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5 décembre 2016 1 05 /12 /décembre /2016 05:55

“Our religion is perfectly and profoundly conceived. What is simple is also what is most precious. Accordingly, in your spiritual life engage in your daily contest simply, easily, and without force. The soul is sanctified and purified through the study of the Fathers, through the memorization of the psalms and of portions of Scripture, through the signing of hymns and through the repetition of the Jesus Prayer.

Devote your efforts, therefore, to these spiritual things and ignore all the other things.”

(St. Porphyrios, Wounded by Love)

Lettre aux Hébreux 13,7-17a.

Souvenez-vous de ceux qui vous conduisent, qui vous ont annoncé la parole de Dieu ; et considérant quelle a été l'issue de leur vie, imitez leur foi. 
Jésus-Christ est le même hier et aujourd'hui ; il le sera éternellement. 
Ne vous laissez pas entraîner par des doctrines diverses et étrangères, car il vaut mieux affermir son cœur par la grâce, que par des aliments qui n'ont servi à rien à ceux qui s'y attachèrent. 
Nous avons un autel dont ceux-là n'ont pas le droit de manger qui restent au service du tabernacle. 
Car pour les animaux dont le sang, expiation du péché, est porté dans le sanctuaire par le grand prêtre, leurs corps sont brûlés hors du camp. 
C'est pour cela que Jésus aussi, devant sanctifier le peuple par son sang, a souffert hors de la porte. 
Donc, pour aller à lui, sortons hors du camp, en portant son opprobre. 
Car nous n'avons pas ici-bas de cité permanente, mais nous cherchons celle qui est à venir. 
Que ce soit donc par lui que nous offrions sans cesse à Dieu " un sacrifice de louange ", c'est-à-dire " le fruit de lèvres " qui célèbrent son nom. 
Et n'oubliez pas la mise en commun des ressources; car Dieu se plaît à de tels sacrifices. 
Obéissez à ceux qui vous conduisent, et ayez pour eux de la déférence, car ils veillent sur vos âmes comme devant en rendre compte. 
 


Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 25,14-23.

En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples cette parabole : Partant pour un voyage, un homme appela ses serviteurs et leur remit ses biens. 
A l'un il donna cinq talents, à un autre deux, à un autre un, à chacun selon sa capacité, et il partit en voyage. Aussitôt, 
celui qui avait reçu les cinq talents s'en alla les faire valoir, et il en gagna cinq autres. 
De la même manière, celui qui avait reçu les deux, en gagna lui aussi deux autres.
Mais celui qui en avait reçu un s'en alla faire un trou en terre, et il y cacha l'argent de son maître. 
Longtemps après, le maître de ces serviteurs revient et leur fait rendre compte. 
S'avançant, celui qui avait reçu les cinq talents en présenta cinq autres, en disant : " Maître, vous m'aviez remis cinq talents ; voici cinq autres talents que j'ai gagnés. " 
Son maître lui dit : " Bien, serviteur bon et fidèle ; en peu tu as été fidèle, je te préposerai à beaucoup ; entre dans la joie de ton maître. " 
S'avançant aussi, celui qui avait reçu les deux talents dit : " Maître, vous m'aviez remis deux talents ; voici deux autres talents que j'ai gagnés. "
Son maître lui dit : " Bien, serviteur bon et fidèle, en peu tu as été fidèle, je te préposerai à beaucoup ; entre dans la joie de ton maître. " 



Par Saint Basile

(v. 330-379), moine et évêque de Césarée en Cappadoce, docteur de l'Église 
Grandes Règles monastiques, prologue (trad. Brésard, 2000 ans C, p. 20) 

 

Inlassablement, Dieu nous appelle à la conversion

 

Jusqu'à quand remettrons-nous d'obéir au Christ qui nous appelle dans son Royaume céleste ? Ne nous purifierons-nous pas ? Ne nous résoudrons-nous pas à abandonner notre genre de vie habituel pour suivre à fond l'Évangile ?... Nous prétendons désirer le Royaume de Dieu, mais sans trop nous préoccuper des moyens de l'obtenir. 

Bien mieux, dans la vanité de notre esprit, sans nous donner la moindre peine pour observer les commandements du Seigneur, nous croyons être dignes de recevoir les mêmes récompenses que ceux qui ont résisté au péché jusqu'à la mort. Mais qui, au temps des semailles, a pu s'asseoir et dormir chez lui, et ramasser ensuite des gerbes à pleines brassées au moment de la moisson ? Qui a fait la vendange sans avoir planté et cultivé de vigne ? Les fruits sont pour ceux qui ont peiné ; les récompenses et les couronnes pour ceux qui ont vaincu. A-t-on jamais couronné un athlète qui ne s'est même pas dévêtu pour combattre son adversaire ? Et pourtant, non seulement il faut vaincre, mais aussi « lutter selon les règles », comme le dit l'apôtre Paul (2Th 2,5), c'est-à-dire selon les commandements qui nous ont été donnés... 

Dieu est bon, mais il est juste aussi...: « Le Seigneur aime la miséricorde et la justice » (Ps 32,5) ; « c'est pourquoi, Seigneur, je chanterai ta miséricorde et ta justice » (Ps 100,1)... Vois avec quel discernement le Seigneur use de la miséricorde. Il n'est pas miséricordieux sans examen, et il ne juge pas sans pitié, car « le Seigneur est miséricordieux et juste » (Ps 114,5). N'ayons donc pas de Dieu une idée tronquée ; son amour pour les hommes ne doit pas être pour nous prétexte à négligence.

Ne restez pas seul pour

 

 

les Fêtes de la Nativité !

