"To be poor financially is in a way much easier than to be poor inwardly, to have no attachments. This is very difficult to learn and something which happens gradually, from year to year. You really learn to value things, to look at people and see the radiant beauty which they possess — without the desire to possess them. To pluck a flower means to take possession of it, and it also means to kill it. Seeking to preserve rather than destroy all that is beautiful is surely a primary aspect of becoming the Gospel. It is giving a living witness to the Beatitudes, starting with the first: “Blessed are the poor in spirit." (Metropolitan Anthony Bloom )
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Fifth Tuesday of Great Lent
Evening:
St. Mark 3:1-12
Morning:
Exodus 14: 21-31
Isaiah 40: 12-24
Acts 18: 18 -28
Romans 1:26-32
St. Mark 5: 1 -20
Livre de l'Exode 32,7-14.
En ces jours-là, le Seigneur parla à Moïse en ces termes : "Descend de la montagne, car ton peuple, que tu as fait sortir du pays d'Égypte, s'est corrompu. Ils se sont bien vite détournés de la voie que je leur avais prescrite ; ils se sont fait un veau en fonte, ils se sont prosternés devant lui, et ils lui ont offert des sacrifices, et ils ont dit : Israël, voici ton Dieu, qui t'a fait monter du pays d'Égypte." Yahweh dit à Moïse "Je vois que ce peuple est un peuple au cou raide. Maintenant laisse-moi : que ma colère s'embrase contre eux et que je les consume ! Mais je ferai de toi une grande nation." Moïse implora Yahweh, son Dieu, et dit : "Pourquoi, Yahweh, votre colère s'embraserait-elle contre votre peuple, que vous avez fait sortir du pays d'Égypte par une grande puissance et par une main forte ? Pourquoi les Égyptiens diraient-ils : C'est pour leur malheur qu'il les a fait sortir, c'est pour les faire périr dans les montagnes et pour les anéantir de dessus la terre ? Revenez de l'ardeur de votre colère, et repentez-vous du mal que vous voulez faire à votre peuple. Souvenez-vous d'Abraham, d'Isaac et d'Israël, vos serviteurs, auxquels vous avez dit, en jurant par vous-même : Je multiplierai votre postérité comme les étoiles du ciel, et tout ce pays dont j'ai parlé, je le donnerai à vos descendants, et ils le posséderont à jamais." Et Yahweh se repentit du mal qu'il avait parlé de faire à son peuple.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 7,14-31.
En ce temps-là, alors qu'on était déjà au milieu de la fête, Jésus monta au temple et se mit à enseigner. Les Juifs étonnés disaient : "Comment connaît-il les Écritures, lui qui n'a point fréquenté les écoles ?" Jésus leur répondit : "Ma doctrine n'est pas de moi, mais de celui qui m'a envoyé. Si quelqu'un veut faire la volonté de Dieu, il saura si ma doctrine est de Dieu ou si je parle de moi-même. Celui qui parle de soi-même, cherche sa propre gloire ; mais celui qui cherche la gloire de celui qui l'a envoyé, est véridique, et il n'y a point en lui d'imposture. Est-ce que Moïse ne vous a point donné la Loi ? Et nul de vous n'accomplit la loi. Pourquoi cherchez-vous à me faire mourir ?" La foule répondit : "Vous êtes possédé du démon ; qui est-ce qui cherche à vous faire mourir ?" Jésus leur dit : "J'ai fait une seule œuvre, et vous voilà tous hors de vous-mêmes ? Moïse vous a donné la circoncision, non qu'elle vienne de Moïse, mais des Patriarches, Et vous la pratiquez le jour du sabbat. Que si, pour ne pas violer la loi de Moïse, on circoncit le jour du sabbat, comment vous indignez-vous contre moi, parce que, le jour du sabbat, j'ai guéri un homme dans tout son corps ? Ne jugez point sur l'apparence, mais jugez selon la justice." Alors quelques habitants de Jérusalem dirent : "N'est-ce pas celui qu'ils cherchent à faire mourir ? Et le voilà qui parle publiquement sans qu'on lui dise rien. Est-ce que vraiment les chefs du peuple auraient reconnu qu'il est le Christ ? Celui-ci, néanmoins, nous savons d'où il est ; mais quand le Christ viendra, personne ne saura d'où il est." Jésus, enseignant dans le temple, dit donc à haute voix : "Vous me connaissez et vous savez d'où je suis !…et pourtant ce n'est pas de moi-même que je suis venu : mais celui qui m'a envoyé est vrai : vous ne le connaissez point. Moi, je le connais, parce que je suis de lui, et c'est lui qui m'a envoyé." Ils cherchèrent donc à le saisir ; et personne ne mit la main sur lui, parce que son heure n'était pas encore venue. Mais beaucoup, parmi le peuple, crurent en lui et ils disaient : "Quand le Christ viendra, fera-t-il plus de miracles que n'en a fait celui-ci ?"
Par Saint Augustin
(354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église Sermons sur Saint Jean, n° 28
« Son heure n'était pas encore venue »
« La fête juive des Tentes approchait. Les frères de Jésus lui dirent : Ne restez pas ici, allez en Judée, pour que vos disciples là-bas voient les œuvres que vous faites.
Jésus leur dit : Mon temps n'est pas encore venu, tandis que pour vous le temps est toujours bon » (Jn 7,2-6).
Jésus répond ainsi à ceux qui lui conseillaient de rechercher la gloire :
« le temps de ma gloire n'est pas encore venu ».
Voyez la profondeur de cette pensée : ils le poussent à rechercher la gloire, mais lui veut que l'humiliation précède l'élévation ; c'est par l'humilité qu'il veut se frayer un chemin à la gloire.
Les disciples qui voulaient être assis l'un à sa droite et l'autre à sa gauche (Mc 10,37) recherchaient la gloire humaine eux aussi : ils ne voyaient que le terme du chemin, sans considérer le chemin qui devait y conduire.
Le Seigneur les a donc rappelés à la véritable route, pour qu'ils parviennent à la patrie comme on doit le faire. La patrie est élevée mais la route est humble.
La patrie, c'est la vie du Christ ; la route, c'est sa mort.
La patrie, c'est la demeure du Christ, la route, c'est sa Passion.
Ayons donc le cœur droit ; le temps de notre gloire n'est pas encore arrivé. Écoutons dire à ceux qui aiment ce monde, comme les frères du Seigneur :
« Votre temps est toujours bon, le nôtre n'est pas encore venu ».
Osons le dire, nous aussi.
Nous qui sommes le Corps de notre Seigneur Jésus Christ, nous qui sommes ses membres, nous qui le reconnaissons avec joie comme notre chef, redisons ces paroles, puisque c'est pour nous qu'il a daigné les dire le premier.
Quand ceux qui aiment le monde insultent notre foi, disons-leur :
« Votre temps est toujours bon, le nôtre n'est pas encore venu. »
L'apôtre Paul, en effet, nous a dit :
« Vous êtes morts, et votre vie est désormais cachée avec le Christ en Dieu ».
Quand viendra notre temps ?
« Quand le Christ, notre vie, apparaîtra, alors vous apparaîtrez, vous aussi, avec lui dans la gloire » (Col 3,3).
« Notre vie est cachée en Dieu avec le Christ ».
On pourrait bien dire pendant l'hiver : cet arbre est mort, par exemple un figuier, un poirier ou tout autre arbre fruitier ; pendant tout l'hiver, il semble privé de vie.
Mais l'été sert de preuve et permet de juger s'il est vivant. Notre été à nous, c'est la révélation du Christ.
Dieu viendra manifestement, notre Dieu ne se taira pas.
Renouvelons notre vie de baptisé
« Cette eau assainit tout ce qu’elle pénètre, et la vie apparaît en tout lieu où arrive le torrent. »
(Ez 47, 9)
Grâce au pouvoir vivifiant de l'eau les animauxs’abreuvent, le poisson est abondant, les arbres fruitiers semultiplient. On peut voir dans cette eau un rappel lagrâce de notre baptême.
C’est cette vie baptismale que le Seigneur nous appelle àrenouvelertout au long de ce carême, afin de nous préparer justement à renouveler les promesses de notre baptême lors de la Vigile qui approche. Bien souvent,hélas, cette grâce purifiante par l'eau baptismale et sanctifiante par le feu du St Esprit sont lésés lorsque nous contristons et Le Premier Né, et l'Esprit Vivificateur en souillant la Source baptismale par les eaux boueuses de nos péchés...
Aujourd'hui, je fais un pas
Je prends donc aujourd'hui la résolution dereprendre conscience de la grâce immense que j’ai d’avoir été baptisé et, si je ne m'en souviens plus, je me renseigne sur ladate précise de mon baptême. Si par ailleurs je ne suis pas baptisé dans l'Eglise Orthodoxe, je me renseigne pour savoir si j'ai été "Baptisé dans l'Eau et l'Esprit Saint", ou dans l'eau purificatrice seulement...Auquel cas,je pense à préparer ma Chrismation (Confirmation) pour répondre au désir du Premier Né, du Christ mon Seigneur, afin d'être "baptisé dans l'Eau et l'Esprit-Saint"... Je prie spécialementtout au long de cette journée pour toutesles personnes qui n’ont pas encore reçu le baptêmeouqui se préparentà le recevoir.
"Être pauvre financièrement, c'est bien plus facile que d'être pauvre intérieurement, de ne pas avoir d'attachements. C'est quelque chose de très difficile à apprendre et qui arrive progressivement, année après année. Vous apprenez à vraiment apprécier les choses, à regarder les gens et à voir la beauté radieuse qu'ils possèdent - sans le désir de les posséder. Cueillir une fleur, c'est en prendre possession, et ça veut aussi dire la tuer. Chercher à préserver plutôt que de détruire tout ce qui est beau, c'est sûrement un aspect primordial de l'Évangile. Il en offre un témoin vivant dans les Béatitudes, en commençant par la première : " Bienheureux les pauvres en esprit." (Métropolite Antoine (Bloom) de Sourozh)
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"Like a farmer who sees his fruits well ripened and prudently hastens to gather them that they might not be the least bit spoiled, so dost Thou also, O Saviour, gather Thy chosen ones who have labored righteously.
