجوز، والمشاعر الملوث والرغبات الشريرة، وغطوا أن الإنسان الجديد، وهذا هو المسيح نفسه الذي يعيش الآن في داخل قلوبهم.

لأن الجملة التي وضعتها لا علاقة لها بالملابس التي نرتديها.

هذا واقع آخر حقيقة أعمق شيء أكثر أهمية وأنه لا شيء يمكن أن يمزقك بعيدا.

من خلال التأكيد على إيماننا ومعموديتنا ، نتلقى في الواقع تكسية المسيح ونصبح أولاد الله الحقيقيين ، بيوت الروح القدس ، معابد العلي.

نحن مدعوون إلى القداسة والكمال والتضحية من خلال النعمة الممنوحة لنا.

نحن إذن أحرار من كل فساد لأنهم يلبسون الفساد. جردنا الآن من رجل الخطية ، ونحن في المقابل نلبس رجل العدل والنعمة.

طاردنا الموت عن طريق استعادة الحياة الأبدية.

بالمناسبة: هل نحن مدركون حقًا للالتزام الذي قطعناه أمام الله في معموديتنا؟

هل فهمنا أن علينا الآن أن نتصرف كأبناء حقيقيين من الله وإخوة مخلصينا الحقيقيين؟

دعونا نفهم جيدا أن واجبنا الأول هو التوفيق بين إرادتنا و إرادة الله نفسه ؛ أننا يجب أن نحرر أنفسنا من الخطيئة ؛ أنه من الضروري لنا أن ننغمس في المحبة بكل قوتنا ، بكل روحنا ومن كل قلوبنا. أنه من واجبنا أن نمدح وأن نعشق الله وأن نحافظ على نظرتنا تتحول إلى أكبر نفاد الصبر تجاه هذه اللحظة التي سوف نتحد فيها بالتأكيد؟

هل جعلنا هذا الفكر أن قلبنا لا يمكن إلا أن يتجاوز مع الحب الحقيقي بحيث لا يفقد البصر من الجار؟

أخيراً ، هل نحن مقتنعون بأن مهمتنا الوحيدة هي اكتساب القداسة والكمال. أننا نعيش رموز الله والاطفال ورثة مملكته ، مملكة الجنة؟

ولهذه الأسباب أن هناك باستمرار في النضال الروحي لدينا بحيث أننا أهل للدعوة أن الله قد أرسل لنا لمنعنا من يوم واحد يعاني من الإهانة من أن تبرأت بسبب أفعالنا.

نعم ، يا إخوتي ، دعونا نحظى بالقلب لننتصر في الكفاح الجيد باستخدام الحماس ونكران الذات.

دعونا نمشي بجرأة ، دون إهمال ، دون خوف ، دون أن تتوقف بلا انقطاع قبل المحاكمات:
الله معنا. هو مساعدتنا ودعمنا. يقوينا ويقوينا على طريق الفضيلة الصعبة.

 

NOTRE-SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST… 

            

Nous sommes si habitués au texte de nos prières que nous finissons par en oublier le sens. A plus forte raison nous nous soucions fort peu de leur origine. Ne serait-ce pas le cas pour cette expression «le Seigneur », si souvent employée dans les psaumes, en référence à Dieu, Créateur de toutes choses, et qui, de nos jours, est devenue le terme le plus habituel pour désigner le Fils de Dieu incarné, Jésus-Christ ? Nous disons tout naturellement « Notre-Seigneur », en parlant de lui; mais il n'est pas sans intérêt de rechercher dans le passé l'histoire de cette appellation.

Les Juifs de l'Ancien Testament, vous le savez, donnaient à Dieu un nom spécial : Jéhovah, ou plus exactement Yahvé. Peu à peu, la révérence due à ce nom trois fois saint avait fait naître en eux un tel sentiment de leur indignité qu'ils en étaient venus à ne plus oser le prononcer. Le trouvant trop sacré pour être articulé à haute voix, ils y substituèrent le mot « Adonaï » ou « Sei­gneur ». D'un usage moins strictement réservé, c'était tout de même un terme de respect que l'on employait à l'égard du souverain et dans les occa­sions solennelles de la vie; les femmes appelaient leur époux « Seigneur »; on disait « Seigneur » aux prophètes ou aux autres personnalités de marque, les serviteurs le disaient aussi à leur maître, et souvent les fils à leur père.