 

 

 

Si vous n'êtes pas en famille, 

 

retrouvez-vous , en

 

communion avec les Chrétiens d'Orient,

 

avec  vos frères Chrétiens Syro Orthodoxes

 

francophone de St Thomas (Mar Thoma) en

 

France pour fêter Noël !

 

Si vous avez peu de moyens pour fêter

 

décemment Noël en famille, grâce au partage

 

c'est possible ! Venez fêter la Nativité au

 

Monastère en famille !

 

Nativity Icon2[1]-copie-1

 

(Pour ceux qui doivent loger, Inscriptions closes

le 20 Décembre)

 

Programme et inscription en bas de page

 

 

Par Mère Teresa de Calcutta (1910-1997),

Religieuse Romaine-catholique et fondatrice des Sœurs Missionnaires de la Charité 
No Greater Love (trad. Il n'y a pas de plus grand amour, Lattès 1997, p. 80 rev.) 

 

« Puisque tu as été fidèle en si peu de chose ... »

 

Quoi que tu fasses, y compris aider quelqu'un à traverser la route, c'est à Jésus que tu le fais. Tu donnes un verre d'eau, et c'est à Jésus que tu l'as donné (Mt 25,35) petit précepte de rien du tout, et pourtant crucial, toujours plus illuminateur. Nous ne devons pas craindre l'amour du Christ, d'aimer comme il a aimé. Qu'importe si notre travail est modeste, humble ; faisons-le avec l'amour du Christ lui-même. 

Aussi beau que puisse être ton travail, sois-en détaché, toujours prêt à y renoncer. Ce que tu fais n'est pas tien. Les talents que Dieu t'a donnés ne sont pas les tiens ; ils t'ont été donnés afin que tu t'en serves pour la gloire de Dieu. Sois généreux et mets en œuvre tout ce qui est en toi pour plaire au bon Maître. 

Qu'avons-nous à apprendre ? À être doux et humble (Mt 11,29) ; si nous le devenons, nous apprendrons à prier ; et l'apprenant, nous appartiendrons à Jésus ; et lui appartenant, nous apprendrons à croire ; et croyant, nous apprendrons à aimer ; et aimant, nous apprendrons à servir. 

 

"Notre religion est parfaitement et profondément conçue. C'est aussi ce qui la rend si précieuse.

En la suivant, dans votre vie spirituelle, élancez-vous dans vos tâches quotidiennes simplement, facilement, et sans forcer.

L'âme est sanctifiée et purifiée par l'étude des Pères, par le biais de la mémorisation des Psaumes et des passages des saintes Écritures, par le chant d'hymnes et par la répétition de la Prière de Jésus.


Dès lors, consacrez vos efforts à ces choses spirituelles et ignorez toutes les autres choses."
(Saint Porphyrios, Blessé par l'Amour)


 



“Our religion is perfectly and profoundly conceived. What is simple is also what is most precious. Accordingly, in your spiritual life engage in your daily contest simply, easily, and without force. The soul is sanctified and purified through the study of the Fathers, through the memorization of the psalms and of portions of Scripture, through the signing of hymns and through the repetition of the Jesus Prayer.

Devote your efforts, therefore, to these spiritual things and ignore all the other things.”

(St. Porphyrios, Wounded by Love)

Dimanche 4 Décembre pour la naissance de St Jean Baptiste, c'était grand bonheur au Monastère Syriaque

alors que nous concelebrions la Messe ( Quadisha Qurbana ) de 10h 30 avec Son Éminence Mor Melethius ( Métropolite de Thrissur de l'Église Orthodoxe Malankare ) qui présidait la cérémonie. Merci Seigneur ! 


Voici quelques photos en cette "newsletter". D'autres suivront.

Un article paraîtra ultérieurement sur le blog.

Nous allions hier (5 Décembre) à Pontmain et le Mont Saint Michel où nous n'avons pas manqué de prier à toutes vos intentions, mais surtout pour la France et la paix du monde.

 

SAINTS DU JOUR:

5 DECEMBRE:

Saint Sabas
Abbé
(439-531)

Sabas, né près de Césarée, en Cappadoce, de parents nobles et pieux, fut mis, à l'âge de cinq ans, sous la tutelle d'un oncle fort méchant ; il s'enfuit et se réfugia dans un couvent. C'était la Providence qui avait conduit ses pas ; il embrassa généreusement toutes les saintes rigueurs de la vie monastique. Dix ans plus tard, le désir de visiter les lieux sanctifiés par la vie mortelle du Sauveur le conduisit à Jérusalem. Ayant fait son pèlerinage, il résolut de se fixer au milieu des célèbres anachorètes de la Palestine et vécut jusqu'à l'âge de trente ans sous la direction du saint solitaire Théoctiste. Mais il lui semblait que Dieu demandait de lui davantage, et, croyant n'avoir encore rien fait, il s'enfonça dans la solitude voisine pour y vivre avec Dieu seul.

 

Renfermé dans une petite grotte, il y passait cinq jours de la semaine sans prendre aucune nourriture, uniquement appliqué à la prière, au chant des psaumes et au travail manuel. Chaque samedi, il apportait au monastère qu'il avait habité tous les paniers qu'il avait tressés, passait le dimanche avec ses frères et revenait à son ermitage. Plus tard, il se retira sur les bords du Jourdain, où le démon le tourmenta par des spectres horribles, des hurlements affreux, des menaces, des coups, et surtout des apparitions séduisantes. Le saint, armé de la prière, remporta autant de victoires qu'il eut à livrer de combats, jusqu'à décourager son redoutable ennemi.

 

Sabas, toujours poussé par le désir d'une solitude de plus en plus profonde, se retira sur des rochers abrupts ; il y établit, pour monter et pour descendre, un gros câble à nœuds qui lui servait de rampe. Il lui fallait aller chercher de l'eau à deux lieues de là et la monter sur ses épaules. Sa nourriture consistait uniquement en racines sauvages ; mais, en revanche Dieu nourrissait son âme de l'abondance de ses consolations.