"Yet we, who are slothful and weak-willed, remain hardened, and our fruits never ripen; for we have not the resolve to labor without sparing ourselves, in order to ripen in good works and rightly be gathered into the storehouse of life."
(St. Ephraim the Syrian,"A Spiritual Psalter")
SAINT(S) DU JOUR:
Saint Gontran
(Roi des Francs en Bourgogne ( +592) Le premier Saint Roi de la Maison de France)
Gontran était le petit fils de Clovis et de Clotilde, à 36 ans à la mort de son père Clotaire Ier, il reçut les royaumes de Bourgogne et d’Orléans, s’installa à Chalon-sur-Saône et gouverna avec une certaine sagesse, réussissant à repousser les invasions lombardes.
La période était troublée et la famille se déchirait, c’est l’époque des crimes de Frédégonde et Brunehaut. Il s’efforça de calmer ses frères, et après leur mort il se déclara protecteur de ses neveux dont il se trouvait l’arbitre mais dont il se contenta de maintenir les ambitions en équilibre.
Malgré trois mariages il n’eut comme enfant survivant qu’une fille, qui devint religieuse ; aussi il choisit comme héritier Chidebert II, à qui il s’adresse sur la miniature du XVème s. ci-contre.
Il fut le premier roi franc que l'Église admit au nombre des saints, ce qui ne signifie pas qu'il fut un modèle. Il répudia sa première femme, eut des concubines, se montra brutal au point de tuer son médecin… tous les vices de son siècle ! Mais il se montra généreux envers les pauvres, dota les églises et les monastères, réunit des conciles et termina sa vie à l’abbaye de Saint Marcel de Chalon, qu’il avait fondée.Peu après sa mort, "le bon roi Gontran" fut proclamé saint par le peuple.
Il répara les fautes de sa jeunesse par une exemplaire charité.
Auriez-vous préféré qu'il eût bien commencé et qu'il eût mal fini? La voie qu'il a suivie est celle du pécheur ayant, puis, embrassé la sainte pénitence au milieu de sa vie. Si bien il réussit qu'on loua sa bonté, et ce saint, le vingt-huit, vers le ciel est monté.
Tropaire, ton 6
Le roi de Bourgogne Gontran * a mérité le titre de bon roi: * par sa bienveillance envers tous, * il a racheté les erreurs de sa jeunesse dissolue; * par son repentir et ses oeuvres de charité * il a fait oublier ses crimes passés; * en réconciliant ses frères et en oubliant les offenses de ses ennemis, *il s'est conduit en véritable disciple du Christ; * il a soutenu par ses généreuses fondations * l'Eglise qui chante en lui désormais * l'illuminateur des Alpes, le champion de la piété * et le défenseur des orthodoxes enseignements. http://orthodoxievco.net/ecr…/vies/synaxair/mars/gontran.pdf
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Sainte Gündelinde
(+750) * Abbesse en Alsace * Nièce de Sainte Odile
A la terre Hilarion rend le terrestre corps afin de posséder, bienheureux héritage, la terre que les doux reçoivent en partage. Des élus, le vingt-huit, il a connu le sort. Par ses saintes prières, ô notre Dieu, aie pitié de nous et sauve-nous. Amen.
Tropaire, t. 8
En toi, vénérable Père, la divine Image se reflète exactement: / afin de lui ressembler, tu as pris ta croix et tu as suivi le Christ; / et par ta vie tu nous apprends à mépriser la chair, qui passe et disparaît, / pour s'occuper plutôt de l'âme qui vit jusqu'en la mort et par-delà; / c'est ainsi que ton esprit se réjouit, / saint Hilarion, avec les Anges dans le ciel.
Cathisme, t. 4
Au Seigneur tu as consacré ta vie, Bienheureux, / et tu fus vraiment un excellent prêtre du Christ; / après d'innombrables et pénibles efforts, / joyeusement tu es passé vers les demeures du ciel / et maintenant tu fais jaillir sur nous des flots de guérisons.
Ayant pris sur lui le joug du Christ dès son enfance, saint Hilarion se purifia de toutes les passions par l'ascèse et la prière continuelle. Il était si compatissant envers les pauvres, qu'il lui arrivait souvent de leur donner son seul vêtement et de continuer, nu, sa route. Humble, affable et d'humeur toujours enjouée, il fut placé à la tête du monastère du Pélécète, au Mont Olympe de Bithynie, au temps de la pérsécution iconoclaste. Son expérience de la contemplation de l'image du Christ, lui permit de confesser avec audace le bien-fondé de la vénération des saintes icônes et de supporter maintes persécutions de la part des tyrans (vers 754). En récompense de ces combats pour la vertu et la vérité, Dieu lui accorda la gloire éternelle et fit jaillir de son tombeau quantité de miracles.
(Le Synaxaire, vie des Saints de l'Eglise Orthodoxe par le hiéromoine Macaire de Simonos Pétra)
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He took up the monastic life when very young, and lived as a recluse for many years, and gained the grace to heal sicknesses and drive out demons by his prayers.
Later he became abbot of the Monastery of Pelekete in Bithynia. During the reign of the Emperor Leo the Isaurian, he and his monastery steadfastly upheld the holy icons, and were fiercely persecuted.
Hilarion and his forty monks were exiled to a prison near Ephesus, where the Saint reposed.
Troparion — Tone 5
Adorned with gladness of soul / As a pure vessel of the wisdom of Christ, / You were a reflection of the life in God. / Therefore you are resplendent with the light of virtues, / O Father Hilarion, / And you guide us unerringly to the salvation of our souls!
Kontakion — Tone 4
Righteous Hilarion, like a fruitful olive tree that has blossomed, / with your oil you mystically make radiant those who sing to you: / “Rejoice, unwavering rule of the righteous.”
« A la Sainte Vierge de s'en occuper »
Charles Péguy (1873-1914), écrivain mystique français, fut tout d’abord athée et proche du socialisme avant de se convertir au Christianisme. Il priera alors toute sa vie pour la conversion de son épouse. Il mourra au combat pendant la guerre de 14-18. Son épouse acceptera le baptême un an plus tard.
Enjuin 1912, son fils, Pierre, tombe gravement malade. Péguy fait un vœu et va en pèlerinage à Chartres.
« Mon vieux, écrit-il à son ami Lotte, j'ai senti que c'était grave... J'ai fait un pèlerinage à Chartres... J'ai fait 144 km en trois jours... On voit le clocher de Chartres à 17 km sur la plaine... Dès que je l'ai vu, ça a été une extase. Je ne sentais plus rien, ni la fatigue, ni mes pieds. Toutes mes impuretés sont tombées d'un seul coup, j'étais un autre homme. J'ai prié une heure dans la cathédrale lesamedisoir; j'ai prié une heure ledimanchematin avant la grand-messe... J'ai prié comme je n'avais jamais prié, j'ai pu prier pour mes ennemis... Mon gosse est sauvé, je les ai donnés tous trois à Notre Dame. Moi, je ne peux pas m'occuper de tout... Mes petits ne sont pas baptisés. A la Sainte Vierge de s'en occuper. »
maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn
Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.
PRIERE POUR LES VOCATIONS:
Père, faites se lever parmi les chrétiens de nombreuses et saintes vocations au sacerdoce, qui maintiennent la foi vivante et gardent une mémoire pleine de gratitude de Votre Fils Jésus, par la prédication de sa parole et l'administration des sacrements, par lesquels Vous renouvelez continuellement vos fidèles dans la Grâce du Saint Esprit.
Donnez-nous de saints ministres de Votre autel, qui soient des célébrants attentifs et fervents de l'eucharistie, sacrement du don suprême du Christ pour la rédemption du monde, sacrement de la pérennité de Sa présence comme "l'Emmanuel", Dieu présent au milieu et pour le salut de Son Peuple.
Appelez des ministres de Votre miséricorde, qui dispensent la joie de Votre pardon par le sacrement de la réconciliation.
Père, puisse notre Église Syro-Orthodoxe francophone accueillir avec joie les nombreuses inspirations de l'Esprit de Votre Fils et, qu'en étant docile à ses enseignements, elle prenne soin des vocations au ministère sacerdotal et à la vie consacrée.
Soutenez les évêques, les prêtres, les diacres, les personnes consacrées et tous les baptisés dans le Christ,à l'intérieur et à l'exterieur de notre Tradition Syro- Orthodoxe afin qu'ils accomplissent fidèlement leur mission au service de l'Évangile.
Nous Vous le demandons par le Christ notre Seigneur, Votre Fils bien-aimé qui vit et règne avec Vous et le Saint Esprit pour les siècles sans fin.
Amîn.
Ô Marie, Mère de Miséricorde et Reine des apôtres, priez pour nous !
Le 22 avril 2013, Mgr Yohanna (Jean) Ibrahim, archevêque syriaque orthodoxe d’Alep, et Mgr Boulos (Paul) Yazigi, archevêque grec orthodoxe de la même ville, étaient enlevés à l’ouest d’Alep en Syrie. Les deux évêques s’étaient rendus en voiture,fraternellement, avec un chauffeur, dans cette région pour tenter de négocier la libération de deux prêtres enlevés en février précédent : le Père Michel Kayyal (catholique arménien) le le Père Maher Mahfouz (grec-orthodoxe). C’est l’un des enlèvements les plus étranges en période de guerre puisqu’il n’y a eu aucune revendication. Même les médias ne s’intéressent pas beaucoup à cette affaire, jugée peu sulfureuse et surtout incompréhensible. Pour cette raison, le site Internet grec Pemptousia met en ligne une pétition (en anglais) pour la libération de deux hiérarques. Pour la signer,pétition relayée en France par Orthodoxie.com et nous-même cliquez ICI !
