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8 août 2018 3 08 /08 /août /2018 09:52
Saint Augustin nous parle de
LA LIBERTE
St Augustin lit et commente St Jean

 

 

C'est dans les traités anti-pélagiens qu'Augustin parle le plus de la liberté, mais alors il étudie le statut philosophique de la liberté.

Dans les œuvres antérieures, et notamment dans les Tractatus sur l'Evangile de St Jean, Augustin parle de la liberté d'une façon sans doute plus "spirituelle" car la liberté a à voir avec la grâce.

Il convient de rappeler ce qui est fondamental chez Augustin :

  • ce qui est entrave à la liberté de l'homme, c'est le péché
  • la liberté nous est donnée (la vraie liberté) quand nous avons choisi Dieu (déjà librement)

Dieu a créé l'homme libre (au moins doté de libre-arbitre). Il a été écarté de cette "liberté des enfants de Dieu" par la faute originelle. Toute la vie de l'homme est lutte contre les entraves du mal, contre l'esclavage du péché, pour retrouver cette liberté qu'il ne peut trouver qu'en Dieu.

La vérité de la relation de l'homme avec Dieu ne peut être que le fruit de la liberté : il n'y a pas d'amour dans la contrainte.

Le Christ nous délivre de l'esclavage du péché.

Délivrer, c'est rendre libre :

"Se présentant aux regards dans la faiblesse de la chair et demeurant caché selon la majesté divine, notre Seigneur Jésus Christ dit à ceux qui avaient cru en lui quand il parlait : Si vous demeurez dans ma parole, vous serez vraiment mes disciples, car celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé, et vous connaîtrez la Vérité qui vous est cachée maintenant et qui vous parle et la Vérité vous délivrera. Ce mot : vous délivrera, le Seigneur l'a tiré du mot de liberté : il délivre ne signifie en effet rien d'autre au sens propre que : il rend libre. De même que sauver ne signifie rien d'autre que rendre sauf, que guérir ne signifie rien d'autre que rendre sain, qu'enrichir ne signifie rien d'autre que rendre riche, ainsi délivrer ne signifie rien d'autre que rendre libre. Cette signification est plus claire dans le mot grec, car selon l'usage du latin nous disons la plupart du temps qu'un homme est délivré alors qu'il ne s'agit pas de sa liberté, mais de sa santé, comme on dit de quelqu'un qu'il est délivré de sa maladie ; c'est le langage habituel, ce n'est pas pourtant le terme propre. Mais le Seigneur a choisi ce mot : La Vérité vous délivrera de telle sorte qu'en grec personne ne puisse douter qu'il ait parlé de la liberté." (Tr. 41, 1)

Allusion constante aussi à Rm 7, 7-25. En particulier Rm 7, 6-24 :

"Or si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais, d'accord avec la Loi, qu'elle est bonne ; en réalité ce n'est plus moi qui accomplis l'action, mais le péché qui habite en moi. Car je sais que nul bien n'habite en moi, je veux dire dans ma chair ; en effet, vouloir le bien est à ma portée, mais non pas l'accomplir : puisque je ne fais pas le bien que je veux et commets le mal que je ne veux pas. Or si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui accomplis l'action, mais le péché qui habite en moi. Je trouve donc une loi s'imposant à moi, quand je veux faire le bien : le mal seul se présente à moi. Car je me complais dans la loi de Dieu du point de vue de l'homme intérieur ; mais j'aperçois une autre loi dans mes membres qui lutte contre la loi de ma raison et m'enchaîne à la loi du péché qui est dans mes membres. Malheureux homme que je suis ! Qui me délivrera de ce corps qui me voue à la mort ?"

De fait, le chrétien en cette vie ne connaît qu'une situation mélangée de servitude et de liberté qui restera la sienne jusqu'à la mort.

Certes le Christ est venu pour nous délivrer du péché, mais nous sommes encore régulièrement détournés du bien, de l'Amour, dans lequel est la liberté de l'homme.

"Le Seigneur n'avait pas dit : Vous serez libres, mais : La Vérité vous délivrera [Jn 8, 32]" (Tr. 41, 2)
(à ceux qui protestent : nous sommes la descendance d'Abraham, nous n'avons jamais été esclaves).