 

Sabas fut découvert par la vue de la corde qui pendait du rocher, et dès lors sa solitude se changea en affluence énorme de pèlerins qui venaient lui demander communication des biens célestes dont il était rempli. Beaucoup demeuraient ses disciples, et il groupa dans la vallée un grand nombre de petites cellules pour les recevoir. De grands saints, attirés par la renommée de ses vertus, vinrent eux-mêmes le visiter. Il s'arrachait parfois à sa solitude, quand la gloire de Dieu le demandait, et plusieurs fois la cour de Constantinople fut édifiée de ses vertus.

Sabbas, qui de son Maître avait suivi la trace, 
lui emboîtant le pas au chemin d'ici-bas, 
désormais devant lui se trouve face à face. 
En Décembre, le cinq, le ciel reçoit Sabbas. 
Par ses saintes prières, ô notre Dieu, aie pitié de nous et sauve-nous. Amen.

Tropaire, t. 8

Par les flots de tes larmes tu as fait fleurir le stérile désert, * par tes profonds gémissements tu fis produire à tes peines cent fois plus, * par tes miracles éclatants tu devins un phare éclairant le monde entier: * vénérable Père, saint Sabbas, prie le Christ notre Dieu * de sauver nos âmes.

Kondakion, t. 8

Comme dès l'enfance, bienheureux Sabbas, tu t'es offert, * en ta vertu, comme une offrande immaculée * à ce Dieu qui te connaissait bien avant ta naissance, * tu devins le pur joyau des saints Moines, * digne de louange comme citoyen du désert. * C'est pourquoi je te crie dans l'allégresse: * Réjouis-toi, Père vénérable et digne de nos chants.

Ikos

Puisque la Sagesse trouva un fils en toi, * tu aimas dès l'enfance la Sagesse hypostasiée; * en ton âme ayant élu sa demeure, Père saint, * elle t'éloigna du monde et te mena vers les hauteurs * et tressa pour toi une couronne d'immatérielles fleurs * qu'elle déposa sur ta tête sanctifiée; * couronné de gloire, rends-moi favorable le Seigneur, * afin qu'il m'accorde la sagesse et le langage qui convient * pour chanter dignement ta sainte dormition * qui fut glorifiée par le Christ notre Dieu. * C'est pourquoi nous crions dans l'allégresse: * Réjouis-toi, Père vénérable et digne de nos chants.

Exapostilaire (t. 3)

En ami de la sagesse, tu couvris de cités le désert, * joyau des Pères à l'esprit divin, saint Sabbas, * et tu en fis un Paradis spirituel * foisonnant de divines fleurs, * la multitude des ermites célébrant * comme il convient ton auguste souvenir.

Que le désert exulte de joie * et qu'il fleurisse comme un lis, * car tu as multiplié, * saint Sabbas, le nombre de ses fils; * et que la terre du Jourdain, * à ton divin souvenir, * exulte maintenant de joie et d'allégresse!

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Saint Nizier,

évêque de Trèves (+569)

Tropaire ton 3

Père spirituel du roi Théodoric,
Devenu évêque sur le siège de Trêves,*
Tu a mené une existence évangélique,*
Et tu as participé aux Conciles des Gaules*
Avant de rejoindre le Céleste Royaume.* 
Saint Nizier prie le Christ qu'il ait de nous mercy !

 

Avant de prendre ses fonctions épicopales, Nizier dirige un monastère à Limoges. Il est désigné comme évêque de Trèves par le roi d'Austrasie Thierry Ier.


Il participe à plusieurs conciles où il défend la foi orthodoxe : conciles de Clermont (535), d'Orléans (549), Toul (550) et Paris (552). Renvoyé par le roi Clotaire Ier en raison de ses critiques, il revient à Trèves sous le règne de Sigebert Ier, en 561.

 

Il protégea sa ville de la peste et opéra force miracles, notamment des guérisons et des libérations de possédés.


Dans une lettre de 565 à l'empereur Justinien, il lui demande de renoncer à l'hérésie de Nestorius et Eutychès et à la persécution des fidèles.


Après avoir brillé trente années dans l'épiscopat, il remit son âme à Dieu vers 569.

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Saint CYRAN,
Ermite en Berry
(VIIe s.)

Saint Cyran fut d'abord échanson à la cour du roi Clotaire II, puis archidiacre de Tours, ville dont son père avait été évêque. 
Fondateur de plusieurs abbayes, l'histoire garde le silence sur cette vie que l'on dit avoir été de grande sainteté. 
La localité berrichonne, où il avait fondé une abbaye, s'est placée sous son patronage  : Saint-Cyran-du-Jambot (Indre).

 

6 DECEMBRE:

Saint Nicolas


Archevêque de Myre
(† 324)

 

 

Nicolas, né probablement à Patare, en Lycie, en Asie mineure (actuelle Turquie) entre le 260 et 280, fut le fruit des prières de ses pieux parents.

NICOLAS 6 DECEMBRE

 

Il eut l'esprit ouvert aux choses divines dès sa plus petite enfance ; à peine sut-il manger, qu'il sut jeûner. Il avait un oncle évêque, qui, voyant avec admiration les vertus de Nicolas, l'ordonna prêtre dès qu'il eut l'âge requis et fit de lui cette prédiction : « Il sera la consolation des affligés, le sauveur des âmes en péril, le bon pasteur qui rassemble ses brebis égarées au bercail de Jésus-Christ. »

 

Une de ses premières œuvres fut de sauver l'honneur de trois filles exposées à la perte de leur vertu ; il les dota toutes, l'une après l'autre, et il le fit si discrètement, que c'est à la fin seulement que le père, touché d'admiration, surprit la main du bienfaiteur.