Merci.
N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et
fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"
ou terroristesen tous genres !
Prions sans relâche pour que le
Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...
Let us not forget the bishops, priests and faithful
Christians held by "Islamists" or terrorists of all
kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.
Pray for their release ...
MOIS DE SAINT JOSEPH:
Vingt-septième Jour
Prions que le bon Dieu nous pardonne tous nos soupçons à l’égard du prochain.
Saint Joseph agissait avec simplicité
Il voyait les choses telles qu’elles se présentaient, ne cherchant jamais s’il n’y avait pas quelque intention méchante qu’on eût voulu lui cacher. A Bethléem, par exemple, on lui disait : « Nous n’avons pas de place » et, si la pensée lui venait qu’on le repoussait parce qu’il était pauvre, il la chassait et il répétait simplement : « Ils n’ont pas de place ! » - A Nazareth, que de choses faites par Jésus et Marie, et dont le motif lui échappait ! Il les acceptait simplement, et il se disait : Jésus et Marie ne peuvent ni faire ni vouloir le mal. – Que de calme, que de bonheur apporterait dans une âme cette manière de penser !
Je vous le demande, ô S. Joseph, faites-moi la grâce de ne juger jamais ceux que je ne dois pas juger, et de ne jamais chercher des intentions mauvaises chez les autres.
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Vingt-huitième Jour
Prions, afin d’obtenir la grâce de ne pas agir avec trop de précipitation.
Saint Joseph était prudent
La prudence ne détruit pas la simplicité ni la droiture ; elle est un rempart pour l’une et pour l’autre. – S. Joseph ne se liait pas d’amitié avec tout le monde, il attendait, il observait avant d’ouvrir son âme. – S. Joseph comptait sur la Providence, mais il savait que la Providence n’intervient que lorsqu’on a fait, soi-même, tout ce qu’on pouvait, et il agissait comme si tout dépendait de lui. – S. Joseph se savait protégé par Jésus et Marie, mais il évitait toute occasion de mal, parce qu’il savait que le bon Dieu ne fait pas des miracles pour ceux qui s’exposent volontairement. Trois choses dans lesquelles j’ai besoin de vous imiter, ô S. Joseph : le choix de mes amis, la continuité dans mon travail, la fuite des occasions.
Je veillerai sur moi, je vous invoquerai pour que vous me veniez en aide.
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LE PÉCHÉ : PARLONS-EN
L’hérésie –
L’idée de péché est souvent rapportée au domaine moral. Mais il est bon de rappeler que le péché est l’éloignement ou la séparation de Dieu avant d’être l’infraction à une règle ; du reste le péché n’existe que par rapport à Dieu : « devant toi seul j’ai péché », dit le prophète David. Ainsi la réalité du péché est d’abord théologique, comme le montre le livre de la Génèse : le Malin détourna l’homme de l’adoration du vrai dieu, l’attira vers lui-même, lui faisant honorer une créature à la place du Créateur, comme l’explique saint Maxime le Confesseur. Les conséquences de cette hérésie originelle – l’idolâtrie, perversion de la connaissance – sont immenses : la discorde, la souffrance et la mort.
Les fruits
Saint Paul développe cet enseignement dans l’épître aux Romains (1, 18-31) : les hommes qui, « connaissant pourtant Dieu », ne le glorifient pas comme tel et, au contraire, « se fourvoient dans leurs vains raisonnements », sont livrés « aux convoitises de leur cœur », parce qu’ils « ont échangé la vérité de Dieu contre le mensonge, adoré et servi la créature au lieu du Créateur qui est béni éternellement : Amen ! » Suit une longue liste de péchés découlant de cette ignorance ou méconnaissance de Dieu : séparation de l’homme et de la femme, errance de l’intelligence, injustice, cupidité, méchanceté, envie, meurtre, médisance, hostilité à Dieu, orgueil, créativité dans le mal, inintelligence, sécheresse de cœur…
Se tromper
On peut être trompé au sujet de Dieu ; on peut se tromper de dieu. Certains entretiennent une vision fausse de Dieu, celle, par exemple d’un dieu mutilant, vengeur, culpabilisant et surtout arbitraire ; ils confessent éventuellement des doctrines incompatibles avec la foi biblique, ou se trompent sur l’identité de Jésus Christ, le réduisant au statut de simple homme… Les conséquences dans le comportement sont là : si Dieu est vengeur, pourquoi pardonner ? Si la réincarnation est vraie, je suis en train de payer par mon karma les fautes d’une vie antérieure, la Résurrection et le déliement de la mort du péché n’existent pas. Si Jésus n’est qu’un homme, même supérieur, en quoi peut-Il me sauver, et en quoi ses commandements peuvent-ils être vivifiants pour moi et pour ma famille ? Si la Trinité n’est pas vraie, comment parler d’amour ?
L’insensibilité mortelle
Certains, dans des situations où ils souffrent et font souffrir les autres – c’est généralement ce que fait le péché – ne réagissent plus quand on les sollicite avec une parole de l’Évangile : celui-ci ne leur parle pas dans leur vie parce que Celui qui parle ici n’est pour eux qu’un homme et n’a pas l’autorité d’un dieu. La question « qui est Jésus Christ ? » est la première à poser par rapport au péché. Certaines personnes n’ont pas le sentiment d’avoir un problème particulier avec Dieu, qu’elles ne connaissent pas ou très mal, ou qui n’a pas de réalité pour eux, qui n’est pas vrai. Il est souvent difficile également de faire appel à la foi de la communauté parce que, lorsqu’on erre dans le domaine de la foi, on est généralement prisonnier de sa propre individualité et de ses propres opinions sur la Divinité, et ainsi assez imperméable à la foi des autres. La lèpre décrite par le saint Évangile est une extrême insensibilité à la Vérité.
Mise à niveau
Le Carême, préparation des catéchumènes à confesser la vraie foi, est, pour les baptisés, le temps de la réévaluation de la foi et de la doctrine qu’ils professent. Vérifions que nous sommes cohérents : nous disons liturgiquement le Symbole de la foi et, peut-être, « in petto », dans notre cœur, nous confessons tout autre chose, ou bien nous sommes rongés par le doute. Une telle schizophrénie théologique est pathogène, sachons-le. Les maladies de notre âme et de notre corps, les pathologies du comportement, sont engendrées par l’ignorance ou la méconnaissance de Dieu ; par la dispersion et diverses formes d’idolâtrie ; par toutes sortes de contresens et de contrefaçons. Les personnes contrefaites, dans l’Évangile, signifient la déformation de l’âme par la méconnaissance de Dieu.
Santé et vérité
C’est pourquoi, en ce temps, l’acquisition du repentir (« donne-moi de voir mes fautes ! »), la vérification personnelle dans les échanges que nous avons avec nos prêtres, la catéchèse communautaire, le sacrement de l’onction, l’écoute de la Parole et de toutes les paroles que dit le Verbe dans les offices liturgiques, sont de toute urgence. La paralysie du Paralytique entrave le mouvement naturel de ressemblance à Dieu. La restauration de la vision juste de Dieu, par une vraie rencontre avec lui, rend au corps intérieur sa souplesse et sa mobilité naturelles.
L’ÉGOTISME est le mensonge en action : il suppose que les fantaisies, les passions et les désirs instinctifs de l'égotiste ont un droit de priorité sur la loi morale, sur la fraternité des autres êtres humains et sur la volonté même de Dieu.
L'égotiste est comme un balancier qui affirmerait ses droits contre ceux de la pendule, ou comme un nuage en rébellion contre le ciel, ou comme un bras qui s'acharnerait à ignorer le corps dont il fait partie.
Comme il ne fait que ce que lui inspirent ses propres aspirations égoïstes, l'égotiste finit par détester tout ce qu'il fait. Il est comme l'enfant qui se lamente, dans une école progressiste :
« Suis-je vraiment obligé de faire tout ce dont j'ai envie ? »
On en arrive ainsi, parfois, à se haïr soi-même. Le petit garçon qui a dévoré toute la crème glacée préparée pour l'ensemble de la famille en vient à haïr jusqu'à la seule vue de cette sorte de crème glacée; mêlé à cette haine de l'aliment, proprement animale et « conditionnée », il y a le dégoût moral que le petit garçon éprouve pour lui-même, parce qu'il a commis le péché de gourmandise.
Cette haine de soi, c'est le châtiment moral qui nous est infligé pour notre gloutonnerie, exactement comme l'aversion pour la crème glacée est l'effet physique, animal, de la même infraction.
Les hommes qui éprouvent jusqu'à la nausée ce dégoût de soi, se frappent instinctivement la poitrine, comme pour chasser le mal de la citadelle intérieure de leur âme.
Les athées sont plus enclins que les croyants à ce sentiment ; comme ils n'admettent pas la miséricorde et l'amour de Dieu qui nous en guérira, ils poussent parfois le dégoût que leur inspire leur personne jusqu'au stade final du suicide.
L'auto destruction est une projection, un reflet extérieur de la tragédie intérieure au cours de laquelle le petit moi a défié tout ce qui était plus grand que lui et en est arrivé, épuisé par les effets de cette rébellion, à une haine anormale de la vie.
Saint Pierre et Judas se sont l'un et l'autre insurgés contre la vie lorsqu'ils ont renié Nôtre-Seigneur ; l'un et l'autre avaient été mis en garde contre une pareille révolte ; l'un et l'autre ont été appelés des « démons » en raison de leur crime ; et l'un et l'autre se sont repentis.
Mais Judas s'est « repenti en lui-même », il a dressé son propre moi contre sa propre personne dans les vaines souffrances du désespoir.
Saint Pierre, lui, s'est repenti dans le sein du Seigneur, il s'est délivré du mal par son humilité et il a retrouvé la joie.