Augustin explique qu'il ne s'agit pas de l'esclavage ordinaire : même si les Juifs protestent, il rappelle que le peuple hébreu a connu l'esclavage (en Egypte, à Babylone…) mais ce n'est pas de cet esclavage-là qu'il s'agit dans la bouche du Christ, mais de l'esclavage du péché. Augustin cite à répétition Jn 8, 34 :

"Amen, amen, je vous dis que quiconque commet le péché est esclave du péché."

"Il est esclave, on souhaiterait que ce soit d'un homme et non du péché" (Tr. 41, 3)

Augustin insiste sur la signification du double "Amen" = c'est vrai. Il insiste sur l'importance de ce "Je vous dis vrai" quand c'est la Vérité (le Christ) qui le dit.

Augustin avait écrit dans la Cité de Dieu (4, 3) :

"L'homme bon, même s'il est esclave est libre, mais le méchant, même s'il règne, est esclave, et non pas d'un seul homme, mais, ce qui est plus pesant, d'autant de maîtres qu'il a de vices."

Mais cet esclavage du péché est pire que l'esclavage d'un maître humain :

"Le plus souvent quand ils ont des maîtres méchants, les hommes demandent à être vendus ; ils ne cherchent pas à n'avoir plus de maître, ils veulent seulement en changer. Que pourrait faire l'esclave du péché ? A qui s'adressera-t-il ? Auprès de qui aura-t-il recours ? A qui demandera-t-il de le vendre ? Quelquefois aussi un esclave d'homme accablé par les dures exigences de son maître trouve du répit dans la fuite ; où peut fuir l'esclave du péché ? Où qu'il fuie, il se traîne avec lui-même ; la conscience coupable ne se fuit pas elle-même, il n'est pas de lieu où elle puisse aller, elle se suit elle-même, ou plutôt elle ne s'éloigne pas d'elle-même, car le péché qu'elle commet se trouve à l'intérieur d'elle" (Tr. 41, 4).

Il faut nous réfugier auprès du Christ :

"… demandons à être mis en vente pour être rachetés par son sang" (ibid. 41, 4)

car le Christ est le seul qui peut nous délivrer de l'esclavage du péché :

"Le Seigneur est donc le seul qui délivre de cet esclavage ; celui qui ne l'a pas subi en délivre : seul en effet, il est venu sans péché dans cette chair. Les tout-petits enfants que vous voyez portés dans les bras de leurs mères ne marchent pas encore, et déjà ils sont chargés d'entraves, car ils ont tiré d'Adam ce qui sera brisé par le Christ. Cette grâce que le Seigneur promet s'étend même à eux quand ils sont baptisés, parce que, seul, peut délivrer du péché celui qui est venu sans péché et qui s'est fait sacrifice pour le péché." (Tr. 41, 5).

La liberté comme promesse.

La liberté plénière et parfaite : nous ne la connaîtrons qu'à la résurrection. Le Christ disant (Jn 8, 35) : "L'esclave ne demeure pas toujours dans la maison. Le Fils, lui y demeure pour toujours" nous fait peur mais :

"Ce n'est pas sans raison, commente Augustin, qu'il nous a effrayés et qu'il nous a donné l'espérance : il nous a effrayés pour que nous n'aimions pas le péché, il nous a donné l'espérance pour que nous ne mettions pas en doute la rémission du péché" (Tr. 41, 8).

Quelle est notre espérance ?

"Le Fils y demeure pour toujours. Donc, si le Fils nous délivre, vous serez vraiment libres. (Jn 8, 34-36]. Notre espérance, frères, c'est que nous soyons délivrés par celui qui est libre et qu'en nous délivrant il nous rende esclaves : nous étions en effet les esclaves de la convoitise ; délivrés, nous sommes rendus les esclaves de la charité." (Tr. 41, 8).