 

Après un pèlerinage aux lieux saints, Nicolas se retira à Myre, espérant échapper aux honneurs qu'il voulait éviter avec tant de soin, et à la mort de l'évêque de Myre, qui arriva peu de temps après, il fut élu pour lui succéder. Dès lors il s'appliqua à devenir le modèle de son troupeau. Il ne mangea plus qu'une fois le jour, et jamais de viande ; il faisait toujours lire à sa table quelque livre de la Sainte Écriture ; ses nuits se passaient en oraison, et la terre dure était sa couche pour le peu de repos qu'il prenait. Levé avant le jour, il réveillait ses clercs pour chanter des hymnes et des psaumes ; aussitôt le soleil paru, il allait à l'église et employait le reste du jour à ses diverses fonctions pastorales.

 

Nicolas, sous la persécution de Dioclétien, fut jeté dans un cachot et mis à la torture ; mais on n'osa pas le faire mourir, par peur de la vengeance de son peuple.

 

Peu de saints ont opéré de plus nombreux et de plus éclatants miracles. Tantôt il apparaît à Constantin pendant la nuit, pour lui ordonner de mettre en liberté trois innocents qui doivent être exécutés le lendemain ; tantôt il se montre, en pleine tempête, à des matelots en danger qui l'ont appelé à leur secours. Il est surtout légendaire entre mille, le miracle de la résurrection de trois enfants tués par un boucher et hachés menu, pour être mêlés à la viande de son commerce.

On l'honore comme le patron des écoliers.

Sur terre il fut de Myre le suprême prêtre, 
au ciel auprès de Dieu il est notre interprète. 
C'est au mois de Décembre, le sixième jour, 
que Nicolas finit son terrestre séjour. 
Par ses saintes prières, ô notre Dieu, aie pitié de nous et sauve-nous. Amen.

Tropaire, t. 4

La justice de tes œuvres a fait de toi * pour ton troupeau une règle de foi, * un modèle de douceur, * un maître de tempérance; * c'est pourquoi tu as obtenu par ton humilité l'exaltation * et par ta pauvreté la richesse. * Père saint, Pontife Nicolas, * prie le Christ notre Dieu * de sauver nos âmes.

Kondakion, t. 3

A Myre, saint Evêque, tu t'es montré * comme le ministre du sacrifice divin; * car, accomplissant l'Evangile du Christ, * tu donnas ta vie pour tes brebis * et sauvas les innocents de la mort; * dès lors tu fus sanctifié, comme grand Pontife de la grâce de Dieu.

Ikos

Par nos hymnes, peuples, célébrons * l'archevêque de Myre, son pasteur et docteur, * afin qu'à sa prière nous soyons illuminés, * puisqu'il s'est montré dans toute la pureté de son esprit * présentant au Christ l'offrande immaculée, * à Dieu le sacrifice qui lui plaît, * comme évêque purifié dans sa chair et son esprit; * c'est pourquoi il est en vérité * pour l'Eglise un défenseur, un protecteur, * comme grand Pontife de la grâce de Dieu.

Exapostilaire (t. 3)

Chantons et célébrons le suprême Pasteur, * l'archevêque de Myre, Nicolas; * car il a sauvé de la mort * tant d'hommes qui devaient la subir injustement; * il apparut en songe à l'empereur * ainsi qu'à Avlavius pour annuler * la sentence prononcée injustement.

Par des miracles le Seigneur t'a grandement glorifié * de ton vivant comme après la mort, saint Nicolas; * à la seule invocation de ton nom, * quel fidèle fervent n'a été exaucé, * trouvant aussitôt ta chaleureuse protection

Vierge sainte qui enfantas * le Verbe transcendant l'univers, * la Sagesse personnifiée, * le Christ, universel médecin, * guéris mon âme de ses graves plaies, * soigne les continuelles blessures de mon cœur * et fais cesser la fièvre qui agite mes pensées. 


(http://calendrier.egliseorthodoxe.com/…/stsdecem…/dec06.html)

 

 

St. Nicholas of Myra
Feast Day: December 6

St. Nicholas of MyraThough he is one of the most popular and honored saints in the East and west Churches, there is scarcely anything historically certain about him but in Syriac history we find full story of him. The great veneration with which this saint has been honored for many ages and the number of altars and churches which have been everywhere dedicated in his memory are testimonials to his holiness and of the glory which he enjoys with God. He is said to have been born at Patara in Lycia (in Turkey), a province of Asia Minor. Myra, the capital, not far from the sea, was an Episcopal See under the jurisdiction of Holy See of Antioch.

He was born in the city of Patara in the Lycian region (on the south coast of the Asia Minor peninsula), and was the only son of pious parents Theophanes and Tonna (Nonna?), who had given a vow to dedicate him to God. As the fruition of longtime prayer of his childless parents, the infant Nicholas from the very day of his birth revealed to people the light of his future glory as a wonderworker. His mother, Tonna, after giving birth was immediately healed from her illness.

From the time of his childhood Nicholas thrived on the study of Divine Scripture; by day he would not leave church, and by night he prayed and read books, fashioning in himself a worthy dwelling-place of the Holy Spirit. His uncle, Bishop Nicholas of Patara, rejoiced at the spiritual success and deep piety of his kinsman. He ordained him a reader, and then elevated Nicholas to the dignity of presbyter (priest), making him his assistant and entrusting him to speak instructing the flock. In serving the Lord the youth was fervent of spirit, and in his proficiency with questions of faith he was like an elder, which aroused the wonder and deep respect of believers. Constantly at work and vivacious, being in unceasing prayer, presbyter Nicholas displayed great kind-heartedness towards the flock, and towards those afflicted coming to him for help, and he distributed all his inheritance to the poor.

