"Sainte Rita n’est pas la seule à s’occuper des causes désespérées
Source : ALETEIA, article de Monsieur Philip Kosloski | 13 mai 2018, article complété par nos soins pour la partie "calendrier liturgique" de l'Eglise Locale Syro-Orthodoxe.
Si vous ne savez plus quoi faire devant une situation désespérée, sachez qu’en plus de sainte Rita de Cascia, trois autres saints peuvent être invoqués comme puissants intercesseurs.
Sous le poids de la douleur, face à des situations désespérées où rien ne fonctionne plus et tout semble aller contre nous, il est souvent recommandé de prier l’intercession de sainte Rita de Cascia, la patronne des causes impossibles. Mais sainte Rita n’est pas la seule. Trois autres saints sont réputés pour être d’excellents « avocats » auprès de Dieu ."
Pèlerinage mensuel à Sainte Rita et Saint Charbel autour de leurs reliques au
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.
"Jude, à cause de son nom — Judas en latin, confondu avec Judas Iscariote qui a trahi Jésus — a souvent été oublié par les chrétiens qui ne voulaient pas le prier. Pourtant la tradition reconnaît en lui un être si bon qu’il est vénéré comme puissant « patron des causes désespérées et des causes perdues » :
« Ô glorieux apôtre saint Jude, fidèle serviteur et ami de Jésus, l’Église vous honore et vous invoque universellement comme patron des cas désespérés. Priez pour moi si malheureux. Je vous en supplie du plus profond de mon cœur, servez-vous en ma faveur du grand privilège que vous avez d’apporter un secours visible et rapide à ceux qui vous invoquent. Venez à mon secours et soulagez ma misère. Obtenez-moi l’aide et la grâce du Bon Dieu dans toutes mes difficultés et en particulier …… [demandes particulières]. Faites en sorte que je sois du nombre des élus et obtienne le salut éternel. Je vous promets, ô saint Jude, de me souvenir toujours de la grande faveur que vous m’accorderez. Toujours je vous honorerai comme mon patron et mon protecteur. En signe de reconnaissance, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour développer votre dévotion et vous faire connaître comme le patron des causes désespérées. Amen »
(Dont nous avons une relique en notre Chapelle de la Maison Notre-Dame à JAULDES(16)*)
Philomène est une jeune martyre de l’Église des premiers siècles, oubliée de l’Histoire jusqu’à la découverte de ses restes, plus de 1500 ans plus tard (24 mai 1802), dans les catacombes de Sainte-Priscille à Rome, et tant de miracles qui lui sont attribués par la suite. Le curé d’Ars, lui-même, reçut de la mystique Pauline Jaricot une parcelle de sa relique et ne cessa de l’invoquer, dénouant des situations les plus désespérées.
« Nous vous supplions, Seigneur, de nous accorder le pardon de nos fautes par l’intercession de la Bienheureuse Philomène, vierge et martyre, qui vous a toujours été agréable par le mérite de sa chasteté et par le bon usage de la force que vous lui aviez donnée. Par Notre-Seigneur Jésus-Christ.
Illustre Vierge et Martyre, Sainte Philomène, regardez-moi accablé devant le trône où il a plu à la très Sainte Trinité de vous placer. Plein de confiance en votre protection, je vous supplie d’intercéder pour moi auprès de Dieu. Daignez jeter un regard bienveillant sur votre humble dévot ! Épouse du Christ, soutenez-moi dans la souffrance, fortifiez-moi dans la tentation, protégez-moi dans les dangers qui m’entourent, obtenez-moi les grâces qui me sont nécessaires, et en particulier [précisez ici votre demande], par-dessus tout, aidez-moi à l’heure de la mort.Sainte Philomène, puissante auprès de Dieu, priez pour moi. Amen.
Ô mon Dieu, Très Sainte Trinité, je vous remercie pour les grâces que vous m’accordez par l’intercession de votre très Sainte Mère et de votre petite servante sainte Philomène. Par leur intercession, j’implore votre Grande Miséricorde. Amen ».
Saint Grégoire Le Thaumaturge
Saint Grégoire de Néocésarée, peu connu en Occident, est connu en Orient pour avoir opéré un si grand nombre de prodiges de son vivant qu’on l’appelait le « faiseur de miracles ».
"Ô saint Grégoire, confesseur et prêtre du Seigneur, je te supplie d’intercéder auprès de notre Seigneur Dieu pour que, purifié de tout vice, je puisse lui être agréable en toutes choses, et qu’il m’accorde la paix qu’i donne à tous ses serviteurs. Amen" .
*MAISON NOTRE-DAME 66,Place Schoeneck, LE BOURG 16560 JAULDES.