C'est seulement en subordonnant le moi à quelque chose qui est plus élevé que le moi que l'on peut se guérir du désespoir ; car cette humilité débarrasse l'âme à la fois de l'orgueil et du jugement personnel,elle fait place nette pour l'afflux de la Vérité et de l'Amour divins.
« Quiconque s'abaisse sera élevé ; et quiconque s'élève sera abaissé »...
Mais la haine de soi est l'exaltation du moi dont on fait un juge amer et sans appel. Tant que l'écriteau « A louer » reste accroché à une âme pleine de préoccupations égoïstes, le Divin Locataire ne peut pas emménager.
On trouve un moyen d'éprouver l'authenticité de l'humilité dans notre attitude à l'égard des flatteurs. Quiconque aime la publicité est un orgueilleux qui cherche à se justifier devant les hommes ; l'homme humble, lui, rapporte toutes les louanges à Dieu.
S'il a des dons, il sait que c'est Dieu qui les lui a octroyés et qu'ils doivent être utilisés à servir leur véritable Maître.
Il est comme une fenêtre qui se satisfait de laisser les rayons de soleil du Bon Dieu la traverser, sans que l'envie la prenne de prétendre que la lumière est sa propre création.
Un homme humble accepte tout à la fois les louanges et les blâmes comme des dons de Dieu : l'amertume et la douceur sont envoyées l'une et l'autre par Celui qui est amour. Comme le disait Job :
«Le Seigneur m'a tout donné, le Seigneur m'a tout repris. Loué soit le Seigneur ! »
L'égotiste, en revanche, n'arrive pas à s'oublier, même s'il a conscience de sa propre petitesse et qu'il en souffre : il croit possible de dissimuler cette infériorité en se vantant sans arrêt lui-même.
L'homme humble s'est abandonné à Dieu ; il est préservé du désespoir, car il sait qu'il est aimé par l'Amour lui-même.
L'égotiste se plaint constamment de ce que les autres ne l'aiment pas assez ; il n'arrive pas à comprendre qu'il en est ainsi, parce qu'il a fait de sa personne le centre de l'univers. Ses malheurs — comme presque toutes les autres formes de l'infortune — viennent d'un refus entêté de renoncer à sa propre obstination.
Nos meilleurs moments sont ceux où nous nous oublions pour être aimable avec autrui. Ces menus instants d'abdication sont des actes d'humilité authentique :
l'homme qui s'abandonne se trouve, et il trouve son bonheur.
La haine de soi et le désespoir sont des maladies auxquelles seuls les égotistes sont prédisposés.
Le remède à ces maux est toujours le même : l'humilité.
Et cela signifie qu'il faut aimer Dieu plus que nous-mêmes.
(Extrait de : LE CHEMIN DU BONHEUR (Mgr fultonJ. sheen))
PORTER SA CROIX A LA SUITE DU CHRIST
(Par le Métropolite Philarète (Voznesensky) )
Au cours de la Divine Liturgie d'aujourd'hui nous avons tous entendu ce que notre Seigneur Jésus-Christ a dit, chaque chrétien doit porter sa croix: "Quiconque veut être mon disciple doit se renier et prendre sa croix et me suivre". Lui-même porta une croix, toute sa vie, et pas seulement au Golgotha où Il porta Sa lourde croix de bois, sur laquelle Il allait bientôt être crucifié. Il porta une croix, toute sa vie! Il portait une croix en étant le Fils de Dieu. Le Dieu infini, uni à la nature humaine et, comme Dieu-homme, Il vécut parmi les gens, Il partagea avec eux leur vie. Cela ne suffisait pas: Il a apporté à la terre une somme d'amour et de miséricorde. Il a pardonné à tout le monde, n'a jugé personne, a effectué d'innombrables actes miraculeux de miséricorde, d'amour, de pardon et de guérison. Et plus Il déversait cette Lumière d'amour parmi le peuple, plus Ses ennemis aigris se pressaient autour de lui, le haïssant d'une haine satanique, jusqu'à ce que finalement ils Le clouent sur la Croix.
Comme vous l'avez entendu, il a été affirmé qu'un chrétien ne peut le suivre s'il ne prend sa croix et ne Le suit. Comme saint Théophane le Reclus l'a enseigné, cette très sainte croix est triple. Une partie de cette croix est l'ensemble des difficultés que l'homme doit porter, désireux de vivre une pieuse vie chrétienne et voyant qu'il ne réussit pas, parce que ses mauvaises habitudes et ses péchés habituels le contrôlent et le soumettent à eux-mêmes.
Il en est souvent ainsi: l'âme d'un homme, est ardente, dans l'espoir d'une bonne vie chrétienne, mais ses péchés habituels, toutes ces habitudes qu'il a nourries, le tirent inexorablement vers elles. Et où qu'il aille, cela le suit partout. Pour cette raison, saint Théophane lui-même compare la condition d'un individu pécheur à celle d'une personne sur les épaules de laquelle, dans le dos, a été attaché un cadavre en décomposition, puant, et pourrissant. Il est lié, et partout où cette personne peut courir, tout cela reste avec elle. Il en est ainsi de notre nature pécheresse. "On ne peut échapper à soi" comme l'a dit un jour un russe.
La deuxième croix est constituée par les efforts de toutes les luttes et difficultés de notre vie terrestre. C'est ce qui est si souvent appelé notre CROIX - à savoir ces afflictions, les infirmités, les deuils, etc. Mais ici, je dois souligner que si, en fin de compte, l'homme fait face à toutes ces épreuves humblement et docilement, en les acceptant comme envoyées par la Providence de Dieu pour son propre bien, il accepte tout différemment.
Tant qu'il grogne, résiste et enrage, son âme ne sera jamais en repos. Mais quand il s'arrête de grommeler, recevant humblement et docilement ces épreuves de la main droite de Dieu, il verra que, bien que tout autour de lui soit apparemment pareil, il est lui-même différent: il accepte toutes ces afflictions et difficultés avec calme, avec la conviction chrétienne, que c'est ainsi que cela doit être! Notre Seigneur et Père Céleste ne vous donnera pas une pierre au lieu de pain, et quand Il vous donne des afflictions, cela signifie que vous devez les supporter d'une manière chrétienne.
La troisième partie, la troisième croix, est, selon saint Théophane (et il est célèbre pour ses œuvres spirituelles) la croix de ces tentations qui attaquent un homme quand il a surmonté l'attrait des péchés de tous les jours, comme il en a été de même avec les grands athlètes spirituels.
Ils ont été bien au-delà de la séduction des péchés classiques. Puis viennent la force et l'abîme de la tentation la plus dangereuse - la tentation de l'orgueil. Et puis parfois, ils faiblissent dans leur lutte contre ces tentations de la pensée orgueilleuse. Cette croix est à juste titre, connue seulement de ceux qui ont à la porter, comme ce même saint Théophane l'a noté. Mais d'une façon ou d'une autre, notre devoir est de porter notre croix, car le Seigneur ne connaît pas d'autres disciples [que ceux qui portent leur croix]. Amen.
En août 2007, j'ai écrit un article sur l'athéisme chrétien. A l'époque je cherchais à décrire le phénomène étrange du christianisme moderne - celui dans lequel la vie comme nous la vivons et la vie comme nous disons que nous croyons qu'elle est, sont deux choses distinctes. Ce n'est pas un problème d'hypocrisie, mais de navigation du christianisme vers des lieux éloignés dans lesquels toute activité spirituelle significative est accomplie en un lieu autre que celui où nous vivons.
Ainsi, le salut est quelque chose d'accompli dans l'histoire (sur la Croix) ou dans l'esprit de Dieu (une expiation juridique ou de médecine légale!) ou n'importe où ailleurs qu'ici et maintenant. Les sacrements deviennent des monuments commémoratifs, un témoignage à la Divine absence plutôt qu'à la Divine Présence. L'initiation dans l'Église est accomplie par une ordonnance qui est simplement vue comme un signe, un acte public d'obéissance dans lequel rien ne se passe (à l'exception peut-être de l'emplacement qui est hors du monde).
Le résultat de cette bifurcation de la foi est un monde vide dans lequel nous pouvons parler de "la mort de la religion." Les chrétiens modernes ont une relation à la foi à peu près comme ils ont une relation avec un point de vue politique. En effet, dans de nombreuses églises modernes, la substance de la foi est elle-même l'objet d'un débat politique. Ce que Dieu veut que nous fassions en tant que créatures sexuées, par exemple, est une question de perception culturelle et de persuasion, pas de révélation. De telles approches du christianisme garantissent seulement que le christianisme moderne en Amérique sera simplement cela: c'est-à-dire américain. Les églises deviennent la constitution transposée dans la prière (avec tous les différents points de vue de la constitution représentés par les dénominations diverses ou leurs différentes tendances). Nous devenons une nation de l'église rouge, bleue, et aucune d'elles n'a de relation avec l'Eglise, plénitude de Celui qui remplit tout en tous.
Cela transforme également l'Eglise en un instrument politique, ou la politique en un instrument ecclésial. Ainsi, la victoire d'un parti ou la défaite d'un autre est considérée comme une victoire de signification religieuse. En période de campagne électorale, les deux principaux partis se souciaient de "foi" et en général ils se sont retrouvés considérés en retour par les croyants.
Mais la vérité est que le christianisme avec un Christ mis de côté, n'est pas du tout le christianisme. Le christianisme qui peut être affecté par un changement des vents de la politique n'est pas du tout le christianisme. La nef de l'Eglise a été lancée contre la marée du paganisme romain et contre le vent de la domination grandissante de l'État dans toute la vie. Le sang de plusieurs milliers d'êtres a été versé avant que le vent ne change et ne permette une certaine liberté à l'Église - et pourtant l'Église à contre-courant et contre le vent était plus forte lorsque les vents et les marées changeaient que quand elle avait commencé son voyage. Car l'Eglise vogue sur la marée et le vent qui souffle dans ce monde, sans se soucier des conditions météorologiques politique des royaumes voués à l'échec.