In setting off on pilgrimage to the holy places at Jerusalem, the bishop of Patara entrusted the guidance of the flock to Saint Nicholas, who fulfilled this obedience carefully and with love. When the bishop returned, he in turn asked blessing for a pilgrimage to the Holy Land. Along the way the saint predicted the onset of a storm threatening the ship with inundation, since he saw the devil itself having got on ship. At the entreaty of the despairing pilgrims, he calmed by his prayers the waves of the sea. Through his prayer also was restored to health a certain sailor of the ship, who had fallen from the mast and was mortally injured.

Having reached the ancient city of Jerusalem and having come to Golgotha, Saint Nicholas offered up thanksgiving to the Saviour of the race of mankind and he made the rounds of all the holy places, worshiping God and making prayers. Going round the holy places connected with the earthly service of the Son of God, Saint Nicholas decided to withdraw into the wilderness, but he was stopped by a Divine voice, urging him to return to his native country. Having returned to Lycia and yearning for a life of quietude, the saint entered into the brotherhood of a monastery, named Holy Sion. But the Lord again announced another pathway, awaiting him: "Nicholas, this is not the field, on which thou ought to await Mine harvest, but rather turn round and go into the world, and there My Name shall be glorified in you."

Before being selected bishop, he saw in a vision, a great throne and magnificent vestments placed on it and a man said to him, "Put on these vestments and sit on this throne." Another night he saw our Lady, St. Mary, giving him the vestments of the priesthood and our Lord Jesus Christ gave him the Gospel.

When the Bishop of Mora departed, the Angel of the Lord appeared to the Archbishop and told him the one who was chosen for this rank was Nicholas and described his virtues to him. When he woke up he told the bishops what he had seen, and they all believed that vision. They knew that it was from the Lord Jesus Christ. They took St. Nicholas and made him Bishop over the city of Myra. Summoned to the flock of the Church in the dignity of archbishop, Sainted Nicholas remained a great ascetic, appearing to his flock as an image of gentleness, kindness and love towards people. This was particularly precious for the Lycian Church during the time of persecution of Christians under the emperor Diocletian (284-305). Bishop Nicholas, locked up in prison together with other Christians, sustained them and exhorted them to bravely endure the fetters, punishment and torture. He himself the lord preserved unharmed. Upon the accession to rule of the emperor Constantine, Saint Nicholas was restored to his flock, which joyfully received back their guide and intercessor.

Having returned to his own diocese, the saint brought it peace and blessings, sowing the word of Truth, nipping in the bud defective and spurious claims of wisdom, uprooting heresy and healing the fallen and those led astray through ignorance. He was indeed was a light in his diocese and the salt of the earth, wherein his life did shine and his word was mixed with the salt of wisdom.

Despite his great gentleness of spirit and purity of heart, Saint Nicholas was a zealous and ardent warrior of the Church of Christ. Fighting evil spirits, the saint made the rounds of the pagan temples and shrines in the city of Myra and its surroundings, shattering the idols and turning the temples to dust.

In the year 325 Saint Nicholas was a participant in the 1st Ecumenical Council. This Council proclaimed the Nicean Symbol of faith, and he stood up with others of the 318 fathers of the Council against the heretic Arius.

Even during his life the saint worked many miracles. Of them the one accorded the greatest fame was the deliverance from death by the saint of three men, unjustly condemned by a greedy city-commander. The saint boldly went up to the executioner and took hold of his sword, already suspended over the heads of the condemned. The city-commander, denounced by Saint Nicholas in wrong-doing, repented himself and begged for forgiveness. During this time there were present three military officers, dispatched by the emperor Constantine to Phrygia. They did not suspect that they soon likewise would be compelled to seek the intercession of Saint Nicholas: it so happened that they had been vilely slandered before the emperor and were come under a sentence of death. Appearing in sleep to the emperor Constantine, Saint Nicholas called on him to dismiss the wrongful death-sentence of the military officers who, now in prison, prayerfully called out for help to the saint. He worked many other miracles, and asceticised many long years at his labor. Through the prayers of the saint, the city of Myra was rescued from a terrible famine. Having appeared in sleep to a certain Italian merchant and having left him as a pledge of payment three gold money-pieces, which the merchant found in his hand upon wakening in the morning, he requested him to sail to Myra and furnish grain there. More than once did the saint save those drowning in the sea, and provide release from captivity and imprisonment.

Perhaps the best-known story about Nicholas concerns his charity toward a poor man who was unable to provide dowries for his three daughters of marriageable age. The despairing father considered to give them over to profligacy so as to save them from hunger. The saint, grieving lest the man perish a sinner, Nicholas secretly tossed a bag of gold through the poor man’s window on three separate occasions. The third time when the saint threw the gold into the house, the man was watching and immediately when he felt the drop of the sack, he ran out of his house to see who was throwing the gold to him. He found the kind bishop St. Nicholas and the man bowed down at his feet and paid him great homage and thanked him because he saved his daughters from poverty and from a life of sin. The saint refused to accept any thanks and asked them to thank the Lord Who put this thought in his heart. thus enabling the daughters to be married. by this saved the family from falling into spiritual destruction. In bestowing charity, Saint Nicholas always strove to do this secretly and conceal his good deeds. Over the centuries, this particular legend evolved into the custom of gift-giving on the saint’s feast. In the English-speaking countries, St. Nicholas became, by a twist of the tongue, Santa Claus—further expanding the example of generosity portrayed by this holy man.