Tel: 05.45.37.35.13
Saint Jude-Thaddée
Apôtre du Seigneur,
Saint des causes difficiles et désespérées
Fête le 28 octobre
Plût à Dieu, écrivait saint Jean Chrysostome, qu'il y eût eu quelqu'un pour nous transmettre soigneusement l'histoire des apôtres ! Ce vœu ne s'est pas réalisé pour saint Simon ni pour saint Jude dont l'Evangile ne nous a guère conservé que les noms. L'obscurité qui enveloppe saint Simon a semblé autoriser quelques historiens ecclésiastiques à le confondre avec saint Syméon, qui, après saint Jacques le Mineur, fut évêque de Jérusalem. Néanmoins il paraît plus probable qu'il faut distinguer l'un de l'autre les deux saints, rapprochés seulement par le nom.
Dans la liste des Apôtres que nous ont transmise les évangiles de saint Matthieu et de saint Marc, Simon est nommé à l'avant-dernier rang, avec le surnom Cananæus. Beaucoup ont affirmé que ce surnom marquait peut-être le lieu de sa naissance, Cana ; de là à penser qu'il était l’époux des noces de Cana, il n'y avait pas loin, et certain n’ont pas manqué de le suggérer. Cependant, il semble bien que saint Luc donne le vrai sens de ce surnom, lorsqu'il qualifie Simon (placé par lui au dixième rang des apôtres), de Zelote, c'est-à-dire plein de zèle : en hébreu Qan'ani, d'où la transcription Cananæus.
Nous pouvons en conclure que Simon s'était attaché à la secte qui se décorait du titre de Zélotes, dont les membres faisaient profession d'un spécial attachement à la Loi et à toutes ses prescriptions ; ils poussaient le zèle jusqu'à être prêts à réprimer les violations de ce saint Code, fût-ce à main armée, comme le fit jadis Phinèès. Ils s'étaient groupés lorsque, Hérode mort, les Romains, vers l'an 6 de l'ère chrétienne, avaient pris l'administration directe de la Palestine, et ils prétendaient s'opposer à la domination étrangère, attendant du Messie la libération de leur race. Plus tard ils joueraient un rôle important et funeste dans les derniers jours de Jérusalem et, sous prétexte de combattre les usurpateurs, couvriraient leur pays de ruines et de cadavres. Simon sans doute, s'il donna effectivement son nom à ce parti, n'avait de commun avec lui que l'ardeur pour l'observance de la Loi, mais non point la farouche violence.
Le saint apôtre Jude, frère de Jacques le Mineur et cousin de Notre Seigneur Jésus-Christ, était désigné, lui aussi, par un surnom ; on lui en donnait même deux : Lebbée et Thaddée, ce qui fait dire à saint Jérôme qu'il était trinomius, à trois noms. Les deux surnoms peuvent se traduire par l’expression : homme de cœur ; encore que le premier exprime plutôt le courage, tandis que le second exprime plutôt la tendresse, qui, sans doute, étaient les caractéristiques de cet apôtre. Et c'est peut-être pour son âme affectueuse, que le peuple chrétien l'a de préférence nommé Thaddée.
A la suite de Notre-Seigneur, saint Simon et saint Jude ne se distinguèrent pas des autres apôtres. Très attaché à sa personne, mais ne voyant en lui que le restaurateur temporel du royaume d'Israël, ne comprenant guère les hauts enseignements et les terribles prédictions par lesquels Jésus s'efforçait d'ouvrir et d'élever l'intelligence de ses apôtres, Jude fut peut-être, avec ses frères Simon et Josès, de ces frères du Seigneur qui doutaient de lui et le poussaient à se manifester au monde, et qui, après la résurrection, eurent quelque peine à reconnaître sa vérité, comme le leur reprocha le Maître. Ainsi le permettait la Providence divine pour donner à notre foi une base plus inébranlable. Il fallait la diffusion du Saint-Esprit dans ces âmes d'enfants du peuple, pour y faire germer la foi inébranlable et les vues sublimes.
Après la Pentecôte, Simon et Thaddée unirent leurs efforts à ceux de leurs frères pour l'évangélisation de la Palestine. Bientôt la persécution éclata. Jacques, fils de Zébédée, mis à mort, Simon Pierre emprisonné par Hérode et miraculeusement délivré, il sembla que l'heure était venue d'obéir à l'ordre du Seigneur : « Si on vous poursuit dans une ville, sortez-en, secourant la poussière de vos pieds, et fuyez dans une autre. » Les apôtres se partagèrent donc le monde avec une émouvante audace, et partirent. « On aime à se représenter cette suprême réunion où les Douze, tout pénétrés encore de la bénédiction et de la parole de Pierre, qui leur a rappelé les bontés du Maître, se séparent en s'embrassant. Ils ont au front un rayonnement céleste. Leur main serre énergiquement le bâton de voyageur qui sera leur houlette ou leur sceptre. Ils n'ont rien autre pour lutter contre l'ennemi, que la foi au Maître qui les envoie, et cependant on sent que leur triomphe est certain. C'est par ces paysans galiléens pauvres, ignorants, inexpérimentés, que le paganisme sera vaincu, comme Goliath l'avait été par David, le pâtre de Bethléem. »
Vers quelles nations se dirigèrent Thaddée et Simon ? Il est difficile de l'établir. Quelques-uns ont cru voir Simon chez le roi d'Edesse qui l'aurait envoyé au roi d'Assyrie pour le guérir d'une maladie dangereuse. Selon d'autres, après avoir évangélisé l'Egypte, poursuivant sa route à travers l'Afrique, il serait parvenu jusqu'en Angleterre. Une tradition prétend qu’il passa d'Edesse en Mésopotamie, d'où il revint mourir à Edesse. Il semble plus probable qu'après l'Egypte, Simon s’en fût en Perse, puis que, revenant sur ses pas, il aurait rejoint en Mésopotamie Thaddée, au martyre de qui il aurait été associé.