La capacité de se repentir et de marcher en union avec la Lumière Divine de Dieu est aussi valable dans le goulag que dans la classe moyenne américaine qui bénéficie d'une liberté quasi illimitée. Car "là où l'Esprit du Seigneur, là est la liberté" (2 Cor. 3,17).
La mort de la religion, de la religion chrétienne véritable, se produit lorsque le Dieu qui s'est fait chair et a habité parmi nous, est considéré comme le Dieu qui s'est retiré (ayant accompli son œuvre ici-bas) et se trouve seulement dans l'aire éloignée de la pensée théologique. Il n'est pas étonnant que, dans la stérilité de l'athéisme chrétien le vide d'une vie spirituelle authentique doive être rempli par la vacuité de la vie politique.
Le parti Républicain est mort. Le parti Démocrate est mort. Aucun d'eux ne peut vous donner la vie. Ils appartiennent à un monde qui se meurt. Ce qui reste est ce qui a été établi par Dieu et fait toujours voiles dans les vents et la marée qui obéissent à Sa voix.
Il est un Royaume de Dieu, il se trouve dans une communion avec le Père, par le Fils dans l'Esprit Saint. Il n'est pas éloigné de nous, mais il est venu parmi nous. Il se manifeste dans les vies humaines et brûle d'un feu spirituel dans les sacrements de l'Église. Il guérit les malades, ressuscite les morts, chasse les démons et donne gratuitement ce qu'il a reçu gratuitement. Il ne connaît pas de pays autre que la plénitude de Dieu qui fait de la femme stérile la mère réjouie d'enfants, qui apporte l'eau dans le désert et change l'eau en vin.
La religion n'est pas morte, seule la fausse caricature de religion engendrée dans l'illusion du monde moderne est morte.
"Que Dieu se lève, que ses ennemis soient dispersés. Que ceux qui le haïssent fuient devant Sa face. "Et tous ces ennemis vivent en moi et en nous tous et Dieu doit naître en nous et chasser l'ennemi qui est en nous. Que Son règne vienne, que Sa volonté soit faite. Laissez la nef de l'Eglise voguer droit et dans la fidélité et savoir que le vent souffle où il veut.
Gloire à Dieu en toutes choses!
Version française Claude Lopez-Ginistyd'aprèsle BlogGlory to God for All Things
La Marche pour la Vie fait un triomphe au Professeur Mercier
Pour sa 8ème édition, la Marche pour la Vie belge avait un invité d’honneur : le Professeur Stéphane Mercier, chargé de cours à l’UCL, qui a été suspendu par son université pour avoir rappelé que l’avortement est un meurtre. Devant une foule d’environ 3000 personnes – une participation en nette hausse par rapport aux années précédentes – M. Mercier a affirmé que s’il était présent c’était en croyant et en philosophe, pour défendre les plus fragiles de la société. Le courageux professeur a cité saint Thomas More, préférant perdre ses honneurs plutôt que renier sa foi : “je défends la liberté de la conscience, je défends les droits de la vérité et au soir de notre vie c’est cette vérité qui nous jugera pour savoir si nous avons agit par amour pour elle, la Vérité éternelle de Dieu, et par amour aussi pour notre prochain”. Un discours sans complexe qui a rencontré les vivats de l’assistance !
Pour signer la pétition de soutien au Professeur Mercier,c’est ici.
(Source:www.ultramontain.be/)
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Pétition aux autorités de l'Université Catholique de Louvain
Désavouer le Pr Mercier c’est renoncer à témoigner la foi chrétienne dans le monde !
Signer la pétition
NN.SS. Joseph de Kesel (Grand Chancelier), Jean-Pierre Delville, Rémy Vancottem et Guy Harpignies, détenteurs du Pouvoir Organisateur,
M. Jean Hilgers (Président du Conseil d’administration) et Pr Vincent Blondel (Recteur),
Les soussignés souhaitent vous exprimer respectueusement leur étonnement et leur perplexité suite à la déclaration officielle de l’UCL se désolidarisant d’un texte de cours du Pr Stéphane Mercier qui ne fait qu’exprimer laposition officielle de l’Église catholiqueen ce qui concerne l’avortement, qualifié de « crime abominable » par le Concile Vatican II.
Pour réparer cette faute grave, nous vous demandons de faire publier un communiqué officiel déclarant qu’en tant qu’université catholique, l’UCL rejoint entièrement et unanimement les positions de son chargé de cours.
Il en va de son intégrité propre et de la défense de son titre et de l’Institution qu’elle représente à travers celui-ci : l’Église catholique.
Pour honorer son titre de catholique, l’UCL se doit de respecter, en effet, les critères fixés par le Pape Jean-Paul II dans saConstitution apostolique sur les UniversitésEx Corde Ecclesiae, elle-même basée sur la Déclaration sur l’éducation chrétienneGravissimum Educationisdu Pape Paul VI :
Pour remplir sa vocation derecherche de la vérité, une université catholique doit faire en sorte que les disciplines enseignées et les recherches conduites gardent le lien essentiel avec laVérité suprême qui est Dieuet assurer qu’elles soient utilisées pourle bien authentique des individus et de la société humaine ;
Pour représenter effectivementuneprésence publique, durable et universelle, de la pensée chrétienne dans le monde de la culture et que ses étudiants puissent devenir de vraistémoins de la foi dans le monde,une université catholique doit rester fidèle aumessage chrétien tel qu’il est présenté par l’Église ;
Pour contribuer réellement à l’agrandissement du trésor croissant de la connaissance humaine, les professeurs d’une université catholique doivent s’efforcer de « situer le contenu, les objectifs, les méthodes et les résultats de la recherche de chaque discipline dans le contexte d’une vision cohérente du monde» et « être des témoins et des éducateursd’une vie chrétienne authentique, qui manifeste l’intégration réalisée entre foi et culture, entre compétence professionnelle et sagesse chrétienne ».
C’est précisément cette vocation d’une université catholique que le Pr Stéphane Mercier s’est efforcé de respecter dans ses cours et c’est par cette fidélité qu’il est aujourd’hui jeté dans la tourmente, avec la connivence trouillarde de son propre employeur, l’Université Catholique de Louvain.
En désavouant le Pr Mercier, l’UCL se désavouerait elle-même et mériterait le dur avertissement de Notre-Seigneur aux Apôtres : « Vous êtes le sel de la terre; mais si le sel s'affadit, avec quoi le salera-t-on ? Il n'est plus bon à rien qu'à être jeté dehors pour être foulé aux pieds par les hommes. » (Mt, 5, 13).
Info VA. Lundi dernier, en pleine affaire Fillon, Nicolas Sarkozy a prononcé un discours à huis-clos au Palais de Justice devant 300 ténors du barreau de Paris, dont Valeurs actuelles a pu se procurer le contenu.
L'ancien président critique vertement l’influence exercée sur la justice par le “pouvoir médiatique”.
Nicolas Sarkozy n’était pas là en tant qu’ancien président, mais, “simplement, comme avocat”. Le lundi 20 mars dernier, l’ancien chef de l’Etat remettait la légion d’honneur à l’avocat Jean- Yves Le Borgne. L’intervention a lieu, à huis-clos, devant 300 ténors du barreau. “Trente-cinq minutes au milieu d’un silence religieux puis un tonnerre d’applaudissements” raconte un témoin à Valeurs actuelles, qui a pu se procurer le discours prononcé devant les hommes de loi.
“Eric Woerth avait été condamné par le tribunal médiatique”
La remise de décoration est symbolique, et prend encore plus de poids dans l’actualité de la droite, celle de Nicolas Sarkozy et de François Fillon en particulier. Car Jean-Yves Le Borgne était, dans l’affaire Bettencourt, l’avocat d’Eric Woerth, alors ministre du gouvernement Fillon et accusé de conflit d’intérêts.
Nicolas Sarkozy raconte : “Voilà une affaire qui aura fait couler beaucoup de mauvaise encre. Eric Woerth était coupable. La chose était entendue. Elle avait été tranchée par certains observateurs. Eric Woerth était coupable. La chose était jugée avant même d’être instruite. Il était mon ministre. Il était mon ami. C’était là certainement des circonstances aggravantes.
Eric Woerth avait été condamné par le tribunal médiatique et vous, cher Jean-Yves, vous l’avez fait relaxer par un tribunal judiciaire”. Il s’agit là du tribunal correctionnel de Bordeaux, et l’orateur avait lui-même bénéficié d’un non-lieu dans cette affaire.
Nicolas Sarkozy se lance alors dans une critique sévère du système judiciaire français :
“Qui arrêtera l’ingérence du pouvoir médiatique dans le fonctionnement de l’autorité judiciaire ? Qui arrêtera l’instrumentalisation des procédures par le pouvoir médiatique ? Qui aura suffisamment de courage pour écrire le J’accuse qui manque à notre siècle ?”
Il continue : “Qui aura le courage de dénoncer la peine médiatique qui s’abat sur celui qui, parfois, n’a même pas été encore entendu par la justice elle-même ? Qui aura le courage de dire qu’il existe deux peines automatiques et qui ne sont pourtant inscrites dans aucun article du Code Pénal mais qui s’appliquent à tous les justiciables ayant le malheur d’avoir quelque notoriété. : L’inadéquation du temps judiciaire avec le temps médiatique et la publicité de l'instruction dont le secret n’est plus qu’une fable…”
“Comment justifier que le secret des sources du journaliste soit devenu un principe de droit ?”
La justice peut-elle tout se permettre ? Les avocats de François Fillon ont tancé sévèrement les juges en charge de l’enquête dans l’affaire Penelope, notamment pour la violation de la séparation des pouvoirs après la perquisition du bureau de l’ancien Premier ministre à l’Assemblée nationale.