Having reached old age, and finished his course and guarded his flock, Saint Nicholas departed to be with the Lord on December 341/5. He sat on the Episcopal throne for more than 40 years, and all the days of his life were about 80 years.

St. Nicholas is the true personality behind the story of Santa Claus or Papa Noel, who leaves presents for children on Christmas Eve.

The name of the great saint of God, the hierarch and wonderworker Nicholas, a speedy helper and suppliant for all hastening to him, is famed in all the ends of the earth, in many lands and among many peoples. Our Syriac Orthodox Church as well as in the world there are a multitude of cathedrals, monasteries and churches consecrated in his name. There is not, probably, a single city in Russia without a Nikol'sk temple. We read in the Coptic Synaxarium that: "On this day (April 23rd), the church commemorates the consecration of the first altar that was built by the Jacobite Christians (Syrian Orthodox), who were residing in the land of Egypt for St. Nicholas, bishop of Myra. St. Nicholas was one of the fathers of the council of Nicea, the Three Hundred and Eighteen..."

Transfer of the Relics from Lycian Myra to Bari in Italy

In the XI Century the Byzantine Empire was living through some terrible times. The Turks put an end to its influence in Asia Minor, they destroyed cities and villages, the murdered the inhabitants, and they accompanied their cruel outrage with the desecration of churches, holy relics, icons and books. They attempted also to destroy the relics of Saint Nicholas, deeply venerated by all the Christian world.

In the year 792 the caliph Aaron Al'-Rashid sent humeid at the head of a fleet to pillage the island of Rhodes. Having lain waste this island, humeid set off to Lycian Myra with the intent to rob from the tomb of Saint Nicholas. But instead of it he robbed another, standing alongside the crypt of the saint. Just as they succeeded in committing this sacrilege, a terrible storm lifted upon the sea and almost all the ships were shattered into pieces.

The desecration of holy things shocked not only Eastern, but also Western Christians. Christians in Italy were particularly apprehensive for the relics of Saint Nicholas. The inhabitants of the city of Bari, located on the shores of the Adriatic Sea, decided to save the relics of Saint Nicholas.

In the year 1087 merchants from Bari and Venice set out to Antioch for trade. Both these and others also had proposed on the return trip to take up the relics of Saint Nicholas and transport them to Italy. In this plan the men of Bari commissioned the Venetians to land them at Myra. At first two men were sent in, who in returning reported that in the city all was quiet, and in the church where rested the glorified relics, they encountered only four monks. Immediately 47 men, having armed themselves, set out for the church of Saint Nicholas. The monk-guards, suspecting nothing, showed them the raised platform, beneath which was concealed the tomb of the saint, where by custom, they anointed foreigners with myrrh from the relics of the saint. The monks told them during this about an appearance of Saint Nicholas that evening to a certain elder. In this vision Saint Nicholas ordered the cautious preserving of his relics. This account encouraged the barons -- they saw an avowal for them in this vision and as it were a decree from the saint. In order to facilitate their activity, they revealed their intent to the monks and offered them money -- 300 gold coins. The monk-guards refused the money and wanted to warn the inhabitants about the misfortune threatening them. But the newcomers bound them and put their own guards at the doorway. They took apart the church platform beneath which stood the tomb with the relics. In this effort the youth Matthew was excessive in his especial zeal, wanting to as quickly as possible to find the relics of Saint Nicholas. In his impatience he broke the cover and the barons saw, that the sarcophagus was filled with fragrant holy myrrh. The compatriots of the barons, the priests Luppus and Drogus, made a litany, after which the break of Matthew began to flow with myrrh from the overflowing sarcophagus of the relics of the saint. This occurred on 20 April 1087.

Seeing the absence of a container chest, priest Drogus wrapped the relics in the cover cloth, and in the company of the barons he carried them to the ship. The monks -- having been set free, alerted the city with the sad news about the abduction of the relics of the Wonderworker Nicholas by foreigners. A crowd of people gathered at the shore, but it was too late. ...

On 8 May the ships arrived in Bari, and soon the joyous news made the rounds of all the city. On the following day, 9 May 1087, they solemnly transported the relics of Saint Nicholas into the church of Saint Stephen, situated not far from the sea. The solemn bearing of the relics was accompanied by numerous healings of the sick, which inspired still greater reverence for the Saint of God. A year afterwards a church was built in the name of Saint Nicholas and consecrated by Pope Urban II.

This event, connected with the transfer of the relics of Saint Nicholas, evoked a particular veneration for the Wonderworker Nicholas and was marked by the establishing of a special feast day on 9 May. At first the Feast day of the Transfer of the Relics of Saint Nicholas was observed only by the people of the city of Bari. In the other lands of the Christian East and West it was not adopted, despite the fact that the transfer of the relics was widely known about. This circumstance is to be explained by the custom in the Middle Ages of venerating primarily the relics of local saints. Moreover, the Syriac Orthodox Church of Antioch did not establish the celebration of this remembrance, since for it the loss of the relics of Saint Nicholas was a sad event.

The Russian Orthodox Church celebration of the memory of the Transfer of the Relics of Saint Nicholas from Lycian Myra to Bari in Italy on 9 May was established soon after the year 1087, on the basis of an already established veneration by the Russian people of the great Saint of God, brought over from Greece simultaneously with the acceptance of Christianity. The glorious accounts about the miracle-workings, done by the saint on both land and sea, were widely known to the Russian people. Their inexhaustible strength and abundance testify to the especially graced help of the great Saint of God for suffering mankind. The image of Saint Nicholas, a mighty Wonderworker and Benefactor, became especially dear to the heart of the people, since it inspired deep faith and hope for his intercession.

His prayers be with us and Glory be to our God forever. Amen.