Jude avait accompli à la lettre le précepte de détachement du Maître et laissé sa famille, car il aurait été marié au moment de sa vocation par Notre-Seigneur, et avait eu des enfants : sous le règne de Domitien ses descendants, dénoncés à l'empereur comme fils de David, furent mandés à Rome, soigneusement interrogés sur leur fortune, qui était petite, sur leur travail, qui avait durci leurs mains, sur leurs espérances au Christ, qui étaient toutes surnaturelles ; enfin ils furent renvoyés dans leur pays, où ils vécurent en paix jusqu'au règne de Trajan.
Thaddée, sans doute, commença par prêcher en Samarie et en Idumée, puis en Arabie et en Syrie. C'est alors qu'il écrivit l'épître qui porte son nom où il stigmatise les erreurs que saint Pierre condamne dans sa seconde épître ; entre ces deux documents il existe des ressemblances qui forcent à conclure à une influence mutuelle, à une imitation volontaire de l'un des écrivains par l'autre, constatations nécessaires mènent à placer la composition de l'épître de saint Jude à une époque peu avancée de sa vie apostolique. Du reste, si particulièrement utile qu'elle fût pour ses contemporains, cette lettre ne le reste pas moins pour nous, lorsqu'elle nous apprend à « élever de plus en plus haut l'édifice de notre foi, à nous conserver dans l'amour de Dieu, en attendant la miséricorde de Notre-Seigneur Jésus-Christ. »
Elle porte à chaque ligne la justification de ce nom de Thaddée, l'homme de cœur, que fut Jude et qui se montre si à découvert dans la doxologie qui la termine : « A celui qui a le pouvoir de vous préserver de toute chute et de vous faire paraître irrépréhensibles et pleins d'allégresse devant le trône de sa gloire, au seul Dieu ; notre Sauveur, par Notre-Seigneur Jésus-Christ, soient gloire, majesté, force et empire dès avant tous les siècles et maintenant et dans tous les siècles ! Amen !»
Sortant d'Arabie, marchant vers l'est, il entra en Mésopotamie, il pénétra en Perse. Il semble toutefois que c'est entre les fleuves de l'Euphrate et du Tigre qu’il prêcha et fut, selon la tradition la plus vraisemblable, martyrisé, en un lieu mal défini qu'on appelle Arat ou Arara. Dans des circonstances absolument ignorées, il aurait été cloué à la croix, et son supplice se serait achevé sous les traits ou les pierres dont on l'aurait accablé.
Les corps de saint Simon et de saint Jude, d'abord ensevelis à Babylone, furent portés à Rome, sans doute à l'époque où les Mahométans s'emparèrent de la Perse (VII° siècle). On pense que le Pape saint Léon III les donna à Charlemagne, après l'avoir couronné empereur (800), en reconnaissance des signalés services rendus par ce prince au Saint-Siège. Charlemagne donna ces insignes reliques, avec beaucoup d'autres, à la Basilique Saint-Sernin, à Toulouse. L'insigne Basilique Saint-Sernin (Saint-Saturnin), de Toulouse, est connue dans le monde entier par l'antiquité de son origine (IV° siècle), mais surtout par le nombre et la dignité des corps saints qu'elle possède. Entre ses précieuses reliques, celles de saint Jude attirent particulièrement l'attention des fidèles qui ont à recommander à Dieu des affaires difficiles.
La Dévotion des trois Credo en l'honneur de Sainte Philomène
Un jour, Soeur Marie Louise de Jésus, Supérieure générale de la Congrégation des Sœurs des Douleurs de Marie, décédée en 1875, eût recours à Sainte Philomène et lui demanda de lui révéler une prière fervente. Sainte Philomène lui enseigna la prière suivante.
Je vous salue, Sainte Philomène, Vierge et Martyre de Jésus-Christ, je vous supplie de prier Dieu pour les justes afin qu'ils persévèrent dans leur Justice et croissent dans les vertus de jour en jour.
Credo
Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, Créateur du ciel et de la terre. Et en Jésus Christ, son Fils unique, notre Seigneur; qui a été conçu du Saint Esprit, est né de la Vierge Marie, a souffert sous Ponce Pilate, a été crucifié, est mort et a été enseveli, est descendu aux enfers; le troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux, est assis à la droite de Dieu le Père tout-puissant, d'où il viendra juger les vivants et les morts. Je crois en en l'Esprit Saint, à la sainte Église catholique, à la communion des saints, à la rémission des péchés, à la résurrection de la chair, à la vie éternelle. Amen.