Et Augustin insiste : nous ne sommes pas libre pour pécher, mais pour aimer ; nous sommes "esclaves les uns des autres" selon le mot de St Paul (Gal 5, 13) :

"C'est également ce que dit l'Apôtre : Vous, frères, vous avez été appelés à la liberté ; seulement, ne faites pas de la liberté une occasion pour la chair, mais par la charité rendez-vous esclaves les uns des autres. Que le chrétien ne dise donc pas : Je suis libre ; j'ai été appelé à la liberté ; j'étais esclave, mais j'ai été racheté et par ce rachat j'ai été rendu libre ; que je fasse ce que je veux, que personne ne s'oppose à ma volonté si je suis libre. Si par cette volonté tu commets le péché, tu es l'esclave du péché. N'abuse donc pas de la liberté pour pécher librement, mais uses-en pour ne pas pécher. Ta volonté en effet sera libre si elle est religieuse. Tu seras libre si tu es esclave, libre à l'égard du péché, esclave de la justice selon le mot de l'Apôtre : Quand vous étiez esclaves du péché, vous étiez libres à l'égard de la justice, mais maintenant, affranchis du péché et devenus esclaves de Dieu, vous portez des fruits qui conduisent à la sanctification et qui ont pour fin la vie éternelle. C'est à cela que nous devons tendre, c'est cela que nous devons faire." (Tr. 41, 8)

Nous ne sommes de toutes façons pas sans péché : il nous faut au moins être sans péché grave. Ce n'est donc pas la liberté parfaite, en ce monde, mais une première liberté qui consiste à ne pas commettre de péchés graves : l'homme commence à "lever la tête vers la liberté", qui ne sera totale que dans l'éternité :

  • dans la mesure où nous servons Dieu, nous sommes libre
  • dans la mesure où nous servons la loi du péché, nous sommes encore esclaves.

L'homme de ce temps est un homme divisé.

La liberté totale et parfaite se trouve dans le Christ : comme dans l'histoire du bon Samaritain (Lc 10, 30-37), laissons-nous porter pour être soignés à l'hôtellerie :

"Frères, en ce temps l'Eglise où le blessé est soigné est encore l'hôtellerie du voyageur, mais à cette même Eglise est réservé là-haut l'héritage du possesseur" (Tr. 41, 13)

Dans le Sermon 131, 6, 6, Augustin dit aussi :

"Si vous le reconnaissez, l'hôtellerie est l'Eglise, une hôtellerie pour le moment, car notre vie est un passage ; ce sera une maison d'où nous ne repartirons pas quand nous serons parvenus en bonne santé au Royaume des cieux.".

Encore quelques débats autour de la liberté.

1) N'y a-t-il pas contradiction entre prescience divine et liberté humaine ?

La question est discuté dans le Tr. 53. (à propos de l'incrédulité des Juifs). Dans le De libero arbitrio, Augustin répond clairement :

"Nous n'avons pas à nier que Dieu connaisse d'avance tous les événements futurs et nous, pourtant, nous voulons ce que nous voulons, car comme il connaît d'avance notre volonté, c'est précisément celle qu'il connaît qui sera ; ce sera donc une volonté, puisque c'est une volonté qu'il connaît d'avance et ce ne pourrait pas être une volonté si elle ne devait pas être en notre pouvoir. Il connaît donc aussi d'avance ce pouvoir." (3, 3, 8)

Il s'agit de ne pas confondre prescience et causalité : la prescience n'exerce pas plus d'action contraignante sur l'avenir que la mémoire sur le passé :

"De même que toi par ton pouvoir tu ne forces pas les événements passés à s'être réalisés, de même Dieu par sa prescience ne force pas les événements à venir à se réaliser" (Ibid. 3, 4, 11).

2) Que répondre à ceux qui nient l'utilité de la prière pour demander l'aide de la grâce ?

"Que personne n'ose défendre le libre arbitre au point de chercher à nous enlever la prière dans laquelle nous disons : Ne nous soumets pas à la tentation…" (Tr. 53, 8).

Le Christ lui-même ne dit-il pas : "J'ai prié pour toi, Pierre, afin que ta foi ne défaille pas" [Lc 22, 32] ?