  

*Rappel des faits:

Le 22 avril 2013, Mgr Yohanna (Jean) Ibrahim, archevêque syriaque orthodoxe d’Alep, et Mgr Boulos (Paul) Yazigi, archevêque grec orthodoxe de la même ville, étaient enlevés à l’ouest d’Alep en Syrie. Les deux évêques s’étaient rendus en voiture,fraternellement, avec un chauffeur, dans cette région pour tenter de négocier la libération de deux prêtres enlevés en février précédent : le Père Michel Kayyal (catholique arménien) le le Père Maher Mahfouz (grec-orthodoxe). C’est l’un des enlèvements les plus étranges en période de guerre puisqu’il n’y a eu aucune revendication. Même les médias ne s’intéressent pas beaucoup à cette affaire, jugée peu sulfureuse et surtout incompréhensible. Pour cette raison, le site Internet grec Pemptousia met en ligne une pétition (en anglais) pour la libération de deux hiérarques. Pour la signer,pétition relayée en France par Orthodoxie.com et nous-même  cliquez ICI !

Merci.

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N'oublions-pas de prier pour les évêques, prêtres et

 

fidèles chrétiens détenus par les "islamistes"

 

ou terroristesen tous genres !

 

Prions sans relâche pour que le

 

Seigneur les soutienne. Prions pour leur libération ...

 

  

Let us not forget the bishops, priests and faithful

 

Christians held by "Islamists" or terrorists of all

 

kinds! Pray tirelessly for the Lord to sustain them.

 

Pray for their release ...

 

 

The Lord came to send fire upon the earth (cf. Lk. 12:49), and through participation in this fire He makes divine not just the human substance which He assumed for our sake, but every person who is found worthy of communion with Him. (St. Gregory Palamas)
 
 
 Arme invincible, soutien de la foi, Très Sainte Croix , 
nous te chantons, / devant toi nous prosternant avec foi: / tu es le refuge, la gloire des chrétiens; / gardienne des orthodoxes et fierté des martyrs, / à juste titre nous te glorifions.

Croix de Jésus, armure des chrétiens, / tu donnes aux rois victoire et tu renverses les démons: / à ceux qui se prosternent devant toi / donne ta protection et la grande miséricorde.

Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amîn

Tous ceux qui d'un cœur ardent / se prosternent pieusement / devant le croix et les souffrances de ton Fils,  / fais qu'ils deviennent, ô Mère de Dieu, / les citoyens du Paradis / et les héritiers de la gloire des cieux.

 

Ce que le petit garçon fit va vous édifier ! 

Une famille du Val d'Aoste (Italie) vient chaque année passer les vacances à Rome et vient souvent le soir au restaurant "L'Eau-Vive". En 1982, au temps de Noël, un soir, ils étaient là. Après le repas, tous ont tenu à passer près des cuisinières pour les remercier. La petite crèche, placée dans un angle de la cuisine, attira particulièrement l'attention du petit André de sept ans. Les cuisinières ne purent résister au désir de cet enfant et aussitôt lui remirent le Petit Jésus dans les bras.

Aux vacances suivantes, la maman revint nous voir, et nous raconta : « Savez-vous que le Petit Jésus d'André nous a tous transformés ? Chaque soir, André veut absolument que toute la famille se réunisse dans sa chambre autour du Petit Jésus pour chanter les Ave Maria de Lourdes ‘comme à l'Eau-Vive’ dit-il. »

Un jour, le curé de notre paroisse est venu bénir notre chalet de montagne. André, bien sûr, l'a conduit aussitôt auprès de son Petit Jésus et tous les deux ensemble ont chanté l'Ave Maria. Depuis ce jour, ce prêtre est devenu l'ami de toute la famille. A son contact, nous avons retrouvé le chemin de l'Eglise que nous avions abandonnée depuis quinze ans, mon mari et moi. 

 

Dans Le Sillon Missionnaire (1983)

 

Shlom lekh bthoolto MariamHail, O Virgin  Mary/ 

  maliath taiboothofull of grace
  
moran a'amekh  - the Lord is with thee
  
mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women
 
 wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus
  
O qadeeshto Mariam/ Holy Mary
  
yoldath aloho Mother of God
  
saloy hlofain hatoyehpray for us sinners
  
nosho wabsho'ath mawtan.now and at the hour of our death.
 
 Amîn 

 

Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn

Le Père nous envoie le Verbe de Vie qui nous vient par Marie et le St Esprit, s'incarne en elle pour devenir notre frère et, par Son Sacrifice, renouveler les fils et filles d'Adam...

Le Père nous envoie le Verbe de Vie qui nous vient par Marie et le St Esprit, s'incarne en elle pour devenir notre frère et, par Son Sacrifice, renouveler les fils et filles d'Adam...

Ne restez pas seul pour

 

 

les Fêtes de la Nativité ! 

 

 

Si vous n'êtes pas en famille, 

 

retrouvez-vous , en

 

communion avec les Chrétiens d'Orient,

 

avec  vos frères Chrétiens Syro Orthodoxes

 

francophone de St Thomas (Mar Thoma)* en

 

France pour fêter Noël !

 

 

Si vous avez peu de moyens pour fêter

 

décemment Noël en famille, grâce au partage

 

c'est possible ! Venez fêter la Nativité au

 

Monastère en famille !

 

Nativity Icon2[1]-copie-1

 

(Pour ceux qui doivent loger, Inscriptions closes

le 20 Décembre)

Programme:

*Samedi 24 Décembre. Début des Fêtes de la Nativité de Notre-Seigneur
-18h, réveillon avec les fidèles familiers.
-22h30 Veillée de Noël (Plusieurs Baptêmes et Chrismations), Bénédiction du Feu nouveau et Procession de l’Enfant-Jésus à l’Eglise.Messe de minuit selon la Tradition locale.

 

 

*Dimanche 25, Nativité de Notre-Seigneur
Messe du jour à 10h30 , repas fraternel et réception des fidèles de 13h30 à 17h30.

 

 

 

*Lundi 26 Décembre, Fête des « Félicitations à la Mère de Dieu »
Messe en l’honneur de « la Toute Pure et Immaculée Mère du Verbe-Dieu » à 10h30 , repas fraternel et réception des fidèles de 13h30 à 17h30
 
VEILLEE POUR LA VIE dans la nuit du 26 au 27
 
*Mardi 27 Décembre, Fête des « Saints Innocents »
Messe en l’honneur pour les enfants à naître et les victimes de l’avortement à 10h30 , repas fraternel et réception des fidèles de 13h30 à 17h30
 

INSCRIVEZ-VOUS !

 

Adresse ci-dessous :

 

Monastère Syriaque de la Bse Vierge Marie, Mère de Miséricorde,


Brévilly

61300 CHANDAI.

Tel: 02.33.24.79.58

ou: 06.48.89.94.89 (Par sms en laissant vos coordonnées)

Note:

l'Eglise Syro-Orthodoxe- Francophone est une Eglise

Orthodoxe-Orientale. 

 

Le Monastère Syriaque est un Centre de Prières pour l'unité

des Eglises Apostoliques, l'unanimité du Témoignage Chrétien

et la paix du monde.

¤ Permanence pastorale en diverses région de France pour : Accompagnements spirituels, Sacrements, Sacramentaux (Bénédictions, Prières de délivrance ou d’exorcisme, prières de guérison)…

Pour les services pastoraux rendus au Monastère comme l'accueil 

des fidèles pour de courts séjours ou des retraites spirituelles , 

nous n'exigeons aucun fixe.

Les offrandes sont libres et non 

obligatoires. 

Toute offrande fait cependant l'objet d'une 

déduction de votre revenu imposable à raison de 66°/° de votre 

revenu). Libeller tous C B à l'ordre suivant " Métropolie E S O F " 

 

Pour l' Aumônerie Syro-Orthodoxe Francophone des Africains vivant en France, contacter les Responsables: Mor Philipose-Mariam (06.48.89.94.89 ), Métropolite et Soeur Marie-Andre M'Bezele, Moniale ( 06.41.20.16.86).

 

 

Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin  Mary/    maliath taibootho/ full of grace/    moran a'amekh  - the Lord is with thee/    mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/    wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/  and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/    O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/    yoldath aloho/  Mother of God/    saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/    nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./    Amîn   Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn.

 

 

 

 Shlom lekh bthoolto Mariam/ Hail, O Virgin Mary/ maliath taibootho/ full of grace/ moran a'amekh - the Lord is with thee/ mbarakhto at bneshey/ blessed art thou among women/ wambarakhoo feero dabkharsekh Yeshue/ and blessed is the fruit of thy womb, Jesus/ O qadeeshto Mariam/ Holy Mary/ yoldath aloho/ Mother of God/ saloy hlofain hatoyeh/ pray for us sinners/ nosho wabsho'ath mawtan./ now and at the hour of our death./ Amîn Je vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amîn

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu 18,12-14.

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Quel est votre avis ? Si un homme possède cent brebis et que l’une d’entre elles s’égare, ne va-t-il pas laisser les quatre-vingt-dix-neuf autres dans la montagne pour partir à la recherche de la brebis égarée ? 
Et, s’il arrive à la retrouver, amen, je vous le dis : il se réjouit pour elle plus que pour les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont pas égarées. 
Ainsi, votre Père qui est aux cieux ne veut pas qu’un seul de ces petits soit perdu. » 
 




Par St Basile de Séleucie

(?-v. 468), évêque 
Homélie 26, sur le Bon Pasteur ; PG 85, 299 (trad. Bouchet, Lectionnaire, p. 219) 

 

« Il se réjouit pour elle plus que pour les quatre-vingt-dix-neuf autres qui ne se sont pas égarées »

 

Regardons notre berger, le Christ ; voyons son amour pour les hommes et sa douceur pour les conduire au pâturage.

Il se réjouit des brebis qui l'entourent comme il cherche celles qui s'égarent.

Monts et forêts ne lui font pas d'obstacle ; il court dans la vallée de l'ombre pour parvenir jusqu'à l'endroit où se trouve la brebis perdue.

L'ayant trouvée malade, il ne la méprise pas, mais la soigne ; la prenant sur ses épaules, il guérit par sa propre fatigue la brebis fatiguée.

Sa fatigue le remplit de joie, car il a retrouvé la brebis perdue, et cela le guérit de sa peine :

« Lequel d'entre vous, dit-il, s'il a cent brebis et vient à en perdre une, n'abandonne pas les quatre-vingt-dix-neuf autres dans le désert pour s'en aller auprès de celle qui est perdue, jusqu'à ce qu'il l'ait retrouvée ? » 

La perte d'une seule brebis trouble la joie du troupeau rassemblé, mais la joie des retrouvailles chasse cette tristesse :

« Quand il l'a retrouvée, il assemble amis et voisins et il leur dit :

Réjouissez-vous avec moi, car j'ai retrouvé ma brebis qui était perdue » (Lc 15,6).

C'est pourquoi le Christ, qui est ce berger, disait : « Je suis le bon pasteur » (Jn 10,11).

« Je cherche la brebis perdue, je ramène celle qui est égarée, je panse celle qui est blessée, je guéris celle qui est malade » (Ez 34,16).

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Published by Eglise Syro-Orthodoxe Francophone - dans Tradition Syriaque orthodoxie-orientale Famille Vie des Saints

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