Je vous salue, Sainte Philomène, Vierge et Martyre de Jésus-Christ, et je Vous supplie de prier Dieu pour les pécheurs afin qu'ils se convertissent et commencent une vie de grâce.
Credo
Je vous salue, Sainte Philomène, Vierge et Martyre de Jésus-Christ, et je Vous supplie de prier Dieu pour ceux qui ont renié leur Foi et pour les infidèles, afin qu'ils rentrent au bercail de la vraie Église et servent Dieu en esprit et en vérité.
Credo
Réciter ensuite trois Gloire au Père, en l'honneur de la Très Sainte Trinité en reconnaissance des grâces accordées
Ensuite, réciter le Salve Regina, en l'honneur de la Vierge Douloureuse et en reconnaissance de la force miraculeuse de Sainte Philomène.
Salve Regina
Salut, Reine, mère de miséricorde, notre vie, notre douceur, notre espérance, salut. Enfant d'Eve, de cette terre d'exil, nous crions vers Vous, gémissant et pleurant dans cette vallée de larmes. O Vous, notre Avocate, tournez vers nous Votre regard Miséricordieux, Et au sortir de cet exil, obtenez-nous de pouvoir contempler Jésus, le fruit béni de Votre Sein, ô Clémente, ô bienveillante, ô douce Vierge Marie.
Téléchargez le texte des 3 Credo (pdf) en cliquant ici
Source: "Images Saintes"
Adresse du Sanctuaire Syro-Orthodoxe francophone à Sainte Philomène:
ANGOULÊME (Jauldes):
*Paroisse N-D de Toutes Grâces/St Ubald
*MAISON NOTRE-DAME 66,Place Schoeneck, LE BOURG 16560 JAULDES.
Tel:05.45.37.35.13 *Messe les 2èmes et 4èmes Dimanches de Chaque mois à 10h30suivies d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.
*Possibilité de prendre Rendez-vous avec le prêtre la semaine suivant le 2éme dimanche du mois ainsi que pour les visites aux malades et à domicile.
Permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
SAINT GRÉGOIRE LE THAUMATURGE
Leçon des Matines dans l'Eglise latine (Occidentale) avant 1960
Au deuxième nocturne.
Quatrième leçon. Grégoire, Évêque de Néocésarée, dans le Pont, est célèbre par sa sainteté et sa doctrine, et plus encore par les prodiges et les miracles qu’il a opérés ; miracles si nombreux et si éclatants, qu’ils lui ont valu d’être surnommé le Thaumaturge, et d’être comparé, d’après le témoignage de saint Basile, à Moïse, aux Prophètes et aux Apôtres. C’est ainsi que, par sa prière, il déplaça une montagne [1] qui empêchait la construction d’une église et dessécha un marais, qui causait de la division entre deux frères. Le Lycus inondant la campagne avec de grands dégâts, Grégoire planta au bord du fleuve le bâton sur lequel il s’appuyait, qui, reverdissant aussitôt, grandit et devint un arbre ; le saint arrêta ainsi le débordement, et, dans la suite, les eaux ne dépassèrent plus jamais cette limite.
Cinquième leçon. Très souvent, il chassa les démons des images des idoles ou du corps des hommes ; et, par beaucoup d’autres faits merveilleux, il attira un nombre incalculable de personnes, à la foi de Jésus-Christ. Il prédisait aussi l’avenir, inspiré par un esprit prophétique. Sur le point de mourir, demandant combien il restait d’infidèles dans la ville de Néocésarée, on lui répondit qu’il y en avait seulement dix-sept ; alors, rendant grâces à Dieu : « Il y avait, dit-il, ce nombre de fidèles, lorsque je commençai mon épiscopat. » Il écrivit plusieurs ouvrages, qui, avec ses miracles, illustrèrent l’église de Dieu [2].
Au troisième nocturne.
Lecture du saint Évangile selon saint Marc. En ce temps-là : Jésus répondant à ses disciples, leur dit : Ayez foi en Dieu. En vérité, je vous dis que quiconque dira à cette montagne : Lève-toi, et jette-toi dans la mer, et n’hésitera point dans son cœur, mais croira que tout ce qu’il aura dit se doit faire, il lui sera réellement fait. Et le reste.
Homélie de saint Bédé, le Vénérable, Prêtre.
Septième leçon. Les païens qui ont écrit des calomnies contre l’Église, ont coutume d’accuser les nôtres de n’avoir pas en Dieu une foi entière, parce qu’ils n’ont pu transporter les montagnes. Il faut leur répondre que l’on n’a pas écrit tout ce qui s’est fait dans l’Église, ainsi que l’Écriture l’atteste en particulier des actions de notre Seigneur Jésus-Christ. Il aurait pu se faire qu’une montagne détachée du sol se précipitât dans la mer, si la nécessité l’eût réclamé ; comme nous lisons qu’aux prières du bienheureux père Grégoire, Évêque de Néocésarée, dans le Pont, homme éminent par ses mérites et ses vertus, il advint qu’une montagne se retira de l’endroit qu’elle occupait, autant que les habitants de la ville avaient besoin d’espace.