Nicolas Sarkozy se lance alors dans un plaidoyer pour que les droits de la défense soient en adéquation avec ceux de l’accusation : “Aucune démocratie, aucun état de droit, ne peut tolérer qu’un pouvoir n’ait pas d’autres mesures de contrôle que lui-même et la seule conscience de ceux qui l’exercent.
A l’indépendance de la justice, à l’inamovibilité des juges et à l’inviolabilité du secret de l’instruction doit correspondre le respect de droits équivalents pour la défense. Ce n’est pas parce que la robe de l’avocat est noire quand celle du magistrat se teinte de rouge que ces deux robes n’ont pas droit au même respect, à la même déférence et aux mêmes immunités dans le sens le plus ancien et le plus noble de ce terme”.
L’ancien président s’en prend aussi au secret des sources journalistiques, qui permet aux journalistes de violer le secret de l’instruction en toute impunité sans jamais être menacés : “Comment justifier que dans notre pays le secret des sources du journaliste soit devenu, par la loi, non plus un simple précepte déontologique mais un principe de droit alors que dans le même temps le secret professionnel des avocats peut faire, à tout moment, l’objet d’une perquisition voire d’un interrogatoire dans le cadre d’une garde à vue ?” interroge Nicolas Sarkozy.
Comment prétendre, et à bon droit, obtenir d’un côté la sanctuarisation du métier de journaliste et refuser, à l’avocat, au médecin, au prêtre lui-même, le respect du secret professionnel ou de la confession.
La justice doit, bien sûr, chercher la vérité et pour cela elle dispose de moyens d’investigation nombreux et puissants mais elle ne peut ni inventer des intentions en renversant la charge de la preuve, ni arracher par la force et l’intimidation ce qu’elle doit obtenir par l’instruction, la déduction et la confrontation des points de vue”.
Publié le lundi 20 mars 2017 à 17:58 parLuca ANDREOLLI
DAESHET LE SUPPLICE DES CHRÉTIENS D’ORIENT :
« J’AI ÉTÉ VIOLÉE 30 FOIS CE MATIN »
L’auteur et reporter français Frédéric Pons livre ses vérités à propos du « premier génocide du XXIe siècle ». Une situation qui en incombe largement à l’occident, coupable selon lui d’avoir méprisé les peuples et minimisé les mouvements rebelles en Syrie notamment.
Les constats qu’il a opérés sur le terrain ne font pas décolérer le reporterFrédéric Pons. Ce spécialiste du Moyen-Orient a enquêté sur le sort des Chrétiens dans cette région du monde déchirée par la guerre. Il publie un ouvrage aux éditions Calmann-Lévy, intitulé « Le martyre des chrétiens d’Orient ; portraits et témoignages ». Une façon de dresser un tableau peu élogieux à l’égard des ingérences internationales, qui ont selon lui fermé les yeux trop longtemps sur les massacres en cours. Citant plusieurs rapports d’ONG qui alertent sur la situation, il prétend désormais, fort de ses écrits, qu’on « ne pourra pas dire qu’on ne savait pas ». Au delà des assassinats ciblés, des tueries de masse, des enlèvements, des vols, de l’exode forcée et des familles volontairement séparées, l’auteur évoque plus précisément les viols perpétrés par Daech, ainsi que la réduction à l’esclavage de nombreuses femmes. « Des centaines et probablement des milliers » de chrétiennes en auraient été victimes, affirme Frédéric Pons. Des femmes qui se retrouvent aujourd’hui stériles ou enceintes de leurs bourreaux.
Un rapport établirait l’ampleur des attaques menées depuis cinq ans. 126 églises ont été ciblées et 1 131 chrétiens ont été tués jusqu’en 2014. « C’est un génocide au regard des lois qui relèvent du traité de Rome, signale l’auteur. Les bébés sont parfois arrachés à leurs mères dès l’accouchement. On leur dit qu’ils vont être adoptés par des familles musulmanes ». Leur devenir est obscur, mais le spécialiste est persuadé qu’ils sont ensuite élevés comme des enfants soldats. Frédéric Pons poursuit sur la destinée des jeunes filles enlevées : « Les chefs de Daech choisissent les plus jolies après avoir vérifié leur virginité, pour les garder ou les revendre : 60 euros environ pour une femme de 30-40 ans, 160 euros pour un enfant de 1 à 9 ans, chrétienne ou yézidie ».
Les chrétiens représentent « 3/4 des victimes pour motifs religieux »
Les témoignages de celles qui en réchappent, ou parviennent à un téléphone pour quelques instants tout au plus, ont été collectés ci et là. L’auteur cité les informations qu’a récoltées une députée yézidie. Cette dernière a reçu des dizaines d’appels terribles en provenance de captives. Parmi les propos les plus durs : « J’ai été violées 30 fois ce matin », lâché par l’une d’elle. Témoin du désespoir de ces demoiselles, certains imploreraient même qu’on bombarde les lieux où elles se situent, afin de mettre un terme définitif à leur calvaire . Certains chrétiens d’Orient donnent d’ailleurs d’autres billes de compréhension, en révélant que les musulmans les « qualifient depuis toujours de Nassirya, de Nazaréens », un « terme insultant dans leur esprit ». Pons rappelle en outre que les chrétiens « représentent les ¾ des victimes pour motifs religieux » dans le monde et estime à 270 le nombre de chrétiens tués chaque jour dans la soixantaine de pays où leur foi est réprimée.
Une dernière question demeure : Qu’est-il fait pour leur venir en aide ? Là encore, le ton est donné par l’auteur, qui jette un discrédit sur les puissances occidentales, coupables de passivité et de mauvais choix diplomatiques. « L’échec américain et européen a démontré que les bons sentiments ne font pas une bonne politique, écrit-il. (…) Pour avoir ignoré les facteurs immatériels et spirituels, pour avoir négligé la longue évolution historique de ces terres de vieilles civilisations, pour avoir méprisé les peuples, les décideurs occidentaux portent une immense part de responsabilité dans le malheur des pays arabo-musulmans, et dans donc le calvaire des chrétiens d’Orient ». Las, même dans l’accueil des populations opprimées, le bât blesse. La France ne fait évidemment pas exception. Beaucoup de demandes de passeports échouent. Pour celles qui aboutissent, commencent alors un vrai parcours du combattant. La touche d’espoir naît finalement de la bouche d’un réfugié lui-même. Omar déclare ainsi : « On a compris qu’à côté de la France officielle ; il y avait des Français. Nous en avons rencontré qui nous ont tellement aidés ».
INVITATION(S):
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Où trouver en France un Prêtre exorciste Orthodoxe Oriental ?
Du 7 au 15 Mai, Pèlerinage Marial du "Mois de Marie".
Sanctuaires visités:
-Le 7, N-D de Miséricorde
Départ du Monastère le 8 pour les Sanctuaires d'Alsace.:
-Notre-Dame de L'Epine (coucher à Masevaux ou Thann)
-Le 9, N-D de Houppach (Masevaux) et St Ubald (Thann/St Ubald est invoqué contre toutes influences malfaisantes)
- Le 10, Mont St Odile,
Notre-Dame de Neubois,
Notre-Dame de Thierenbach ("Route des vins") ,
- Le 11, N-D d'Autun (Coucher à Angoulême)
- Le 12, journée de détente à Angoulême ,
- Le 13 N-D d'Espis ,
- Le 14, N-D de Toutes-Grâces et St Ubald (St Ubald est invoqué contre toutes influences malfaisantes) le 14 à Jauldes.
Clôture des inscriptions le 23 Avril/ Offrande estimée 300 euros.
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PELERINAGE DU CENTENAIRE A FATIMA
Du 7 au 16 Octobre 2017
1500 euros*(200 euros d’arrhes à l’inscription/ Inscriptions closes le 1er Septembre.)
Pèlerinage Syriaque des "Chrétiens Francophones de St
Thomas"* à FATIMA
Sanctuaires visités:
NOTRE-DAME DE LOURDES
NOTRE-DAME DE GARABANDAL
CHRIST MIRACULEUX DE LIMPIAS
SAINT JACQUES DE COMPOSTELLE
NOTRE DAME DE FATIMA
SITE HISTORIQUE ET NOTRE-DAME DE L'ESCORIAL
Programme:
*Samedi 7 Octobre: Départ du Monastère après la Messe d'envoi du Pèlerinage à 7h. Déjeuner "tiré du sac". Dîner à la "Maison Notre-Dame (Jauldes), coucher à Angoulême.
*Dimanche 8 Messe à Jauldes, déjeuner et départ pour LOURDES. Dîner et Coucher à LOURDES.
*Lundi 9 JOURNEE DE PELERINAGE A LOURDES, déjeuner et coucher sur place.
*Mardi 10, départ de LOURDES pour NOTRE-DAME DE GARABANDAL, déjeuner "tiré du sac", coucher sur place.
*Mercredi 11, matinée de Pèlerinage à GARABANDAL, déjeuner, départ pour LE CHRIST MIRACULEUX DE LIMPIAS, départ pour SAINT JACQUES DE COMPOSTELLE (Coucher)
*Jeudi 12, matinée de Pèlerinage à SAINT JACQUES DE COMPOSTELLE, déjeuner et départ pour FATIMA, couché sur place.
*Vendredi 13 Journée complète de Pèlerinage à NOTRE-DAME DE FATIMA (Déjeuner, diner, coucher)
*Samedi 14, départ pour l'ESCORIAL, Visite du Site historique et Pèlerinage à NOTRE-DAME DE L'ESCORIALE, départ pour LOURDES (Coucher sur place).
*Dimanche 15, LOURDES. Messe, déjeuner et départ pour ANGOULÊME. Diner à Jauldes et coucher à Angoulême.
*Lundi 16, petit déjeuner et retour au Monastère. Déjeuner "tiré du sac". Retour dans l'après-midi.