"… reconnaissons les bienfaits de Dieu. Car il faut rendre grâce aussi parce que ce pouvoir nous a été donné, et il faut prier de peur que la faiblesse ne succombe." (Tr. 53, 8)

A diverses reprises Augustin reviendra là-dessus avec beaucoup de netteté :

Dans De peccatorum meritis et remissione (2, 2, 2) :

"Il y en a certains qui présument tellement du libre arbitre de la volonté humaine qu'ils pensent que nous n'avons pas à être aidés pour ne pas pécher, puisque le libre arbitre de la volonté a été une fois pour toutes accordé à notre nature. Il s'ensuit donc que nous ne devons pas prier non plus pour ne pas entrer dans la tentation, c'est-à-dire pour ne pas être vaincus par elle, soit quand elle trompe et abuse des ignorants, soit quand elle presse et assiège des faibles".

De même in De bono uiduitatis (17, 21) :

"Ils prétendent défendre le libre arbitre de l'homme au point de prétendre que, par lui seul, sans même être aidés par la grâce de Dieu, nous serions capables d'accomplir ce qui est ordonné par Dieu. Il s'ensuit dès lors que le Seigneur a dit inutilement : Veillez et priez pour ne pas entrer dans la tentation, Matth., 26, 41, et que nous redisons inutilement chaque jour dans la prière du Seigneur : Ne nous soumets pas à la tentation. En effet, s'il est en notre pouvoir de ne pas être vaincus par la tentation, pourquoi prions-nous pour ne pas entrer en elle ou ne pas lui être soumis ?".

3) La grâce et la liberté.

Il faut tenir deux vérités :

  • la nécessité de la grâce
  • l'existence du libre arbitre.

De fait l'affirmation de l'une risque toujours d'être comprise comme la négation de l'autre. Il ne s'agit pas de deux opinions entre lesquelles il serait loisible de faire un choix, mais de deux vérités qu'il faut garder ensemble si l'on veut rester fidèle à l'enseignement du Seigneur comme aux exigences de la vie spirituelle.

Evitant dans les Tractatus toute discussion théologique, Augustin engage seulement ses auditeurs à écouter le Seigneur : les commandements qu'il donne à ses disciples ne peuvent se comprendre que si l'homme est libre et responsable de ses actes et la prière qu'il leur apprend n'a de sens que s'ils ont besoin en même temps de l'aide de la grâce.

Dans le Tr. 53, Augustin fait appel à deux paroles de l'Evangile pour mettre en lumière la mystérieuse coopération dans la foi de la grâce de Dieu et du libre arbitre de l'homme :

  • si Jésus a prié pour que la fois de Pierre ne défaille pas devant le scandale de la Passion (Lc 22, 32) c'est "pour que nous n'imaginions pas que la foi est tellement au pouvoir de notre arbitre qu'elle n'a pas besoin du secours de Dieu",
  • mais à l'inverse l'évangéliste Jean nous déclare que nous a été "donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu" (Jn 1, 12) pour que nous comprenions que la foi dépend aussi de notre volonté.

"A person who, knowing what faults he has committed, willingly and with due thankfulness endures the trials painfully inflicted on him as a consequence of these faults, is not exiled from grace or from his state of virtue; for he submits willingly and pays off his debts by accepting the trials. In this way, while remaining in a state of grace and virtue, he pays tribute not only with his enforced sufferings, which have arisen out of the impassioned side of his nature, but also with his mental assent to these sufferings, accepting them as his due on account of his former offenses. Through true worship, by which I mean a humble disposition, he offers to God the correction of his offenses." (St. Maximos the Confessor (The Philokalia Vol. 2; Faber and Faber pg. 285))

 

"L'avenir est dans la paix, il n'y a pas d'avenir sans paix"

 

 

"The future is in peace, there is no future without peace"

 

"O futuro está em paz, não há futuro sem paz"  

 

(SS Ignatius Aprem II)

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/    maliath taibootho/ full of grace/    moran a'amekh  - the Lord is with thee/    mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/    wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/    O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/    yoldath aloho/  Mother of God/    saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/    nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./    Amîn   Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

Note:

 

Eglise locale fondée grâce à l'élan missionnaire de l'Eglise Syrienne Orthodoxe des Indes (Malankare), notre Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise Orthodoxe-Orientale.

Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien et la paix du monde.

¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…

Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles, nous n'exigeons aucun fixe.

Les offrandes sont libres et non obligatoires.Toute offrande fait cependant l'objet d'une déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre revenu). 
Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F "

Pour l' Aumônerie Syro-Orthodoxe Francophone des Africains vivant en France, contacter les Responsables: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89 ), Métropolite et Soeur Marie-Andre M'Bezele, moniale ( 06.17.51.25.73).

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Nota:

Igreja local fundada pelo impulso missionário da Igreja Síria Ortodoxa da Índia (Malankara), nossa Igreja siro-Orthodoxe- Francophone é uma igreja ortodoxa-Leste.

O Mosteiro siríaco é um Centro de oração para a unidade das Igrejas Apostólicas, unanimidade de Christian Witness ea paz mundial.

¤ Permanência pastoral em vários região da França para: Acompanhamentos espirituais, sacramentos Sacramental (bênçãos, orações de libertação ou exorcismo, orações de cura) ...

Para o serviço pastoral para o Mosteiro como a casa dos fiéis para estadias curtas ou retiros espirituais, não requer qualquer fixo.

As ofertas são livres e não obligatoires.Toute oferecendo ainda sido deduzido do seu rendimento tributável à alíquota de 66 ° / ° de sua renda).
Denominar todas C B na seguinte ordem "S S M E Metropolis"

Para os sírio-ortodoxos Capelania francófonos africanos que vivem na França, entre em contato com as cabeças: Mor Philipose Mariam (06.48.89.94.89), Metropolitan e irmã Marie-Andre M'Bezele, freira (06.17.51.25.73).

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Note:

A local church founded on the missionary impulse of the Syrian Orthodox Church of India (Malankare), our Syro-Orthodox-Francophone Church is an Eastern Orthodox Church.

The Syriac Monastery is a Center of Prayer for the unity of the Apostolic Churches, the unanimity of the Christian Testimony and the peace of the world.

¤ Pastoral permanence in various regions of France for: Spiritual accompaniments, Sacraments, Sacramentals (Blessings, Prayers of deliverance or exorcism, prayers of healing) ...

For the pastoral services rendered to the Monastery as the reception of the faithful for short stays or spiritual retreats, we do not require any fixed.

The offerings are free and not obligatory. However, any taxable income is deducted from your taxable income of 66% of your income.
Write all C B 

Où nous trouver ? 

Paroisse NORD-OUEST et Nord-Est

(N-D de Miséricorde):

NORMANDIE :

CHANDAI (61) et CHAISE-DIEU DU THEIL (27):

* Le Sanctuaire Marial de la

Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde

DSC01238

(Fresque de la Mère de Dieu entourée des Apôtres, mur Est  du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)

 
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde
Brévilly
61300 CHANDAI

Tel: 02.33.24.79.58 

 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

 

 

DSC01245-copie-2

(Fresque des Sts Pères Interieur droit du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)

 
Messe journalières en semaine à 10h30

 

Tous les dimanches, Messe à 10h30 et permanence constante de prêtres  pour CATÉCHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .

(Liturgie de St Jacques dite "d'Antioche-Jérusalem") 

Tel: 02.33.24.79.58 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

DSC01246-copie-1

(Fresque des Sts Pères Interieur gauche du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)

 

Maison Ste Barbe 
(Siège de l'Ass Caritative CARITAS E S O F)

15 Rue des 3 Communes
27580 CHAISE-DIEU DU THEIL

Tel: 02.33.24.79.58 

 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

 

* Relais Paroissial St Michel

S/ Mme H MARIE, 43 Rue de la Marne

14000 CAEN.Tel: 02.33.24.79.58

 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

 

Le 30 de chaque mois, Permanence pastorale de 8h30 à 19h (Sur R.D.V) chez Mme Henriette Marie, 43, Rue de la Marne à CAEN. Tel 06.33.98.52.54 . (Possibilité de rencontrer un prêtre pour Catéchisme, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) . 