Huitième leçon. Voulant, en effet, bâtir une église, en un lieu d’ailleurs convenable, mais trop étroit, resserré qu’il était d’un côté par les rochers de la mer et de l’autre par la proximité d’une montagne, il y alla pendant la nuit, et, s’étant mis à genoux, il conjura le Seigneur, au nom de sa promesse, de reculer cette montagne, en ayant égard à la foi de celui qui l’invoquait. Y étant retourné le matin, il trouva que la montagne s’était retirée de tout l’espace dont les constructeurs de l’église avaient besoin. Le saint homme pouvait donc, et tout autre d’un mérite égal aurait pu, la circonstance l’exigeant, obtenir du Seigneur, en vertu de sa foi, qu’une montagne se détachât du sol et se jetât dans la mer.
Neuvième leçon. D’ailleurs, le diable étant quelquefois désigné sous le nom de montagne, à cause de son orgueil à vouloir s’élever contre Dieu et à vouloir être semblable au Très-Haut, on peut dire qu’à la parole de ceux qui ont la puissance de la foi, une montagne est détachée du sol et jetée dans la mer lorsque, à la prédication des saints docteurs, l’esprit immonde est expulsé du cœur des hommes prédestinés à la vie, et qu’il n’a plus dès lors à exercer la fureur de sa tyrannie que dans les esprits agités et amers des infidèles.
Moïse, instruit dans la sagesse des Égyptiens, puissant en œuvres et en parole [3] se retire au désert ; Grégoire, prévenu des meilleurs dons de naissance et de nature, rhéteur brillant, riche de toute science, dérobe aux hommes sa florissante jeunesse et court offrir à Dieu dans la solitude l’holocauste qui plaît au Seigneur. Tous deux, espoir de leur peuple, se détournent de lui pour se perdre en la contemplation des mystères du ciel. Et cependant le joug du Pharaon s’appesantit sur Jacob ; et cependant des âmes périssent, qu’une parole ardente arracherait à l’empire des faux dieux : pareille fuite n’est-elle pas désertion ?
Est-ce donc à l’homme de se proclamer sauveur, quand Jésus ne s’est pas attribué de lui-même un tel nom [4] ? et quand le mal grandissait partout, l’ouvrier de Nazareth eut il tort de s’attarder dans l’ombre des trente années qui précédèrent son ministère si court ? Docteurs de nos temps enfiévrés, qui rêvez d’une hiérarchie nouvelle entre les vertus et comprenez la divine charité autrement que nos pères, ceux-là ne sont pas de la race des sauveurs d’Israël [5] qui pensent sur le salut social d’autre manière que le Sauveur du monde.
Grégoire fut comme Moïse de cette race bénie. Amis et ennemis s’accordaient à dire qu’il rappelait le législateur des Hébreux pour l’excellence de la vertu et l’éclat des prodiges opérés à son commandement [6]. Même zèle de part et d’autre à connaître Dieu, pour le manifester aux hommes qu’ils devaient lui conduire ; la plénitude de la doctrine est le premier don des guides des peuples, leur pénurie en ce point la pire des insuffisances [7]. Je suis Celui qui suis, déclare Dieu sur sa demande à Moïse ; du milieu du buisson ardent, la sublime formule à lui confiée authentique la mission qui l’appelle à sortir du désert [8]. Quand l’heure sonne pour Grégoire d’aller lui-même au monde de par Dieu, la Vierge bénie, dont le buisson d’Horeb fut la figure [9], apparaît à ses yeux éblouis dans la nuit profonde où il implorait la lumière, et Jean qui suit la Mère de Dieu laisse tomber de ses lèvres d’évangéliste cette autre formule ; complétant la première à l’usage des disciples de la loi d’amour :
« Un seul Dieu, Père du Verbe vivant, de la Sagesse subsistante et puissante qui est l’expression éternelle de lui-même, principe parfait du Fils unique et parfait qu’il engendre. Un seul Seigneur, unique engendré de l’unique, Dieu de Dieu, Verbe efficace, Sagesse embrassant et contenant l’univers, puissance créatrice de toute créature, vrai Fils d’un vrai Père. Et un seul Saint-Esprit tenant de Dieu l’être divin, révélé aux hommes par le Fils dont il est le parfait semblable, vie causant la vie, sainteté donnant d’être saint. Trinité parfaite, immuable, inséparable en gloire, éternité, domination [10]. »
C’est le message que notre Saint doit communiquer à son pays, le symbole qui portera son nom dans l’Église de Dieu. Dans sa foi au premier des mystères il soulèvera les montagnes et refoulera les flots, dépossédera l’enfer et chassera du Pont l’infidélité. Lorsque vers l’an 240, Grégoire évêque prend la route de Néocésarée, il ne voit partout que temples d’idoles et s’arrête pour la nuit dans un sanctuaire fameux. Au matin, les dieux sont en fuite et refusent de revenir ; mais le Saint remet à leur adresse au prêtre de l’oracle un ordre ainsi libellé : Grégoire à Satan : rentre [11]. Une défaite plus cuisante attendait, en effet, l’infernale cohorte ; contrainte d’arrêter sa retraite précipitée, elle doit assister à la ruine de son empire dans les âmes qu’elle abusa. Leur prêtre, le premier, se donne à l’évêque, et il devient son diacre ; bientôt sur les décombres des temples , en tous lieux abattus, se dresse l’Église du Christ seul Dieu.