M’inscrits pour le Pèlerinage du Centenaire des Apparitions de la Très Sainte Vierge à FATIMA (Préciser si vous désirez une chambre seule (Supplément de 10 euros par nuit) et verse dès aujourd’hui 200 euros d’arrhes (non remboursables en cas de désistement).
Fait à :………………………………………………………….Date :……………………………………………………………
Signature :
*Plus nous serons nombreux et plus nos partenaires seront "compréhensifs", plus cette participation estimative sera revue à la baisse. Par ailleurs, ne vous privez-pas en raison de moyens trop justes de participer à ces moments de grâce.
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CAISSE DE SOLIDARITE
Que tous ceux qui le peuvent envoie au Monastère une obole (solidaire (Aussi minime soit-elle) pour aider leurs frères et sœurs Pèlerins; ces derniers prieront pour eux et "Le Seigneur qui connaît le secret des cœurs" les bénira...
ADRESSE :
Métropolie de l’Eglise Syro-Orthodoxe Francophone Mar Thoma:
Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
Courriel :asstradsyrfr@laposte.net
L’ÉGLISE FAIT-ELLE DE LA POLITIQUE ?
L’Église : qu’est-ce à dire ? –
Quand nous prononçons le nom de l’Église, nous nommons le grand sacrement du Corps du Christ rempli du saint Esprit, l’institution divino humaine et charismatique née de la Pâque du Verbe et de la Descente de l’Esprit. Nous reconnaissons un organisme vivant formé par tous ceux qui confessent la vraie foi, qui sont baptisés, oints de l’Onction royale et participants à la sainte Eucharistie. Les évêques, les prêtres, les diacres et tout le Peuple saint de Dieu forment le corps ecclésial.
Distinction…
Comme telle, l’Église est un peuple consacré à Dieu, un peuple saint et mis à part pour le service et le témoignage de la Parole. Le Christ, Tête de ce Corps et Chef de son propre peuple, est très clair sur cette question : les baptisés ne sont pas « du monde » (Jn 15, 19) ; ils sont appelés à « rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » (Mat 22, 21). Aucune confusion, aucune compromission n’a la bénédiction du Seigneur. À ce titre, l’Église ne fait pas de politique, elle ne s’identifie à aucun parti de droite et de gauche – notamment en période électorale… Elle ne donne pas d’indication de vote. Elle ne soutient pas un pouvoir ou un autre. Et elle n’attend pas non plus le soutien de tel ou tel pouvoir. Elle ne sacralise pas le pouvoir, et le pouvoir politique n’a pas à justifier son existence. C’est une saine – et sainte – distinction. Historiquement, le maintien de ce discernement a été – et est – une ascèse permanente et difficile… L’instrumentalisation de l’un par l’autre a pesé et pèse lourd.
…sans séparation
« Rendez à César » veut tout de même dire accomplir ses devoirs de citoyen. Le Christ et son Église enseignent la loyauté politique. Ils enseignent que personne dans ce monde n’a de pouvoir sans la permission de Dieu – y compris quand l’exercice de ce pouvoir constitue une épreuve pour les citoyens et en particulier pour les chrétiens. Rien dans ce monde n’advient sans la volonté ou la permission de Dieu. Aussi l’Église en ses membres s’engage-t-elle à témoigner de l’amour et de la volonté de Dieu en toute circonstance. Le Christ a aimé le monde jusqu’à donner sa vie pour son Salut. Les baptisés sont « dans le monde » (Jn 17, 15), et ils y sont parce qu’ils y sont envoyés pour une mission de témoignage. Le chrétien prend fait et cause pour l’homme, suivant l’exemple du Christ Dieu qui s’est mis du côté de l’homme – s’interposant entre l’homme et l’homme…
La citoyenneté
Les saints payent l’impôt (Mat 22, 17), ils votent, ils élisent et ils sont éligibles. Ils peuvent agir pour la volonté et l’amour de Dieu en étant membre de conseils municipaux, d’assemblées nationales, en exerçant un ministère public. Par leur engagement politique – oui : politique – ils contribuent à la sanctification de la société civile, à la manifestation de la justice et de la miséricorde divine. Les moines eux-mêmes, morts volontairement à ce monde, et soulignant ainsi de façon extrême la distinction Église-société, prient pour le monde et pour le pays, parce que les défunts intercèdent pour les vivants. Quand ils sont revenus de la mort à la vie, en spirituels véritables, ils sont aptes à conseiller et à éclairer tous ceux qui veulent agir dans le monde pour l’amour de Dieu et du prochain.
(Source: "Sagesse Orthodoxe")
Je vous propose la prière suivante pour notre Pays:
Seigneur Jésus, Ô Christ notre Dieu, Vous qui êtes venu, non pour juger le monde, mais pour le sauver; Vous qui êtes monté librement sur la Croix pour tous les humains; Vous qui, dans Votre amour ineffable et Vôtre indicible compassion, veillez au bien et au libre salut de chacun; Vous qui êtes invisiblement présent dans ce monde qui Vous appartient et dans notre pays par le Corps de Votre sainte Eglise, acceptez les prières de supplication et de louange que nous Vous adressons pour notre patrie la France, justement mais cruellement éprouvée.
Seigneur Jésus Christ notre Dieu, par les prières et la protection de Votre Mère toute pure et immaculée, du saint archange Michel, Protecteur de la France, des saints de notre pays, en particulier de notre mère parmi les saints Marie Madeleine "Egale-aux-apôtres" dont les reliques sanctifient notre sol, de son disciple saint Maximin, de saint Lazare Votre ami, des saints Jean Cassien et Victor de Marseille, Martin de Tours, Irénée de Lyon, Hilaire de Poitiers, Germain d’Auxerre, Germain de Paris; de saint Cloud, sainte Geneviève et sainte Radegonde et de tous les saints moines et moniales de notre pays; des saints et victorieux martyrs Pothin et Blandine de Lyon et de tous les saints martyrs de France :
Eclairez, inspirez, convertissez et sauvez notre patrie la France, ceux qui la gouvernent ainsi que chacun des membres de son peuple.
A nous qui Vous supplions dans la vraie Foi, accordez la grâce du non-jugement, la conscience libre, la force du saint Esprit pour témoigner de Votre vérité dans la paix qui vient de Vous.
Accordez-nous la grâce de voir nos propres fautes et d’accueillir Votre pardon.
Donnez-nous de Vous glorifier et de Vous célébrer pour la bienveillance que Vous manifestez à notre pays, à ceux qui le gouvernent et à tout son peuple.
Inspirez-nous de Vous célébrer en premier lieu pour la révélation que Vous avez donnée de Vous-même à nos Pères par la prédications de ces aînés dans la Foi qui sont venu d'Orient pour ensemencer notre terre de l'Evangile de vérité, d'amour et de paix et à ceux qui, en conséquence peuvent en ces jours, sur cette même terre bénie de France, vous confesser avec Votre Père coéternel et Votre très saint, bon et vivifiant Esprit, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles :Amîn!
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Urgence élections :
Prière pour la France à saint Michel
Saint Michel, grand Prince de la milice céleste, établi par la Providence divine le protecteur spécial de la France, souvenez-vous que vous l’avez faite grande entre toutes les nations, que vous l’avez établie sentinelle de la foi et soldat de Dieu dans le monde. Glorieux Archange, vous que nos rois ont autrefois proclamé patron de la France, protégez-nous contre tous nos ennemis ; nous vous conjurons de nous placer tous sous votre impénétrable protection. Protégez toujours l’Eglise et la France ! Obtenez-lui un prompt et sincère retour à l’antique foi, source de sa force et de sa grandeur. Éclairez les incrédules, rassurez les timides, fortifiez les faibles, encouragez les bons, secourez-nous tous et rendez-nous meilleurs et plus chrétiens. Ainsi soit-il.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 5,1-16.
À l’occasion d’une fête juive, Jésus monta à Jérusalem. Or, à Jérusalem, près de la porte des Brebis, il existe une piscine qu’on appelle en hébreu Bethzatha. Elle a cinq colonnades, sous lesquelles étaient couchés une foule de malades, aveugles, boiteux et impotents. [...] Il y avait là un homme qui était malade depuis trente-huit ans. Jésus, le voyant couché là, et apprenant qu’il était dans cet état depuis longtemps, lui dit : « Veux-tu être guéri ? » Le malade lui répondit : « Seigneur, je n’ai personne pour me plonger dans la piscine au moment où l’eau bouillonne ; et pendant que j’y vais, un autre descend avant moi. » Jésus lui dit : « Lève-toi, prends ton brancard, et marche. » Et aussitôt l’homme fut guéri. Il prit son brancard : il marchait ! Or, ce jour-là était un jour de sabbat. Les Juifs dirent donc à cet homme que Jésus avait remis sur pieds : « C’est le sabbat ! Il ne t’est pas permis de porter ton brancard. » Il leur répliqua : « Celui qui m’a guéri, c’est lui qui m’a dit : “Prends ton brancard, et marche !” » Ils l’interrogèrent : « Quel est l’homme qui t’a dit : “Prends ton brancard, et marche” ? » Mais celui qui avait été rétabli ne savait pas qui c’était ; en effet, Jésus s’était éloigné, car il y avait foule à cet endroit. Plus tard, Jésus le retrouve dans le Temple et lui dit : « Te voilà guéri. Ne pèche plus, il pourrait t’arriver quelque chose de pire. » L’homme partit annoncer aux Juifs que c’était Jésus qui l’avait guéri. Et ceux-ci persécutaient Jésus parce qu’il avait fait cela le jour du sabbat.
Par Saint Ambroise
(v. 340-397), évêque de Milan et docteur de l'Église Sur les mystères, 24s (trad. bréviaire rev.)
« Est-ce que tu veux retrouver la santé ? »
Le paralytique de la piscine de Bézatha attendait un homme [pour l'aider à descendre dans la piscine].