Quelque chose de cette signification révérencielle est parvenue jusqu'à nous, avec ceci de particulier que le mot est presque exclusivement réservé, de nos jours, à la Personne de Nôtre-Seigneur Jésus-Christ. En parlant de Dieu Créateur ou Provi­dence, nous disons : le bon Dieu; mais nous appe­lons Jésus « Nôtre-Seigneur », et si spontanément que le nom propre de Jésus semble plutôt réservé à la prière; on l'emploie assez peu dans le lan­gage courant. Nous trouvons en quelque sorte « Nôtre-Seigneur » plus respectueux que « Jésus » tout court, mais nous n'avons peut-être jamais réfléchi à la signification vraiment profonde de ces deux petits mots.

Nous le disions que pour les anciens Juifs, le mot de « Seigneur » impliquait toujours le respect; il était de mise partout où l'autorité était, ou tout au moins le rang et la dignité, en cause. L'Évangile en fourmille d'exemples. C'est le jeune homme prié par son père d'aller travail­ler à la vigne et qui répond : « Oui, Seigneur. » (Entre parenthèses, il ne s'y rendit pas.) C'est Marie-Madeleine interpellant celui qu'elle prend pour le jardinier : « Seigneur, si c'est vous qui l'avez enlevé, dites-moi où vous l'avez mis et je l'emporterai. » (JN, XX, 15.) Elle veut s'insinuer dans ses bonnes grâces en l'appelant Seigneur.

Pour le juif religieux de l'époque et pour le chrétien des premiers temps, commencer sa prière par « Seigneur », c'était donc tout simplement transposer dans le domaine spirituel une formule habituelle de respect. On trouvait normal de s'adresser au Maître de toutes choses par un titre en usage auprès des grands de la terre; à l'Époux des âmes, par un titre qui convenait aux époux; au Père Éternel, par le titre que les fils donnaient à leur père; au bienfaiteur universel, par le titre usité envers un homme de marque dont on espé­rait une faveur. Ce mot « Seigneur » était donc autre chose qu'une simple formule de politesse; il était riche de sens.

Avouons que nous-mêmes nous ne savons pas trop ce que nous disons lorsque nous parlons du « Seigneur ». A peine voyons-nous là un rappel à l'humilité de notre condition, devant un grand personnage, quand nous sommes en prière. Le mot n'évoque rien qui soit en rapport avec la vie con­crète du XXe siècle. Notre mentalité d'Occiden­taux, passablement démocrates, est pour beaucoup dans ce quasi impossibilité d'admettre au-dessus de nous un Seigneur qui le soit véritablement et en toute rigueur de terme. On prétend qu'en Angleterre, au temps de la première Élisabeth, un grand de la cour étendit son vêtement flambant neuf sous les pieds de la reine, pour lui évi­ter de ternir ses fines chaussures. Elle était la reine, lui le sujet; le geste paraissait naturel à l'un et à l'autre. De nos jours un respect peut-être égal n'inspirerait plus les mêmes gestes... Autres temps, autres mœurs. L'Inde, sans doute, nous fournirait encore des exemples de ce genre, parce que l'Inde, précisément, a gardé quelque chose des mœurs antiques. La poésie indienne célèbre une femme qui, pour rehausser l'honneur de son époux, se déclare « plus vile que la pous­sière soulevée par son char ». Est-il une femme en Occident qui irait jusque-là dans la louange de son Seigneur et Maître ?