Heureuse Église, si fortement fondée que l’hérésie fut impuissante contre elle au siècle suivant, sous la tempête arienne où fléchirent tant d’autres ! Au témoignage de saint Basile, les successeurs de Grégoire, éminents eux-mêmes, formaient à Néocésarée comme une parure de pierres précieuses [12], une couronne de brillantes étoiles [13]. Or, dit Basile, tous ces illustres prélats mettaient leur honneur à maintenir le souvenir du grand devancier, ne souffrant pas qu’un acte quelconque, un mot, une manière même de faire autre que la sienne dans les rites sacrés, prévalussent sur les traditions qu’il avait laissées [14].
Lorsque Clément XII établit dans l’Église entière, comme nous l’avons vu, la fête de sainte Gertrude la Grande, il décréta d’abord qu’elle serait fixée au présent jour, où continue de la célébrer l’Ordre de saint Benoît. Mais, dit Benoît XIV, le XVII Novembre étant attribué depuis de longs siècles à la mémoire de Grégoire le Thaumaturge, il parut mieux convenir que celui qui changeait de place les montagnes ne fût pas lui-même changé de son lieu par la vierge ; et c’est ainsi que dès l’année 1739, qui suivit l’institution de la fête nouvelle, celle-ci fut fixée pour l’avenir au XV dudit mois [15].
Saint Pontife, votre foi, soulevant les montagnes et domptant les flots, justifia la promesse du Seigneur [16]. Apprenez-nous à faire honneur nous-mêmes à l’Évangile, en ne doutant jamais de la divine parole et du secours qu’elle nous promet contre Satan , en qui l’Église nous montre aujourd’hui l’orgueilleuse montagne à jeter à la mer [17], contre le débordement des passions et l’entraînement d’un monde dont vos écrits nous disent avec le Sage la vanité [18]. Enseignez nous non moins à ne pas oublier le bienfait du secours du ciel après la victoire ; préservez-nous de l’ingratitude qui vous fut si odieuse.
Nous possédons toujours l’éloge touchant que vous dicta votre reconnaissance pour l’illustre maître aux enseignements duquel vous dûtes , après Dieu, cette fermeté et splendeur de foi qui fut votre gloire [19]. Leçon précieuse et pratique pour tous : célébrant la divine Providence dans l’homme qui fut pour vous son instrument prédestiné, vous n’avez garde d’oublier l’hommage à l’Ange de Dieu qui écarta vos pas des abîmes dans la nuit de l’infidélité où s’écoulèrent vos premiers ans ; céleste gardien qui toujours en éveil dans son dévouement actif, éclairé, persévérant, supplée à nos insuffisances, nourrit, instruit chacun de nous, le conduit par la main, ménageant aux âmes à travers l’espace et les temps ces inestimables rencontres qui transforment la vie et assurent l’éternité [20].
Mais comment remercier dignement, créatures pécheresses, l’auteur premier de tous biens, l’Être infini qui donne à l’homme et ses anges et les intermédiaires visibles ici-bas de la divine grâce ? Confiance pourtant ; car nous avons pour chef son premier-né, son Verbe qui sauva nos âmes et gouverne l’univers. Lui seul, mais lui peut sans peine rendre au Père d’assidues, d’éternelles actions de grâces pour lui-même comme pour tous et chacun, sans risque d’ignorance ou d’oubli dans le thème de sa louange, sans nul péril d’imperfection dans le mode ou l’ampleur de ses chants. A lui donc, au Dieu Verbe, ô Grégoire, nous renvoyons comme vous le légitime souci de parfaire les accents de notre gratitude, en considération des ineffables prévenances du Père qui est aux cieux ; car le Verbe est pour nous, comme il le fut pour vous, l’unique voie de la piété, delà reconnaissance et de l’amour [21]. Puisse-t-il susciter en nos temps des pasteurs qui rappellent vos œuvres ; puisse-t-il réveiller les antiques Églises de cet Orient dont vous fûtes la lumière !
Voici l’un des astres les plus illustres qui brillèrent jamais sur l’Église du Pont, apôtre en même temps que docteur, thaumaturge et confesseur de la foi.
Grégoire naquit à Néocésarée dans le Pont vers 213, et, dans sa prime jeunesse, il fut disciple du grand Origène dont il fit plus tard un panégyrique enthousiaste. Devenu évêque de sa ville natale, il la transforma de païenne en chrétienne, y opérant un grand nombre de miracles qui lui valurent le titre de « Thaumaturge ». Il mourut sous Aurélien entre 270 et 275, et tout le Pont, au dire de saint Basile, vénéra sa mémoire avec une immense dévotion, comme celle d’un maître dans la foi.