Lequel, sinon le Seigneur Jésus, né de la Vierge ?
Avec sa venue, il n'y avait plus seulement une simple préfiguration qui guérissait quelques individus, mais la vérité elle-même qui guérissait tous les hommes.
C'est donc lui dont on attendait qu'il descende, lui de qui Dieu le Père a dit à Jean Baptiste :
« Celui sur qui tu verras l'Esprit descendre du ciel et demeurer, c'est celui-là qui baptise dans l'Esprit Saint » (Jn 1,32)...
Pourquoi l'Esprit est-il descendu alors comme une colombe, sinon pour que tu voies, pour que tu reconnaisses que la colombe envoyée hors de l'arche par Noé le juste était l'image de cette colombe-là, et pour que tu y reconnaisses la préfiguration du sacrement du baptême ? ...
Est-ce que tu peux encore hésiter dans le doute, alors que le Père proclame pour toi de façon indubitable dans l'Évangile :
« Celui-ci est mon Fils bien-aimé ; en lui j'ai mis tout mon amour » (Mt 3,17) ; alors que le Fils le proclame, lui sur qui l'Esprit Saint s'est manifesté sous la forme d'une colombe ; alors que l'Esprit Saint le proclame aussi, lui qui est descendu sous la forme d'une colombe ; alors que David le proclame :
-« La voix du Seigneur sur les eaux, le Dieu de gloire a tonné, le Seigneur sur les eaux innombrables » (Ps 28,3) ?
L'Écriture atteste aussi qu'aux prières de Gédéon, le feu est descendu du ciel et, de nouveau, à la prière d'Élie, le feu a été envoyé pour consacrer le sacrifice (Jg 6,21 ; 1R 18,38).
Ne considère pas le mérite personnel des prêtres, mais leur fonction...
Crois donc que le Seigneur Jésus est là, invoqué par la prière des prêtres, lui qui a dit :
-« Quand deux ou trois sont réunis, je suis là, moi aussi » (Mt 18,20).
À plus forte raison, là où est l'Église, là où sont les mystères, c'est là qu'il daigne nous accorder sa présence.
Tu es donc descendu dans le baptistère.
Rappelle-toi ce que tu as dit : que tu crois au Père, que tu crois au Fils, que tu crois en l'Esprit Saint...
Par un même engagement de ta parole, tu es tenu de croire au Fils de la même manière que tu crois au Père, de croire en l'Esprit Saint de la même manière que tu crois au Fils, avec cette seule différence que tu professes qu'il faut croire en la croix du seul Seigneur Jésus.
Où nous trouver ?
Paroisse NORD-OUEST et Nord-Est
(N-D de Miséricorde):
NORMANDIE :
CHANDAI (61):
* Le Sanctuaire Marial de la
Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde
(Fresque de la Mère de Dieu entourée des Apôtres, mur Est du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.
(Fresque des Sts Pères Interieur droit du Choeur de l'Eglise du Monastère Syriaque)
Messe journalières en semaine à 10h30
Tous les dimanches, Messe à 10h30et permanence constante de prêtres pour CATÉCHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
(Liturgie de St Jacques dite "d'Antioche-Jérusalem")
Le 30 de chaque mois, Permanence pastorale de 8h30 à 19h (Sur R.D.V) chez Mme Henriette Marie, 43, Rue de la Marne à CAEN. Tel 06.33.98.52.54 . (Possibilité de rencontrer un prêtre pour Catéchisme, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
NANTES:
*Groupe de prières et "relais paroissial" St Charbel
18h, Messe le 2ème jeudi de chaque moiset permanence régulière d'un prêtre Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) de 9h à 17h(06.48.84.94.89).
ANGOULÊME (Jauldes):
*Paroisse N-D de Toutes Grâces/St Ubald
MAISON NOTRE-DAME LE BOURG 16560 JAULDES.
Tel:05.45.37.35.13 *Messe les 2èmes et 4èmes Dimanches de Chaque mois à 10h30suivies d'un repas fraternel et de la réception des fidèles.
*Possibilité de prendre Rendez-vous avec le prêtre la semaine suivant le 2éme dimanche du mois ainsi que pour les visites aux malades et à domicile.
Permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISME, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
PERIGUEUX (La Chapelle Faucher):
*Paroisse Notre-Dame de la Très Sainte Trinité
Notre-Dame de la Ste Trinité et St Front ERMITAGE ST COLOMBAN* Puyroudier (Rte d'Agonac) 24530LA CHAPELLE FAUCHER.
Tel:05.45.37.35.13
*Messe le 4ème samedi de Chaque mois à 10h30et permanence régulière d'un prêtre pour CATECHISMES, Sacrements et sacramentaux (bénédictions, prières de délivrance, pour les malades ou exorcismes) .
LOURDES:
*"Relais paroissial St Gregorios de Parumala"
*Messse le 5ème dimanche du mois ( en fonction des besoins des fidèles) à 10h30
20 Rte de Pau
CAMEROUN:
Pour obtenir les adresses du Monastère de YAOUNDE,
des paroisses et "relais paroissiaux de Doula, Yaoundé, Elig Nkouma, Mimboman, Bertoua, Monabo, veuillez les demander au Monastère Métropolitain:
Monastère Syriaque N-D de Miséricorde Brévilly 61300 CHANDAI.
Repentez-vous, car le Royaume des Cieux est proche
(Matthieu 17, 1)
Nous souhaitons à tous les chrétiens orthodoxes, à tous nos lecteurs et lectrices,
un saint grand Carême qui les remplisse d'un grand Amour pour le Christ.
PROGRAMME LITURGIQUE
(mis à jour ) de fin Mars et Avril :
PIEUX CARÊME À VOUS !
HEUREUSE MONTÉE VERS PÂQUES !
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-PARIS:ATTENTION la "Permanence pastorale et réception des fidèles des Vendredis après-midi et Samedi matin précédent le 1er dimanche de chaque mois est en Avril 2017 reculée au Vendredi 7 et Samedi 8 Avril en raison du WE des RAMEAUX
Le Samedi 8 AVRIL
RAMASSAGE DES FIDÈLES de Paris et sa région pour le WE au Monastère à 15h au point de rendez-nous habituel .
(En mai, retour à la normale: Vendredi 5 et Samedi 6).
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NORMANDIE:
-CAEN: Une permanence pastorale sera assurée par le Père Isaac du 29 Mars au soir au 31 Mars au matin (prenez Rdv avec lui 07 87 11 06 03 par sms).
-LISIEUX (Coquainvillier) , le 22 Avril (En raison de la Semaine Sainte) *
-AU MONASTÈRE DE CHANDAI : DIMANCHE 2 Avril et 7 Mai, PÈLERINAGE à N-D de MISÉRICORDE et aux Sts du Kérala.* .
Du 7 au 15 Mai, Pèlerinage Marial du "Mois de Marie".
Sanctuaires visités:
-N-D de Miséricorde,Notre-Dame de L'Epine , N-D de Houppach (Masevaux) et St Ubald (Thann/St Ubald est invoqué contre toutes influences malfaisantes), Mont St Odile, Notre-Dame de Neubois,
Notre-Dame de Thierenbach ("Route des vins"), Le 11, N-D d'Autun,- Le 12, N-D d'Espis, N-D de Toutes-Grâces et St Ubald (Vénération de la relique de St Ubald est invoqué contre toutes influences malfaisantes)
Clôture des inscriptions le 23 Avril/ Offrande estimée 300 euros.
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NANTES :Jeudi 6 Avril, Messe à 18h (Réception des fidèles de 9h à 17h )
ANGOULÊME (JAULDES ): Dimanches 2 Avril * (En raison de la Retraite de SEMAINE SAINTE) et le 23 *
ALSACE, SUISSE,LYONNAIS, SUD-EST :Visite pastorale (prenez Rdv ) entre le 24 (28 Messe à Belfort) et le 30, Messe dominicale à Lyon*.
#PARAY LE MONIAL - ALLIER/CHAROLAIS: Visite pastorale ( prenez Rdv ) entre le 1er Mai et le 3
*MESSES À 10H 30 ----------------------------------------------------- Nota bene :
Les "permanences pastorales" sont prévues pour vous assurer la proximité des sacrements (Messess, Confessions, Onction des malades ), catéchisme, entretiens et accompagnements spirituels , prières de délivrance ( voir d'exorcismes ) ou de guérison intérieure . (RÉCEPTION SUR RDV) en fonction de la région où vous vivez
"L'avenir est dans la paix, il n'y a pas d'avenir sans paix"
(SS Ignatius Aprem II)
Note: L'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise Orthodoxe-Orientale.
Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien et la paix du monde. ¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…
Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles , nous n'exigeons aucun fixe. Les offrandes sont libres et non obligatoires. Toute offrande fait cependant l'objet d'une déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F "
Pour l' Aumônerie Syro-Orthodoxe Francophone des Africains vivant en France, contacter les Responsables: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89 ), Métropolite et Soeur Marie-Andre M'Bezele, Moniale ( 06.17.51.25.73).
CONFIER DES INTENTIONS DE
PRIÈRE AU MONASTÈRE , C'EST
SIMPLE...
Le Moine ne rompe pas la solidarité profonde qui doit unir entre eux les frères
humains… Ils se conforment aux sentiments du Christ Tête de l'Eglise, le
"premier né d'une multitude de frères" et à Son amour pour tous les hommes…
A travers les prières monastiques, c’est toute l’Eglise qui prie et intercède pour
l’humanité.
Le savez-vous ? Chacun de vous, dans le secret de son existence, participe à cet
immense courant de prière souterraine qui irrigue le monde…
Si vous le souhaitez, vous pouvez nous confier une
intention de prière en l'envoyant à l'adresse
suivante:
Adresse du Monastère métropolitain ci-dessous :
Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,
Brévilly
61300 CHANDAI.
Tel: 02.33.24.79.58
ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)
Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.