NANTES:

*Groupe de prières et "relais paroissial" St Charbel

18h, Messe le 2ème jeudi de chaque mois et permanence régulière d'un prêtre Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) de 9h à 17h (06.48.84.94.89 ).

ANGOULÊME (Jauldes):

*Paroisse N-D de Toutes Grâces/St Ubald

MAISON NOTRE-DAME
66,Place Schoeneck, LE BOURG
16560 JAULDES.

Tel:05.45.37.35.13
* Messe les 2èmes et  4èmes Dimanches de Chaque mois à 10h30 suivies d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.

* Possibilité de prendre Rendez-vous avec le prêtre la semaine suivant le 2éme dimanche du mois ainsi que pour les visites aux malades et à domicile.

Permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .

PERIGUEUX (La Chapelle Faucher):

*Paroisse Notre-Dame de la Très Sainte Trinité

Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front
ERMITAGE ST COLOMBAN
*
Puyroudier (Rte d'Agonac)
24530
 LA CHAPELLE FAUCHER.

Tel:05.45.37.35.13

 * Messe le 4ème samedi de Chaque mois à 10h30 et permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISMES, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .

LOURDES:

*"Relais paroissial St Gregorios de Parumala"

 * Messse  le 5ème dimanche du mois ( en fonction des besoins des fidèles) à 10h30

20 Rte de Pau

 

CAMEROUN:

Pour obtenir les adresses du Monastère de YAOUNDE,

des paroisses et "relais paroissiaux de Doula, Yaoundé, Elig Nkouma, Mimboman, Bertoua, Monabo, veuillez les demander au Monastère Métropolitain: 

 

Monastère Syriaque N-D de Miséricorde
Brévilly
61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58 

 Courriel:asstradsyrfr@laposte.net

CONFIER DES INTENTIONS DE PRIÈRE AU MONASTÈRE , C'EST SIMPLE...

Icon of The Last Supper. Jesus and St. John.:

Le Moine ne rompe pas la solidarité profonde qui doit unir entre eux les frères humains… Ils se conforment aux sentiments du Christ Tête de l'Eglise, le "premier né d'une multitude de frères" et à Son amour pour tous les hommes…

A travers les prières monastiques, c’est toute l’Eglise qui prie et intercède pour l’humanité.

Le savez-vous ? Chacun de vous, dans le secret de son existence, participe à cet immense courant de prière souterraine qui irrigue le monde…

Si vous le souhaitez, vous pouvez nous confier une intention de prière en l'envoyant à l'adresse suivante:

--------------------

DÃO AS INTENÇÕES DE ORAÇÃO mosteiro é
SIMPLES ...

O monge não quebrar a profunda solidariedade que deve unir-los irmãos humanos ... Eles devem respeitar os sentimentos de Cristo Cabeça da Igreja, o "primogênito entre muitos irmãos" e seu amor por todos os homens ...

Através das orações monásticas é toda a Igreja que reza e intercede pela humanidade.

Você sabia? Cada um de vocês, no segredo da sua existência, participa nesta oração subterrâneo imenso poder que irriga o mundo ...

Se desejar, você pode confiar uma intenção de oração, enviando-o para o seguinte endereço:

---------------------

GIVING INTENTIONS OF PRAYER TO THE MONASTERY IS
SIMPLE...

The Monk does not break the deep solidarity that must unite the brothers

Human beings ... They conform to the sentiments of Christ Head of the Church, the

"The firstborn of a multitude of brothers" and His love for all men ...

Through monastic prayers, the whole Church prays and intercedes for

humanity.

Do you know ? Each of you, in the secret of his existence, participates in this

Immense current of underground prayer that irrigates the world ...

If you wish, you can entrust us with an intention of prayer by sending it to the following address:

Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,

Brévilly

61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58

ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)

Courriel:asstradsyrfr@laposte.net 

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/    maliath taibootho/ full of grace/    moran a'amekh  - the Lord is with thee/    mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/    wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/    O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/    yoldath aloho/  Mother of God/    saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/    nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./    Amîn   Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

 

 

 Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn

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Published by Eglise Syro-Orthodoxe Francophone - dans orthodoxie Pères de l'Eglise Spiritualité Chrétienne CATECHISME et CATECHESE

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