La messe Státuit du commun. La lecture évangélique est propre ; elle est tirée de saint Marc XI, 22-24. A la foi inébranlable de ses fidèles, le Sauveur promet même l’obéissance des montagnes, qui se déplacent pour entrer dans la mer. Cette promesse a été plusieurs fois confirmée par l’événement, comme on le voit en diverses vies de saints. Cela arriva à Néocésarée sous Grégoire le Thaumaturge ; et aussi, au dire de saint Grégoire le Grand, presque aux portes de Rome, sur le mont Soracte, dans le monastère où, au VIe siècle, vivait le moine saint Nonnose.
« Si quelqu’un dit à cette montagne : Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et qu’il ne doute pas dans son cœur, mais qu’il croie que ce qu’il dit arrivera, il le verra s’accomplir » (Marc, XI, 22)
Saint Grégoire le Thaumaturge. — Évêque de Néocésarée, dans le Pont (Asie Mineure), saint Grégoire se signala par de nombreux miracles, si bien que saint Basile le Grand le compare à Moïse, aux Prophètes et aux Apôtres. Sa prière obtint le déplacement d’une montagne qui gênait la construction d’une église (voir l’Évangile de la messe) ; de même, il dessécha un marais qui était une cause de discorde entre deux frères. Il chassa les démons du corps des hommes et des images des faux dieux. Ses miracles et son don de prophétie convertirent beaucoup d’hommes au Christ. Comme peu de temps avant de mourir (vers l’an 270) il demandait combien il y avait encore d’infidèles à Néocésarée, on lui répondit qu’il y en avait encore dix-sept ; alors, remerciant Dieu, il dit : « C’est le nombre de fidèles que j’ai trouvé en arrivant ici comme évêque. »
La Messe (Státuit). — La messe est du commun des évêques. L’Évangile propre parle de la foi qui transporte les montagnes, en faisant allusion au miracle de sa vie : « Croyez en Dieu ! En vérité, si quelqu’un dit à cette montagne : Ote-toi de là et jette-toi dans la mer, et qu’il ne doute pas dans son cœur, mais qu’il croie que ce qu’il dit arrivera, il le verra s’accomplir. » Dans son homélie, saint Bède rapporte le miracle de saint Grégoire à la parole du Christ : « Nous lisons que, sur la prière de notre bienheureux père saint Grégoire, évêque de Néocésarée, homme de mérites et de vertus remarquables, une montagne se déplaça de la distance nécessaire aux habitants de cette ville. Il voulait bâtir une église dans un lieu apte à cet usage ; mais, voyant que la place suffisante manquait, d’un côté à cause de la mer, de l’autre du fait d’une montagne, il vint pendant la nuit en ce lieu et, se mettant à genoux, il adjura le Seigneur, au nom de sa promesse, de déplacer la montagne conformément à la foi du requérant. Et lorsqu’il revint le lendemain matin, il trouva la montagne déplacée de la distance nécessaire aux constructeurs. »
[1] D’où la leçon de l’évangile choisie pour la messe
[2] Contre le faste des tombeaux, rappelons que saint Grégoire le Thaumaturge fît avant de mourir promettre à ses amis qu’on mettrait son corps dans le lieu destiné à la sépulture commune. « Ayant toujours vécu, disait-il comme un étranger sur la terre, je ne voudrais pas perdre ce titre après ma mort. La seule possession dont je sois jaloux est celle qui ne me fera soupçonner d’aucun attachement à la terre. » (Bollandistes).
PARIS(Relais Paroissial Mar Thoma Sainte Geneviève): Possibilité d'un RAMASSAGE DES FIDÈLES POUR LE WEEKEND DE PENTECÔTE EN NORMANDIE à 15h place du Chatelet (Inscriptions: -Abouna Isaac (Isaac Père): 0787110603 -Mor Philipose: 0648899489 avant le Vendredi 18 MAI 21h.
--------------------------- NANTES (Relais Paroissial et Groupe de Prière Saint Charbel):
¤JEUDI 24 MAI, permanence Pastorale (Réception des fidèles de 9h à 17h. *18h, Messe
============================== #Paroisse d'Aquitaine et Sud-Ouest (Notre-Dame de la Très Sainte Trinité):
ANGOULÊME (Jauldes), N-D de Toutes Grâces, St Ubald:
¤ DIMANCHE 27 MAI . programme habituel.
ANGOULÊME (Jauldes):
*Paroisse N-D de Toutes Grâces/St Ubald
MAISON NOTRE-DAME 66,Place Schoeneck, LE BOURG 16560 JAULDES. Tel:05.45.37.35.13
---------------------------- PÉRIGUEUX (La Chapelle Faucher, Sanctuaire N-D de la très Ste Trinité) ¤SAMEDI 26 MAI *10h30, Messe, suivie d'un repas fraternel,réception des fidèles
PERIGUEUX (La Chapelle Faucher):
*Paroisse Notre-Dame de la Très Sainte Trinité
Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front ERMITAGE ST COLOMBAN* Puyroudier (Rte d'Agonac) 24530LA CHAPELLE FAUCHER. Tel:05.45.37.35.13
---------------------------
LOURDES (Relais paroissial Mar Gregorios de Parumala):
¤ PAS DE MESSE EN MAI ========================================
++++++++++++++++++++++++++
Ou trouver en France un Prêtre exorciste Orthodoxe Oriental ?