Tout cela pour en arriver à définir le sens du mot « Seigneur », adressé à Jésus. Nous venons de voir qu'il implique une relation de roi à sujet, d'époux à épouse, mais il y a plus fort encore. Le mot latin « Dominus », que nous traduisons par « Seigneur », désignait littéralement le pro­priétaire d'esclaves. L'idée que se formaient de Jésus les premiers adeptes du christianisme c'était, avant tout, celle du maître auquel ils apparte­naient, qui les possédait en propre et aussi réel­lement, sinon plus, qu'un propriétaire ne possède son troupeau. Il ne nous est pas facile de reconsti­tuer, après coup, cette atmosphère d'un ancien monde où le maître avait droit de vie et de mort sur son esclave, il pouvait le tuer pour un dîner mal apprêté !  C'est pourtant ce que signifiait le mot Dominus, Seigneur, quand on com­mença à l'appliquer à Jésus-Christ.

Dans l'oraison « Fidelium », de l'Office des morts, l'Église (Latine) nous fait demander à Dieu sa pitié pour l'âme de ses serviteurs et de ses servantes; mais le sens obvie est que la grâce soit obtenue du Maître pour ses esclaves. On sait quels étaient les châtiments réservés à ceux-ci : les fouets, les fers rouges, la crucifixion; le maître était en droit d'user de tout cela à l'époque où la Bible fut écrite. Il faut nous le rappeler si nous voulons réaliser un peu ce que comporte cette simple affirmation : « Je crois en Jésus-Christ Nôtre-Seigneur. »

Un fait est certain : Il nous possède comme son bien propre. Sa bonté nous ferait facilement oublier ses droits de maître et de possesseur, mais la réalité est là. Il nous a rachetés, c'est-à-dire payés, et nous lui appartenons.

Ni vous ni moi, nous n'avons probablement jamais vu d'es­claves. Mais la chose était encore courante il y a une centaine d'années. Aujourd'hui, grâce à Dieu, on ne trouverait plus qu'exceptionnellement des êtres livrés totalement à d'autres êtres humains pour la vie et pour la mort. Et cela nous rend mal­aisé de comprendre ce qu'est une appartenance totale. Nôtre-Seigneur a sûrement tenu compte, d'avance, de cette difficulté de notre époque, et pour nous rendre plus familière une notion aussi éloignée de notre conception du XXe siècle, il a inspiré à la liturgie maints passages où nous som­mes comparés à des troupeaux dont Dieu gérait le Maître. « Nous sommes son peuple et les bre­bis de son pâturage », dit le Psaume 92. C'est d'ailleurs un écho de cette même allégorie que nous retrouvons dans la bouche même de Nôtre-Seigneur : « Je suis le Bon Pasteur » (JN, X, 11), dit-il dans la plus touchante de ses paraboles. Il s'y peint lui-même sous les traits du berger, mais du berger propriétaire des brebis. Il est notre possesseur, comme un fermier l'est de son trou­peau, et c'est pourquoi nous devons porter sa marque. Si vous avez tant soit peu habité la cam­pagne, vous aurez remarqué avec quelle facilité les moutons se faufilent au travers des haies pour le plaisir d'aller se mêler aux troupeaux voisins. C'est pourquoi le propriétaire leur fait une marque sur le dos, bien visible, rouge ou bleue, afin de, les retrouver aisément. Aussi le mal ne sera pas grand, s'il y a un peu de mélange. Chaque berger aura vite fait de retrouver son bien, Le baptême, c'est un peu cela : la marque du Christ sur notre âme. Nous ne la voyons pas, parce qu'elle est surnaturelle, mais elle est visible aux esprits angéliques. Un ange peut voir immédiatement si vous êtes baptisé ou non. Et ce signe est indélébile : rien au monde ne peut l'effacer. Ce n'est pas, vous le pensez bien, que Nôtre-Seigneur ait besoin de ce signe pour reconnaître ceux qui sont à lui, lui qui nous connaît individuellement et par notre nom,notre nom de baptême ! Lui qui connaît très exactement notre histoire. Un berger qui saurait utiliser ses longues heures de loisir arriverait assez vite à distinguer les uns des autres ses moutons; il est probable qu'il ne leur donnerait tout de même pas un nom à tous indi­viduellement. Pour Jésus, chacun, parmi les millions de chrétiens qui composent son troupeau, est une unité, ayant son nom propre. C'est le mouton ce un tel « ou ce une telle » et il n'y a pas à craindre qu'il y ait jamais confusion.

L'ennui, avec les moutons qui franchissent la barrière ou la haie, c'est qu'ils risquent de brou­ter une herbe qui ne leur convient pas du tout. S'ils entrent dans un champ de trèfle, par exemple, il y a des chances qu'ils en broutent à se rendre malades. Vous les voyez alors enfler, puis s'étendre à terre sans bouger, cela peut mal finir !... Ne riez pas ! C'est un peu notre histoire à tous. Soyez sûrs quece n'est pas pour rien que Nôtre-Seigneur dit vouloir mener lui-même ses brebis aux pâturages; c'est lui qui leur donnera ce qu'il leur faut ; il sait distinguer ce qui est bon pour elles et ce qui ne l'est pas.

Ceci mous amène à dire un mot de ceux qui aident le pasteur, le Bon Pasteur, à garder son troupeau. Vous pensez bien qu'il ne court pas lui-même après les brebis ou les moutons auxquels il prend fantaisie de s'échapper. Que fait-il ? Il siffle son chien et aussitôt celui-ci part en cou­rant en aboyant aussi, et sur quel ton ! Et il con­tinuera son manège jusqu'à ce qu'il ait ramené le  fugitif ou la fugitive à l'alignement du trou­peau. La prochaine fois que vous verrez une scène de ce genre, rappelez-vous ce que je vous dis aujourd'hui. Pensez que Dieu a établi au-des­sus de vous, dans l'Eglise, des prêtres pour vous avertir : « Il faudrait faire ceci, ne pas faire cela... » Ce sont les messagers de Jésus-Christ, le vrai Berger. Ceux-ci ne parlent pas en leur pro­pre nom, mais en son nom à lui; ils n'inventent pas de nouvelles règles, de nouveaux commande­ments, mais ils vous transmettent ce que le Ber­ger veut de vous, ce qu'il interdit ou commande, et à ce Berger-là vous devez obéissance parce que vous êtes à lui.

Autre chose : un troupeau ne vit pas dans les champs à longueur d'année, ni même de journée. C'est au berger à pourvoir à sa nourriture, qu'il soit dehors ou dedans. Et voyez avec quelle solli­citude notre divin Pasteur y a pourvu ! Il sait bien que la vie surnaturelle, que nous tenons de lui, ne peut s'entretenir que par un aliment sur­naturel. Alors il nous donne sa Chair et son Sang dans la Sainte Eucharistie.

Revenons, avant de terminer, sur l'image que Jésus a voulu nous laisser de lui-même dans la parabole de la brebis égarée. (JN, X, 11.) Le bon Pasteur ne peut supporter qu'elle soit perdue sans retour, et nous savons la peine qu'il se donne pour la ramener au bercail. Mais il est un aspect de la parabole auquel on ne pense guère : je veux par­ler de la résistance de la brebis à son propre sau­vetage. Elle s'est laissé prendre aux ronces d'un buisson; le berger accourt et se met en devoir de la dégager, patiemment, doucement. Croyez-vous qu'elle va se laisser faire. Bien au contraire. Elle se débat, se démène comme une petite folle ! A peine commence-t-elle à se sentir libre qu'elle tente de fuir de nouveau. Elle voudrait échapper à son sauveteur... Il faudra que celui-ci la sauve malgré elle !

Eh bien ! C'est tout simplement notre histoire, l'histoire de l'âme humaine tombée dans le péché grave. La grâce qui la délivrerait est quelque chose dont elle se méfie, qu'elle ne veut pas accepter, qu'elle essaie même de refuser positivement. Quel artiste a jamais pensé à peindre cela : le bon Pas­teur venant délivrer sa brebis qui s'efforce de lui échapper ? Ce serait un beau et triste sujet... trop vrai hélas !

Extrait de : LE CREDO  Mgr Ronald KNOX. (1959)

Le jeûne de Noël: Quand, pourquoi et comment?
 
 
 
La deuxième longue période de jeûne après le Grand Carême est le jeûne de Noël. Il dure aussi quarante jours, mais n’a pas le même caractère d’austérité que le jeûne d'avant Pâques. Il commence le 15 Novembre et se termine le 24 Décembre.
 
La célébration de la naissance dans la chair de notre Seigneur Jésus-Christ est la deuxième fête majeure des chrétiens.
 
C’est vers le milieu du quatrième siècle qu’elle a été instituée dans les Églises d'Orient... On y célébrait jusque là le même jour  –   le 6 janvier –   la naissance et le baptême du Christ. Ce n’est que vers la fin du IV° s. qu’on a introduit, en provenance d’Occident, la fête de Noël le 25 décembre.
 
Originellement donc les fêtes de la nativité, de la circoncision et du baptême du Christ étaient célébrées ensemble. Désormais la Nativité se fête séparément le 25 décembre tandis que l’on a conservé la simultanéité de la circoncision et du baptême le 6 janvier.
La grande importance qu’ a prise cette nouvelle célébration de la Nativité, mise à part, chez les fidèles comme chez les moines, a eu pour conséquence que l’on a institué également pour cette fête un jeûne important selon le modèle du Grand Carême précédant Pâques.
 
Ce  jeûne préparant à la célébration de l’anniversaire du Christ s’est d’abord appelé "jeûne de St Martin" en Occident, vu sa proximité avec la fête du Saint Apôtre des Gaules tandis qu’en Orient on l’a souvent appelé "jeûne de St Philippe" puisqu’il commençait après la célébration de la fête du Saint Apôtre également.
C’est au V°s que nous trouvons des traces de ce jeûne avant Noël en Occident et au VI°s. en Orient. Des auteurs comme Anastase du Sinaï, le patriarche de Constantinople Nikiforos le Confesseur, saint Théodore le Studite, ainsi que le patriarche d'Antioche Théodore Balsamon le mentionnent dans leurs écrits.
 
Le jeûne au début, semble-t-il, était de courte durée. Théodore Balsamon, auteur du XIIe siècle nous apprend qu’il ne durait que sept jours à son époque – puisqu’il l’appelle le « jeûne des sept jours ». Mais sous l'influence du jeûne du Grand Carême de Pâques, il a été étendu à quarante jours, sans toutefois avoir la rigueur de celui-là.
 
En quoi consiste le jeûne ?
Pendant quarante jours, on s’abstient de toute viande, produits laitiers et œufs. En revanche on peut manger du poisson tous les jours – sauf bien sûr le mercredi et le vendredi et ceci jusqu’au 17 décembre. On peut aussi manger du poisson le jour de la fête de la Sainte Mère de Dieu quel que soit le jour. Du 18 au 24 décembre, la veille de la fête, vin et huile sont permis sauf le mercredi et le vendredi. L’abstinence de viande ne concerne pas le 15 novembre et la veille de la fête à moins que cela ne tombe un samedi un dimanche où il faut s’abstenir de tout péché.
 
« Nous devons non seulement respecter les consignes du jeûne concernant l’alimentation mais également nous abstenir de tout péché, de sorte qu’au jeûne du ventre nous devons ajouter celui de la parole en évitant le mensonge, les polémiques, les moqueries, la colère et tout péché que nous pourrions commettre avec la parole.
Nous devons également pratiquer le jeûne du regard et nous abstenir de regarder des choses vaines.
En fait c’est de tout notre être, quels qu’en soient les mouvements et expressions, que nous devrions jeûner et nous abstenir de tout mal, par tous nos sens, par un saint jeûne agréable à Dieu pour devenir dignes de communier aux saints mystères. » (De Le jeûne de l'Eglise par l'Archimandrite Siméon Koutchma Ed. Ministères apostoliques, pp 88-92) article de Dorothée Gazis (version française de Maxime le minime / source:Maxime le minime)
 

C'était il y a trois ans pendant les travaux pour rendre un peu plus habitable la "Maison Notre-Dame"

qui est très vétuste et qui sert actuellement de Presbytère pour la "Grande Paroisse de la Région du Sud-Ouest (Du Poitou Charente jusqu'au Pyrénées).

Ces travaux ont été menés par les zélés fidèles de la Paroisse locale dédiée à Notre-Dame de Toutes Grâces et Saint Ubald. 
Depuis, la municipalité a réaménagé la Place, le Monument aux morts, les rues.

Ainsi, avons-nous désormais une belle allée qui conduit à l'entrée de la Chapelle et invite les passants à lire le panneau d'affichage des Célébrations Liturgiques et activités pastorales.

Il faudra que je prenne de nouvelles photos pour les partager avec vous.

De plus, une nouvelle tranche de travaux devra se faire pour blanchir les murs de la cuisine et de la pièce qui lui est contiguë, poser du carrelage ou un revêtement de sol pour améliorer l'hygiène ...Mais ça dépendra des moyens et d'une organisation serrée entre les familiers du Monastère et les paroissiens de l'Angoumois...

Plus tard, il faudra penser à remplacer toutes les fenêtres de l'étage car, pour l'instant, l'hivers, la Maison est pratiquement inhabitable. 
C'est la "Maison des courants d'airs". Mais là, c'est tout un budget pour l'instant hors de notre portée.


-----------------------------------------
It was three years ago during the works to make a little more habitable the "House Notre-Dame" which is very old and which currently serves as Presbytery for the "Great Parish of the South West Region (Du Poitou Charente to the Pyrenees).

These works were led by the zealous faithful of the local parish dedicated to Our Lady of All Graces and Saint Ubald.
Since then, the municipality has redeveloped the Square, the War Memorial, the streets.

Thus, now we have a beautiful path that leads to the entrance to the Chapel and invites passers-by to read the notice board for Liturgical Celebrations and Pastoral Activities.

I will have to take new photos to share with you.

In addition, a new slice of work will have to be done to whiten the walls of the kitchen and the room which is contiguous to it, to lay tiling or a floor covering to improve the hygiene ... But that will depend on the means and a close organization between the monastery's familiars and the parishioners of Angoumois ...

Later, it will be necessary to think to replace all the windows of the floor because, for the moment, the winter, the House is practically uninhabitable.
This is the "House of drafts". But there is a budget for the moment out of our reach.
-------------------------------------------
Foi há três anos durante as obras para tornar um pouco mais habitável a "Casa Notre-Dame", que é muito antiga e que atualmente serve como Presbitério para a "Grande Paróquia da Região Sudoeste" (Du Poitou Charente). aos Pirinéus).

Estas obras foram conduzidas pelos fiéis zelosos da paróquia local dedicada a Nossa Senhora de Todas as Graças e São Ubald.
Desde então, o município reformulou a Praça, o Memorial de Guerra, as ruas.

Assim, agora temos um belo caminho que leva à entrada da Capela e convida os transeuntes a ler o quadro de avisos das Celebrações Litúrgicas e das Atividades Pastorais.

Vou ter que tirar novas fotos para compartilhar com você.

Além disso, uma nova fatia de trabalho terá que ser feita para branquear as paredes da cozinha e da sala que é contígua a ela, para colocar ladrilhos ou um revestimento de piso para melhorar a higiene ... Mas isso vai depender dos meios e uma organização próxima entre os familiares do mosteiro e os paroquianos de Angoumois ...

Mais tarde, será necessário pensar em substituir todas as janelas do chão porque, no momento, o inverno, a casa é praticamente inabitável.


Esta é a "Casa dos rascunhos". Mas há um orçamento para o momento fora de nosso alcance.


----------------------------------------

 

 

 

SOS pour notre Ecole

 

Saint Charbel au

 

Pakistan.

 

Voulez-vous nous aider* et ou prier Saint Joseph pour qu'il suscite, par son intercession, de généreux donateurs ?...

 

Là où sont la charité et l'amour, Dieu est présent.
L'amour du Christ nous a rassemblés et nous sommes un.

 

"Seigneur notre Dieu entend la misère de ton peuple et aide-les à surmonter leur pauvreté. 
Dieu Tout-Puissant aide nos enfants paroissiens dans leur éducation et nous envoie des bienfaiteurs et des donateurs pour les parrainer dans l'éducation pour leur avenir radieux" (Père Shamoon)

Prière à saint Joseph pour l'école Saint Charbel ouverte par notre Père SHAMOON MASIH au Pakistan .

Dîtes un "Kaumo", une dizaine de chapelet puis :

Saint Joseph, époux de Marie, accordez-nous votre protection paternelle, nous vous en supplions .
O vous qui avez été doté d'une puissance éprouvée pour subvenir à nos nombreuses nécessités et qui savez nous rendre possibles les choses qui nous paraîtraient les plus impossibles, ouvrez vos yeux de père sur les intérêts de vos enfants.
Dans l'embarras et la peine qui nous pressent, nous recourons à vous avec confiance ; daignez nous prendre sous votre charitable conduite et réglez pour nous cette affaire si importante et si difficile: le sauvetage de l'école Saint Charbel fodée au Pakistan par notre Abouna SHAMOON MASIH , elle est cause de toutes nos inquiétudes.
Faites que son heureuse issue tourne à la gloire de Dieu et au bien de ses dévoués serviteurs. Amîn.

Mère de Miséricorde, intercédez pour nous !
Saint Joseph, priez pour nous !
Saint Pierre d'Antioche, priez pour nous!
Saint Thomas, Apôtre des Indes, priez pour nous!
Saint Grégorios de Parumala, priez pour nous!

VEUILLEZ NOUS AIDER A SECOURIR CETTE ECOLE EN ENVOYANT VOS DONS A:
Caritas ESOF
15 Rue des 3 Communes
27580 CHAISE-DIEU DU THEIL.

Tel: 02.33.24.79.58

Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

*Toutes offrandes si elles passent par l'Association Caritative CARITAS ESOF sont, en France, déductibles de vos impôts sur le revenu à raison de 66 °/° du montant de votre don . 
-----------------------------
SOS for our Saint Charbel School in Pakistan.

Do you want to help us * and / or pray to Saint Joseph to encourage generous donors through his intercession?

Prayer to Saint Joseph for Saint Charbel School opened by Father SHAMOON MASIH in Pakistan.

Say a dozen rosaries then:

Saint Joseph, husband of Mary, give us your paternal protection, we beg you.

O you who have been endowed with a proven power to provide for our many necessities and who know how to make possible the things that seem to us the most impossible, open your eyes of father on the interests of your children.

In the embarrassment and pain which press us, we recur to you with confidence; Deign to take us under your charitable conduct and settle for us this important and difficult matter: the rescue of the school Saint Charbel foded in Pakistan by our Abouna SHAMOON MASIH, it is cause of all our worries.

Make his happy outcome turn to the glory of God and the good of his devoted servants. Amin.

Mother of Mercy, intercede for us!
Saint Joseph, pray for us!
St. Peter of Antioch, pray for us!
St. Thomas, Apostle of India, pray for us!
Saint Gregorios of Parumala, pray for us!

PLEASE HELP HELP THIS SCHOOL BY SENDING YOUR DONATIONS TO:

Caritas ESOF
15 Rue des 3 Communes
27580 CHAISE DIEU-DU-THEIL.
Tel: 02.33.24.79.58 Email: asstradsyrfr@laposte.net

* All offerings if they pass through the CARITAS ESOF Charitable Association are, in France, deductible from your income tax at the rate of 66 ° / ° of the amount of your donation.
-------------------------------------
SOS para a nossa Escola Saint Charbel no Paquistão.

quer nos ajudar * e / ou orar a São José para incentivar doadores generosos por sua intercessão?

Oração a São José para a escola Saint Charbel aberto por nosso Pai Shamoon MASIH Paquistão .

Diga uma dúzia de rosários então:

São José, marido de Maria, nos dá sua proteção paterna, nós te imploramos.
Ó vocês que foram dotados de um poder comprovado para prover nossas necessidades e que sabem tornar possíveis as coisas que nos parecem mais impossíveis, abrem os olhos do pai para os interesses de seus filhos.
No embaraço e dor que nos pressionam, recorremos a você com confiança; dignou a nos levar sob o seu comportamento de caridade e definir para nós neste caso tão importante e tão difícil: o resgate da escola fodée Saint Charbel no Paquistão pelo nosso Abouna Shamoon MASIH, é por causa de todas as nossas preocupações.
Faça seu feliz resultado se voltar para a glória de Deus e o bem de seus servos devotados. Amin.

Mãe da Misericórdia, intercede por nós!
São José, rogai por nós!
São Pedro de Antioquia, rogai por nós!
São Tomé Apóstolo da Índia, rogai por nós!
São Gregório de Parumala, rogai por nós!

POR FAVOR, AJUDE A AJUDA ESTA ESCOLA ENVIANDO SUAS DOAÇÕES A:

Caritas ESOF
15 Rue des 3 Communes
27580 Chaise-Dieu-Du-Theil

Tel: 02.33.24.79.58
Email: asstradsyrfr@laposte.net

* Todas as ofertas, caso passem pela Associação Beneficente CARITAS ESOF, são, na França, dedutíveis de seu imposto de renda à taxa de 66 ° / o do valor de sua doação.

 

 

 

 

SIGNEZ LA PETITION POUR LA LIBERATION DES DEUX EVÊQUES QUIDNAPES EN SYRIE /PETITION ON THE ABDUCTION OF THE TWO HIERARCHS OF ALEPPO SYRIA/ASSINE A PETIÇÃO PARA A LIBERTAÇÃO DOS DOIS BISPOS DE KUNNAPPES NA SÍRIA

Afficher l'image d'origine

*Rappel des faits:

Le 22 avril 2013, Mgr Yohanna (Jean) Ibrahim, archevêque syriaque orthodoxe d’Alep, et Mgr Boulos (Paul) Yazigi, archevêque grec orthodoxe de la même ville, étaient enlevés à l’ouest d’Alep en Syrie. Les deux évêques s’étaient rendus en voiture,fraternellement, avec un chauffeur, dans cette région pour tenter de négocier la libération de deux prêtres enlevés en février précédent : le Père Michel Kayyal (catholique arménien) le le Père Maher Mahfouz (grec-orthodoxe). C’est l’un des enlèvements les plus étranges en période de guerre puisqu’il n’y a eu aucune revendication. Même les médias ne s’intéressent pas beaucoup à cette affaire, jugée peu sulfureuse et surtout incompréhensible. Pour cette raison, le site Internet grec Pemptousia met en ligne une pétition (en anglais) pour la libération de deux hiérarques. Pour la signer,pétition relayée en France par Orthodoxie.com et nous-même  cliquez ICI !

Merci.

Afficher l'image d'origine

 

N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et

 

fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"

 

ou terroristesen tous genres !

 

Prions sans relâche pour que le

 

Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...

  

  

Let us not forget the bishops, priests and faithful

 

Christians held by "Islamists" or terrorists of all

 

kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.

 

Pray for their release ...

Résultat de recherche d'images pour "cierge allumé"

Não nos esqueçamos de orar pelos bispos, sacerdotes e

Cristãos fiéis detidos pelos "islamitas"

Ou terroristas de todos os tipos!

Deixe-nos rezar implacavelmente pelo

Senhor, apoie-os. Ore por sua libertação ...

Partager cet article
Repost0
Published by Eglise Syro-Orthodoxe Francophone - dans Tradition Syriaque orthodoxie-orientale Œcuménisme.

Recherche

Articles Récents

Liens