"L'avenir est dans la paix, il n'y a pas d'avenir sans paix"
"The future is in peace, there is no future without peace"
"O futuro está em paz, não há futuro sem paz"
(SS Ignatius Aprem II)
Note:
Eglise locale fondée grâce à l'élan missionnaire de l'Eglise Syrienne Orthodoxe des Indes(Malankare), notre Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise Orthodoxe-Orientale.
Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien et la paix du monde.
¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…
Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles, nous n'exigeons aucun fixe.
Les offrandes sont libres et nonobligatoires.Touteoffrande fait cependant l'objet d'une déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F "
Pour l' Aumônerie Syro-Orthodoxe Francophone des Africains vivant en France, contacter les Responsables: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89 ), Métropolite et Soeur Marie-Andre M'Bezele, moniale ( 06.17.51.25.73).
Igreja local fundada pelo impulso missionário da Igreja Síria Ortodoxa da Índia (Malankara), nossa Igreja siro-Orthodoxe- Francophone é uma igreja ortodoxa-Leste.
O Mosteiro siríaco é um Centro de oração para a unidade das Igrejas Apostólicas, unanimidade de Christian Witness ea paz mundial.
¤ Permanência pastoral em vários região da França para: Acompanhamentos espirituais, sacramentos Sacramental (bênçãos, orações de libertação ou exorcismo, orações de cura) ...
Para o serviço pastoral para o Mosteiro como a casa dos fiéis para estadias curtas ou retiros espirituais, não requer qualquer fixo.
As ofertas são livres e nãoobligatoires.Touteoferecendo ainda sido deduzido do seu rendimento tributável à alíquota de 66 ° / ° de sua renda). Denominar todas C B na seguinte ordem "S S M E Metropolis"
Para os sírio-ortodoxos Capelania francófonos africanos que vivem na França, entre em contato com as cabeças: Mor Philipose Mariam (06.48.89.94.89), Metropolitan e irmã Marie-Andre M'Bezele, freira (06.17.51.25.73).
A local church founded on the missionary impulse of the Syrian Orthodox Church of India (Malankare), our Syro-Orthodox-Francophone Church is an Eastern Orthodox Church.
The Syriac Monastery is a Center of Prayer for the unity of the Apostolic Churches, the unanimity of the Christian Testimony and the peace of the world.
¤ Pastoral permanence in various regions of France for: Spiritual accompaniments, Sacraments, Sacramentals (Blessings, Prayers of deliverance or exorcism, prayers of healing) ...
For the pastoral services rendered to the Monastery as the reception of the faithful for short stays or spiritual retreats, we do not require any fixed.
The offerings are free and not obligatory. However, any taxable income is deducted from your taxable income of 66% of your income. Write all C B
CONFIER DES INTENTIONS DE PRIÈRE AU MONASTÈRE , C'EST SIMPLE...
Le Moine ne rompe pas la solidarité profonde qui doit unir entre eux les frères humains… Ils se conforment aux sentiments du Christ Tête de l'Eglise, le "premier né d'une multitude de frères" et à Son amour pour tous les hommes…
A travers les prières monastiques, c’est toute l’Eglise qui prie et intercède pour l’humanité.
Le savez-vous ? Chacun de vous, dans le secret de son existence, participe à cet immense courant de prière souterraine qui irrigue le monde…
Si vous le souhaitez, vous pouvez nous confier une intention de prière en l'envoyant à l'adresse suivante:
--------------------
DÃO AS INTENÇÕES DE ORAÇÃO mosteiro é SIMPLES ...
O monge não quebrar a profunda solidariedade que deve unir-los irmãos humanos ... Eles devem respeitar os sentimentos de Cristo Cabeça da Igreja, o "primogênito entre muitos irmãos" e seu amor por todos os homens ...
Através das orações monásticas é toda a Igreja que reza e intercede pela humanidade.
Você sabia? Cada um de vocês, no segredo da sua existência, participa nesta oração subterrâneo imenso poder que irriga o mundo ...
Se desejar, você pode confiar uma intenção de oração, enviando-o para o seguinte endereço:
---------------------
GIVING INTENTIONS OF PRAYER TO THE MONASTERY IS SIMPLE...
The Monk does not break the deep solidarity that must unite the brothers
Human beings ... They conform to the sentiments of Christ Head of the Church, the
"The firstborn of a multitude of brothers" and His love for all men ...
Through monastic prayers, the whole Church prays and intercedes for
humanity.
Do you know ? Each of you, in the secret of his existence, participates in this
Immense current of underground prayer that irrigates the world ...
If you wish, you can entrust us with an intention of prayer by sending it to the following address:
Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)
Courriel:asstradsyrfr@laposte.net
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn